Tri :
Date
Editeur
Auteur
Titre
|
|
Ce que les crises font (faire) aux sciences sociales
/ Canal-u.fr
Voir le résumé
Voir le résumé
Avec Haim Burstin (Université de Milan),
Ivan Ermakoff (EHESS/Université du Wisconsin-Madison),
William Sewell (Université de Chicago),
Timothy Tackett (Université de Californie)
Débat préparé et conduit par Quentin Deluermoz (Université Paris 13/IUF) et Boris Gobille (Ecole Normale Supérieure de Lyon)
Les échanges qui suivent constituent la deuxième partie du débat organisé par la revue Politix. Revue des sciences sociales du politique, à l’occasion du numéro Protagonisme et crises politiques (2015/4, n°112). L’objectif était de revenir sur la notion de « protagonisme » forgée par H. Burstin dans son ouvrage Révolutionnaires. Pour une anthropologie politique de la Révolution française, Paris, Vendémiaire éditions, 2013, et, de là, d’aborder les questions plus générales posées aux chercheurs par les situations de crise politique ou révolutionnaire. Parue sous forme écrite dans le numéro de Politix, la première partie du débat a porté sur l’intérêt et les modalités des approches par en bas des crises, sur le rôle des sensibilités dans la dynamique révolutionnaire, sur les manières de croiser les temporalités ou encore sur les enjeux méthodologiques qui structurent l’étude par les sciences sociales de ces moments d’incertitude. Ce second temps vise à davantage de montée en généralité et à plus d’échange entre les participants, invités à confronter plus directement réflexions, terrains et disciplines. Cela explique le choix de la vidéo, qui permet de retranscrire avec plus d’immédiateté les hésitations ou discussions qui ont marqué la parole très ouverte des participants. Après avoir évoqué le contexte scientifique, les débateurs évoquent dans la vidéo qui suit les moyens de lutter contre la téléologie, la difficulté comme la nécessité de la comparaison, et enfin les dynamiques de fabrication in situ de la légitimité politique en situations de crise.
Nous remercions chaleureusement les participants d’avoir accepté le principe de cette rencontre, de s’être rendus disponibles et d’avoir fait le voyage à Paris. Merci également à Stephen Sawyer (American University of Paris) pour avoir assuré la traduction en simultané des propos de William Sewell. Le débat n’aurait pu avoir lieu sans le concours organisationnel et technique d’Ivan Ermakoff, du Centre de Recherches Sociologiques et Politiques Raymond Aron (CESPRA-UMR 8036), de Bénédicte Barillé et de Serge Blerald (Direction de l’image et de l’audiovisuel, EHESS). Mot(s) clés libre(s) : évolution, innovation, incertitude, historicité, légitimité, crise politique, protagonisme, contingence, téléologie
|
Accéder à la ressource
|
|
Définition et enseignement des crises du passé - Clip
/ Canal-u.fr
Voir le résumé
Voir le résumé
Clip de la 1ère semaine du MOOC UVED "Biodiversité"Dans une première semaine de cours, découvrez ce qu'est la
biodiversité, ses origines il y a plus de 3,8 milliards d'années,
et les mécanismes de son évolution, marquée notamment par des
grandes crises d'extinction d'espèces. Aussi, cette semaine de
cours vous permettra de mieux comprendre où en est la biodiversité
aujourd'hui et ce pourquoi il convient d'en préserver au mieux les
dynamiques. Pour vous parler de ces sujets, Gilles Boeuf (MNHN)
est accompagné de Marie-Christine Maurel (Université Pierre et
Marie Curie), de Bruno David (CNRS) et de Pierre-Henri Gouyon
(MNHN).Les inscriptions sont ouvertes : https://www.france-universite-numerique-mooc.fr/courses/uved/34002/session01/about Mot(s) clés libre(s) : biodiversité, crise
|
Accéder à la ressource
|
|
Cycles et fluctuations économiques
/ Mission 2000 en France
/ 28-04-2000
/ Canal-U - OAI Archive
ABRAHAM-FROIS Gilbert
Voir le résumé
Voir le résumé
Après un bref historique de l'apparition, puis de la disparition (provisoire) de l'analyse et de la théorie des cycles, cette contribution sera centrée sur les développements contemporains. L'originalité de la théorie sans doute dominante depuis un quart de siècle est que les cycles ne sont plus une manifestation de déséquilibre, mais de réactions optimales des agents optimisateurs aux chocs de nature diverse qui frappent le système économique ; si au départ l'accent a été mis, à la suite des travaux de R. Lucas (prix Nobel 1995) sur les chocs ""monétaires"", c'est aux chocs ""réels"" que s'attachent les analyses plus récentes : chocs de productivité, chocs budgétaires, éventuellement chocs sur les préférences. L'approche qui a des fondements micro-économiques puissants fait appel largement aux techniques de simulation et arrive à reproduire de façon assez étonnante une partie au moins des mouvements de l'activité. Une deuxième approche a des fondements plus traditionnels ; dans le prolongement des analyses keynésiennes, il s'agit de tenter de rendre compte des fluctuations dans des systèmes où se manifestent des déséquilibres. Des possibilités de fluctuations auto-entretenues peuvent être mises en évidence en utilisant certains outils mathématiques sophistiqués (bifurcations, dynamiques complexes...). Des fluctuations auto-entretenues pouvant apparaître à partir du moment où des non-linéarités se manifestent, l'approche a été étendue des systèmes en déséquilibre aux systèmes en équilibre. Mot(s) clés libre(s) : crise financière, croissance, économie, finance
