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EMOIS Nancy 2011 - Patients pris en charge pour des troubles mentaux
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 18-03-2011
/ Canal-U - OAI Archive
VASSEUR Stéphanie
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Titre : Patients pris en charge pour des troubles mentaux et du comportement dans le secteur de court séjour du Centre Hospitalier Universitaire d'Angers : une réalité MCO ou RIM-P ?Résumé : Notre établissement prend en charge des pathologies psychiatriques dans des unités de court séjour : le PMSI court-séjour (MCO) est-il bien adapté pour rémunérer à sa juste valeur ce type de prise en charge ?Méthode : On sélectionne tous les résumés d'unités médicales (RUM) de 2009 et 2010 pour lesquels le diagnostic principal (DP) correspond à certaines pathologies psychiatriques : troubles mentaux d’origine non organique sauf ceux liés à l’utilisation de substances psychoactives et troubles de la personnalité. Trois quarts de ces séjours passent par la médecine interne, la pédiatrie médicale ou les urgences et tout particulièrement dans deux services: l'unité médico-psycho-sociale et la pédiatrie médicale. On s'intéresse au service de médecine interne-addictologie-pathologies professionnelles et psychosociales et à la pédiatrie médicale. On sélectionne tous les séjours de 2009 et 2010 qui ont eu au moins un RUM dans une de ces unités. On décompose cette population en deux catégories afin de comparer leur lourdeur :- les séjours relevant d'une prise en charge psychiatrique, présentant un RUM de médecine interne ou de pédiatrie médicale dont le DP est une des pathologies précédemment définies ;- les autres relevant d'une prise en charge somatique.Résultats : 1461 séjours en 2009 et 1056 en 2010 présentent une pathologie psychiatrique en DP. On constate en médecine interne et pédiatrie que la prise en charge psychiatrique allonge significativement la durée moyenne de séjour (DMS) respectivement de 2 et 8,3 jours. En pédiatrie, la DMS est multipliée par quatre alors que la valorisation moyenne n'est multipliée que par deux. On observe donc un manque à gagner équivalent à deux hospitalisations MCO.Discussion/Conclusion : On fait ainsi entrer "de la psychiatrie" dans le MCO mais ce type de prise en charge n'est pas intégré dans ce modèle. Ne faudrait-il pas harmoniser la description de ces séjours avec une prise en charge psychiatrique en MCO et en établissement spécialisé ?Intervenant : VASSEUR Stéphanie, SIX Patrick (Département d'Information Médicale, Centre Hospitalier Universitaire d'Angers, Angers, France).Conférence enregistrée lors des journées EMOIS 2011 à Nancy. Session : Il n’y a pas que le MCO : activité externe, HAD, SSR, Psychiatrie. Modérateurs : Sandra GOMEZ (Agence Technique Information, Hospitalisation-Lyon), Pierre METRAL (RESAMUT – Lyon).Réalisation, production : Canalu U/3S, CERIMES.SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : court-séjour, DMS, DP, EMOIS Nancy 2011, MCO, PMSI, psychiatrie, résumés d'unités médicales, RUM
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EMOIS Nancy 2011 - PMSI SSR combiné à la SAE pour étudier la prise en charge en SSR
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 18-03-2011
/ Canal-U - OAI Archive
VALDELIEVRE Hélène
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Titre : Utilisation statistique du PMSI SSR combiné à la SAE pour étudier la prise en charge en SSR.Résumé : L’étude vise à faire un état des lieux de la prise en charge en Soins de Suite et Réadaptation (SSR) à partir des données du PMSI et de la Statistique Annuelle des Etablissements de santé (SAE).Méthode : Le PMSI-SSR est une base de gestion médico-économique destinée à la tarification de l’activité, et qui nécessite des opérations statistiques pour être utilisée à des fins d’études. Il convient, par exemple, de corriger les défauts d’exhaustivité des jours de présence et de reconstituer des séjours complets. L’appariement avec la SAE met en regard l’activité du PMSI et les facteurs de production associés (capacités et personnels) permettant de calculer des ratios de gestion.Résultats: En 2008, 1762 établissements ont déclaré une activité en SSR pour une activité de plus 32 millions de journées. Les densités d’offre sont plus élevées en Ile de France, en Alsace et dans le sud-est où l’implantation des cliniques est prépondérante. A l’opposé la Champagne Ardenne, les régions