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"Biblique des derniers gestes" ou la quête de l'epos / María Celeste Biorda, Pierre Soubias
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 10-10-2014
/ Canal-u.fr
SOUBIAS Pierre, BIORDA María Celeste
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"Biblique des derniers gestes" ou la quête de l'epos / María Celeste Biorda, Pierre Soubias. In "Patrick Chamoiseau et la mer des récits", colloque international organisé par le laboratoire Lettres, Langages et Arts (LLA CREATIS) de l'Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, 8-10 octobre 2014. Thématique 5 : Explorations génériques.Marqueur de paroles, chercheur de paroles ou metteur en scène d’une
parole ? Depuis ses premiers romans, Chamoiseau s’intéresse
à des histoires sinon oubliées du moins tues, qui sont à la
marge de l’Histoire et qu’il veut faire entendre (Chronique de
sept misères, Texaco). Mais dans Biblique des derniers
gestes, sans doute son roman le plus ambitieux, on raconte moins
l’Histoire vraie qu’on ne profère des histoires. Chamoiseau
semble dépasser la dimension historique au profit d’une
dimension épique, en prenant l’adjectif dans son acception
étymologique (relatif à epos –l’epos
désignant à la fois le contenu de l’épopée et la parole
incarnée dans laquelle elle est énoncée). María Celeste Biorda et Pierre Soubias montrent comment le
romancier construit soigneusement des situations de communication
bien précises, qui permettent l’émergence et le déploiement du
récit, afin que ce dernier prenne la valeur d’une parole
primordiale et collective.
[Illustration adaptée de "Mystery River", photographie de Mattias Ripp, 2014, publiée sur Flickr]. Mot(s) clés libre(s) : littérature française (20e-21e siècles), Patrick Chamoiseau (1953-....), analyse du discours narratif
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"Dans la Solitude des Champs de Coton" de B.-M. Koltès (par Christophe Bident)
/ Pascal CECCALDI, Lycée d’Etat Jean Zay - Internat de Paris
/ 02-12-2013
/ Canal-u.fr
BIDENT Christophe, DOROSZCZUK Catherine
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Christophe Bident est professeur à l’université de Picardie où il dirige le centre de recherches en art, il est l’auteur de nombreux ouvrages, notamment sur Blanchot, Maurice Blanchot, partenaire invisible, paru en 2008, et Koltès : Bernard Marie Koltès, Généalogies, paru en 2000, Voix de Koltès paru en 2005. Il présente, lors de sa conférence, deux ouvrages à paraître sur Koltès : un collectif, Dans la solitude de B.M. Koltès, revue Textuel, qui doit paraître en février, et un dernier ouvrage, Koltès, le sens du monde, à paraître en début d’année 2014. Il intervient auprès des étudiants de classes préparatoires littéraires (plus particulièrement les khâgneux) dans le cadre du programme des ENS en 2013-2014, qui a choisi de faire travailler les élèves sur Dans la solitude des champs de coton, pièce centrale dans les écrits et travaux de C. Bident, qu’il choisit d’aborder d’abord en tant qu’ancien metteur en scène, sensibilisant le public aux problèmes que pose la langue de Koltès, sa mémorisation, la diction particulière qu’impose son phrasé, mais aussi l’attribution des rôles, leur violence… Son travail de metteur en scène lui permet de revenir sur la mise en scène mythique de Patrice Chéreau. Il aborde ensuite le problème central de leur programme, celui du rapport entre théâtre et morale, autour de la question du dialogue éthique, et des enjeux de réflexion morale de la pièce. Les questions posées par les élèves sont enrichies par la présence du frère de l’écrivain, François Koltès, qui se prête volontiers à l’échange avec les étudiants, permettant une réflexion commune riche et vivante.Catherine Doroszczuk Mot(s) clés libre(s) : jeu théâtral, mise en scène théâtrale, analyse du discours littéraire, pièce de théâtre, Bernard-Marie Koltès, Patrice Chéreau, Samuel Beckett, François Koltès, théâtre français contemporain
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/ Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 09-01-2009
/ Canal-U - OAI Archive
DEBAX Jean-Paul
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Mot(s) clés libre(s) : Everyman (analyse littéraire), littérature anglaise-histoire et critique, moralités anglaises, Pieter van Diest (Elckerlijc), théâtre anglais (Moyen Age)
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1/2 Master class de Claire Simon, réalisatrice.
