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Mourir à Tokyo / Natacha Aveline
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 01-01-1999
/ Canal-U - OAI Archive
AVELINE Natacha
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La bulle foncière des années 1985-1990 a profondément modifié le visage de Tokyo. Une bonne partie du tissu pavillonnaire s’est brutalement verticalisé pour donner à la capitale nippone l’allure d’une capitale mondiale. Pris dans la tourmente, les cimetières ont également connu des mutations, parfois même assez spectaculaires. Reste t-il une place pour les cimetières dans la capitale nippone, considérant les fortes contraintes foncières auxquelles elle est soumise ?Le film Mourir à Tokyo témoigne de la résistance opiniâtre des espaces de la mort en dépit de l'explosion urbaine et des mutations, parfois radicales, qui les affectent. L'éclatement du modèle rural de la tombe familiale au profit de tombes individuelles a accru la demande d'emplacements funéraires, rendant ce marché très lucratif. Celui-ci fonctionne désormais selon des logiques très proches des marchés immobiliers, d'où l'intervention très remarquée des sociétés immobilières, en particulier dans deux domaines : l'aménagement de grands cimetières privés en banlieue et l'assistance technique auprès des communautés bouddhiques pour l'aménagement de nouveaux espaces funéraires dans l'enceinte de leurs temples.Version japonaise sous-titrée en français. Mot(s) clés libre(s) : cimetières, croissance urbaine, économie urbaine, spéculation foncière, Tokyo (Japon), urbanisme, utilisation du sol
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Les impasses de la quantification
/ Université Paris I Panthéon-Sorbonne, Florent ALIAS, UVED
/ 28-02-2014
/ Canal-u.fr
AUREZ Vincent
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Vincent Aurez expose les difficultés que l'on peut rencontrer dans le cadre de la définition d'indicateurs de développement durable ou d'économie circulaire. Afin d'expliquer cela, il met en avant plusieurs facteurs : diversité et dynamiques socio-culturelles, complexité des écosystèmes, effets rebonds, etc. Mot(s) clés libre(s) : développement durable, indicateurs, économie circulaire, évaluation
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Les flux internationaux de déchets
/ Université Paris I Panthéon-Sorbonne, Florent ALIAS, UVED
/ 28-02-2014
/ Canal-u.fr
AUREZ Vincent
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Vincent Aurez donne un aperçu de ce que représentent les flux internationaux de déchets et aborde les enjeux sociaux, économiques et environnementaux qui leur sont attachés. Mot(s) clés libre(s) : déchets, économie circulaire, déchets électroniques, économie des déchets
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La tentation émergétique
/ Université Paris I Panthéon-Sorbonne, Florent ALIAS, UVED
/ 28-02-2014
/ Canal-u.fr
AUREZ Vincent
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Vincent Aurez définit l'émergie et montre quel pourrait être l'intérêt de cet indicateur dans l'optique d'une évaluation des territoires en matière de mise en oeuvre des principes de l'économie circulaire. Mot(s) clés libre(s) : énergie, indicateur, économie circulaire, émergie, évaluation
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Comparaison des politiques internationales d'économie circulaire
/ Université Paris I Panthéon-Sorbonne, Florent ALIAS, UVED
/ 28-02-2014
/ Canal-u.fr
AUREZ Vincent
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Vincent Aurez présente les spécificités des politiques d'économie circulaire mises en oeuvre dans quatre pays pionniers en la matière : l'Allemagne, les Pays-Bas, la Chine et le Japon. Mot(s) clés libre(s) : Chine, Japon, Allemagne, Pays-Bas, économie circulaire
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La sortie de crise de l’Islande
/ Serge BLERALD, Direction de l'Audiovisuel de l'EHESS (Dir. Jean-Claude Penrad)
/ 26-05-2014
/ Canal-u.fr
AUCANTE Yohann, LECHEVALIER Sébastien, BELAND Daniel, OLAFSSON Stefán
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L’EHESS poursuit son cycle de débats Les Agendas du Politique sous l’égide du laboratoire d’excellence Tepsis et des Éditions de l’EHESS.
