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Penser l’archive audiovisuelle pour la recherche en danse
/ Estelle COLL
/ Canal-u.fr
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Etude de cas: le
Fonds d’Archives Numériques Audiovisuelles Bagouet-Carnets Bagouet de
FANA Danse Contemporaine
L’usage diversifié de la vidéo dans les pratiques chorégraphiques artistiques depuis les années 1960,
relayé depuis une dizaine d’années par les possibilités de diffusion numérique change et devrait
changer encore profondément les méthodologies et les constitutions d’objets d’étude et des sources
pour la recherche en danse. Face à cette prolifération des documents audiovisuels, nous voudrions
réfléchir cette mutation pour la recherche en danse, poser globalement la question du document
audiovisuel mais aussi de ses cadres d’archivage numérique comme « sources » pour l’histoire et
l’esthétique de l’art chorégraphique.
Aurore Després est Maître de conférences en Esthétique de la Danse à l’Université de Franche-
Comté, équipe de recherche CIMArtS (Création, Intermodalité, Mémoire dans les Arts du Spectacle)
au sein d’ELLIADD - EA 4661, responsable du Diplôme Universitaire Art, danse et performance créé
en 2011 et de F.A.N.A Danse Contemporaine au sein de FANUM de l’Université de Franche-Comté-
MSHE Ledoux.
COLLOQUE INTERNATIONAL
La recherche en danse entre France et Italie : approches, méthodes et objets
Nice, 2-4 avril 2014 Torino, 5-6 aprile 2014 Mot(s) clés libre(s) : danse, méthodologie, audiovisuel, archives, activités d'enseignement et de recherche, Recherche
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Entretien avec Max Egly
/ Loïc QUENTIN, Marcel LECAUDEY, Maison des Sciences de l'Homme Paris Nord, CERIMES
/ 27-03-2007
/ Canal-U - OAI Archive
WALLET Jacques, THIBAULT Françoise
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Après des études de philosophie à l’ENS Saint Cloud (1), il intègre le centre audiovisuel et est nommé chargé des études et des recherches (2), (3), (4), (5) puis il intègre la Radio-télévision scolaire où il travaillera en particulier avec Henri Dieuzède. Il accède ensuite à des responsabilités (6), mais n’apprécie pas la charge administrative. Son rôle dans l’expérimentation de tv Niger à partir de 1964 (7), où la télévision scolaire est à l’origine d’un développement original de la scolarisation, l’amènera à participer à de nombreux dispositifs de coopération éducative, comme à Bouaké en Côte d’Ivoire, (8), même si ensuite selon ses termes «l’audiovisuel ne fut plus à la mode » (9).>> à voir aussi:Le Zéro Mot(s) clés libre(s) : audiovisuel, nouvelles technologies de l'information et de la communication, TICE
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Entretien avec Geneviève Jacquinot
/ Marcel LECAUDEY, Loïc QUENTIN, Maison des Sciences de l'Homme Paris Nord, CERIMES
/ 04-10-2006
/ Canal-U - OAI Archive
WALLET Jacques, THIBAULT Françoise
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Après un CAPES de lettres modernes et un diplôme de cinéma, Geneviève Jacquinot opte pour l'audiovisuel lors de missions en Afrique et à la radio-télévision scolaire. Elle enseigne ensuite au collège expérimental de Marly le Roy dès 1966 puis participe à la création de Paris 8 (Vincennes). Elle poursuit alors une carrière universitaire dans cette université (1).A partir de ces diverses expériences et de ses recherches, Geneviève Jacquinot a théorisé dans tous les domaines touchant à l’audiovisuel.Image et pédagogie (2)Les limites des expérimentations avec l’audiovisuel dans un système éducatif (3)Le rapport entre innovation et audiovisuel (4)Le statut de l’audiovisuel dans le contexte universitaire de Paris 8 (5)Après plusieurs expériences internationales (6), elle participe à l’expérimentation de la télévision scolaire en Côte d’Ivoire dont elle analyse les points et les limites durant près de 10 ans (7), puis enseigne à l’université d’Abidjan.De retour à Paris 8, elle participe aux avancées dans le domaine des technologies éducatives (8) et participe à l’élaboration de théories multiréférencées (9). Mot(s) clés libre(s) : audiovisuel, nouvelles technologies de l'information et de la communication, TICE
