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Vaccinologie 2011 - Voies d'administration, immunogénicité des vaccins viraux
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 07-04-2011
/ Canal-U - OAI Archive
MOUTHON Luc, COMBADIERE Béhazine, DENIS Martine, BOUVET Elisabeth
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Vaccination virale et immunodépression : voies d'administration, immunogénicité, grippe nosocommialeRésumé : discussion, questions-réponses.Intervenants : Luc MOUTHON, Béhazine COMBADIERE, Martine DENIS, Elisabeth BOUVET.L’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée.Conférence enregistrée lors de la 4e Journée «Jean-Gérard Guillet» de vaccinologie clinique. Le jeudi 7 avril 2011, Hôpital du Val-de-Grâce, Paris. Modératrice : Luc MOUTHON.Réalisation, production : Canalu U/3S, CERIMES.SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : anticorps neuraminidase, grippe, hémagglutinine, immunogénicité, Vaccinologie, vaccins, virus, voies d'administration
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Titre et fonction du recteur, de l'Ancien Régime au 1er Empire / Patrick Ferté
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 20-11-2008
/ Canal-u.fr
FERTÉ Patrick
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Titre et fonction du recteur, de l'Ancien Régime au 1er Empire. Patrick Ferté, in colloque "Les recteurs et le rectorat de l'académie de Toulouse (1808-2008)",
organisé conjointement par le rectorat de Toulouse et le laboratoire de recherche FRAMESPA
[France méridionale et Espagne, Histoire des sociétés du Moyen Âge à
l'époque contemporaine], Université Toulouse II-Le Mirail, IUT de Blagnac, 20-21
novembre 2008.Dans cette communication, Patrick Ferté scrute l'origine de l'appellation de "recteur" et "rectorat d'académie" ainsi que la construction des universités sous Napoléon 1er, au travers d'hypothèses de travail, notamment celle de l'importation d'un modèle calviniste. Mot(s) clés libre(s) : administration universitaire (16e-19e siècle), recteurs d'académie (attributions), universités françaises (histoire)
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Recteurs et rectorat de Toulouse (1808-2008) : présentation / Olivier Dugrip
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 20-11-2008
/ Canal-u.fr
DUGRIP Olivier
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Recteurs et rectorat de Toulouse (1808-2008) : présentation / Olivier Dugrip, in colloque "Les recteurs et le rectorat de l'académie de Toulouse (1808-2008)",
organisé conjointement par le rectorat de Toulouse et le laboratoire de recherche FRAMESPA
[France méridionale et Espagne, Histoire des sociétés du Moyen Âge à
l'époque contemporaine], Université Toulouse II-Le Mirail, IUT de Blagnac, 20-21
novembre 2008.
Le décret napoléonien du 17 mars 1808 instituant une nouvelle fonction administrative, celle de recteur, met en place les fondements mêmes du système d'instruction publique qui marque encore de nos jours notre réalité éducative. Le recteur est le représentant direct du pouvoir central au sein d'un espace géographique particulier, l'académie, qui se définit comme un regroupement de départements. Ces deux siècles, traversés par des évolutions, ont modifié la fonction rectorale. De circonscription administrative, l'académie est devenue un vecteur de mobilisation et de structuration de la politique publique. Mais l'institution demeure et le recteur exerce toujours son autorité pédagogique et administrative. Mot(s) clés libre(s) : administration scolaire, politique de l'enseignement, recteur d'académie (attributions), système éducatif
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Politiques sociales et modernisation de l'action publique / Pierre Gauthier
/ Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 01-07-2009
/ Canal-U - OAI Archive
GAUTHIER Pierre
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Politiques sociales et modernisation de l'action publique? Intervention de Pierre GAUTHIER dans le cadre du colloque "Le travail social à l'épreuve du management et des impératifs gestionnaires" organisé par l’Université Toulouse II-Le Mirail (Formation Continue, Laboratoire Interdisciplinaire Solidarités-Sociétés-Territoires, Centre de Promotion de la Recherche Scientifique). Université de Toulouse II-Le Mirail, 1-3 juillet 2009. Mot(s) clés libre(s) : administration publique (modernisation), administration publique (organisation), institutions médico-sociales (France), politique sociale (France), révision générale des politiques publiques (RGPP)
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Ottoman Legal Flexibility and Women’s Property Rights
/ 07-01-2012
/ Canal-u.fr
HOSAİNY M. Hadi
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Journée
d'études: La justice dans la société
ottomane Institutions acteurs et pratiques : 6-7/01/2012 Session III. Quand différents corps de
droit (chéria, kanun et coutume) et systèmes juridiques se croisentM. Hadi Hosainy (Doctorant, The University of Texas at Austin, Etats-Unis),“Ottoman Legal Flexibility and Women’s Property Rights” Mot(s) clés libre(s) : justice, administration, Empire ottoman, genres
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Nouveaux modes de gouvernance des universités. Quand la fusion s'impose : la (re)naissance de l'université de Strasbourg / Christine Musselin
/ Claire SARAZIN, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 25-05-2012
/ Canal-u.fr
MUSSELIN Christine
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Nouveaux modes de gouvernance des universités. Quand la fusion s'impose : la (re)naissance de l'université de Strasbourg / Christine Musselin. In Séminaire 2011-2012 du Centre d’Étude et de Recherche Travail, Organisation, Pouvoir (CERTOP) de l'Université Toulouse II-Le Mirail, 25 mai 2012.
