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Amiens 2007 - Santé privée et santé publique : rôle est responsabilité du système de santé
/ CERIMES, Canal U/Tice Médecine Santé
/ 07-09-2007
/ Canal-U - OAI Archive
GANRY Olivier
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la santé est un droit fondamental. dans le préambule de la constitution de 1958, il est indiqué que la nation doit garantir la protection, la santé, le repos et les loisirs à tous. La notion de santé fut surtout construite sur la notion de soins. La prévention est le parent pauvre en France. La responsabilité d'un système de santé doit concilier équité, efficacité. Chacun a son capital santé. Le comportement individuel a forcément un impact sur la société. Dans l'avenir chacun sera t'il aussi libre d'agir par rapport à sa santé. La notion de responsabilité individuelle est posée. Mot(s) clés libre(s) : Amiens 2007, capital santé, prévention, rôle et responsabilité, santé individuelle, Santé publique, système de santé
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What does an approach of this major issue by history bring to us?
/ 25-11-2013
/ Canal-u.fr
FRIDENSON Patrick, KODAMA Kazuo, KIKKAWA Takeo, JONES Geoffrey, HUNTER Janet
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INTERNATIONAL SYMPOSIUM : PIONEERING ETHICAL CAPITALISM
MONDAY, NOVEMBER 25TH, 2013
There is more than one way to do capitalism. In Japan, in the second half of the 19th century, a major business leader, Shibusawa Eiichi, expressed the view that business enterprise could and should simultaneously accomplish profits and enhance public welfare. The solutions he suggested are still relevant today. This symposium aims at understanding the Asian and Western origins of ethical capitalism, mapping the evolving arguments about the responsibilities of business and the changing practices of firms, debating the relations between morality and economy for globalised economies and societies in a perspective of sustainable growth.
PROGRAM
10:00 - Morning Session > What does an approach of this major issue by history bring to us?
Moderator: Patrick Fridenson (École des hautes études en sciences sociales)
Opening speech: Kazuo Kodama, Japanese Ambassador to the OECD
Keynote speech: Takeo Kikkawa (Hitotsubashi University), Why ethical capitalism? Origins and development
Geoffrey Jones (Harvard Business School), The responsibility of capitalism: past, present, future
Janet Hunter (London School of Economics), Business and morality: can we still learn from Japan?
Discussion
14:30 - Afternoon Session > Today’s initiatives and problems
Moderator : Marcelo Bucheli (University of Illinois at Urbana-Champaign)Keynote speeches
Ken Shibusawa (Founder and Chairman, Commons Asset Management), Rongo (ethics) andSoroban (business): Sustainable Capitalism
Lionel Zinsou (Chairman and CEO, PAI partners): What does Finance mean by corporate socialresponsibility?
Round table: Can you be ethical in global business today?
Participants: Philippe Lagayette, president of the Fondation de France ; Hartmut Berghoff, director of the German Historical Institute in Washington ; business leaders ; officials and scholars.
General discussion Mot(s) clés libre(s) : éthique, mondialisation, capitalisme, développement durable
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XXXVIIIe conférence Marc Bloch. Nancy Fraser : Sur les contradictions sociales du capitalisme contemporain
/ Serge BLERALD, Direction de l'Image et de l'Audiovisuel de l'EHESS
/ 18-06-2015
/ Canal-u.fr
FRASER Nancy, HAUTCOEUR Pierre-Cyrille
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Conférence de Nancy Fraser, New School of New York
Grand amphithéâtre de la Sorbonne 14 juin 2016
Plus d'information Mot(s) clés libre(s) : sciences sociales, capitalisme
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003 - La crise de 1865-1879 en Algérie
/ ENS-LSH/SCAM
/ 20-06-2006
/ Canal-U - OAI Archive
ENS-LSH/SCAM