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Entretien avec Max Egly
/ Loïc QUENTIN, Marcel LECAUDEY, Maison des Sciences de l'Homme Paris Nord, CERIMES
/ 27-03-2007
/ Canal-u.fr
WALLET Jacques, THIBAULT Françoise
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Après des études de philosophie à l’ENS Saint Cloud (1), il intègre le centre audiovisuel et est nommé chargé des études et des recherches (2), (3), (4), (5) puis il intègre la Radio-télévision scolaire où il travaillera en particulier avec Henri Dieuzède. Il accède ensuite à des responsabilités (6), mais n’apprécie pas la charge administrative. Son rôle dans l’expérimentation de tv Niger à partir de 1964 (7), où la télévision scolaire est à l’origine d’un développement original de la scolarisation, l’amènera à participer à de nombreux dispositifs de coopération éducative, comme à Bouaké en Côte d’Ivoire, (8), même si ensuite selon ses termes «l’audiovisuel ne fut plus à la mode » (9).>> à voir aussi:Le Zéro Mot(s) clés libre(s) : nouvelles technologies de l'information et de la communication, audiovisuel, TICE
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Entretien avec Jean Valérien
/ Jean-Pierre Pivin, Ruben Ibanez, Pascal Roche, INRP/TECNE, IUFM Academie de Versailles
/ 01-01-1997
/ Canal-U - OAI Archive
WALLET Jacques
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Né en 1931, Jean VALÉRIEN entre en 1953 à l'École Normale Supérieure de Saint-Cloud, agrégé de sciences naturelles en 1957, puis lycée de Meaux, et service militaire au Service Cinématographique des Armées. Il est assistant, puis maître-assistant au Centre audiovisuel de l'E. N. S. de 1960 à 1968. Son objectif est d'intégrer les moyens audiovisuels dans l'enseignement particulièrement dans sa disciplinaire d'origine les sciences naturelles. Il réalise à partir de 1963, 60 films en 16 et 35 mm comme : « le fonctionnement cardiaque », « la structure de la cellule », ou, « du Pelvoux au Viso », puis à partir de 1965, en 8 mm.De 1965 à 1967, il réalise des émissions de télévision scolaire et participe à la réflexion sur les établissements expérimentaux comme l'École Alsacienne et surtout le CES de Marly-le-Roi, aménagé avec un circuit fermé de télévision.En 1968 à 1970, Jean VALÉRIEN est Inspecteur d'Académie à Moulins, soucieux avant la mode, de communiquer, il obtient de la presse locale la publication régulière d'une page sur l'école.De 1969 à 1973, il dirige la Radio Télévision scolaire (RTS, RTS Promotion) à l'Institut Pédagogique National puis à l'Office Français des Techniques Modernes d'Éducation (OFRATEME). La télévision scolaire est alors à son apogée. Durant cette période, la première opération multi-médias (en deux mots à l'époque) est initiée : « la France face à son Avenir »Dans ses fonctions, Jean VALÉRIEN est confronté à des expériences étrangères. Conseil de l'Europe et surtout TV Niger, TV Maroc et TV Côte d'Ivoire avec le complexe audio-visuel de Bouaké.De 1973 à 1980, il quitte le monde de l'École pour celui de la formation des adultes. Il est directeur d'une filiale de la Caisse des Dépôts et Consignations : le Centre d'Études et de Réalisations pour l'Éducation Permanente (CEREP). Il informatise son entreprise.Il rejoint l'administration centrale du ministère de l'Éducation de 1980 à 1983, élaborant des plans audiovisuels et informatiques. Ces réflexions précèdent ce qui deviendra un peu plus tard : le plan Informatique Pour Tous.De 1983 à 1985, chargé de mission auprès du Recteur de l'Académie de Rennes, il impulse des expérimentations de télédistribution et des créations de centre ressource en technologie. De retour à Paris en 1985, il est chargé de mission au Secrétariat d'État à la Communication pour préparer une chaîne éducative de télévision. De 1985 à 1989, Inspecteur de l'Académie de Paris, son secteur de responsabilité englobe l'AIS et les sections internationales.Ayant pris sa retraite, Jean VALÉRIEN est consultant pour le Ministère des Affaires Étrangères, le secrétariat d'État à la Coopération ou pour des organismes internationaux. Il joue un rôle actuellement dans l'appui à la constitution d'associations de parents d'élèves africains, dans l'élaboration de manuels et dans l'utilisation des autoroutes de l'information pour l'enseignement à distance. Mot(s) clés libre(s) : audiovisuel, nouvelles technologies de l'information et de la communication, TICE
