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Lecture littéraire pour les niveaux débutants en classe de FLE ? / Rita Jover Faleiros
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 22-10-2008
/ Canal-U - OAI Archive
JOVER-FALEIROS Rita
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La lecture littéraire pour les niveaux débutants en classe de FLE ? / Rita Jover Faleiros.La communication de Rita Jover Faleiros porte sur le rôle de la lecture littéraire dans l’enseignement du FLE pour les niveaux débutants. Dans la première étape de la recherche, elle a travaillé sur la réception d’un texte littéraire dans un cours de FLE destiné à l’enseignement de la lecture (Instrumental). Parmi les réactions observées chez les étudiants, il convient d'en retenir une en particulier : la manifestation d’une difficulté attribuée à l’aspect littéraire du texte lu, cette réaction a attiré l'attention d’autant plus que le groupe a pu lire le texte. Elle a donc ouvert une voie de réflexion : en quoi consisterait cette difficulté ? Serait-elle associée à un écart entre le texte lu et texte produit par la lecture ? Faut-il éviter les textes “difficiles” dans l’enseignement d’une langue étrangère ? L’une des objections faites à l’activité de lecture littéraire en classe de FLE étant le niveau de langue des débutants et la difficulté due à la densité du texte, ce qui a fini, surtout avec l’avènement de l’approche globale dès les années 80, par définir un corpus de lecture (représenté dans les manuels par des notices, des affiches ou des dépliants par exemple) assez simplifié, rassurant pour l’apprenant. Or, les expériences dans le sens inverse montrent que des lectures plus complexes stimulent la formation des lecteurs qui doivent sortir du terrain sûr des lectures correctes pour se trouver dans le champ déstabilisant des lectures possibles où la pluralité des voix peut avoir droit de cité.Intervention faite dans le cadre du colloque international "Le texte du lecteur" organisé par l'equipe de recherche "Lettres, Langages et Arts (LLA). Université de Toulouse-Le Mirail, 22-24 octobre 2008. > > Une liste de références documentaires est accessible (format pdf) dans l'onglet "A télécharger" du programme d'ouverture du colloque. > Accéder au site dédié au colloque. Mot(s) clés libre(s) : français langue étrangère, lecture (aspect cognitif), lecture (pédagogie), littérature (étude et enseignement), livres et lecture
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Philosophie de l'esprit et sciences cognitives
/ Mission 2000 en France
/ 31-03-2000
/ Canal-U - OAI Archive
JACOB Pierre
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"Le mot ""cognition"" vient du mot latin *cognoscere* qui veut dire ""savoir"" ou ""connaître"". Sous le nom de ""sciences cognitives"", et autour d'un projet commun, se sont fédérées des disciplines aussi différentes que les neurosciences, la neuropsychologie, la primatologie, la psychologie comparée, la psychophysique, la psychologie cognitive, la psychologie du développement, la linguistique, la logique, l'intelligence artificielle, la philosophie, la psychologie sociale et l'anthropologie. Les sciences cognitives ont pour objet d'étudier les mécanismes neurophysiologiques et les processus mentaux grâce auxquels un être humain construit ses connaissances : la perception, la mémoire, l'attention, l'imagerie, le raisonnement, la communication. Elles poursuivent donc par des moyens expérimentaux le projet de ce que les philosophes appelaient naguère - d'un mot formé à partir du mot grec *épistémè* qui signifie conjointement ""savoir"" et ""science"" - l'*épistémologie*. Les sciences cognitives n'étudient pas seulement les mécanismes de formation de connaissances détachées ; elles étudient aussi l'engagement dans l'action, c'est-à-dire : la planification et l'exécution de l'action. Le progrès des sciences cognitives suggère donc que la cognition humaine résulte de mécanismes cérébraux qui donnent naissance à l'expérience consciente subjective, à des représentations véridiques de l'environnement et à des représentations motrices au service de l'action. " Mot(s) clés libre(s) : comportement, croyance, désir, intentionnalité, mémoire, perception, philosophie, psychologie, raisonnement, sciences cognitives
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Conscience et cerveau
/ UTLS - la suite
/ 18-10-2001
/ Canal-U - OAI Archive
IMBERT Michel