Dans le cadre d'une enquête pour le projet ANR Mutorg, Christine Musselin a étudié le processus de mise en oeuvre de la première fusion d'universités en France, en 2009, celle des trois universités de Strasbourg, Université Strasbourg 1-Louis Pasteur, Strasbourg 3- Robert Schumann, et Strasbourg 3-Marc Bloch. A la lumière des théories des sociologues néo-institutionnels (Meyer, Ramirez, Roanne, Kitchener...), elle présente les étapes de la fusion, les discours qui ont été produits pour la légitimer, la stratégie des acteurs qui l'ont portée, dans un environnement qui n'y était ni enclin ni profondément réfractaire.Strasbourg est pôle européen d'excellence depuis 1991, quand Jean-Yves Mérindol, alors président de Strasbourg 1-Louis Pasteur, lance, en 2001, l'idée d'une fusion qui sera progressivement mise en œuvre à partir de 2003, à la faveur de la mise en place du processus de Bologne au niveau européen. Après une période de projets inter-universitaires, les trois conseils choisiront, en 2008, directement la fusion plutôt que la constitution en PRES (Pôle de recherche et d'enseignement supérieur).En se basant sur les discours, les entretiens et les documents recueillis lors de l'enquête, Christine Musselin dégage une sorte de mythologie ayant servi à justifier la fusion : le mythe d'une université universelle, "complète", toutes disciplines confondues ; l'idée d'un modèle historique d'avant 1968 et la tradition humboldtienne de l'université de Strasbourg ; enfin, le mythe de la visibilité d'une université de taille internationale ainsi qu'une labellisation par un ancrage régional. Dans le cas strasbourgeois, les préoccupations d'efficience et de performance ainsi que les questions de l'organisation de la nouvelle université (mythe managérial) n'ont été des critères énoncés que postérieurement au vote pour la fusion en 2008.Dans un troisième temps, est exposé le rôle des acteurs qui ont construit ces mythes tout en véhiculant des "scripts transnationaux" au niveau national, surtout le rôle primordial des présidents d'universités qui, en véritables "entrepreneurs institutionnels", ont initié le projet de fusion de manière très coordonnée, relayés par des successeurs convaincus à l'université Louis Pasteur et, pour des raisons un peu différentes, par les deux autres universités.Le quatrième chapitre expose les conditions qui ont rendu la fusion possible : un environnement local (municipalité et région) qui, bien qu'adhérant peu au projet, ne s'y est cependant pas montré totalement hostile, un ministère circonspect mais pas opposé, une fusion qui n'a pas été imposée par le haut comme cela a été le cas dans certains pays européens (en Norvège, au Danemark ou en Allemagne), des institutions de recherche déjà préparées aux méta-structures et
assez désireuses d'accéder aux classements internationaux (celui de
Shanghai, notamment), etc.Au travers de l'exemple atypique de la fusion des universités de Strasbourg, la communication de Christine Musselin propose une observation des modes opératoires des changements institutionnels de l'enseignement supérieur français les plus importants de ces dernières années. Mot(s) clés libre(s) : réforme de l'université (France), administration universitaire (21e siècle), France (21e siècle), université de Strasbourg, fusion d'universités, sociologie des institutions, politique universitaire
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Les campus universitaires québécois - Emission 28
/ Gaston Imbeau, Eric Bachand, Pierre Greco, Annie Boudin, Sophie I. Gagnon, Pierre Saint-Yves
/ 01-01-2011
/ Canal-U - OAI Archive
Canal Savoir, Télé-Québec