/ Philippe KERGRAISSE, Direction de l'Audiovisuel de l'EHESS (Dir. Jean-Claude Penrad)
/ 10-11-2012
/ Canal-u.fr
SIMON Claire, PIAULT Marc Henri
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Rencontre avec la réalisatrice Claire Simon, animée par Marc Henri Piault, directeur de recherche honoraire au CNRS, anthropologue et cinéaste.
« Pour moi faire un film, c’est avant tout peindre, montrer dans ce que je vois, ce qui crie, ce que je ne veux pas voir, ce que je ne sais pas deviner et qui finalement se révèle peu à peu dès que le tournage commence » (Claire Simon)
Claire Simon a appris le cinéma par le biais du montage ainsi qu’en tournant parallèlement des courts-métrage de manière indépendante. Parmi ses films les plus remarqués on trouve La police en 1988 ou Scènes de ménage avec Miou Miou, en 1991. Elle découvre le cinéma direct aux Ateliers Varan et réalise plusieurs documentaires : Les Patients (1989), Coûte que coûte (1996), Récréations (1998), films souvent primés.
En 1997, elle présente à la Quinzaine des réalisateurs de Cannes son premier long métrage de fiction, Sinon oui, histoire d’une femme qui prétend être enceinte et vole un enfant. Pour Arte et dans l’espace du Parlement Européen, elle réalise un film avec des étudiants, Ça c’est vraiment toi (2000). Mi fiction, mi documentaire, ce film recevra les grands prix du documentaire et de la fiction au festival de Belfort. Elle tente alors une expérience théâtrale puis retrouve le documentaire avec 800 km de différence – Romance (2002) et Mimi (2003) : ce dernier a été présenté au Festival de Berlin en 2003. Son deuxième long métrage de fiction, Ça brûle (2006), est présenté à la Quinzaine des réalisateurs en 2006.
En 2008 elle réalise un film de fiction, Les Bureaux de Dieu, avec des acteurs et des actrices connus, Anne Alvaro, Nathalie Baye, Michel Boujenah, Rachida Brackni, Isabelle Carré, Béatrice Dalle et Nicole Garcia personnalisant les spécialistes et les consultants d’un bureau de planning familial dont l’expérience réelle avait été auparavant étudiée.
Ce sont de « vraies » conversations, entre les conseillères, actrices connues et les visiteuses interprétées par des actrices non professionnelles inconnues des spectateurs afin d’échapper à un voyeurisme éventuel. Sans doute est-ce également une façon de donner aux expériences individuelles évoquées une dimension plus large.
Les entretiens sont filmés en plans-séquences, intensifiant la relation entre « conseillères » et « consultantes » mais également l’attention du spectateur entraîné dans une narration ponctuée par les moments de respiration offerts aux conseillères entre les différentes consultations.
En 2012, Claire Simon, poursuivant son entreprise concrète de saisie de la réalité par et dans le cinéma de fiction, se plonge longuement dans l’espace de la gare du Nord à Paris. Des dialogues, des fragments de vie, des rencontres. Six mois à observer, noter, enregistrer des passages, des rencontres. Sept semaines de tournage sur place. Claire Simon déclare : « Heure par heure, la gare du Nord peut donner une image de la France dans sa totalité. C’est une vraie place publique » (Télérama).
Le film Gare du Nord (2012), en cours d’achèvement, avec les acteurs Nicole Garcia, François Damien et Reda Kateb ainsi que Richard Copans comme chef opérateur : « La gare, dit Claire Simon, c’est Internet en dur. La multiplicité des flux et des réseaux se matérialise sous nos yeux, et il suffit de cliquer quelque part pour voir naître une histoire. » (Télérama).
Elle dit également : « Ce qui m’intéresse n’est pas la maîtrise, mais plutôt l’idée d’être au front, là où tout est incertain, où le monde est mouvant » (Télérama).
Il nous reste désormais à partager cette mouvance, à entendre ces interrogations et ces inquiétudes, à réfléchir ces observations et peut-être à les interroger à notre tour en questionnant sans cesse nos propres certitudes, nos propres attentes.
MARC H. PIAULT ; Septembre 2012
♦ Filmographie ♦
Tandis que j’agonise 1980 | court métrage.
La police 1988 | court métrage.
Les patients 1989 | documentaire.
Scènes de ménage 1991 | 10 courts métrages de fiction.
Récréations 1992 | documentaire.
Artiste peinture 1992 | documentaire.