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Conscience et cerveau font aujourd'hui bon ménage. Il n'en a pas toujours été ainsi. A une longue période d'indifférence, suivie d'un temps d'hostilité affichée, fait suite aujourd'hui une idylle grosse de promesses mais riche d'obscurité, de confusions et d'illusions. Le nombre de livres publiés par des philosophes, psychologues, neurobiologistes, physiciens ou mathématiciens (et j'en passe), le nombre de colloques ou de numéros spéciaux de revues consacrés aux relations entre cerveau et conscience est simplement confondant. Cet engouement vient, pour une grande part, des recherches sur le cerveau lui-même. Il vient surtout de la mise en évidence de dissociations spectaculaires entre ce qu'un patient, souffrant d'une lésion cérébrale circonscrite, est capable de réaliser, sans en avoir la moindre idée, grâce à des capacités de percevoir, de mémoriser, de choisir et arranger l'information pertinente pour réaliser un geste, saisir un objet, éviter un obstacle, être ému par un visage familier. Autant de comportements qu'il exécute sans savoir comment, mais dont il aurait été pleinement conscient sans sa lésion cérébrale. On peut aller jusqu'à dire que toutes les compétences cognitives, y compris les compétences sémantiques, peuvent être, jusqu'à un certain point, réalisées sans que le sujet en ait conscience. Cette forme de conscience constitue ce que certains auteurs appèlent le problème facile de la conscience, en ce sens qu'une explication en termes de fonctionnement cérébral ne pose pas de problèmes insurmontables. Il n'en va peut-être pas de même de la conscience au sens d'expérience subjective, strictement privée et toujours faite à la première personne ; cet aspect de la conscience constituerait, en revanche, un véritable défi à toute explication scientifique. Nous nous proposons de passer en revue un certain nombre d'arguments, pris notamment dans le domaine de la perception visuelle, qui établissent des corrélations fortes entre le fonctionnement de régions cérébrales localisées et la conscience que nous avons de ce que nous voyons et de ce que nous ressentons lorsque nous voyons. Mot(s) clés libre(s) : cerveau, cognition, conscience, psychophysiologie
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Le cerveau, le langage, le sens - Galina Iakimova
/ UTLS au lycée
/ 04-12-2007
/ Canal-U - OAI Archive
IAKIMOVA Galina
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L’étude des interrelations entre le cerveau, le langage et le sens sera l’occasion pour Galina Iakimova de présenter certaines méthodes de recherche utilisées en psychologie scientifique et de revenir sur le caractère pluridisciplinaire de la psychologie.Une conférence de l'UTLS au lycéeLycée Pierre et Marie Curie (06 Menton) Avec Galina Iakimova (maître de conférences en psychologie cognitive) Mot(s) clés libre(s) : cerveau (physiologie), cognition et langage, linguistique, localisation cérébrale, neurolinguistique, psycholinguistique, psychologie appliquée, sciences du langage, sens (linguistique), signifiant et signifié
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Collège de France - Exploration neurocognitive du traitement métaphorique dans la schizophrénie / Neurocognitive investigation of metaphorical processing in schizophrenia
/ 01-06-2007
/ Canal-U - OAI Archive
IAKIMOVA Galina
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Les travaux de notre équipe sur les troubles schizophréniques interrogent les liens entre d'une part la dimension clinique de la désorganisation, spécifique de cette pathologie et les anomalies cognitives la sous-tendant, et d'autre part les troubles du langage et de la communication et le déficit en théorie de l'esprit observé chez ces patients (Hardy-Baylé et col, 2003). Les expressions figuratives sont l'une des modalités les plus fréquentes par lesquelles le langage exprime sa fonction pragmatique. L'objectif de nos recherches était d'étudier la compréhension de différentes formes figuratives du langage par les patients schizophrènes de point de vue de la dynamique des processus neurocognitifs qui sous-tendent la compréhension du langage figuré et littéral. La première étape de nos recherches était d'analyser les modalités spécifiques des anomalies de l'interprétation des expressions figuratives (e.g. interprétations au sens littéral, concret ou incongru) par les schizophrènes au moyen d'épreuves expérimentales (ex. les tests de choix multiple). La seconde étape était d'étudier les mécanismes neurocognitifs du traitement du langage figuré par la méthode des potentiels évoqués cognitifs permettant d'accueillir en temps réel des mesures cérébrales reflétant les processus cognitifs qui sous-tendent le traitement du langage. Les résultats des études expérimentales ont permis d'observer que les patients schizophrènes avaient