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Titre
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Algorithmes comment calculer et rapporter la dose
/ Canal-u.fr
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Algorithmes : comment calculer et rapporter la doseNick Reynaert (Lille) Mot(s) clés libre(s) : radiothérapie, dosimétrie, algorithmes, SFJRO, Monte Carlo, MCPT
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abcd Algos: découvrir les ingrédients des algorithmes
/ INRIA, Unisciel, Fuscia, Université de Nice
/ 2011
/ Unisciel
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Permet de s'initier aux structures de contrôle de base de l'algorithmique en utilisant un vrai langage impératif (5 activités sur 2 à 4 séances). Mot(s) clés libre(s) : proglet, algorithmique, algorithme
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algos de maths: programmer des calculs numériques et géométriques
/ INRIA, Unisciel, Fuscia, Université de Nice
/ 2011
/ Unisciel
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Permet de réaliser toutes les activités d'initiation à l'algorithmique en mathématiques. Un grand nombre de contenus et sujets sont disponibles (manipuler des tableaux, faire des tris numériques, manipuler le hasard, ..). Mot(s) clés libre(s) : proglet, algorithmique en mathématiques, algorithmes pour les maths
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Dichotomie: Programmer une recherche dichotomique
/ INRIA, Unisciel, Fuscia, Université de Nice
/ 2011
/ Unisciel
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Permet de s'initier à l'abstraction algorithmique la plus simple: la recherche dichotomique sur trois objets numériques. Mot(s) clés libre(s) : proglet, algorithmique, algorithme, dichotomie, recherche dichotomique
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Programmer avec la tortue Logo
/ INRIA, Unisciel, Fuscia, Université de Nice
/ 2011
/ Unisciel
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Utiliser la métaphore d'une tortue dans un carré de jardin avec un pinceau pour découvrir les algorithmes. Mot(s) clés libre(s) : proglet, tortue logo, algorithme
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Codage et cryptographie
/ INRIA
/ 02-06-2010
/ Canal-U - OAI Archive
AUGOT Daniel
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Dans cet exposé, Daniel Augot, aborde à partir du petit jeu Marienbad et la fonction "ou exclusif", les mécanismes algébriques et algorithmiques qui fondent les mécanismes de chiffrage et de codage utilisés en informatique. Plus précisément, les nimbers (ou nombres de Grundy) sont définis pour formaliser ces éléments, ils constituent une belle structure algébrique de corps commutatif infini de caractéristique deux. Leurs applications au codage pour transmettre un signal dans un canal, à la stéganographie (insertion de messages dans une image ou un objet numérique) et au chiffrement par flot sont détaillées.Ce cours a été donné en juin 2010 lors des journées de formation à l'informatique organisées par l'INRIA à destination des professeurs de mathématiques d'Ile de France. Il est composé d'une heure et demi de cours et d'un quart d'heure de questions-réponses sur le cours. Mot(s) clés libre(s) : algorithme, chiffrement, clé, codage, code correcteur, code de Hamming, cryptographie, fonction OU exclusif, stéganographie, XOR
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EMOIS Nancy 2011 - Utilisation des données PMSI dans les études épidémiologiques
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 18-03-2011
/ Canal-U - OAI Archive
BERNIER Marie Odile
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Titre : Utilisation des données PMSI dans les études épidémiologiques : individualisation des patients présentant un cancer ou une pathologie à risque de cancer.Résumé : La Cohorte Enfant Scanner qui étudie le risque de cancer radio-induit après exposition dans l’enfance à des examens scanner pourrait bénéficier des informations cliniques contenues dans le PMSI.Cependant, la qualité de ces données et leur adéquation aux besoins propres des études doivent être validés. L’objectif de notre étude était de mettre en place un algorithme permettant d’individualiser des enfants présentant un cancer ou une pathologie à risque de cancer à partir des diagnostics principaux (DP) et diagnostics associés (DA) fournis par la base PMSI.Méthodes : Un échantillon de 140 enfants ayant eu un examen scanner et pour lesquels le diagnostic clinique et des données PMSI étaient disponibles a été tiré au sort parmi les enfants ayant eu un examen scanner en 2002 dans le service de radiologie de l’hôpital Necker. Les données PMSI de toutes les hospitalisations de l’enfant sur la période 2002-2008 étaient prises en compte. Un algorithme a été construit à partir des codes de la CIM 10 pour les items « cancer » et « pathologie à risque de cancer ». L’algorithme a ensuite été testé sur cet échantillon de patients.Résultats : Sept et 15 enfants présentaient respectivement un cancer et une pathologie prédisposant au cancer. Sur l’échantillon test, la sensibilité de l’algorithme pour individualiser les enfants ayant un diagnostic de cancer ou de maladie à risque de cancer était de 100%, alors que les spécificités étaient respectivement de 98% et de 97% et les valeurs prédictives positives de 67% et 78%.Discussion/Conclusion : Les codages des diagnostics de la base PMSI ont permis d’identifier avec une très bonne sensibilité et une excellente spécificité les enfants présentant un cancer ou une pathologie à risque de cancer. Ces données permettront de mieux préciser les diagnostics cliniques des enfants inclus dans la Cohorte Enfant Scanner.Intervenant : BERNIER Marie Odile (Laboratoire d’Epidémiologie, Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire, Fontenay aux Roses).Conférence enregistrée lors des journées EMOIS 2011 à Nancy. Session : PMSI et épidémiologie II. Modérateurs Eliane ALBUISSON (CHU de Nancy) et Gilles CHATELIER (Association Robert Debré – Paris).Réalisation, production : Canalu U/3S, CERIMES.SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : algorithme, cancer, CIM 10, codage, Cohorte Enfant Scanner, DA, DP, EMOIS Nancy 2011, épidémiologie, PMSI
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Expériences personnelles dans l’enseignement de l’informatique et du monde numérique
/ INRIA
/ 10-06-2009
/ Canal-U - OAI Archive
BERRY Gérard
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L'informatique est partout, c'est devenu banal de le dire, mais qu'entend-on vraiment par là ? Comprend-on bien que le numérique, aujourd'hui, loin de se cantonner aux ordinateurs, est bien plus répandu dans les objets technologiques les plus divers, des téléphones aux avions ? Quelles en sont les implications, les qualités mais aussi les inconvénients, à commencer par les bugs ? En accord avec la devise du Collège de France, « enseigner la recherche en train de se faire », Gérard Berry présente une vision de l'informatique au sens large axée sur ses fondements scientifiques, et oriente sa présentation sur son travail au sein des lycées.Cet exposé s'est inscrit dans le cadre d'une formation INRIA proposée en juin 2009 et s'adressait aux professeurs des établissements de l'académie de Versailles proposant l'option Informatique et Objets Numériques à leurs classes de seconde pour l'année scolaire 2009-2010. Mot(s) clés libre(s) : algorithme, bug, enseignement de l’informatique, numérisation de l'information, programmation, réseaux, révolution numérique, science informatique, sciences numériques
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Le logiciel, objet de notre quotidien
/ Mission 2000 en France
/ 10-09-2000
/ Canal-U - OAI Archive
BERRY Gérard
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Il y a à peine trente ans, le logiciel était l'apanage des systèmes de gestion ou de communication des grandes entreprises. La micro-informatique, les ordinateurs embarqués et les réseaux ont centuplé ses applications, révolutionnant la bureautique, le design industriel ou artistique, les transports, et maintenant les objets du quotidien, du téléphone au stimulateur cardiaque en passant par tout l'audiovisuel, les jeux, et bien sûr Internet. On assiste en fait à la mise en place d'un nouveau système nerveux logiciel, avec lequel nous sommes sans cesse en contact. Or, le logiciel reste un objet mystérieux pour la plupart des gens. Il est purement immatériel, ne se voit pas, ne pèse rien. Pourtant, il produit des tas d'ennuis allant de l'inconfort des interfaces homme-machine mal conçus aux problèmes de sécurité des réseaux en passant par des crashs catastrophiques de fusées ou de satellites. La qualité du logiciel devient un des points faibles de notre société. Pour les spécialistes, ce n'est pas étonnant. Le logiciel est un objet purement intellectuel d'une très grande complexité, qui ne se laisse pas appréhender pas des approches naïves. Un logiciel est formé de millions d'ordres élémentaires à une machine ultra-rapide et quasi-infaillible mais parfaitement stupide, le microprocesseur. De minuscules erreurs peuvent avoir de grandes conséquences et on ne sait pas encore se protéger. Nous essaierons de mieux faire comprendre la nature profonde de l'objet logiciel, et nous présenterons les approches scientifiques modernes qui permettront de construire des logiciels plus sûrs et d'en assurer la correction. Mot(s) clés libre(s) : algorithmique, bug, circuit intégré, langage de programmation, logiciel informatique, microélectronique, microprocesseur
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EMOIS Nancy 2011 - Recours aux unités de soins palliatifs et à l’HAD.
