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Tri :   Date Editeur Auteur Titre

Structures de financement, exigences des actionnaires et nouveaux modes de gouvernement des entreprises françaises

/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France / 25-05-2000 / Canal-u.fr
COHEN Elie
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Les changements intervenus dans le système financier se traduisent par une transformation de la structure de financement des entreprises et par une modification profonde des comportements d'épargne des ménages et des autres acteurs. Ces changements conduisent à l'expression beaucoup plus ouverte des exigences de rendement requis par les actionnaires. Ils entraînent également la mise en place de nouveaux modes de gouvernement. La véritable "révolution financière " qui s'est diffusée dans la plupart des pays développés a bouleversé la structure de la demande et la structure de l'offre de capitaux en France, au cours des deux dernières décennies. S'agissant de la demande de capitaux, les changements observés affectent la structure de financement des entreprises françaises. Ils se traduisent par le recours accru à l'émission de titres sur le marché des capitaux. On assiste ainsi à l'affirmation croissante du rôle du marché financier au détriment des circuits d'intermédiation financière dominés par les crédits bancaires. S'agissant de l'offre de fonds, le changement affecte les instruments utilisés par les épargnants pour allouer leurs excédents ainsi que les circuits de collecte et d'allocation de l'épargne. Outre un engouement nouveau pour les placements en titres, les épargnants manifestent un intérêt pour des formes multiples de gestion collective qui mobilisent la compétence de gérants professionnels et leur permettent de prétendre à des performances accrues aussi bien en termes de rendement de leurs actifs qu'en termes de contrôle des risques qui leur sont associés. La concurrence qui s'établit entre les émissions de titres domestiques ou internationaux mais aussi entre l'investissement en titres et les autres formes de gestion patrimoniale débouche sur des comportements plus vigilants de la part des épargnants. On assiste notamment à l'affirmation d'exigences de rendement élevées de la part des détenteurs d'actions. Le lien entre l'évolution des comportements d'épargne et celle des modes de financement explique ainsi l'apparition de nouvelles formes de contrôle exercées sur les dirigeants d'entreprises et l'affirmation de nouveaux modes et de nouvelles normes de gouvernance des entreprises.
Mot(s) clés libre(s) : finance, bourse, privatisation, économie de marché, inflation, actionnaire, épargne, fusion entreprise
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Structures de financement, exigences des actionnaires et nouveaux modes de gouvernement

/ Mission 2000 en France / 25-05-2000 / Canal-U - OAI Archive
COHEN Elie
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"Les changements intervenus dans le système financier se traduisent par une transformation de la structure de financement des entreprises et par une modification profonde des comportements d'épargne des ménages et des autres acteurs. Ces changements conduisent à l'expression beaucoup plus ouverte des exigences de rendement requis par les actionnaires. Ils entraînent également la mise en place de nouveaux modes de gouvernement. La véritable ""révolution financière "" qui s'est diffusée dans la plupart des pays développés a bouleversé la structure de la demande et la structure de l'offre de capitaux en France, au cours des deux dernières décennies. S'agissant de la demande de capitaux, les changements observés affectent la structure de financement des entreprises françaises. Ils se traduisent par le recours accru à l'émission de titres sur le marché des capitaux. On assiste ainsi à l'affirmation croissante du rôle du marché financier au détriment des circuits d'intermédiation financière dominés par les crédits bancaires. S'agissant de l'offre de fonds, le changement affecte les instruments utilisés par les épargnants pour allouer leurs excédents ainsi que les circuits de collecte et d'allocation de l'épargne. Outre un engouement nouveau pour les placements en titres, les épargnants manifestent un intérêt pour des formes multiples de gestion collective qui mobilisent la compétence de gérants professionnels et leur permettent de prétendre à des performances accrues aussi bien en termes de rendement de leurs actifs qu'en termes de contrôle des risques qui leur sont associés. La concurrence qui s'établit entre les émissions de titres domestiques ou internationaux mais aussi entre l'investissement en titres et les autres formes de gestion patrimoniale débouche sur des comportements plus vigilants de la part des épargnants. On assiste notamment à l'affirmation d'exigences de rendement élevées de la part des détenteurs d'actions. Le lien entre l'évolution des comportements d'épargne et celle des modes de financement explique ainsi l'apparition de nouvelles formes de contrôle exercées sur les dirigeants d'entreprises et l'affirmation de nouveaux modes et de nouvelles normes de gouvernance des entreprises. "
Mot(s) clés libre(s) : actionnaire, bourse, économie de marché, épargne, finance, fusion entreprise, inflation, privatisation
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Paris Centre financier