|
Accéder à la ressource
|
|
Cycles et fluctuations économiques
/ Mission 2000 en France
/ 28-04-2000
/ Canal-u.fr
ABRAHAM-FROIS Gilbert
Voir le résumé
Voir le résumé
Après un bref historique de l'apparition, puis de la disparition (provisoire) de l'analyse et de la théorie des cycles, cette contribution sera centrée sur les développements contemporains. L'originalité de la théorie sans doute dominante depuis un quart de siècle est que les cycles ne sont plus une manifestation de déséquilibre, mais de réactions optimales des agents optimisateurs aux chocs de nature diverse qui frappent le système économique ; si au départ l'accent a été mis, à la suite des travaux de R. Lucas (prix Nobel 1995) sur les chocs ""monétaires"", c'est aux chocs ""réels"" que s'attachent les analyses plus récentes : chocs de productivité, chocs budgétaires, éventuellement chocs sur les préférences. L'approche qui a des fondements micro-économiques puissants fait appel largement aux techniques de simulation et arrive à reproduire de façon assez étonnante une partie au moins des mouvements de l'activité. Une deuxième approche a des fondements plus traditionnels ; dans le prolongement des analyses keynésiennes, il s'agit de tenter de rendre compte des fluctuations dans des systèmes où se manifestent des déséquilibres. Des possibilités de fluctuations auto-entretenues peuvent être mises en évidence en utilisant certains outils mathématiques sophistiqués (bifurcations, dynamiques complexes...). Des fluctuations auto-entretenues pouvant apparaître à partir du moment où des non-linéarités se manifestent, l'approche a été étendue des systèmes en déséquilibre aux systèmes en équilibre. Mot(s) clés libre(s) : économie, crise financière, croissance, finance, cycles économiques, Keynes
|
Accéder à la ressource
|
|
Printemps Agile 2014 : 10 - Scrum Shu Ha Ri
/ 20-03-2014
/ Canal-u.fr
ADDINQUY Christophe
Voir le résumé
Voir le résumé
Résumé
Vous débutez avec l'agilité, vous allez participer à un projet "en Scrum" ! C'est bien. Peut-être vous demandez-vous comment vous saurez que vous y êtes arrivé, que vous faites les choses comme il faut ? D'ailleurs est-ce si bien que cela Scrum ? Certains s'en disent déçus, d'autres prétendent que Scrum ce n'est pas vraiment de l'agilité. L'agilité n'est pas une destination, c'est un voyage. Scrum est à même de vous accompagner dans toutes les étapes de ce voyage. Mais si le framework Scrum est facile à comprendre, il est beaucoup plus difficile qu'on ne le soupçonne à mettre en œuvre ! Ses qualités intrinsèques, celles pour lesquelles vous devriez l'apprécier ne sont probablement pas celles que vous imaginez. Avant de prendre la route, nous allons voir ensemble le grandes étapes du "voyage Scrum". Il y en a trois et il n'y a pas de raccourcis. Nous les avons empruntées aux arts martiaux, elle se nomment Shu, Ha et Ri. Le Shu est le niveau de l'apprenti qui découvre Scrum et va s'efforcer de le mettre en œuvre correctement. Le Ha est consacré au perfectionnement. On y adapte ou adopte certaines pratiques pour améliorer notre façon de vivre l'agilité. Atteindre le Ri, c'est être au stade de la maîtrise où l'on innove et crée une façon d'être agile en se guidant sur les valeurs et le sens de l'agilité. Cette session a pour but de vous donner une perspective sur le voyage qui vous attend, pour prendre la route sereinement sans se tromper sur le sens ou les attentes de cette progression. Mot(s) clés libre(s) : autonomie, Printemps Agile, agilité, management, gestion, gestion de crise, gestion de projet, performance, gestion de conflits, Scrum Shu Ha Ri
|
Accéder à la ressource
|
|
La sortie de crise de l’Islande
/ Serge BLERALD, Direction de l'Audiovisuel de l'EHESS (Dir. Jean-Claude Penrad)
/ 26-05-2014
/ Canal-u.fr
AUCANTE Yohann, LECHEVALIER Sébastien, BELAND Daniel, OLAFSSON Stefán
Voir le résumé
Voir le résumé
L’EHESS poursuit son cycle de débats Les Agendas du Politique sous l’égide du laboratoire d’excellence Tepsis et des Éditions de l’EHESS.