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par André Nouschi (Université de Nice)Colloque pour une histoire critique et citoyenne - le cas de l'histoire franco-algérienne Trente-cinq ans après la prise d’Alger, l’Algérie plonge dans une crise grave, celle des années 1865-1870 qui revêt plusieurs aspects : démographique, économique et social. Cette crise à multiples consonances soulève de nombreuses questions, au cœur de la colonisation du pays. Elle éclate à l’apogée économique de l’Empire.La crise est d’abord climatique et a touché à l’ensemble des pays méditerranéens. On la retrouve dans deux pays voisins du Maghreb, en Italie du Sud, au Levant et dans le sud des pays balkaniques. Elle correspond à une diminution importante des précipitations, entre 25 % et 50 % et s’étend sur plus de trois ans. Elle sert d’argument à Mac Mahon et à son entourage pour censurer les informations sur la gravité de la crise. Cependant, derrière cette catastrophe qui se traduit par la mort de plusieurs centaines de milliers d’hommes - 500 000, 800 000 hommes ? - se dessinent des causes profondes qui méritent réflexion.La première concerne les effets du capitalisme sur la vie des fellahs algériens qui passent en quelques décennies d’une économie traditionnelle à une économie libérale qu’ils ne maîtriseront jamais. Cela se traduit par leur vulnérabilité aux crises importées d’Europe qui apparaissent dès 1848 et les frappent de plein fouet. La monétarisation a des effets dévastateurs sur leurs ressources et les livre sans défense aux mercantis et aux usuriers.La seconde est la fin des solidarités tribales amorcée avec le Sénatus-consulte d’avril 1863 que l’on continue d’appliquer malgré la catastrophe. Le symbole le plus grave est la naissance d’un sous-prolétariat rural que décrit sans emphase le rapport de la commission Le Hon.Au total, malgré les bonnes intentions de Napoléon III, l’Algérie entre dans une nouvelle phase de son histoire marquée par un sous-développement - le mot n’existe pas encore - qui s’aggravera avec le temps.(résumé de l'auteur)Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux, Julien Lopez, Son: Xavier comméat, Encodage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : algérie (1864-1865 - insurrection des Ouled Sidi Cheikh), algérie (1871-1872 - insurrection), capitalisme, conditions économiques, crise climatique, économie de marché, histoire, monétarisation, politique économique, politique et gouvernement, sénatus-con
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La Chine peut-elle s'ouvrir au monde ?
/ UTLS - la suite
/ 16-01-2003
/ Canal-U - OAI Archive
DOMENACH Jean-Luc
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C'est d'abord la question qui pose problème car elle n'est guère posée à d'autres pays immenses qui, comme les Etats-Unis ou la Russie, sont bien moins « ouverts » qu'on le dit souvent. Cette question désigne bien le statut étrange de la Chine dans notre connaissance et plus encore dans notre conscience et aussi le statut d'étrange étranger que la Chine elle-même réserve au reste du monde et en particulier à l'Occident. Ou du moins qu'elle croit leur réserver. Car au premier abord la réponse accroît la bizarrerie de la question. Après tout, en effet, au terme de trois décennies de fermeture totalitaire, la Chine s'est ouverte économiquement et dans une certaine mesure culturellement avec une efficacité extraordinaire depuis 1979. Elle s'est ouverte jusqu'à subir dans son tréfonds les effets de l'ouverture économique. Et elle s'est ouverte jusqu'à assimiler les défauts les plus connus de notre civilisation urbaine. Dirigeants et dirigés tous d'accord, les Chinois entament avec allégresse et énergie leur entrée dans le « club » des pays industrialisés et pollués, et le temps n'est pas très loin où l'on déplorera la dépopulation des campagnes chinoises. Et pourtant, ce processus va si vite, il va parfois si superficiellement que la question demeure : cette Chine-là peut-elle vraiment s'ouvrir au monde? La Chine est immense et profonde, sa culture est d'une richesse incroyable. Elle n'est pas un pays occidental, et elle n'a pas pris autant que le Japon de Meiji les moyens de comprendre l'Occident. Alors que sa population désire surtout le niveau de vie occidental, ses élites, elles, donnent souvent limpression de ne pas avoir décidé du sens à donner à l'ouverture : celle-ci est-elle une décision de fond ou un instrument conjoncturel au service d'un projet nationaliste ? Finalement, la question de l'ouverture de ce pays met en cause la définition de la Chine, mais aussi celle de la société mondiale actuelle. Car il n'est pas si aisé de concevoir de façon autre qu'instrumentale l'ouverture à un monde qui s'organise autour des inégalités de puissance et des arrangements marchands
. Mot(s) clés libre(s) : capitalisme
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Fonds de placement
/ AUNEGE, IAE Lyon, Université Jean-Moulin Lyon 3
/ 04-01-2016
/ Canal-u.fr
DELAHAYE Arnaud
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Les fonds communs de placement
(FCP) font partie de la famille des Organismes de placements collectifs en
valeurs mobilières (OPCVM). Il s'agit d'une entité qui investit, sur des
produits de placements, le capital obtenu en émettant des titres auprès des épargnants.