/ UTLS - la suite / 30-10-2003 / Canal-U - OAI Archive
AUGUSTIN-NORMAND Gerard
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Mot(s) clés libre(s) : bourse, finance, gestion, Paris
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Paris Centre financier

/ UTLS - la suite / 30-10-2003 / Canal-u.fr
AUGUSTIN-NORMAND Gerard
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Mot(s) clés libre(s) : gestion, finance, bourse, Paris
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Mondialisation financière

/ UTLS - la suite / 21-07-2003 / Canal-U - OAI Archive
REY Hélène
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La mondialisation financière, définie comme la baisse des coûts sur les transactions internationales d'actifs financiers, ou comme l'accroissement des flux financiers entre pays, est un phénomène ancien. Le monde de la fin du 19e siècle était, à bien des égards, aussi intégré financièrement que le monde des années 1960-1970. Une étude approfondie des marchés internationaux d'actifs révèle d'ailleurs que, contrairement aux idées reçues, l'intégration financière mondiale semble toujours limitée en ce début de 20e siècle. Pourtant, cette mondialisation financière, même (ou peut être parce qu') inachevée, semble poser de nombreux problèmes. Quelles sortes de contraintes fait-elle peser sur les politiques économiques des pays ? Est-elle réellement la source de fortes instabilités qui conduisent inéluctablement à des fuites massives de capitaux et des crises spéculatives ? Doit-on l'encourager ou au contraire chercher à la restreindre en imposant des taxes ou des contrôles sur les flux de capitaux ? Cette conférence tentera d'apporter des éléments de réflexion pour éclairer ces questions importantes de finance internationale.
Mot(s) clés libre(s) : bourse, économie, mondialisation, transaction
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Mondialisation financière

/ UTLS - la suite / 21-07-2003 / Canal-u.fr
REY Hélène
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La mondialisation financière, définie comme la baisse des coûts sur les transactions internationales d'actifs financiers, ou comme l'accroissement des flux financiers entre pays, est un phénomène ancien. Le monde de la fin du 19e siècle était, à bien des égards, aussi intégré financièrement que le monde des années 1960-1970. Une étude approfondie des marchés internationaux d'actifs révèle d'ailleurs que, contrairement aux idées reçues, l'intégration financière mondiale semble toujours limitée en ce début de 20e siècle. Pourtant, cette mondialisation financière, même (ou peut être parce qu') inachevée, semble poser de nombreux problèmes. Quelles sortes de contraintes fait-elle peser sur les politiques économiques des pays ? Est-elle réellement la source de fortes instabilités qui conduisent inéluctablement à des fuites massives de capitaux et des crises spéculatives ? Doit-on l'encourager ou au contraire chercher à la restreindre en imposant des taxes ou des contrôles sur les flux de capitaux ? Cette conférence tentera d'apporter des éléments de réflexion pour éclairer ces questions importantes de finance internationale.
Mot(s) clés libre(s) : économie, mondialisation, bourse, transaction
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Les nouveaux visages du commerce et les nouveaux moyens de paiements

/ Mission 2000 en France / 27-05-2000 / Canal-U - OAI Archive
LEMOINE Philippe
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"Dans les milieux financiers qui s'intéressent à Internet, il existe une notion à laquelle on se réfère pour apprécier la valeur d'une entreprise : "" le cash burning "". Il s'agit de la vitesse avec laquelle une entreprise va utiliser les liquidités qu'elle a levées. Le fait même qu'on puisse utiliser sans distance une telle notion témoigne d'un sentiment d'accélération, de rapidité, un peu d'insignifiance. On dit souvent qu'une année Internet dure trois mois du temps classique. Tout défile à un tel rythme qu'on peut se demander s'il n'existe pas aussi un "" concept burning "", une vitesse avec laquelle la société brûlerait les concepts qu'elle a mis en avant. L'expression "" nouvelle économie "" est menacée de ses flammes. Elle est aujourd'hui sous les feux de l'actualité mais tout se consume à grande vitesse : une journée la nouvelle économie va bien, le lendemain elle descend aux Enfers. Va-t-elle s'affirmer ou va-t-elle disparaître ? "
Mot(s) clés libre(s) : bourse, commerce électronique, échange monétaire, entreprise, internet, paiement
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Les nouveaux visages du commerce et les nouveaux moyens de paiements