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 17-03-2011
/ Canal-U - OAI Archive
BLOTIERE Pierre-Olivier
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Titre : EMOIS Nancy 2011 - Recours aux unités de soins palliatifs et à l’HAD des personnes décédées d’une tumeur maligne en 2008 : variabilité selon la localisation tumorale et disparités régionales.Résumé : Objectif : Déterminer la part des personnes décédées d’une tumeur maligne en 2008 ayant eu recours aux soins palliatifs ou à l’hospitalisation à domicile (’HAD) au cours de leur dernière année de vie selon la localisation tumorale et la région.Méthode : La date de décès provenait du statut vital INSEE intégré dans le SNIIRAM, lui-même chaîné au PMSI court-séjour et HAD. La cause supposée du décès a été identifiée principalement à partir du diagnostic principal du séjour au cours duquel il est survenu. Ainsi, 70% des causes de décès ont été identifiées par algorithme. Seuls les patients avec un Groupe Homogène de Malades de soins palliatifs ont été considérés hospitalisés en soins palliatifs. Les taux régionaux ont été ajustés par standardisation directe sur l’âge et le sexe. Les résultats ont été calculés pour le régime général hors fonctionnaires (N=49 millions dont 250 000 décès en 2008 avec une cause identifiée).Résultat : Pour 76 000 personnes la cause de décès était une tumeur maligne, soit 33% des causes de décès identifiées par algorithme. Le taux de recours aux soins palliatifs s’élevait à 48% des décédés par tumeur (côlon 46%, poumon 54%, sein 61%). L’hospitalisation en lit dédié concernait 60 % de ces patients, et en unité 13%. Le taux de recours à l’HAD était de 11% (côlon 12%, sein 14%, col de l’utérus 18%). Parmi les personnes décédées de tumeur du poumon, les taux régionaux de recours étaient très variables : de 25% en Franche-Comté à 66% dans le Limousin pour les soins palliatifs et de 2% en Languedoc-Roussillon à 20% dans le Limousin pour l’HAD. Des répartitions voisines étaient retrouvées pour les personnes décédées de tumeur du côlon ou du pancréas.Conclusion : Les taux de recours aux soins palliatifs ou à l’HAD présentaient de fortes disparités selon la localisation tumorale et la région.Intervenants : Pierre-Olivier Blotière ( Caisse Nationale de l’Assurance Maladie des Travailleurs Salariés, Paris, France).Conférence enregistrée lors des journées EMOIS 2011 à Nancy. Session : Qualité des pratiques et des soins : évaluation, indicateurs, tableaux de bord. Modérateurs : Daniel MAYEUX (Centre Alexis Vautrin de Nancy), Annick VALENCE (Maternité Régionale Universitaire de Nancy).Réalisation, production : Canalu U/3S, CERIMES.SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : algorithme, EMOIS Nancy 2011, établissement de santé, hospitalisation à domicile, soins palliatifs, tumeur maligne
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