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ÉMISSION 28L’Observatoire de l’administration publique (ÉNAP)L’Observatoire de l'administration publique est un pôle d’excellence en recherche consacré à la veille et à l’analyse comparative pour repérer les évolutions et les tendances les plus contemporaines en administration publique. Un prof, un livre : Suzie Robichaud, professeure émérite retraitée à l’Université du Québec à Chicoutimi, nous présente son dernier ouvrage Le Bonheur... à deux pas d’ici, un livre philosophique inspiré de grands penseurs.La formation à distance des militaires (TÉLUQ)La TÉLUQ dessert depuis plus de vingt ans le personnel francophone des Forces canadiennes. Découvrez son Service d'accréditation et d'encadrement pour les militaires (SAEM). Entretien : Maude Flamand-Hubert, récipiendaire d’une prestigieuse bourse Georges-Vanier, nous parle de son parcours, du ballet au doctorat en développement régional de l’Université du Québec à Rimouski.Nüvü Caméras (Université de Montréal)Découvrez l’aboutissement du projet de doctorat à l’Université de Montréal d'Olivier Daigle : la mise au point d’un dispositif d’imagerie numérique permettant d'améliorer la qualité des images perçues par les caméras d'astronomie ou par celles d'autres instruments employés dans des situations de très faible luminosité. Mot(s) clés libre(s) : Administration publique, Astronomie, Bonheur, Développement régional, ÉNAP, Formation militaires, Invention, Nüvü Caméras, Olivier Daigle, Suzie Robichaud
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Le tourisme et les institutions culturelles
/ UTLS - la suite
/ 13-01-2006
/ Canal-U - OAI Archive
FOURTEAU Claude
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L'irruption du tourisme culturel de masse, il y a une trentaine d'années, a pris au dépourvu musées, monuments et sites. C'est alors que les opérateurs professionnels du tourisme, détenteurs du choix des itinéraires et de l'organisation des visites de groupe, adaptant leurs programmes à des publics - cibles identifiés, ont pris une place dominante dans l'économie, l'image, la pratique et l'interprétation même du patrimoine. Tandis que musées et monuments n'incluaient pas les touristes étrangers dans leur mission éducative, considérant les groupes comme un mal nécessaire bien que convoité, - le marché du tourisme, en associant systématiquement voyage et visites contribuait puissamment à faire accéder aux lieux de culture des publics élargis. Mais quelle pratique culturelle a-t-il installée ? Cependant, les musées et sites culturels ne sont pas les plages. Ils ont fait preuve, de fait, d'une stupéfiante capacité d'adaptation en l'espace d'une génération, adjoignant les fonctions de communication, de gestion, de médiation culturelle, d'études de publics, de marketing, de programmation.. à celles de la conservation. Les grands musées en particulier ont ainsi développé une étendue d'offre et une force de frappe considérables. Récepteurs des voyageurs du monde, ils affrontent aujourd'hui les défis de la mondialisation en étendant sur le monde l'emprise de leur image et de leur présence. Ces évolutions posent des questions nouvelles: les grandes institutions culturelles sont-elles devenues des multinationales ? Les plus petites ou plus fragiles sont-elles vouées à la pénurie ou à la suraffluence touristique ? Les aspirations profondes des voyageurs - visiteurs sont-elles prises en compte ? Comment se repensent aujourd'hui les politiques culturelles au regard des évolutions du tourisme international?... Il semble que le lien qui unissait depuis deux siècles les institutions culturelles et les visiteurs étrangers- l'ambition nationale d'éblouir portée par les uns, et la soif d'admirer apportée par les autres se soit mieux adapté jusqu'à présent aux injonctions du développement économique. Cependant les institutions culturelles auront à répondre sur d'autres terrains, car elles occupent une place majeure au coeur des questions nouvelles du brassage des cultures et de la renégociation des identités. Mot(s) clés libre(s) : administration, culture et mondialisation, économie de la culture, équipements culturels, musées, politique culturelle, tourisme culturel, tourisme de masse
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Le recteur chancelier et les universités au début du XXI° siècle / Daniel Filâtre
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 21-11-2008