tendance á interpréter au sens littéral les expressions figuratives, en particulier lorsqu'elles étaient ambiguës (e.g. des idiomes ayant une acception littérale et figurée). Ce biais de littéralité était spécifique aux patients schizophrènes á la différence du biais d'interprétations au sens concret qui était également observé chez les patients déprimés. Les difficultés d'interprétation des métaphores et des idiomes chez les patients schizophrènes étaient fortement corrélées au degré des troubles formels de la pensée et des troubles de la communication (Iakimova et col, 2006; 2007). Les résultats psychophysiologiques montrent que les mécanismes neurocognitifs du traitement sémantique sont déterminés par le degré de structuration du contexte indépendamment de son caractère figuré ou littéral (Passerieux et col, 2000). Le degré de structuration du contexte des expressions figuratives est déterminé par leurs caractéristiques intrinsèques (ex. familiarité, prédictibilité, ambiguïté). Nos résultats suggèrent que les troubles de la compréhension du langage figuré chez les patients schizophrènes seraient liées á leurs anomalies générales du traitement intégratif du contexte sémantique. En effet, ces anomalies sont observées que le contexte soit figuré ou littéral (lakimova et col, 2005). D'autre part, les troubles de la compréhension des idiomes ambigus seraient sous-tendus par des anomalies des processus d'inhibition du sens dominant (figuré ou littéral) de l'idiome lorsqu'il est inapproprié au contexte sémantique (Iakimova et col, 2007). Nos recherches contribuent également á la compréhension des mécanismes neurocognitifs du traitement du langage chez le sujet normal. The interest of our research unit is focused on the relation between the clinical disorganisation syndrome in schizophrenia and the cognitive abnormalities which underlay this pattern, in particularly the relation between both language and communication disorders and theory of mind deficits in patients with schizophrenia (Hardy-Baylé et al. 2003). The figurative language is the most frequent form which illustrates the pragmatic function of the language. The aim of our research was to investigate the comprehension of different forms of figurative language (e.g. metaphors and idioms) in patients with schizophrenia by focusing on the neurocognitive mechanisms which mediate the on-line comprehension of both figurative and literal language. The first step of our research was to analyse the specific modalities of impaired figurative language interpretation (e.g. literal, figurative, concrete and incongruous) in patients with schizophrenia by using a classical experimental approach (multiple choice tasks). The second step was to investigate the neurocognitive mechanisms of figurative language comprehension by the method of event-related potentials which provides continuous brain measures of the cognitive processes which underlay natural on-line language comprehension. The results of the experimental studies showed that schizophrenic patients tend to interpret the figurative sentences literally, especially when they were ambiguous (e.g. idioms with two plausible meanings: both literal and figurative). Such as bias toward the literal meaning was specific to schizophrenic patients in contrast to a bias toward the concrete meaning which were also observed in patients with major depression. In schizophrenic patients impaired comprehension of both the metaphors and the idioms was correlated to the level of patients' thought and communication disorder (Iakimova et al, 2006; 2007). The psychophysiological results showed that neurocognitive mechanisms of semantic processing were determined by the degree of the contextual constraints of both literal and figurative sentences (Passerieux et al, 2000). The contextual constraints to figurative sentences were determined by their intrinsic characteristics (their familiarity, predictability, ambiguity). Our results suggest that the impairment of schizophrenia patients in figurative language comprehension appeared to be related to a general impairment of semantic context processing. In fact, abnormal semantic context processing in patients with schizophrenia was observed in both literal and figurative context (lakimova et al, 2005). Moreover, impaired comprehension of ambiguous idioms appeared to be further related to patients' inability to suppress the dominant (or the salient) meaning of the idiom when it was irrelevant to the semantic context (lakimova et al, 2007). Our research further contributes to the comprehension of the neurocognitive mechanisms of language comprehension in normal subjects.