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Entretien avec Geneviève Jacquinot
/ Marcel LECAUDEY, Loïc QUENTIN, Maison des Sciences de l'Homme Paris Nord, CERIMES
/ 04-10-2006
/ Canal-u.fr
WALLET Jacques, THIBAULT Françoise
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Après un CAPES de lettres modernes et un diplôme de cinéma, Geneviève Jacquinot opte pour l'audiovisuel lors de missions en Afrique et à la radio-télévision scolaire. Elle enseigne ensuite au collège expérimental de Marly le Roy dès 1966 puis participe à la création de Paris 8 (Vincennes). Elle poursuit alors une carrière universitaire dans cette université (1).A partir de ces diverses expériences et de ses recherches, Geneviève Jacquinot a théorisé dans tous les domaines touchant à l’audiovisuel.Image et pédagogie (2)Les limites des expérimentations avec l’audiovisuel dans un système éducatif (3)Le rapport entre innovation et audiovisuel (4)Le statut de l’audiovisuel dans le contexte universitaire de Paris 8 (5)Après plusieurs expériences internationales (6), elle participe à l’expérimentation de la télévision scolaire en Côte d’Ivoire dont elle analyse les points et les limites durant près de 10 ans (7), puis enseigne à l’université d’Abidjan.De retour à Paris 8, elle participe aux avancées dans le domaine des technologies éducatives (8) et participe à l’élaboration de théories multiréférencées (9). Mot(s) clés libre(s) : nouvelles technologies de l'information et de la communication, audiovisuel, TICE
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La vidéo, un art de l'espace et du temps
/ UTLS - la suite
/ 19-07-2004
/ Canal-U - OAI Archive
VAN ASSCHE Christine
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Nous assistons ces dernières années à l'expansion, dans et hors du champ des musées, du phénomène vidéo. Depuis que la vidéo est enseignée dans les écoles d'art et les facultés d'art plastiques, au même titre que la peinture, le dessin, la sculpture et la photographie, et parallèlement à la diffusion de celle-ci par l'intermédiaire du DVD, elle trouve sa place dans les salles de nos grands musées et dans des collections privées, mais rarement à la télévision. La création vidéo peut prendre la forme de l'installation occupant un espace bien spécifique ou de la cassette et du DVD se diffusant en projection ou sur un moniteur, rejoignant ainsi les modalités de diffusion du cinéma. La conférence retracera l'histoire de ce médium depuis les laboratoires expérimentaux des studios officiels de télévisions jusqu'aux écrans plats sur les murs des collectionneurs privés. Les grandes étapes de cette histoire nous conduiront des expérimentations, des performances filmées, des mouvements de contre information issus de 1968, des recherches d'un vocabulaire spécifique, de l'évolution de la bande vidéo vers l'installation et les tendances actuelles (performance, narration, documentaire). Nous nous intéresserons tant à l'évolution du médium lui-même et aux grands mouvements esthétiques qu'au développement des genres et aux modalités de diffusion. Nous aborderons rapidement quelques questions pragmatiques liées au support telles que l'évolution des machines et des supports de conservation, ou des conditions de diffusion dans des espaces publics. Cette présentation sera illustrée d'exemples issus des collections du Centre Pompidou. Seront présentées des extraits d'oeuvres des artistes Nam June Paik, Jean Luc Godard, Gary Hill, Mathieu Laurette, Bill Viola
) Et finalement des renseignements seront donnés sur les lieux de visionnage, de présentation et d'acquisition de ces oeuvres. Une courte bibliographie accompagnera cette conférence. Mot(s) clés libre(s) : art vidéo, art vidéo et espaces publics, audiovisuel, audiovisuel et art, espace et temps, innovations, installations vidéo, vidéo (applications dans les musées), vidéo et espace
