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Amplification du point G par injection d'acide hyaluronique
/ SPI-EAO
/ 01-06-2006
/ Canal-U - OAI Archive
LOUIS-VADHAT Christine
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L'auteur nous présente d'abord des généralités sur l'orgasme et le point G ; le mot orgasme vient de "orgao" qui veut dire bouillir de sève et d'ardeur. La prostate féminine représente 1/5 de la prostate masculine ; c'est une zone érectile. On présente également les étiologies de la baisse du désir féminin. L'injection d'acide hyaluronique n'a aucun effet indésirable. Sont expliqués le principe de l'implantation et le mode opératoire sur 30 patientes. A 3 mois , 28 sur 30 ont relevé une augmentation des sensations de plaisir.OrigineCanal-U Médecine et SantéGénériqueMaternité Régionale de Nancy SPI-EAO SCD médecine Mot(s) clés libre(s) : acide hyaluronique, désir, injection, maternité, orgasme, plaisir, point G, prostate féminine, vagin
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Cartographie cérébrale du désir sexuel masculin
/ Canal U/Tice Médecine Santé, Mission 2000 en France
/ 06-02-2000
/ Canal-U - OAI Archive
STOLERU Serge
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Conférence du 6 février 2000 par Serge Storelu. Les régions cérébrales impliquées dans le comportement sexuel sont mal connues et une grande partie des connaissances est basée sur des recherches effectuées sur l'animal. Or, ces dernières recherches ne peuvent rendre compte des caractéristiques spécifiques du désir sexuel humain. Avec les progrès des techniques d'imagerie cérébrale fonctionnelle, il est devenu possible d'identifier quelles sont les régions du cerveau humain qui s'activent, ou se désactivent, lors de diverses tâches. Il a ainsi été possible de montrer quelles régions cérébrales répondaient à la présentation de stimuli sexuels visibles. Ces régions sont en particulier des régions limbiques ou paralimbiques (notamment le cortex cingulaire antérieur gauche et le cortex orbifrontal droit) et des structures sous-corticales (noyau caudé droit, claustrum droit et gauche). Ces travaux devraient permettre, à terme, de mieux comprendre certains mécanismes des troubles du désir sexuel humain. Mot(s) clés libre(s) : cerveau, désir sexuel, imagerie cérébrale, sexe
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Crystal Cordell: Repenser le choix à partir d'Aristote. Pour une philosophie pratique féministe
/ Canal-u.fr
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Docteur de l’EHESS (Mention Etudes politiques, 2009) et de
l’Université de Toronto (Science politique, 2009), Crystal Cordell Paris
est spécialiste de la philosophie politique. Sa thèse, consacrée à Lascience politique d’Aristote
(Prix de thèse de la Chancellerie des Universités de Paris - Prix
Richelieu, 2010), montre la pertinence de la réflexion aristotélicienne
sur l’art de gouverner pour la science politique contemporaine. Elle
prépare actuellement un ouvrage issu de ses recherches doctorales
Enseignante
à Sciences Po et en classes préparatoires aux grandes écoles, elle a
été ATER et chercheur associé à l’Université de Nice-Sophia Antipolis.
