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Politique du deuil, poétique du deuil / Philippe Forest
/ Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 13-03-2015
/ Canal-u.fr
FOREST Philippe, LAURICHESSE Jean-Yves
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Politique du deuil, poétique du deuil / Philippe Forest, conférence présentée lors du séminaire Deuil et littérature organisé par Nathalie Cochoy (laboratoire Cultures Anglo-Saxonnes, axe "Poéthiques") et Jean-Yves Laurichesse (laboratoire Patrimoine, Littérature, Histoire) dans le cadre des « Savoirs Partagés », Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, 13 mars 2015.Dans cette conférence, Philippe Forest, professeur et chercheur spécialiste de littérature comtemporaine à l’Université de Nantes, propose une analyse sur le roman Requiem pour une nonne de William Faulkner qu'il fait dialoguer avec la transposition pour le théâtre écrite en 1956 par Albert Camus. Cette oeuvre de Faulkner dont la construction est propice à l'adaptation théâtrale, « soulève la question métaphysique du mal à laquelle la mort d'un enfant sert de symbole scandaleux », mêlant la fresque épique et la tragédie de l'infanticide et du deuil. Pour cette étude sur le roman de Faulkner et sa réécriture par Camus, Philippe Forest convoque l'oeuvre de l'écrivain russe Fiodor Dostoievski, de Crime et châtiment aux Frères Karamazov, ainsi que la tragédie grecque classique.* Illustration : Photographie de Alan Trachtenberg (avec son autorisation). Mot(s) clés libre(s) : William Faulkner (1897-1962), Albert Camus (1913-1960), infanticide (dans la littérature)
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Orion géographe / Jean-Yves Laurichesse
/ Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 26-05-2011
/ Canal-U - OAI Archive
LAURICHESSE Jean-Yves
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Orion géographe / Jean-Yves Laurichesse. In colloque international "Claude Simon géographe" organisé par l'Equipe Littérature et Herméneutique du laboratoire Patrimoine Littérature Histoire (PLH) de l'Université Toulouse II-Le Mirail. Toulouse : Université Toulouse II-Le Mirail, 26-27 mai 2011. Mot(s) clés libre(s) : Claude Simon (1913-2005), littérature française (20e siècle)
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Orion géographe / Jean-Yves Laurichesse
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 26-05-2011
/ Canal-u.fr
LAURICHESSE Jean-Yves
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Orion géographe / Jean-Yves Laurichesse. In colloque international "Claude Simon géographe" organisé par l'Equipe Littérature et Herméneutique du laboratoire Patrimoine Littérature Histoire (PLH) de l'Université Toulouse II-Le Mirail. Toulouse : Université Toulouse II-Le Mirail, 26-27 mai 2011. Mot(s) clés libre(s) : littérature française (20e siècle), Claude Simon (1913-2005), géographie (dans la littérature)
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Style et colère : juger les formes de vie / Marielle Macé
/ Samir BOUHARAOUA, Franck DELPECH, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 27-11-2015
/ Canal-u.fr
LAURICHESSE Jean-Yves, MACÉ Marielle
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Style et colère : juger les formes de vie / Marielle Macé, in séminaire Poéthiques organisé par Jean-Yves Laurichesse (laboratoire Laboratoire Patrimoine, Littérature, Histoire, équipe Littérature et Herméneutique- PLH-ELH) et Nathalie Cochoy (laboratoire Cultures Anglo-Saxonnes-CAS), Université Toulouse Jean Jaurès-campus Mirail, 27 novembre 2015.
Dans cette conférence, Marielle Macé tente de comprendre "en littéraire" la revendication qui lui semble
être la plus communément la nôtre aujourd'hui : celle qui consiste à
réclamer "d'autres manières de vivre", "d'autres formes de vie". Elle propose pour cela de réfléchir aux deux dispositions qui sous-tendent
cette revendication, et qui engagent la stylistique : celle qui consiste
à regarder la vie comme un engagement de formes (des manières d'être et
de faire, des gestes, des rythmes, des modes relationnels...), et celle
qui consiste à se risquer à poser sur ces formes un regard critique, à
engager son jugement et, souvent, sa colère. De Baudelaire à Boltanski,
d'Adorno à Pasolini, voir les formes de vie, ce fut toujours
les juger et en réclamer d'autres. C'est donc à cette critique
stylistique de l'existence que Marielle Macé s'attache, pour la
comprendre, la situer, en esquisser une histoire, en dire l'actualité.