du centre disposent d’une offre moindre. La moitié des séjours sont motivés par des maladies du système ostéo-articulaire, des lésions traumatiques ou des affections cardio-vasculaires. Les séjours des femmes sont deux fois plus nombreux que ceux des hommes en poursuites de soins post traumatiques et rhumato-orthopédiques. Par contre, les poursuites de soins cardio-vasculaires ou respiratoires concernent plus d’hommes que de femmes. Les ressources en personnel sont plus élevées dans le secteur public et notamment dans les CHU que dans les cliniques du fait vraisemblablement de la plus grande complexité des cas traités (dans le public, 20% des séjours concernent des patients dépendants).Conclusion : Cette étude montre l’importance des retraitements statistiques lorsqu’on exploite des sources administratives non conçues pour les études. Elle propose ensuite un panorama de l’activité en hospitalisation complète en SSR.Intervenant : VALDELIEVRE Hélène (Direction de la Recherche, des Études, de l’Évaluation et des Statistiques - Ministère chargé de la santé, Paris).Conférence enregistrée lors des journées EMOIS 2011 à Nancy. Session : Il n’y a pas que le MCO : activité externe, HAD, SSR, Psychiatrie. Modérateurs : Sandra GOMEZ (Agence Technique Information, Hospitalisation-Lyon), Pierre METRAL (RESAMUT – Lyon)Réalisation, production : Canalu U/3S, CERIMES.SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : DMS, EMOIS Nancy 2011, HAD, hospitalisation, MCO, non-réponse, PMSI, SAE, soins de suite et de réadaptation, SSR, tarification
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Nouvelle Gouvernance, T2A et PMSI en gestion interne
/ 09-03-2007
/ Canal-U - OAI Archive
TOUSSAINT Eliane, KOHLER François
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Le PMSI sert à de multiples fins : projet d'établissement, qualité des soins, comparaison entre établissements. La gestion d'un établissement ne doit pas faire oublier qu'il s'agit d'abord de gérer la prise en charge des malades au niveau des services clinique et des logistiques de l'établissement.
Origine
SPI EAO CERIMES Faculté de Médecine de Nancy Canal-U Sciences de la Santé et du Sport
Générique
Auteurs : François Kohler (CHU de Nancy) et Eliane Toussaint (AP Paris) Mot(s) clés libre(s) : DMS, DU information médicale, ENC, GHS, PMSI et T2A, RSSGHM, RUM
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Emois Nancy 2009 - Prévision d'activité et de recettes, EPRD et dialogue de gestion avec les pôles
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 06-03-2009
/ Canal-U - OAI Archive
COURPRON J, VILLA P
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Emois Nancy 2009 - Session Utilisation de l’information médicale pour la prévision d’activité (SROS, EPRD, CPOM) ; analyse de l’activité.Prévision d'activité et de recettes, EPRD et dialogue de gestion avec les pôles : une année d'expérience au CH de Coulommiers. J. Courpron, P. VillaSCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : DMS, économie, Emois Nancy 2009, EPRD, gestion financière, GHM, prévision d'activité, RUM
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EMOIS Nancy 2011 - Impact de l’installation d’une IRM dédiée aux urgences sur les durées de séjour.
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 17-03-2011
/ Canal-U - OAI Archive
BRUANDET Amélie
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Titre : Impact de l’installation d’une IRM dédiée aux urgences sur les durées de séjour au CHRU de Lille.Résumé : CHRU de Lille sur la durée moyenne des séjours (DMS).Matériel et Méthode: Etude appariée de type "avant/après" réalisée à partir des données PMSI. Tous les patients des services de neurologie, de neurochirurgie adulte et des urgences ayant bénéficié d’un examen sur l’IRM dédiée aux urgences au cours du second semestre 2009 sont inclus (période après). Pour l’appariement, l’ensemble des séjours réalisés dans ces services au cours du second semestre 2008 sont considérés (période avant). Un modèle logistique, estimant la probabilité de réalisation d’une IRM en 2009, est utilisé pour prédire la probabilité de sa réalisation en 2008.Résultats: En 2009, 1797 patients ont été explorés sur l’IRM. 65% des examens d’IRM ont été réalisés le jour de l’admission, 20% le lendemain et 15% les jours suivants. En neurologie, la DMS évolue peu entre 2008/2009 (9,84 à 9,71 jours, p=0,8114). Aux urgences, la DMS passe de 10,16 à 8,79 jours entre 