Origine
SPI-EAO CERIMES Canal-U Santé et Sport
Générique
Auteur: Galina IAKIMOVA Docteur en Psychologie (PhD in Psychology) CHU Versailles - INSERM (ERI 15), Université Saint Quentin en Yvelines (EA 4047) Mot(s) clés libre(s) : anomalies cognitives, Collège de France, psychiatrie, schizophrénie
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Collège de France - Neuroimagerie du trouble bipolaire / Neuroimaging of bipolar disorder
/ 01-06-2007
/ Canal-U - OAI Archive
HOUENOU Josselin
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Bipolar disorder has been associated with anatomical as well as functional abnormalities in a brain network that mediates normal and impaired emotion regulation. Our work aims to bring neuroanatomical support to existing models of emotional dysregulation in bipolar disorder proposed by authors such as Mayberg and Blumberg". These models suppose a lack of inhibitory feedback mechanisms between a hyperactive "ventral-limbic" network, implicated in emotional regulation and socioemotional behaviors (encompassing e.g. the orbitofrontal cortex, the ventral anterior cingulate cortex, the amygdalo-hippocampal complex and the striatum) and a hypoactive "dorsal-cognitive" network (including the dorsolateral prefrontal cortex and the dorsal anterior cingulate cortex). In a sample of euthymic bipolar patients, we found increased white matter connectivity within the "ventral-limbic" network 3 using a recent MRI technique (diffusion tensor imaging-based tractography) and an overactivation of this network during an emotional go/no go task using fMR14. These results support the existence of a hyperactive "ventral-limbic" network in euthymic bipolar patients. We are now trying to study other parts of the ventral and dorsal networks and to identify the clinical characteristics associated with these abnormalities. Le trouble bipolaire est associé á des anomalies anatomiques et fonctionnelles dans un réseau cérébral impliqué dans la régulation des émotions. Notre travail vise á apporter des données neuroanatomiques aux modèles existants de dysrégulation émotionnelle dans le trouble bipolaire proposés par des auteurs comme Mayberg et Blumberg''. Ces modèles supposent un défaut d'inhibition réciproque entre un réseau « ventro-limbique » qui serait hyperactif (comprenant des régions comme le cortex orbitofrontal, le cortex cingulaire antérieur ventral, le complexe amygdalo-hippocampique et le striatum) et un réseau « dorsal-cognitif » qui serait hypoactif (incluant le cortex préfrontal dorsolatéral et le cortex cingulaire antérieur dorsal). Dans un groupe de patients bipolaires euthymiques, nous avons mis en évidence une augmentation de la connectivité anatomique dans le réseau « ventro-limbique » en utilisant une technique récente d'IRM3 (tractographie basée sur l'IRM par tenseur de diffusion) ainsi qu'une hyperactivation de ce réseau lors d'une tâche de go/nogo émotionnel en IRMÉ. Ces résultats sont cohérents avec l'hypothèse d'un réseau « ventro-limbique » hyperactif chez les patients bipolaires euthymiques. Nous tentons actuellement d'étudier d'autres régions des réseaux ventraux et dorsaux et d'identifier les caractéristiques cliniques associées á ces anomalies mises en évidence par IRM.