Mot(s) clés libre(s) : désir, féminisme, Aristote, choix, volonté
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JPEMA 2009 n21 - Vieillissement et sexualité
/ Canal-U Médecine, CERIMES, Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport
/ 25-09-2009
/ Canal-U - OAI Archive
BENETOS Athanase
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7èmes journées pédagogiques d'éthique médicale d'Amiens. JPEMA 2009 Amiens. Thème : Ethique et vieillissement.Titre : Vieillissement et sexualité : aspects physiologiques, psychologiques et éthiques.Résumé : La sexualité féminine ne connaît pas de limite d'âge. L'homme garde assez fréquemment des capacités sexuelles jusqu'à un âge très avancé. Les conditions pathologiques associées au vieillissement influencent la sexualité. Un appétit sexuel et la possibilité de le satisfaire sont des indices indéniables de bonne santé physique et psychique, et donc d’une meilleure qualité de vie.Intervenant : Athanase BENETOS.SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : ASPEEM, baisse des capacités sexuelles, désir sexuel, éthique, JPEMA 2009, longévité, prescription médicamenteuse, qualité de vie, sexualité, vieillissement
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Le désir d'enfant, entre intime et politique
/ DCAM - Département Conception et Assistance Multimédia - Université Bordeaux Segalen, Université Bordeaux Segalen - DCAM
/ 06-04-2011
/ Canal-U - OAI Archive
GAILLE Marie
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La procréation médicalement assistée et les débats éthiques, juridiques et politiques qu'elle suscite ont mis au devant de la scène le désir d'enfant que nourrissent les individus, les couples et les familles - ou l'absence de désir. Cette scène est celle de l'intime, du for intérieur, ou de l'intimité partagée avec un(e) autre ; elle est aussi celle de la la politique et de l'espace public, de la législation et de la normativité morale : quel sens donner à ce désir ? Peut-on en comprendre la source ? Est-il possible, souhaitable et légitime de vouloir lui assigner une place et des limites dans la cité?Ces enjeux qu'un individu aborde avant tout comme "propres" sont en fait inscrits dans un réseau dense d'attentes sociales et politiques. Que gagne-t-on à l'analyser comme un phénomène mixte, intime et politique ? Quelles orientations éthiques peut-on définir à la lumière de cette analyse?La conférence a été donnée à l'Université Bordeaux Segalen dans le cadre du cycle de conférences "L'invité du Mercredi" / Saison 2010-2011 sur le thème "La médecine au féminin". Service culturel Université Victor Segalen de Bordeaux 2 / DCAM / Mot(s) clés libre(s) : désir d'enfant, femmes, maternité, procréation médicalement assistée, reproduction humaine
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Le spectre de l’identité - François Villa
/ Canal-u.fr
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L'identité " une et indivisible " ou " habit d'Arlequin " ? A quelle réalité renvoie le sentiment d'identité ?
François Villa est psychanalyste, professeur de psychopathologie, membre du Centre de Recherches Psychanalyse, Médecine et Société (Paris Diderot) et du Labex "Who Am I? " Mot(s) clés libre(s) : spectre, aspiration, identifier le monde, identifier les objets, question identitaire, rêve, Oedipe, perte, processus d'identification, destin, environnement maternel, désir, identité, identification, transfert, psychanalyste, acquis, inné, possession, obsession
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Philosophie de l'esprit et sciences cognitives
/ Mission 2000 en France
/ 31-03-2000
/ Canal-U - OAI Archive
JACOB Pierre
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"Le mot ""cognition"" vient du mot latin *cognoscere* qui veut dire ""savoir"" ou ""connaître"". Sous le nom de ""sciences cognitives"", et autour d'un projet commun, se sont fédérées des disciplines aussi différentes que les neurosciences, la neuropsychologie, la primatologie, la psychologie comparée, la psychophysique, la psychologie cognitive, la psychologie du développement, la linguistique, la logique, l'intelligence artificielle, la philosophie, la psychologie sociale et l'anthropologie. Les sciences cognitives ont pour objet d'étudier les mécanismes neurophysiologiques et les processus mentaux grâce auxquels un être humain construit ses connaissances : la perception, la mémoire, l'attention, l'imagerie, le raisonnement, la communication. Elles poursuivent donc par des moyens expérimentaux le projet de ce que les philosophes appelaient naguère - d'un mot formé à partir du mot grec *épistémè* qui signifie conjointement ""savoir"" et ""science"" - l'*épistémologie*. Les sciences cognitives n'étudient pas seulement les mécanismes de formation de connaissances détachées ; elles étudient aussi l'engagement dans l'action, c'est-à-dire : la planification et l'exécution de l'action. Le progrès des sciences cognitives suggère donc que la cognition humaine résulte de mécanismes cérébraux qui donnent naissance à l'expérience consciente subjective, à des représentations véridiques de l'environnement et à des représentations motrices au service de l'action. " Mot(s) clés libre(s) : comportement, croyance, désir, intentionnalité, mémoire, perception, philosophie, psychologie, raisonnement, sciences cognitives
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SFAP 2011 - La légalisation des pratiques euthanasiques aux Pays-Bas.