Conférence du 28 mai 2014
En dépit d’un effondrement de son système bancaire et d’une crise sans précédent en 2008, l’Islande a trouvé la voie d’un redressement. Y a-t-elle réussi en préservant des conditions d’égalités et de protection sociales ?
Intervenant :
Stefán Ólafsson (University of Iceland)
Discutants :
Daniel Béland (Canada Research Chair in Public Policy & University of Saskatchewan)
Sébastien Lechevalier (EHESS & Fondation France/Japon)
Modérateur :
Yohann Aucante (CESPRA/EHESS) Mot(s) clés libre(s) : islande, finances, crise économique
|
Accéder à la ressource
|
|
Une anthropologie des moments critiques : Entretien avec Georges Balandier
/ Pierre GAUGE, Marc FERRO
/ 28-11-1995
/ Canal-u.fr
BALANDIER Georges, DOZON Jean-Pierre, TERRAY Emmanuel, M'BOKOLO Elikia, AUGE Marc, GOUSSAULT Bénédicte
Voir le résumé
Voir le résumé
Qu'il s'agisse de l'Afrique ou du monde occidental, Georges Balandier se veut l'observateur attentif et engagé des crises, des conflits, des ruptures qui troublent la vie sociale. Le hasard, l'accident, l'imprévus sont pour lui des objets privilégiés ; il porte le même intérêt à l'inventivité et aux ruses qui permettent aux sociétés de surmonter leurs "moments critiques". Mot(s) clés libre(s) : afrique, modernité, structuralisme, colonisation, crises
|
Accéder à la ressource
|
|
JPEMA 2009 n24 - Vieillissement, travail et retraite 2
/ Canal-U Médecine, CERIMES, Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport
/ 26-09-2009
/ Canal-U - OAI Archive
BARNAY Thomas
Voir le résumé
Voir le résumé
JPEMA 2009 Amiens – Vieillissement, travail et retraite.Résumé : Le rôle de l’état de santé en fin de carrière : les enjeux économiques.Le rôle de la santé : 2 effets, 2 causalités…1. Effet de causalité (travail --> santé)Des conditions de travail difficiles peuvent affecter l’état de santé (Volkoff et al., 2000; Lasfargues, 2005) 2. Effet de sélection (santé --> travail)L’état de santé est un déterminant du statut d’occupation sur le marché du travail. Un mauvais état de santé conduit à une sortie anticipée du marché du travail.Intervenant : Thomas BARNAY : Maitre de Conférence en Sciences Economiques Paris XII, Université du Val-de-Marne.SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : APEEM, crise économique, éthique, fin de carrière, JPEMA 2009, prévention, retraite, santé, travail, vieillissement, vieillissement démographique
|
Accéder à la ressource
|
|
3 - Rendez-vous de crise : banqueroute : qui doit payer ?
/ Philippe KERGRAISSE, Direction de l'Audiovisuel de l'EHESS (Dir. Jean-Claude Penrad)
/ 14-11-2011
/ Canal-u.fr
BEAUR Gérard
Voir le résumé
Voir le résumé
Banqueroute : qui doit payer ?
Rendez-vous de crise
Lundi 14 novembre, Amphithéâtre EHESS
À l’heure où les dettes souveraines et la faillite annoncée de certaines banques semblent promettre une faillite générale de plusieurs pays européens au point de menacer l’existence même de l’Europe, chacun s’interroge sur les responsabilités qui ont conduit à une telle situation. Ce premier rendez-vous de crise propose une approche à la fois historique et économique de ces questions qui touchent chacun d’entre nous. Il existe en effet des précédents fameux au cours desquels l’opinion publique a mis en cause à la fois l’emballement de la dette, les intermédiaires financiers, et jusqu’aux outils de gestion adoptés.
1- Présentation: Christophe Prochasson,directeur d’études et des Éditions de l’EHESS
Séance présidée par Pierre-Cyrille Hautcœur, économiste (EHESS)
Avec:
2- Marie-Laure Legay, historienne (Université Lille 3), La banqueroute de l’État royal, Éditions de l’EHESS
3- Gérard Beaur, historien (EHESS), « Revisiter les crises », Histoire & mesure, Éditions de l’EHESS
4- Benoît Coeuré, économiste (Sciences Po), directeur-adjoint de la Direction générale du Trésor
5- Questions de la salle Mot(s) clés libre(s) : crise économique, banqueroute, dette publique, histoire de l'économie
|
Accéder à la ressource
|
|
La question de l'eau en 2050, un drame planétaire prévisible ? - Jacques Bethemont
/ UTLS au lycée
/ 20-01-2009
/ Canal-U - OAI Archive
BETHEMONT Jacques
Voir le résumé
Voir le résumé
Une conférence de l'UTLS au lycéeLa question de l'eau en 2050, un drame planétaire prévisible ?Par Jacques Bethemont, géographe.Lycée Saint Louis (33 Bordeaux)en partenariat avec la Region Aquitaine Mot(s) clés libre(s) : aménagement, crise, démographie mondiale, eau, prévision, prospective, santé
|
Accéder à la ressource
|
|