Histoire de Marie 1993 | court métrage.
Comment acheter une arme 1993 | court métrage.
Scènes de ménage 1991 | fiction de 10 courts métrages.
Coûte que Coûte 1995 | documentaire | Prix Louis Marcorelles 1995.
Sinon, oui 1997 | fiction | Sélection Quinzaine des Réalisateurs.
Ça c’est vraiment toi, 1999 | fiction et documentaire Téléfilm | Grand Prix Fiction et Grand Prix Documentaire au Festival De Belfort.
800 km de différence / Romance 2001 | documentaire.
Mimi 2002 | documentaire.
Est-ce qu’on a gagné ou est-ce qu’on a encore perdu 2004 | Court métrage.
Ça brûle 2006 | Fiction | Sélection Quinzaine des Réalisateurs.
Les bureaux de Dieu (coproduction franco belge) 2008 | Sélection Quinzaine des Réalisateurs.
Le projet Gare du Nord 2009/13 | comprenant : un long métrage documentaire Géographie Humaine, un long métrage de fiction Gare du Nord remix et une pièce de théâtre Gare du Nord / les voix et un objet web garedunord.net Mot(s) clés libre(s) : art cinématographique, analyse cinématographique
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10. Evaluation environnementale de la production d'énergie à partir de biomasse
/ Université Perpignan Via Domitia, UVED
/ 09-06-2015
/ Canal-u.fr
ESNOUF Antoine
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Dans cette vidéo, Antoine Esnouf présente la méthode d'analyse du cycle de vie, qui permet d'évaluer les impacts potentiels d'un système sur l'environnement, et applique cela aux systèmes de production d'énergie par voie biologique. Mot(s) clés libre(s) : énergie, environnement, biomasse, risques, analyse de cycle de vie
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2/2 Master class de Claire Simon, réalisatrice.
/ Philippe KERGRAISSE, Direction de l'Audiovisuel de l'EHESS (Dir. Jean-Claude Penrad)
/ 10-11-2012
/ Canal-u.fr
SIMON Claire, PIAULT Marc Henri
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Rencontre avec la réalisatrice Claire Simon, animée par Marc Henri Piault, directeur de recherche honoraire au CNRS, anthropologue et cinéaste.
« Pour moi faire un film, c’est avant tout peindre, montrer dans ce que je vois, ce qui crie, ce que je ne veux pas voir, ce que je ne sais pas deviner et qui finalement se révèle peu à peu dès que le tournage commence » (Claire Simon)
Claire Simon a appris le cinéma par le biais du montage ainsi qu’en tournant parallèlement des courts-métrage de manière indépendante. Parmi ses films les plus remarqués on trouve La police en 1988 ou Scènes de ménage avec Miou Miou, en 1991. Elle découvre le cinéma direct aux Ateliers Varan et réalise plusieurs documentaires : Les Patients (1989), Coûte que coûte (1996), Récréations (1998), films souvent primés.
En 1997, elle présente à la Quinzaine des réalisateurs de Cannes son premier long métrage de fiction, Sinon oui, histoire d’une femme qui prétend être enceinte et vole un enfant. Pour Arte et dans l’espace du Parlement Européen, elle réalise un film avec des étudiants, Ça c’est vraiment toi (2000). Mi fiction, mi documentaire, ce film recevra les grands prix du documentaire et de la fiction au festival de Belfort. Elle tente alors une expérience théâtrale puis retrouve le documentaire avec 800 km de différence – Romance (2002) et Mimi (2003) : ce dernier a été présenté au Festival de Berlin en 2003. Son deuxième long métrage de fiction, Ça brûle (2006), est présenté à la Quinzaine des réalisateurs en 2006.
En 2008 elle réalise un film de fiction, Les Bureaux de Dieu, avec des acteurs et des actrices connus, Anne Alvaro, Nathalie Baye, Michel Boujenah, Rachida Brackni, Isabelle Carré, Béatrice Dalle et Nicole Garcia personnalisant les spécialistes et les consultants d’un bureau de planning familial dont l’expérience réelle avait été auparavant étudiée.
Ce sont de « vraies » conversations, entre les conseillères, actrices connues et les visiteuses interprétées par des actrices non professionnelles inconnues des spectateurs afin d’échapper à un voyeurisme éventuel. Sans doute est-ce également une façon de donner aux expériences individuelles évoquées une dimension plus large.