Conférence du 28 mai 2014
En dépit d’un effondrement de son système bancaire et d’une crise sans précédent en 2008, l’Islande a trouvé la voie d’un redressement. Y a-t-elle réussi en préservant des conditions d’égalités et de protection sociales ?
Intervenant :
Stefán Ólafsson (University of Iceland)
Discutants :
Daniel Béland (Canada Research Chair in Public Policy & University of Saskatchewan)
Sébastien Lechevalier (EHESS & Fondation France/Japon)
Modérateur :
Yohann Aucante (CESPRA/EHESS) Mot(s) clés libre(s) : islande, finances, crise économique
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Conférence de Jacques Attali à l'École polytechnique : Peut-on penser le monde en 2030 ?
/ 18-02-2014
/ Canal-u.fr
ATTALI Jacques
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Jacques Attali donnait le 18 février 2014 une conférence à l'École polytechnique sur le thème : "Peut-on penser le monde en 2030" ?
Retrouvez le Livetweet de la conférence : https://twitter.com/search?q=%23AttaliX&src=hash Mot(s) clés libre(s) : économie, conférence, prospective, école polytechnique (paris), sciences politiques, Polytechnique, Jacques Attali, Attali, 2030
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Forum Nîmois - Charles GIDE - Patrick ARTUS - 8 Octobre 2015
/ 08-10-2015
/ Canal-u.fr
ARTUS Patrick
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L’activité de notre association Charles Gide reprend, pour son cycle de conférences "le forum Nîmois Charle GIDE" Jean MATOUK président de l'assosiation et professeur des universités recoit, le 8 octobre 2015, au lycée Daudet de Nimes Patrick Artus.
Te voici de nouveau parmi nous. Ce soir, le Forum Charles
Gide t’accueille dans le plus ancien Lycée de la Ville, celui sur les bancs
duquel se sont assis ,entre autres,
quatre Gaston célèbres : Gaston
Doumergue, Président de la république de 1924 à 1931, , Gaston Deferre, Gaston
Darboux mathématicien, secrétaire
perpétuel de l'Académie des Sciences, Gaston Boissier écrivain, professeur d'éloquence latine
au Collège de France, et Secrétaire perpétuel de l'Académie Française en 1895 et quelques autres dont Jean-Pierre Serre,
Médaille Fields à l'âge de 28 ans, Professeur au Collège de France...
Nous t’accueillons ici à
la demande de Madame Barbé, le proviseur, et d’enseignants d’économie qui ont
préparé l’écoute de ton intervention
avec quelques élèves.
Tu es l’un de nos grands économistes, l’un de meilleurs
d’entre nous oserais-je dire. Tu es ancien élève de l’Ecole Polytechnique et de
l’Ecole nationale de la statistique et des études économiques, professeur à
Paris I Panthéon Sorbonne. Tes mérites ont été largement reconnus, puisque tu
es membre de trois viviers des plus grands esprits de l’économie en
France : Le Conseil d’analyse économique, près du Premier ministre, de la
Commission économique de la nation, et, last but not least, du Cercle des
économistes, dont j’essaye de ne manquer aucune manifestation, notamment les
célèbres rencontres d’Aix en Provence.
Ce soir tu viens, avec un livre à l’appui : Croissance zéro. Comment éviter le
chaos, », publié chez Fayard, succédant, il faut le savoir, à un
autre, qui, en quelque sorte l’anticipait, « Les apprentis sorciers. Quarante ans d’échecs de la politique
économique française », nous parler de la croissance. Ou plus précisément du manque de
croissance dont tu crains qu’il ne soit durable. Soyons clair, faudra-t-il que
nous nous contentions définitivement, dois-je dire au mieux, d’une croissance
de 1,5% à 2%, telle que celle que nous espérons encore pour 2016 en
France ? Pourquoi ? Quelles sont ou seraient les causes de cette
anémie pernicieuse, de cette
« languitude économique» en osant ce néologisme.