Origine
SPI-EAO CERIMES Canal-U Santé et Sport
Générique
Auteur : Josselin Houenou CCA Université Paris 12, CHU Créteil, Pôle de psychiatrie, Groupe Hospitalier Albert Chenevier-Henri Mondor CEA-INSERM U797 Neuroimagerie en psychiatrie, IFR49, Orsay. Mot(s) clés libre(s) : cognition, Collège de France, neuroimagerie, psychiatrie, trouble bipolaire
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Voyage initiatique dans notre cerveau
/ William ROSTENE, BioTV
/ 18-07-2002
/ Canal-U - OAI Archive
HERVE-MINVIELLE Anne, ROSTENE William
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Voyage initiatique dans notre cerveau. Mot(s) clés libre(s) : cellule nerveuse, cerveau, cortex, imagerie par résonance magnétique, influx nerveux, IRM, neurone, neuroscience, potentiel d'action, région cérébrale, sciences cognitives, synapse, système nerveux
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Semaine du cerveau 2002 : neuroimagerie fonctionnelle (2)
/ BioTV
/ 15-03-2002
/ Canal-U - OAI Archive
HANTRAYE Philippe
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Conférence du Dr Hantraye Mot(s) clés libre(s) : angiographie, cerveau, fonction cognitive, imagerie cérébrale, imagerie médicale, imagerie par résonance magnétique, IRM, neuroscience, petscan, radiographie, rayon X, sciences cognitives, système nerveux, TEP, tomographie
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Semaine du cerveau 2002 : neuroimagerie fonctionnelle (1)
/ BioTV
/ 13-03-2002
/ Canal-U - OAI Archive
HANTRAYE Philippe
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Dans le cadre de la semaine du cerveau 2002, le Dr Hantraye fait le point sur l'imagerie fonctionnelle au travers des méthodes modernes d'exploration. Mot(s) clés libre(s) : cerveau, fonction cognitive, imagerie cérébrale, imagerie médicale, imagerie par résonance magnétique, IRM, neuroscience, positon, radiographie, rayon X, sciences cognitives, système nerveux, TEP, tomographie
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Les maladies mentales et les dépressions
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 13-03-2000
/ Canal-U - OAI Archive
GUYOTAT Jean
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La psychiatrie a connu de 1950 à l'an 2000 des transformations considérables. Quelles en sont les conséquences sur les conceptions et les pratiques actuelles de soins des maladies mentales et des dépressions ? Ce sera le thème de la première partie de la conférence donnée par J. GUYOTAT. Après un bref rappel historique, sera abordée l'influence de la psychanalyse sur la psychiatrie, celle de la psychopharmacologie, celle de l'articulation des psychothérapies et chimiothérapies, notamment dans les dépressions. La deuxième partie présentée par J.L. TERRA sera consacrée à une réflexion prédictive à propos de la schizophrénie, la maladie dépressive, et le suicide comme complication commune. Ces maladies entraînent souvent de lourdes conséquences sociales, presque aussi importantes que la sévérité des symptômes. L'intensité de la souffrance psychique, le désespoir, le sentiment d'inutilité, peuvent conduire vers l'idéation suicidaire et sa concrétisation par un passage à l'acte. Prévenir ce phénomène représentant dans notre pays, plus de 11000 décès chaque année, fait maintenant partie des priorités de santé publique. Améliorer la prise en charge des maladies mentales est une des stratégies les plus efficaces pour atteindre un tel objectif, à condition de bien connaître la trajectoire de vie de ceux qui en souffrent et les points critiques de leur existence. Mot(s) clés libre(s) : cognition, dépresssion, folie, isolement, neuroleptique, souffrance, suicide, système nerveux, trouble
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