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L'eau
/ BioMedia-UPMC
/ 25-02-2011
/ Unisciel
Camus Gilles
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Dans le cadre de l'année de l'eau, il a été décidé de développer un thème commun sur l'eau entre les sites ressources ENS-DGESCO. Cette page est une synthèse des travaux de chacun des sites sur le domaine. Mot(s) clés libre(s) : Eau, Gestion
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Institut du Thermalisme de Dax : Journées d'Automne 2009 - 4/4
/ DCAM - Département Conception et Assistance Multimédia - Université Bordeaux Segalen, Université Bordeaux Segalen - DCAM
/ 27-11-2009
/ Canal-U - OAI Archive
CAMBAR Jean, GREGOIRE Patrick, DUBOURG Karine, LAGIERE Joël, BOUVIER Ghislaine
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Journées d'Automne 20093e Rencontres Internationales de l’Institut du ThermalismeOrganisées dans le cadre du 2e Symposium Européen de Recherche Thermale et des 3e Rencontres Internationales de l'Institut du Thermalisme, les Journées d'Automne 2009 ont rassemblé divers spécialistes autour du thermalisme et de ses effets cliniques sur les curistes. Elles ont été l'occasion d'exposer les résultats de différentes enquêtes et études sur les bénéfices d'une cure thermale chez les patients atteints de problèmes dermatologiques, rhumatologiques, cardio-vasculaires...et de présenter outre le projet de coopération européen TERMARED, quelques travaux originaux de l'Institut du Thermalisme.Les conférences : J. Cambar : Approche in vitro de la recherche thermaleLes études sur modèles in vitro ont déjà apporté des contributions reconnues et déjà validées en pathologie et en thérapeutique. L’intérêt majeur de telles approches in vitro est de permettre des études précises de l’effet cible d’une substance sur un type cellulaire donné. P. Grégoire : Les micro-organismes de l'extrêmeLes micro-organismes qualifiés d’extrêmophiles vivent pour certains en présence de sels à forte concentration (halophiles), pour d’autres à des températures froides ou chaudes (psychrophiles et thermophiles), dans des milieux très acides ou basiques (acidophiles et alcaliphiles) ou sous pression (piézophiles).K. Dubourg : Valorisation des eaux minérales naturelles de Salies-de-BéarnLes eaux minérales naturelles de Salies de Béarn (Pyrénées Atlantiques - 64) sont des eaux froides aux propriétés chlorurées, sodiques fortes. Elles sont utilisées en soins thermaux dans les domaines de la rhumatologie, gynécologie voire la pédiatrie. J. Lagière : Désinfection des piscines thermales : alternative aux dérivés chlorésL’utilisation de produits alternatifs aux dérivés chlorés pour la désinfection des piscines thermales relève d’un enjeu important pour optimiser l’état sanitaire dans les établissements thermaux.G. Bouvier : Manifestations iatrogènes de la cure thermaleUne étude pilote de surveillance épidémiologique des curistes de Dax et Saint-Paul-Lès-Dax a été mise en place, afin de décrire les évènements indésirables pouvant survenir durant la saison thermale 2009 et tenter de mettre en évidence les facteurs pouvant contribuer à expliquer leur survenue. Ce travail s’inscrit dans une démarche d’amélioration de la connaissance du rapport bénéfice/risque des cures thermales Mot(s) clés libre(s) : aquifères (bassin aquitain), bactéries extrêmophiles, bio-industries, brome, chloration, cures thermales, désinfection, eau (bactériologie), eau (qualité), eaux mères (production), eaux minérales (salies-de-béarn - pyrénées-atlantiques), eaux thermales, e
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Le développement durable - Jean Pierre Caldier
/ UTLS au lycée
/ 10-04-2009
/ Canal-U - OAI Archive
Caldier Jean Pierre
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Une conférence de l'UTLS au LycéeLe développement durableAvec Jean Pierre Caldier (Conseil en entreprise)Lycée Floran Tristan (93160 Noisy Le Grand)Partenariat Région Ile de France Mot(s) clés libre(s) : agenda 21, développement durable, eau, éco-citoyens, écologie, grenelle de l'environnement, institutions
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L'eau : un liquide ordinaire ou extraordinaire
/ UTLS - la suite
/ 15-07-2005
/ Canal-U - OAI Archive
CABANE Bernard
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L'eau est un liquide dont les propriétés sont tout à fait surprenantes, à la fois comme liquide pur et comme solvant. C'est un liquide très cohésif : ses températures de cristallisation et d'ébullition sont très élevées pour un liquide qui n'est ni ionique, ni métallique, et dont la masse molaire est faible. Cette cohésion est assurée par les liaisons hydrogène entre molécules d'eau ; l'eau fait ainsi partie d'un petit groupe de liquides qu'on appelle liquides associés. Cependant, parmi ces liquides, la cohésion de l'eau est remarquable, et elle se traduit par une chaleur spécifique énorme. Cette résistance aux variations de température a des conséquences climatiques importantes, puisque la capacité calorifique des océans leur fait jouer le rôle de régulateurs thermiques du climat. L'eau est aussi un liquide très cohésif d'un point de vue diélectrique : sa constante diélectrique est bien plus élevée que celle qu'on attendrait sur la base de la valeur du moment dipolaire de la molécule isolée. C'est aussi, dans les conditions