/ Mission 2000 en France / 27-05-2000 / Canal-u.fr
LEMOINE Philippe
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"Dans les milieux financiers qui s'intéressent à Internet, il existe une notion à laquelle on se réfère pour apprécier la valeur d'une entreprise : "" le cash burning "". Il s'agit de la vitesse avec laquelle une entreprise va utiliser les liquidités qu'elle a levées. Le fait même qu'on puisse utiliser sans distance une telle notion témoigne d'un sentiment d'accélération, de rapidité, un peu d'insignifiance. On dit souvent qu'une année Internet dure trois mois du temps classique. Tout défile à un tel rythme qu'on peut se demander s'il n'existe pas aussi un "" concept burning "", une vitesse avec laquelle la société brûlerait les concepts qu'elle a mis en avant. L'expression "" nouvelle économie "" est menacée de ses flammes. Elle est aujourd'hui sous les feux de l'actualité mais tout se consume à grande vitesse : une journée la nouvelle économie va bien, le lendemain elle descend aux Enfers. Va-t-elle s'affirmer ou va-t-elle disparaître ? "
Mot(s) clés libre(s) : Internet, entreprise, bourse, commerce électronique, échange monétaire, paiement
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Le pouvoir financier

/ Mission 2000 en France / 09-12-2000 / Canal-U - OAI Archive
ORLEAN André
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Spéculations boursières, OPA, instabilités monétaires, fonds de pension, globalisation des marchés, inflation des prix d'actifs : le pouvoir financier éclate au grand jour. C'est là un constat banal. Pour aller plus loin et comprendre ce que sont les ressorts véritables de ce nouveau pouvoir, il faut au préalable analyser la manière dont se forment les prix sur les marchés financiers. Sur ce point, les hypothèses divergent. Pour la théorie économique " orthodoxe ", les cours des actions sont le reflet de la situation objective des firmes. Une analyse des évolutions boursières depuis un siècle nous conduira à une autre hypothèse : les prix sont l'expression des croyances des marchés. Cette théorie qui met l'accent sur le rôle de l'opinion voit dans le pouvoir financier contemporain un pouvoir d'essence " médiatique ". Les acteurs de ce nouveau pouvoir, ce sont les investisseurs institutionnels, ceux qui gèrent l'épargne collective des ménages, au premier rang desquels on trouve les fameux fonds de pension. Ils expriment les intérêts d'un grand nombre d'actionnaires minoritaires. En conclusion, on dira quelques mots du paradoxe d'un pouvoir qui serait aux mains des actionnaires minoritaires.
Mot(s) clés libre(s) : bourse, capital, finances, investissement, spéculation
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Le pouvoir financier

/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France / 09-12-2000 / Canal-u.fr
ORLEAN André
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Spéculations boursières, OPA, instabilités monétaires, fonds de pension, globalisation des marchés, inflation des prix d'actifs : le pouvoir financier éclate au grand jour. C'est là un constat banal. Pour aller plus loin et comprendre ce que sont les ressorts véritables de ce nouveau pouvoir, il faut au préalable analyser la manière dont se forment les prix sur les marchés financiers. Sur ce point, les hypothèses divergent. Pour la théorie économique " orthodoxe ", les cours des actions sont le reflet de la situation objective des firmes. Une analyse des évolutions boursières depuis un siècle nous conduira à une autre hypothèse : les prix sont l'expression des croyances des marchés. Cette théorie qui met l'accent sur le rôle de l'opinion voit dans le pouvoir financier contemporain un pouvoir d'essence " médiatique ". Les acteurs de ce nouveau pouvoir, ce sont les investisseurs institutionnels, ceux qui gèrent l'épargne collective des ménages, au premier rang desquels on trouve les fameux fonds de pension. Ils expriment les intérêts d'un grand nombre d'actionnaires minoritaires. En conclusion, on dira quelques mots du paradoxe d'un pouvoir qui serait aux mains des actionnaires minoritaires.
Mot(s) clés libre(s) : spéculation, investissement, bourse, capital, finances
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