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 29-06-2011
/ Canal-U - OAI Archive
SAINT-ARNAUD Jocelyne
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Titre : SFAP 2011 - La légalisation des pratiques euthanasiques aux Pays-Bas : quelles réflexions en tirer ? QUESTIONAuteur(s) : Jocelyne SAINT-ARNAUD (Professeur en sciences infirmières – Canada).Etablissement : Faculté des sciences infirmières, Université de Montréal, Montréal, Canada.Résumé : Des sondages effectués auprès de la population et des médecins du Québec indiquent qu’il existe un désir à l’effet que soient levées les barrières juridiques qui interdisent l’accès aux pratiques d’euthanasie (Rioux-Soucy, 2004, 2009a, 2009b). Un des arguments majeurs des tenants du statu quo concerne les dérives possibles d’une décriminalisation et d’une institutionnalisation de ces pratiques dans le cadre des unités de soins palliatifs. Pour analyser et vérifier la validité de cet argument, la situation qui prévaut aux Pays-Bas est évaluée de manière critique à la lumière des résultats d’études empiriques gouvernementales et indépendantes publiées avant et après la décriminalisation et la légalisation des pratiques euthanasiques survenues respectivement en 2001 et 2002 (Battin et al, 2007; Buiting et al, 2010; Maessen et al 2009; Norwood et al 2009; Reuzel et al, 2008; Rietjens et al, 2009; Rietjens et al, 2008; van der Heide et al, 2007; van der Maas et al, 1996; et autres).Les résultats montrent : 1) qu’il existe des dérives dans la loi elle-même par rapport aux balises émises en 1984 en fonction desquelles un médecin pouvait invoquer la raison de force majeure lui permettant d’éviter les poursuites;2) que la loi ne rend pas les pratiques euthanasiques plus transparentes; 3) qu’il y a une baisse des pratiques euthanasiques (aides médicales au suicide et euthanasies) déclarées, mais une hausse du recours à la sédation palliative et au soulagement de la douleur; 4) que les critères invoqués qui reposaient initialement sur le caractère libre et éclairé de la demande euthanasique de la part du patient apte ont maintenant tendance à mettre l’accent sur la souffrance qui ne peut être soulagée, telle qu’évaluée médicalement et qui concernent des personnes devenues inaptes, des mineures et des personnes atteintes de souffrance morale. Cette étude confirme l’existence de dérives et la position de Henk ten Have (2005), qui considèrent que les pratiques euthanasiques actuelles aux Pays-Bas renforcent le pouvoir médical sur la fin de vie.L’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée.Conférence enregistrée lors du 1er Congrès international francophone de soins palliatifs et d’accompagnement & 17ème Congrès de la Société Française d’Accompagnement et de Soins Palliatifs (SFAP). A la rencontre de nos diversitésDu 28 au 30 juin 2011 au Centre Cité de Congrès de Lyon. Atelier C5 – Mort provoquée, sédation, limitation de traitements.Organisé avec le partenariat de l’UNF3S/UMVF.Réalisation, production : Canal U/3S et CERIMES Mot(s) clés libre(s) : accompagnement, désir de mort, SFAP 2011, soins palliatifs
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SFAP 2011 - La légalisation des pratiques euthanasiques aux Pays-Bas.