Mot(s) clés libre(s) : FCP (fonds communs de placement),, OPCVM (Organisme de placements collectifs en valeurs mobilières), SICAV, capital, porteurs de parts
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La Normandie face aux défis du développement
/ 13-02-2015
/ Canal-u.fr
DE RUFFRAY Sophie, DUTHIL Gérard, BRENNETOT Arnaud
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Les rencontres La NORMANDIE en débat ont pour ambition de permettre une discussion pluraliste sur les enjeux que pose l’actuelle réforme territoriale, en particulier la création d’une seule région normande. Impulsées par un collectif de 15 géographes normands, elles sont ouvertes à tous ceux que l’avenir de la Normandie intéresse.
La Normandie a longtemps fait partie des régions françaises parmi les plus prospères. Ce temps paraît désormais révolu. Depuis les années 1970, la part de la Normandie dans la production économique nationale n’a cessé de diminuer. La réduction des emplois dans plusieurs grandes filières historiques, couplée à l’existence de problèmes structurels de formation, ont eu pour conséquence une élévation du taux de chômage supérieure à la moyenne nationale. Les décideurs locaux et régionaux sont par ailleurs confrontés au fait que beaucoup de grands choix stratégiques dépendent de donneurs d’ordre extérieurs (État, grands groupes). Face à cette situation, de nombreux leviers sont disponibles : le soutien aux filières innovantes, la modernisation des connexions avec l’extérieur, la consolidation des réseaux entrepreneuriaux, le renforcement de l’offre de services collectifs, l’accompagnement des entreprises petites et intermédiaires, la valorisation raisonnée du patrimoine naturel et culturel, l’amélioration du cadre de vie des populations. Mot(s) clés libre(s) : entreprise, réseaux entrepreneuriaux, formation, culture, région, emplois, débat, modernisation, Normandie, patrimoine, valorisation, accompagnement, capitale, chômage, territoire, développement, innovation, économie, cadre de vie
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L'évolution des inégalités
/ Mission 2000 en France
/ 04-06-2000
/ Canal-U - OAI Archive
COHEN Daniel
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"L' histoire du siècle est celle d'une formidable réduction des inégalités au sein des nations industrielles, et d'un élargissement tout aussi considérable des inégalités entre les nations elles-mêmes. Pourtant, à partir du milieu des années 1980, une autre tendance est apparue. Les nations les plus riches ont vu resurgir le spectre d'une augmentation des inégalités, tandis que les pays pauvres les plus peuplés, en Asie, se sont engagés dans un processus de croissance rapide. L'idée a été immédiatement avancée qu'une relation de cause à effet était à l'oeuvre, qu'un phénomène de vases communicants entre le monde riche et le monde pauvre reportait la pauvreté du monde pauvre sur celle du monde riche. L'encre de ces débats n'avait pas encore séché qu'un nouveau changement de direction est apparu dans la deuxième moitié des années 1990. La crise asiatique, tout d'abord, a interrompu brutalement la croissance de ces pays, et fait resurgir nombre d'appréhensions à l'égard de la "globalisation ". Aux États-Unis, par ailleurs, le "miracle" d'une croissance soutenue a fait taire les critiques contre la montée des inégalités dans ce pays, et posé, parfois, en modèle la "nouvelle économie" américaine. Il y aurait beaucoup de naïveté à extrapoler les évolutions des dernières années en une nouvelle tendance qui validerait le phénomène de vases communicants entre les pays riches et les pays pauvres. Mieux vaut reconnaître que deux processus distincts sont à l'oeuvre : le rattrapage des pays en voie de développement, et une nouvelle dynamique des inégalités au sein des pays riches. Le premier terme est-il interrompu par la crise asiatique ? Le second terme est-il inéluctable ? Faut-il se résigner à ce que certains pays (à l'échelle du monde) ou certains groupes (à l'échelle des nations) soient exclus de la prospérité des autres ? Telles sont les questions préalables auxquelles il faut répondre avant de dessiner une perspective d'ensemble sur le destin des inégalités mondiales. " Mot(s) clés libre(s) : capitalisme, inégalité sociale, mondialisation, pauvreté, protectionnisme