2008 et 2009, (?DMS=-1,37 jours, p=0,0054). La différence de DMS au sein de ce sous-échantillon tient aux séjours pour lesquels l’IRM est prescrite le jour de l’admission (?DMS=-2,20 jours, p=0,0001). Aux urgences, la DMS pour les suspicions d’AVC diminue quand l’examen est prescrit le jour de l’admission (?DMS=- 3,91 jours, p<0,0001) ou le lendemain (?DMS=-3,04 jours, p=0,0370).Conclusion : Cette étude tend à montrer que l’installation d’une IRM dédiée aux urgences permet de réduire la durée moyenne des séjours pour lesquels une IRM est prescrite aux urgences de l’ordre d’une journée. Pour les suspicions d’AVC admises aux urgences, la réduction de durée de séjour est de 3-4 jours. Pour autant, ces résultats ne permettent pas de dire si une IRM doit être dédiée à l’urgence. Cette analyse pourrait être complétée d’une étude coût/bénéfice intégrant notamment les conséquences d’une meilleure prise en charge des patients.Intervenant : BRUANDET Amélie (Département d’Information Médicale, Clinique de Santé Publique, CHRU de Lille).Conférence enregistrée lors des journées EMOIS 2011 à Nancy. Session : Qualité des pratiques et des soins : évaluation, indicateurs, tableaux de bord. Modérateurs : Daniel MAYEUX (Centre Alexis Vautrin de Nancy), Annick VALENCE (Maternité Régionale Universitaire de Nancy).Réalisation, production : Canalu U/3S, CERIMES.SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : DMS, durée moyenne de séjour, EMOIS Nancy 2011, IRM, PMSI
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EMOIS Nancy 2011 - Activité de l’équipe d’évaluation gériatrique du CH de Senlis
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 18-03-2011
/ Canal-U - OAI Archive
AMAGLI Françine
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Titre : Etude de l’impact de l’activité de l’équipe mobile d’évaluation gériatrique du CH de Senlis, Oise.Résumé : Créée en 2003, l’équipe mobile d’évaluation gériatrique (EMEG) du CH de Senlis intervient systématiquement en chirurgie depuis 2009. L’objectif est d’améliorer la prise en charge clinique des patients âgés, population croissante, vulnérable et poly-pathologique.Méthodes : Les patients âgés de 70 ans et plus hospitalisés en chirurgie sont évalués par l’équipe. Un Résumé d’Unité Médicale (RUM) spécifique est codé lorsque des comorbidités sont prises en charge. Une étude comparative a été menée sur les données PMSI de trois périodes : de juin à décembre 2008 (pas d’évaluation systématique), de juin à décembre 2009 (début de l’évaluation systématique) et de janvier à juin 2010 (évaluation systématique). L’étude d’impact porte sur le codage des comorbidités, les durées et la valorisation des séjours selon l’âge.Résultats : Pour les patients âgés, la durée moyenne de séjour (DMS) se réduit d’une période sur l’autre, témoignant d’une meilleure prise en charge globale. Le codage des comorbidités prises en charge lors du séjour s’améliore au fil des périodes d’études. Sur le premier semestre 2010, pour près de 46% de séjours en chirurgie, une démence est associée; pour 63%, une dénutrition est associée et pour 7,5%, des escarres de décubitus. La valorisation totale pour les séjours en chirurgie est en baisse entre 2009 et 2010, car il existe une baisse d’activité. Le tarif moyen global par séjour reste stable. Par contre, la part de séjours pour les patients de 70 ans et plus dans la valorisation totale augmente (de 42% à 48%), le tarif moyen passant de 4800 à 5300 €.Discussion/Conclusion : L’objectif de l’EMEG d’amélioration de la prise en charge clinique des patients âgés en chirurgie est atteint. Ils sont systématiquement évalués et bénéficient d’une prise en charge gériatrique multidisciplinaire, coordonnée et adaptée. Deux indicateurs d’impact secondaires le corroborent : une diminution de la DMS et une meilleure valorisation des séjours.Intervenant : AMAGLI Françine (Equipe mobile de Gériatrie, Pôle de gérontologie, Centre Hospitalier de Senlis, Oise, France).Conférence enregistrée lors des journées EMOIS 2011 à Nancy. Session : Il n’y a pas que le MCO : activité externe, HAD, SSR, Psychiatrie. Modérateurs : Sandra GOMEZ (Agence Technique Information, Hospitalisation-Lyon), Pierre METRAL (RESAMUT – Lyon).Réalisation, production : Canalu U/3S, CERIMES.SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : chirurgie, codage, DMS, EMEG, EMOIS Nancy 2011, gériatrie, RUM, valorisation
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