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 29-06-2011
/ Canal-U - OAI Archive
SAINT-ARNAUD Jocelyne
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Titre : SFAP 2011 - La légalisation des pratiques euthanasiques aux Pays-Bas : quelles réflexions en tirer ?Auteur(s) : Jocelyne SAINT-ARNAUD (Professeur en sciences infirmières – Canada).Etablissement : Faculté des sciences infirmières, Université de Montréal, Montréal, Canada.Résumé : Des sondages effectués auprès de la population et des médecins du Québec indiquent qu’il existe un désir à l’effet que soient levées les barrières juridiques qui interdisent l’accès aux pratiques d’euthanasie (Rioux-Soucy, 2004, 2009a, 2009b). Un des arguments majeurs des tenants du statu quo concerne les dérives possibles d’une décriminalisation et d’une institutionnalisation de ces pratiques dans le cadre des unités de soins palliatifs. Pour analyser et vérifier la validité de cet argument, la situation qui prévaut aux Pays-Bas est évaluée de manière critique à la lumière des résultats d’études empiriques gouvernementales et indépendantes publiées avant et après la décriminalisation et la légalisation des pratiques euthanasiques survenues respectivement en 2001 et 2002 (Battin et al, 2007; Buiting et al, 2010; Maessen et al 2009; Norwood et al 2009; Reuzel et al, 2008; Rietjens et al, 2009; Rietjens et al, 2008; van der Heide et al, 2007; van der Maas et al, 1996; et autres).Les résultats montrent : 1) qu’il existe des dérives dans la loi elle-même par rapport aux balises émises en 1984 en fonction desquelles un médecin pouvait invoquer la raison de force majeure lui permettant d’éviter les poursuites;2) que la loi ne rend pas les pratiques euthanasiques plus transparentes; 3) qu’il y a une baisse des pratiques euthanasiques (aides médicales au suicide et euthanasies) déclarées, mais une hausse du recours à la sédation palliative et au soulagement de la douleur; 4) que les critères invoqués qui reposaient initialement sur le caractère libre et éclairé de la demande euthanasique de la part du patient apte ont maintenant tendance à mettre l’accent sur la souffrance qui ne peut être soulagée, telle qu’évaluée médicalement et qui concernent des personnes devenues inaptes, des mineures et des personnes atteintes de souffrance morale. Cette étude confirme l’existence de dérives et la position de Henk ten Have (2005), qui considèrent que les pratiques euthanasiques actuelles aux Pays-Bas renforcent le pouvoir médical sur la fin de vie.L’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée.Conférence enregistrée lors du 1er Congrès international francophone de soins palliatifs et d’accompagnement & 17ème Congrès de la Société Française d’Accompagnement et de Soins Palliatifs (SFAP). A la rencontre de nos diversitésDu 28 au 30 juin 2011 au Centre Cité de Congrès de Lyon. Atelier C5 – Mort provoquée, sédation, limitation de traitements.Organisé avec le partenariat de l’UNF3S/UMVF.Réalisation, production : Canal U/3S et CERIMES Mot(s) clés libre(s) : accompagnement, désir de mort, SFAP 2011, soins palliatifs
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SFAP 2011 - L’euthanasie et l’ordinaire.
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 29-06-2011
/ Canal-U - OAI Archive
FOURNERET E.
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Titre : SFAP 2011 - L’euthanasie et l’ordinaire.Auteur(s) : E. FOURNERET (Philosophe - France).Etablissement : Centre Universitaire de Recherche sur l’Action Publique et Politique, Seyssins, France.Résumé : Le fait même de prononcer le mot « euthanasie » suffit à diviser. D’un côté, ceux qui souhaitent élargir l’action humaine jusqu’à la pratique de l’euthanasie ; de l’autre, ceux pour qui la permission d’un tel acte conduirait à des dérives moralement inacceptables.Face à ce modèle binaire pour/contre, certains philosophes ont proposé une troisième voie à travers l’éthique de la vertu. Ils soulignent que faire preuve de compassion, dans certaines circonstances exceptionnelles, peut justifier le recours à l’euthanasie.Ces différentes positions se trouvent en grande partie dominée par l’affirmation du triomphe théorique, par la prégnance des principes éthiques. Or, si se soucier du malheur d’autrui est primordialement une affaire d’intelligence sensitive dans l’appréciation des situations, une réflexion qui en resterait exclusivement sur les théories et les principes paraît insuffisante.Pour cette raison, il peut être intéressant de saisir ce sujet avec une autre façon de penser en morale. C’était proprement l’objectif de ma thèse de doctorat de philosophie soutenue le 1er octobre 2010 à l’Université de Picardie Jules Verne (sous la direction de S. Laugier et la codirection d’A. Leplège).L’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée.Conférence enregistrée lors du 1er Congrès international francophone de soins palliatifs et d’accompagnement & 17ème Congrès de la Société Française d’Accompagnement et de Soins Palliatifs (SFAP). A la rencontre de nos diversitésDu 28 au 30 juin 2011 au Centre Cité de Congrès de Lyon. Atelier C5 – Mort provoquée, sédation, limitation de traitements.Organisé avec le partenariat de l’UNF3S/UMVF.Réalisation, production : Canal U/3S et CERIMES Mot(s) clés libre(s) : accompagnement, désir de mort, SFAP 2011, soins palliatifs
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