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L'évolution des inégalités
/ Mission 2000 en France
/ 04-06-2000
/ Canal-u.fr
COHEN Daniel
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"L' histoire du siècle est celle d'une formidable réduction des inégalités au sein des nations industrielles, et d'un élargissement tout aussi considérable des inégalités entre les nations elles-mêmes. Pourtant, à partir du milieu des années 1980, une autre tendance est apparue. Les nations les plus riches ont vu resurgir le spectre d'une augmentation des inégalités, tandis que les pays pauvres les plus peuplés, en Asie, se sont engagés dans un processus de croissance rapide. L'idée a été immédiatement avancée qu'une relation de cause à effet était à l'oeuvre, qu'un phénomène de vases communicants entre le monde riche et le monde pauvre reportait la pauvreté du monde pauvre sur celle du monde riche. L'encre de ces débats n'avait pas encore séché qu'un nouveau changement de direction est apparu dans la deuxième moitié des années 1990. La crise asiatique, tout d'abord, a interrompu brutalement la croissance de ces pays, et fait resurgir nombre d'appréhensions à l'égard de la "globalisation ". Aux États-Unis, par ailleurs, le "miracle" d'une croissance soutenue a fait taire les critiques contre la montée des inégalités dans ce pays, et posé, parfois, en modèle la "nouvelle économie" américaine. Il y aurait beaucoup de naïveté à extrapoler les évolutions des dernières années en une nouvelle tendance qui validerait le phénomène de vases communicants entre les pays riches et les pays pauvres. Mieux vaut reconnaître que deux processus distincts sont à l'oeuvre : le rattrapage des pays en voie de développement, et une nouvelle dynamique des inégalités au sein des pays riches. Le premier terme est-il interrompu par la crise asiatique ? Le second terme est-il inéluctable ? Faut-il se résigner à ce que certains pays (à l'échelle du monde) ou certains groupes (à l'échelle des nations) soient exclus de la prospérité des autres ? Telles sont les questions préalables auxquelles il faut répondre avant de dessiner une perspective d'ensemble sur le destin des inégalités mondiales. " Mot(s) clés libre(s) : mondialisation, capitalisme, inégalité sociale, pauvreté, protectionnisme
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La Normandie en débat : Comment gouverner la Normandie demain ?
/ 16-01-2015
/ Canal-u.fr
BUSSI Michel, BULEON Pascal
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Conférence débat organisée à l'initiative d'Arnauld Brennetot, géographe, laboratoire UMR CNRS IDEES.Cette rencontre a pour objectif de présenter les enjeux de gouvernance que pose la fusion des deux Régions normandes. Souvent évoquée, cette réforme a longtemps été empêchée par l’épineux problème politique du choix de la capitale normande. La création d’une seule Normandie doit-elle impliquer une perte d’influence pour l’une des deux villes concernées, Caen ou Rouen ? Les emplois liés à la présence du Conseil Régional mais aussi de l’administration déconcentrée de l’État (préfecture régionale, rectorat, DREAL, etc.) doivent-ils tous être localisés dans une seule et même ville ? Est-il encore judicieux, à l’heure des systèmes urbains en réseaux, que les fonctions dévolues traditionnellement aux capitales régionales, soient concentrées en un seul point du territoire ? Alors que les grandes villes normandes connaissent un faible dynamisme et ont un rayonnement réduit, construire une capitale en réseau ne serait-il pas de nature à impulser une dynamique positive ? À stimuler de nouvelles synergies ? À donner un nouveau souffle à une région devenue peu attractive ? La fusion régionale ne représente-t-elle pas une occasion historique pour faire de la Normandie un laboratoire d’innovation politique et, demain, un territoire équitable, audacieux et intégrateur ? Mot(s) clés libre(s) : réseau, territoire, gouvernance, capitale, aménagement, Normandie, région, politique
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