/ Canal-u.fr
FILÂTRE Daniel
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Le recteur chancelier et les universités au début du XXI° siècle / Daniel Filâtre, in colloque "Les recteurs et le rectorat de l'académie de Toulouse (1808-2008)",
organisé conjointement par le rectorat de l'académie de Toulouse et le laboratoire de recherche FRAMESPA
[France méridionale et Espagne, Histoire des sociétés du Moyen Âge à
l'époque contemporaine], Université Toulouse II-Le Mirail, IUT de Blagnac, 20-21
novembre 2008. Mot(s) clés libre(s) : recteurs d'académie (attributions), chanceliers des universités, enseignement supérieur (france), administration universitaire, politique de l'enseignement (21e siècle), présidents et recteurs d'université
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Le Paris de Haussmann
/ UTLS - la suite
/ 26-10-2003
/ Canal-U - OAI Archive
CARMONA Michel
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C'est en 1853 que Napoléon III nomme à l'Hôtel de Ville un administrateur qui a déjà prouvé son efficacité dans plusieurs préfectures, à Bordeaux en particulier, et dont le nom va devenir le symbole de la modernisation de Paris. En seize ans à peine, Haussmann mène à bien la gigantesque mission que lui a confiée l'empereur : transformer une capitale trop indocile et en faire une métropole prestigieuse. Paris restait une ville d'aspect médiéval, où la circulation se faisait difficilement dans des rues étroites, mal pavées, transformées en cloaques à la moindre pluie ; l'eau potable comme les égouts sont rares. L'opinion publique réclame des grands travaux. Le nouveau préfet de la Seine se révèle vite l'homme de la situation. Alors que commence la grande fête impériale, des dizaines de chantiers s'ouvrent dans la capitale. On détruit des milliers de maisons, on perce de larges boulevards rectilignes le long desquels s'élèvent des immeubles bourgeois, et l'on construit des mairies, des théâtres, des églises, mais aussi des jardins publics, des conduites d'eau et de gaz. Les moyens ? D'abord, une grande science administrative chez Haussmann, travailleur infatigable, sachant stimuler ses collaborateurs, architectes, ingénieurs, techniciens, employés, tous de grande valeur et dévoués à leur tâche. Ensuite, des moyens financiers à la hauteur des ambitions, grâce à un large recours à l'emprunt, une pratique nouvelle à l'époque pour financer les travaux de transformation urbaine. Enfin, l'appui jamais démenti de Napoléon III, qui est l'âme et l'inspirateur premier des grands travaux. Energique, autoritaire, cynique, pas toujours très regardant sur les moyens, Haussmann, qui réalise en 1860 l'extension de Paris jusqu'à ses limites d'aujourd'hui (la capitale passe de 12 à 20 arrondissements, qui reçoivent leurs délimitations actuelles), fait bientôt l'unanimité contre lui. Le climat de spéculation et d'affairisme qui entoure ses travaux lui vaut le surnom de Haussmann Pacha. Certains lui reprochent de chasser les ouvriers et les pauvres, d'autres de ne pas se soucier du patrimoine architectural. Tous s'accordent à critiquer le coût pharaonique des grands travaux, qui, en s'amplifiant et en s'éternisant, donnent l'impression que Paris court à l'abîme. Aux premiers jours de janvier 1870, Napoléon III finit par sacrifier son préfet de la Seine. Mais l'oeuvre de Haussmann se poursuit après lui. Ses collaborateurs, restés aux commandes, continuent d'haussmanniser Paris. Et les nouveaux chefs de la Troisième République, qui l'ont durement attaqué sous l'Empire, lui rendent désormais hommage, tel Jules Simon, hier son ennemi, qui déclare à présent : « Peu nous importe aujourd'hui que les comptes de M. Haussmann aient été fantastiques. Il avait entrepris de faire de Paris une ville magnifique et il y a complètement réussi
Son oeuvre était au moins aussi fantastique que ses comptes. » Mot(s) clés libre(s) : Georges Eugène Haussmann (1809-1891), Paris (administration), Paris (grands travaux), urbanisme (france)
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