usuelles de température et de pression, un liquide peu dense : les atomes y occupent moins de la moitié du volume total ; une grande partie du volume de l'eau liquide est donc formée de cavités. Le volume occupé par ces cavités varie de manière tout à fait anormale à basse température. D'abord, l'eau se dilate quand on la refroidit en dessous d'une température appelée température du maximum de densité. Ensuite, l'eau se dilate encore de 9 % en cristallisant, contrairement à la plupart des liquides, qui se contractent d'environ 10 % en cristallisant. Cette augmentation de volume, qui fait flotter la glace sur l'eau, a des conséquences environnementales considérables : si la glace était plus dense que l'eau liquide, toute la glace formée dans les régions arctiques coulerait au fond des océans au lieu de former une banquise qui les isole thermiquement des températures extérieures, et la production de glace continuerait jusqu'à congélation complète de ces océans Pour presque tous les liquides, l'application d'une pression réduit la fluidité et favorise le solide par rapport au liquide. Au contraire, pour l'eau à basse température, l'application d'une pression accroît la fluidité et favorise le liquide par rapport à la glace. Cet effet anormal de la pression permet à l'eau de rester fluide lorqu'elle est confinée dans des pores ou des films nanométriques, contrairement aux autres liquides qui se solidifient sous l'effet des pressions de confinement. Cette persistance de l'état fluide est capitale pour le fonctionnement des cellules biologiques : en effet, de nombreux processus requièrent le déplacement de couches d'hydratation avant le contact entre macromolécules, ou avant le passage d'un ligand vers son récepteur. De même le passage des ions à travers les canaux qui traversent les membranes des cellules n'est possible que grâce à l'état fluide de l'eau confinée dans ces canaux. Les théories anciennes attribuaient toutes ces anomalies au fait que les molécules d'eau sont liées par des liaisons H. En ce sens, l'eau devrait avoir des propriétés « en ligne » avec celles d'autres liquides associés (éthanol, glycols, amides). Pour les propriétés de cohésion, c'est une bonne hypothèse de départ bien que les propriétés de l'eau (densité d'énergie cohésive, constante diélectrique) soient supérieures à celles des liquides comparables. Pour les autres propriétés, cette hypothèse n'est pas suffisante : les autres liquides associés ne partagent pas les propriétés volumiques anormales de l'eau, ni son polymorphisme, ni son comportement comme solvant. Certains liquides ont un comportement qui ressemble à celui de l'eau pour une de ses propriétés : par exemple, on connaît quelques liquides qui se dilatent à basse température, ou en cristallisant. Nous découvrirons peut-être un jour que chacune des propriétés anormales de l'eau existe aussi dans un autre liquide. Cependant il est remarquable qu'un seul liquide rassemble autant d'anomalies. Il y a donc un besoin d'explication, auquel ne répondent pas les théories développées pour les liquides simples. Mot(s) clés libre(s) : cohésion, constante diélectrique, dissolution, eau, écoulement, fluidité, liaison hydrogène, permittivité, physique des liquides, solvant
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L'eau : un liquide ordinaire ou extraordinaire
/ UTLS - la suite
/ 15-07-2005
/ Canal-u.fr
CABANE Bernard
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L'eau est un liquide dont les propriétés sont tout à fait surprenantes, à la fois comme liquide pur et comme solvant. C'est un liquide très cohésif : ses températures de cristallisation et d'ébullition sont très élevées pour un liquide qui n'est ni ionique, ni métallique, et dont la masse molaire est faible. Cette cohésion est assurée par les liaisons hydrogène entre molécules d'eau ; l'eau fait ainsi partie d'un petit groupe de liquides qu'on appelle liquides associés. Cependant, parmi ces liquides, la cohésion de l'eau est remarquable, et elle se traduit par une chaleur spécifique énorme. Cette résistance aux variations de température a des conséquences climatiques importantes, puisque la capacité calorifique des océans leur fait jouer le rôle de régulateurs thermiques du climat. L'eau est aussi un liquide très cohésif d'un point de vue diélectrique : sa constante diélectrique est bien plus élevée que celle qu'on attendrait sur la base de la valeur du moment dipolaire de la molécule isolée. C'est aussi, dans les conditions usuelles de température et de pression, un liquide peu dense : les atomes y occupent moins de la moitié du volume total ; une grande partie du volume de l'eau liquide est donc formée de cavités. Le volume occupé par ces cavités varie de manière tout à fait anormale à basse température. D'abord, l'eau se dilate quand on la refroidit en dessous d'une température appelée température du maximum de densité. Ensuite, l'eau se dilate encore de 9 % en cristallisant, contrairement à la plupart des liquides, qui se contractent d'environ 10 % en cristallisant. Cette augmentation de volume, qui fait flotter la glace sur l'eau, a des conséquences environnementales considérables : si la glace était plus dense que l'eau liquide, toute la glace formée dans les régions arctiques coulerait au fond des océans au lieu de former une banquise qui les isole