Les entretiens sont filmés en plans-séquences, intensifiant la relation entre « conseillères » et « consultantes » mais également l’attention du spectateur entraîné dans une narration ponctuée par les moments de respiration offerts aux conseillères entre les différentes consultations.
En 2012, Claire Simon, poursuivant son entreprise concrète de saisie de la réalité par et dans le cinéma de fiction, se plonge longuement dans l’espace de la gare du Nord à Paris. Des dialogues, des fragments de vie, des rencontres. Six mois à observer, noter, enregistrer des passages, des rencontres. Sept semaines de tournage sur place. Claire Simon déclare : « Heure par heure, la gare du Nord peut donner une image de la France dans sa totalité. C’est une vraie place publique » (Télérama).
Le film Gare du Nord (2012), en cours d’achèvement, avec les acteurs Nicole Garcia, François Damien et Reda Kateb ainsi que Richard Copans comme chef opérateur : « La gare, dit Claire Simon, c’est Internet en dur. La multiplicité des flux et des réseaux se matérialise sous nos yeux, et il suffit de cliquer quelque part pour voir naître une histoire. » (Télérama).
Elle dit également : « Ce qui m’intéresse n’est pas la maîtrise, mais plutôt l’idée d’être au front, là où tout est incertain, où le monde est mouvant » (Télérama).
Il nous reste désormais à partager cette mouvance, à entendre ces interrogations et ces inquiétudes, à réfléchir ces observations et peut-être à les interroger à notre tour en questionnant sans cesse nos propres certitudes, nos propres attentes.
MARC H. PIAULT ; Septembre 2012
♦ Filmographie ♦
Tandis que j’agonise 1980 | court métrage.
La police 1988 | court métrage.
Les patients 1989 | documentaire.
Scènes de ménage 1991 | 10 courts métrages de fiction.
Récréations 1992 | documentaire.
Artiste peinture 1992 | documentaire.
Histoire de Marie 1993 | court métrage.
Comment acheter une arme 1993 | court métrage.
Scènes de ménage 1991 | fiction de 10 courts métrages.
Coûte que Coûte 1995 | documentaire | Prix Louis Marcorelles 1995.
Sinon, oui 1997 | fiction | Sélection Quinzaine des Réalisateurs.
Ça c’est vraiment toi, 1999 | fiction et documentaire Téléfilm | Grand Prix Fiction et Grand Prix Documentaire au Festival De Belfort.
800 km de différence / Romance 2001 | documentaire.
Mimi 2002 | documentaire.
Est-ce qu’on a gagné ou est-ce qu’on a encore perdu 2004 | Court métrage.
Ça brûle 2006 | Fiction | Sélection Quinzaine des Réalisateurs.
Les bureaux de Dieu (coproduction franco belge) 2008 | Sélection Quinzaine des Réalisateurs.
Le projet Gare du Nord 2009/13 | comprenant : un long métrage documentaire Géographie Humaine, un long métrage de fiction Gare du Nord remix et une pièce de théâtre Gare du Nord / les voix et un objet web garedunord.net Mot(s) clés libre(s) : films documentaires, analyse cinématographique
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/ Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 09-01-2009
/ Canal-U - OAI Archive
WHITWORTH Charles
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Mot(s) clés libre(s) : allégorie (littérature), Everyman (analyse littéraire), littérature anglaise (histoire et critique), moralités anglaises, Pieter van Diest (Elckerlijc), théâtre anglais (Moyen Age)
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3. L'analyse systémique
/ Université Paris I Panthéon-Sorbonne, UVED
/ 18-05-2015
/ Canal-u.fr
DIEMER Arnaud
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Dans cette vidéo, Arnaud Diemer présente l'approche systémique, méthode de résolution des problèmes complexes. Après un historique du développement de cette approche, il en examine la structure et le fonctionnement. Mot(s) clés libre(s) : complexité, analyse systémique
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/ Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 09-01-2009
/ Canal-U - OAI Archive
LAWTON Lesley
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Mot(s) clés libre(s) : Everyman (analyse littéraire), littérature anglaise (histoire et critique), mort (au théâtre), Pieter van Diest (Elckerlijc), théâtre anglais (Moyen Age)
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/ Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 09-01-2009
/ Canal-U - OAI Archive
HARDING Wendy
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Mot(s) clés libre(s) : Everyman (analyse littéraire), moralités anglaises, Pieter van Diest (Elckerlijc), sacrements (au théâtre), théâtre anglais (Moyen Age)
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