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Dakar 2010 – UN3S : Le e-Learning à la Faculté de Médecine de Dakar
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport
/ 29-04-2010
/ Canal-U - OAI Archive
TOURE Cheik Tidiane, TOURE Meissa, NDIAYE NIANG Mbayang, DIALLO Baay Karim
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Thème : Les plateformes numériques au service des projets universitaires au Sénégal Session : Les plateformes numériques au service des projets universitaires au Sénégal. Titre : Dakar 2010 – UN3S : Le e-Learning à la Faculté de Médecine de Dakar: Apport du Service de Pédagogie, Audiovisuel et Multimédia (SE.P.A.M.)Intervenants : Pr. Meïssa TOURE; Pr. Mbayang NDIAYE NIANG, Pr. Ag. Baay Karim DIALLO : Faculté de Médecine, Pharmacie et Odontostomatologie, Université C.A. Diop de Dakar (Sénégal)Résumé : SE.P.A.M : Service de Pédagogie, Audiovisuel et Multimédia. ACTIVITES : * Mission administrative* Tutelle de la bibliothèque facultaire* Salle multimédia polyvalente* Médiathèque* Approvisionnement documentaire* Gestion du matériel audiovisuel et multimédia* Gestion de la Salle de microscopie* Maintenance du parc informatique* Formation pédagogique des enseignants* Planification d’un apprentissage et méthodes d’enseignement* Objectifs éducationnels* Evaluation et Docimologie* Préparation au concours d’agrégation* Formation à la communication scientifique* Rédaction médicale* Communication orale* Formation à l’audiovisuel et au e - learning* Confection et utilisation de supports AV* Utilisation d’un logiciel de présentation: PP* Utilisation d’un Logiciel de production et de mise en ligne de contenus: Médiamatic-CIDMEF* Appui et formation à la production de contenus* Navigation WEB* Téléenseignement* Téléconsultation, Télé expertise : RAFTSCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : Audiovisuel, Dakar 2010, e-learning, FSP, Multimédia, Pédagogie, SEPAM, téléenseignement
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Cafés des Sciences Nancy 2010 - Peut-on échapper à la publicité?
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport
/ 12-01-2010
/ Canal-U - OAI Archive
SALTIEL François, BOULANGER Hélène, MARIE Romain
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Organisés par les universités de Lorraine en collaboration avec l’INSERM, le CNRS, l’INRIA et l’INRAElle fait rire, elle fait réagir, elle choque, elle fait consommer, elle fait prendre conscience, elle informe, la publicité remplit bien des fonctions, jusqu'à envahir notre quotidien. Entre bonne publicité et mauvaise publicité, le débat reste entier. Certains n’ont pourtant pas attendu pour réagir à cette omniprésence publicitaire qui entache parfois notre libre arbitre. Détournement et mouvement anti-pub redoublent de créativité pour surpasser leurs modèles. Un monde sans publicité est-il utopique ? Pour aller plus loin, vous pouvez consulter la bibliographie sur http://www.uhp-nancy.fr/cst/les_cafes_des_sciences/archives(Source : http://www.uhp-nancy.fr/cst)Intervenants : BOULANGER Hélène, MARIE Romain, SALTIEL François, SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : Cafés des Sciences Nancy Université, communication, Conseil Supérieur de l'Audiovisuel, CSA, Culture Pub, loi Evin, médias, publicité subliminale, télévision
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Témoignage de Robert Lefranc
/ Marcel LECAUDEY, Loïc QUENTIN, Roger FRENOY, Romain LAPORTE, Sophie PENE, Thomas ZORITCHAK, Maison des Sciences de l'Homme Paris Nord, CERIMES, Université Paris Descartes
/ 13-11-2007
/ Canal-U - OAI Archive
RUBENACH Jacques, THIBAULT Françoise
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© CERIMES-MSH-FMSH-Université PARIS V>> à voir aussi:Le cinéma à l'école Mot(s) clés libre(s) : audiovisuel, nouvelles technologies de l'information et de la communication, TICE
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