Et, si c’est le cas, comment doit-on organiser la société,
quelles actions l’Etat doit-il mener pour qu’elle ne se traduise pas, à moyen
terme, par un chaos social.
Sur la première partie du sujet, la croissance languissante,
à titre purement introductif, je voudrais brosser un tableau élémentaire de départ des connaissances sur le sujet. On
apprend à nos étudiants que la croissance a deux facteurs : les hommes,
c’est-à-dire la population active disponible et le capital. En fait, dans cette
optique, elle en a trois, car il faut ajouter le facteur « mystère »,
ou plutôt le « bouche trou », que dans la fonction de production la
plus simpliste, celle a deux facteurs seulement on mesure par la marge
d’erreur, l’écart type de l’ajustement aux deux premiers.
Ce « bouche trou » on l’appelle PGF, productivité
globale des facteurs a, c’est-à-dire la croissance du PIB résultant d’une
augmentation unitaire des deux facteurs de base, travail et capital. Une
question tout de même, qui semble
aujourd’hui « ringarde », le capital peut-il avoir une
productivité ? Une machine, une liasse de billets pour l’acheter, sont-elles
capables de produire sans les hommes ? A cette question les économistes
d’aujourd’hui répondent avec cette productivité globale des facteurs, qui
élimine la question en considérant que les deux facteurs ne font qu’un. En un
sens, c’est tant mieux, car cela évite de délicates questions de doctrine.
C’est sur cette productivité qu’aujourd’hui les questions se
posent. Cette productivité, elle est évidemment liée au progrès technique
incorporé dans le capital, mais aussi à celui qui est dans la tête des
travailleurs. D’ailleurs divers collègues ont écrit, à la suite de Cobb et
Douglas, des fonctions de production incorporant le progrès technique, ou la
quantité d’information technologique présente dans les machines et les têtes.
Devant la difficulté de « mathématifier » des
fonctions de production de plus en plus complexes, nombre de nos collègues ont
d’ailleurs fini par ignorer , en quelque sorte, les deux facteurs, et revenant
au célèbre Joseph Schumpeter, mettre le progrès technique devant, à long terme
au moins, au-delà de la conjoncture, comme seul facteur de croissance donc de
production. Schumpeter, ses grappes d’innovations cycliques, et sa
destruction-créatrice : destruction des vielles entreprises et de leurs
vieilles machines pour les remplacer par des neuves !
Je te laisse le soin de développer ou contredire, mais tu
n’échapperas pas s’agissant de la période actuelle, au paradoxe de Robert Solow,
prix Nobel 1987, qui, la même année, s’étonnait, je cite « que
l’introduction massive des ordinateurs dans l’économie, contrairement aux
attentes ne se traduisait pas par une augmentation statistique de la
productivité » .
Taux de croissance
annuels de la productivité globale des facteurs
1985-90
1990-95
1995-200
2000-07
2007-11
France
1,7
1,1
1,3
0,9
-0,3
Allemagne
1,4
1,1
1,1
0,1
Roy-Uni
0,4
1,6
1,4
1,5
-2,4
Etats-Unis
0,7
0,7
1,5
1,4
0,8
Japon
0,7
0,7
0,7
1,1
0,3
Source : OCDE et autres
Je ne sais pas si tu valides ce tableau de chiffre de la
productivité globale des facteurs. Elle laisse entrevoir un net ralentissement
pour la France, l’Allemagne, et le Japon, moins net pour les Etats-Unis et une
évolution chaotique pour cette Angleterre dont on fait un modèle. Or, effectivement, ces années sont celles de
l’explosion de l’informatisation, celle du passage à la production 2.0 puis
même aujourd’hui à la société 2.0. Comment
se fait-il que cette explosion ne se traduise pas dans les chiffres.