thermiquement des températures extérieures, et la production de glace continuerait jusqu'à congélation complète de ces océans Pour presque tous les liquides, l'application d'une pression réduit la fluidité et favorise le solide par rapport au liquide. Au contraire, pour l'eau à basse température, l'application d'une pression accroît la fluidité et favorise le liquide par rapport à la glace. Cet effet anormal de la pression permet à l'eau de rester fluide lorqu'elle est confinée dans des pores ou des films nanométriques, contrairement aux autres liquides qui se solidifient sous l'effet des pressions de confinement. Cette persistance de l'état fluide est capitale pour le fonctionnement des cellules biologiques : en effet, de nombreux processus requièrent le déplacement de couches d'hydratation avant le contact entre macromolécules, ou avant le passage d'un ligand vers son récepteur. De même le passage des ions à travers les canaux qui traversent les membranes des cellules n'est possible que grâce à l'état fluide de l'eau confinée dans ces canaux. Les théories anciennes attribuaient toutes ces anomalies au fait que les molécules d'eau sont liées par des liaisons H. En ce sens, l'eau devrait avoir des propriétés « en ligne » avec celles d'autres liquides associés (éthanol, glycols, amides). Pour les propriétés de cohésion, c'est une bonne hypothèse de départ bien que les propriétés de l'eau (densité d'énergie cohésive, constante diélectrique) soient supérieures à celles des liquides comparables. Pour les autres propriétés, cette hypothèse n'est pas suffisante : les autres liquides associés ne partagent pas les propriétés volumiques anormales de l'eau, ni son polymorphisme, ni son comportement comme solvant. Certains liquides ont un comportement qui ressemble à celui de l'eau pour une de ses propriétés : par exemple, on connaît quelques liquides qui se dilatent à basse température, ou en cristallisant. Nous découvrirons peut-être un jour que chacune des propriétés anormales de l'eau existe aussi dans un autre liquide. Cependant il est remarquable qu'un seul liquide rassemble autant d'anomalies. Il y a donc un besoin d'explication, auquel ne répondent pas les théories développées pour les liquides simples. Mot(s) clés libre(s) : écoulement, physique des liquides, permittivité, liaison hydrogène, fluidité, dissolution, constante diélectrique, cohésion, eau, solvant
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Mouillage et démouillage (1997)
/ Michèle BREDIMAS
/ 01-01-1997
/ Canal-U - OAI Archive
Brochard-Wyart Françoise
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Comment une goutte d'eau s'étale-t-elle sur une surface? Pourquoi une bulle de savon éclate-t-elle? Des physico-chimistes de l'Institut Curie et du Collège de France tentent de répondre à ces questions en utilisant les formules mathématiques de Laplace et de Young. Les forces capillaires et la tension superficielle du liquide interviennent dans le mécanisme de la goutte, et les mécanismes de mouillage et démouillage.GénériqueAuteur : Françoise Brochard-Wyart Réalisation : Michèle Brédimas Production : UPMC, ENS Mot(s) clés libre(s) : eau
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3. La finitude des ressources : l'eau douce
/ Université Paris I Panthéon-Sorbonne, Florent ALIAS, UVED
/ 28-02-2014
/ Canal-u.fr
BOURG Dominique
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Dans ce cours, Dominique Bourg revient sur la problématique de l'épuisement de la ressource en eau douce, notamment au niveau régional. Mot(s) clés libre(s) : eau douce, territoires, finitude des ressources
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5. Les projections climatiques : cycle de l'eau, cryosphère, océan et carbone
/ Université Paris I Panthéon-Sorbonne, UVED
/ 29-05-2015
/ Canal-u.fr
BOPP Laurent
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Dans cette vidéo, Laurent Bopp s'appuie sur les différents scénarios d'émission du dernier rapport du GIEC pour discuter des évolutions possibles du cycle de l'eau, de la cryosphère, de l'océan et du cycle du carbone au cours du 21ème siècle. Mot(s) clés libre(s) : climat, océans, modèles, carbone, projection, eau, cryosphère
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Pourquoi un T. Shirt mouillé est-il plus foncé qu'un T. Shirt sec ?
/ ENS Lyon CultureSciences-Physique, Gabrielle Bonnet
/ 24-11-2003
/ Unisciel
Bonnet Gabrielle
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Un tissu apparaît plus foncé quand il est mouillé. Cet article illustré propose plusieurs explications :
absorption de la lumière par l'eau, coefficient de réflexion modifié, structure différente des fibres du tissu. Mot(s) clés libre(s) : couleur, coefficient de transmission, coefficient de réflexion, coefficient d'absorption, eau, fluorescence
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Pourquoi la glace se forme-t-elle d'abord en surface ?
/ ENS Lyon CultureSciences-Physique, Gabrielle Bonnet
/ 26-09-2005
/ Unisciel
Bonnet Gabrielle
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Pourquoi la glace se forme-t-elle d'abord en haut, et l'huile se solidifie-t-elle d'abord par en bas ? Que se passerait-il avec d'autres liquides ? Mot(s) clés libre(s) : glace, eau, surfusion, transitions de phases
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