* Illustration : "Your Words are my Power", peinture de William Sharpe (2015). Mot(s) clés libre(s) : littérature (esthétique), réception des oeuvres, lecture (influence), manière d'être (philosophie), style (esthétique), Pier Paolo Pasolini (1922-1975)
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Giono, la mémoire à l'oeuvre : Mémoire et vécu (1)
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 20-03-2008
/ Canal-U - OAI Archive
LAURICHESSE Jean-Yves, SACOTTE Mireille, ARNAUD-TOULOUSE Marie-Anne, MORELLO André-Alain
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"Giono : la mémoire à l'oeuvre". Colloque international organisé par le laboratoire "Patrimoine, Littérature, Histoire" (PLH), équipe "Littérature et Herméneutique" (Université du Mirail) ) avec la participation de l'Association des Amis de Jean Giono et en présence de Sylvie Durbet-Giono, fille de Jean Giono. Université Toulouse II-Le Mirail, 20-22 mars 2008.Ouverture du colloque et 1ère demi-journée : "Mémoire et vécu", présidée par Jean ARROUYE (Université de Provence).Interventions :- Discours d'ouverture du colloque, Daniel Filâtre (Président Univ. Toulouse-Le Mirail) et Jacques MENY (Association Les Amis de Jean Giono).- "Petits bagages de loups" : la mémoire et l'oubli chez quelques personnages gioniens, Jean-Yves LAURICHESSE (Univ. Toulouse-Le Mirail).- Mais où sont les neiges d'antan ? [ sur "Un de Baumugnes"], Mireille SACOTTE (Univ. Paris III).- La mémoire des objets, Marie-Anne ARNAUD-TOULOUSE (Univ. de Dijon).- Dans la mémoire heureuse d'Angelo, André-Alain MORELLO (Université du Sud, Toulon).Associée par-dessus tout à la peinture de paysages dynamisés par l'imagination ainsi qu'au génie du conteur, avec tout ce que cela suppose d'élan prospectif, l'oeuvre de Giono ne vient pas spontanément à l'esprit des spécialistes de la mémoire. Même dans les textes les plus « autobiographiques », l'imaginaire semble l'emporter sur la composante mnésique, tandis que les oeuvres proprement romanesques reflètent plus volontiers un art de saisir le moment présent dans son acuité sensorielle et émotionnelle et une aptitude à regarder vers l'avant. Cette poétique de l'instant et cet élan prospectif ne peuvent toutefois occulter tous les échos du passé dont résonne l'oeuvre de Giono. « Dans ses mille alvéoles, l'espace tient du temps comprimé », écrit Bachelard. Bien au-delà des seules Chroniques romanesques , tout le « Sud imaginaire » (Faulkner est ici une référence majeure) est plein d'un « passé d'anecdotes et de souvenirs » qui le constitue en territoire littéraire. Différentes dimensions de la mémoire s'y déploient : mémoire personnelle (l'enfance, bien sûr, ce « gisement profond de mon sol mental » selon Proust, mais aussi les joies, les passions, les épreuves de l'âge adulte, dont l'écriture porte trace) ; mémoire familiale (les origines piémontaises et la légende qui en découle, fondatrice du « Cycle du Hussard ») ; mémoire collective (la guerre, traumatisme originel, où s'articulent destin individuel et destin partagé) ; mémoire historique (ces temps anciens - le XIX e siècle, mais aussi plus loin en amont - dans lesquels Giono cherchera de plus en plus une évasion lucide) ; mémoire mythique , quand l'écrivain puise dans le fond archaïque des peurs et des fantasmes ancestraux et, plus fasciné par « la nuit des temps » que nostalgique du « bon vieux temps », s'engage selon Jacques Chabot dans « une anamnèse interminable », une « quête, sans espoir, des origines »... Rien de « passéiste » ici, en effet, contrairement à l'idée reçue, car le passé ne prend sens chez Giono que dans ce présent où l'écriture s'en saisit, l'inscrit, voire l'invente, où la mémoire se fait oeuvre . Explorer « la mémoire à l'oeuvre », c'est donc explorer aussi bien le rôle de la mémoire dans la genèse de l'oeuvre que la représentation de la mémoire, de ses processus, de ses images, dans l'oeuvre même. Mot(s) clés libre(s) : Jean Giono (1895-1970), littérature française (20e siècle), mémoire (dans la littérature), souvenir (dans la littérature)
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Maisons d’écrivains, lieux de mémoire et de création. Table ronde / Caroline Casseville, Daniel Fabre, Jacques Mény
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Franck DELPECH, Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 28-05-2015
/ Canal-u.fr
MENY Jacques, LAURICHESSE Jean-Yves, FABRE Daniel, CASSEVILLE Caroline
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Maisons d’écrivains, lieux de mémoire et de création. Table ronde / Caroline
Casseville, Daniel Fabre, Jacques Mény. Table ronde animée par Jean-Yves Laurichesse, in séminaire "Le passé au présent : les passeurs du patrimoine. 1.
Conservation, transmission" organisé par le laboratoire Patrimoine, Littérature, Histoire (PLH) de l'Université Toulouse-Jean Jaurès, 28 mai 2015.
Alors
même que la figure de l’auteur a été mise en question et que la
littérature a perdu de son importance sociale, l’engouement contemporain
pour les maisons d’écrivains montre que les lecteurs restent sensibles
aux lieux où ont vécu les grands créateurs et qui les ont inspirés. Que
viennent-ils y chercher qui puisse ajouter à la lecture des œuvres ou la
prolonger ? Ces lieux relèvent-ils d’un culte illusoire ou bien
gardent-ils une forme de mémoire de la création ? Peuvent-ils échapper à
la muséification et susciter de nouvelles œuvres ?
Tour à tour sont évoqués le besoin du public que la littérature s'incarne dans un lieu et dans des objets, la recherche du lieu et de l'atmosphère de la création, cotoyer l'intimité de l'écrivain et la genèse d'une oeuvre. La maison d'écrivain c'est « une mise en présence de l'originel (...) l'espace où quelque chose a eu lieu » (Daniel Fabre). Mot(s) clés libre(s) : patrimoine culturel, lieux de mémoire, patrimoine littéraire, écrivains (résidences et lieux familiers)
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