J’avance une explication : sur 2000-2011, il y a eu le
creux de 2008-2009. Or on mesure cette productivité avec une fraction dont,
sous une forme ou une autre, le numérateur est la production. Si elle baisse ou
ralentit, si le numérateur diminue, comme en 2008-2009, la fraction diminue
mécaniquement
Et il y a , je crois , une autre raison, que tu as d’ailleurs
expliquée un jour dans un article du Monde, et que sans doute tu vas
reprendre : l’informatique, c’est non seulement une augmentation de la productivité du travail- j’ai organisé
la dématérialisation des titres dans une banque , des chèques, des retraits
d’espèces et j’ai pu l’observer de près, mais c’est aussi une offre
surabondante de nouvelles informations, dont se servent les entreprises, mais
,qu’elles ne comptent pas dans leur production, et qui est pourtant produite quelque
part. C’est aussi, ces derniers temps, l’horizontalisation des échanges
sociaux, de transports, d’appartements, de repas …qui ne sont pas non plus, en
tous cas pas encore, relevés comme production, puisqu’ils ne sont d’ailleurs
pas encore taxés.
Je crois donc qu’il n’est pas tout à fait exact de dire que
la productivité baisse. Qu’en penses-tu ? Le progrès technique se ralentit-il ?
Avons-nous connu une période exceptionnelle dans l’après-guerre, certains
disent même depuis 250 ans, et rentrons nous dans la grande stagnation. Que
faire ? Mot(s) clés libre(s) : croissance économique, productivité, PIB
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Le changement ça s'apprend ! Atelier 3 : Un management au service du changement
/ Service TICE - UNS
/ 27-05-2013
/ Canal-u.fr
ARTAZA Felipe, NADAU Didier
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3eme Atelier : Un management au service du changementIntervenants : Felipe Artaza, MC en Sciences de Gestion et Didier Nadau, Directeur Relation Clients à La PosteDepuis une dizaine d'années, les pratiques de conduite du changement se sont développées au sein des entreprises. Afin de mener à bien le changement, les entreprises doivent mettre en place de nouveaux systèmes de management entre autre. Un exemple est celui de l'adhesion des salariés au projet de changement.Séminaire Organisé par les étudiants du Master 1 Eco-Gestion des Ressources Humaines Alternance de l'Institut Supérieur d'Economie et de Management, sur le thème du changement mélangeant les interventions des étudiants et ceux des professionnels. Mot(s) clés libre(s) : Management, Dialogue social, chsct, mutations économiques, IRP
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Les mondes ruraux latino-américains face aux changements globaux : débats et expériences quant à l'usage des sols / Xavier Arnaud de Sartre
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Franck DELPECH, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 14-10-2016
/ Canal-u.fr
ARNAULD DE SARTRE Xavier
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Les mondes ruraux latino-américains face aux changements globaux : débats et expériences quant à l'usage des sols / Xavier Arnaud de Sartre, in "Ressources et innovations dans les Amériques", 13e colloque international de l'Institut des Amériques organisé par l'Institut Pluridisciplinaire pour les Études sur les Amériques à Toulouse (IPEAT) de Université Toulouse Jean Jaurès (UT2J), l'Institut d'Études Politiques (IEP) de l'Université Toulouse 1 Capitole et la Maison Universitaire Franco-Mexicaine (MUFM). Université Toulouse Jean Jaurès-campus Mirail, 14-16 octobre 2015.
Au-delà des difficultés rencontrées, l’Amérique latine est également reconnue sur la scène mondiale pour l’amélioration de ses situations économiques, sociales et politiques, et pour ses capacités à expérimenter et à innover, dans des contextes à la fois complexes et stimulants. Afin de donner la mesure de ce que le continent américain peut proposer dans ce qu’il a de positif, de novateur, qui fait source et ressource, qui pousse à l'inventivité et à l’adaptation, qui tend au dépassement de certains problèmes, l’édition 2015 du colloque annuel de l‘IdA se donne pour objectif d’identifier et d’analyser les dynamiques d’innovations et de valorisation des ressources dans les Amériques.
La réflexion s’enracine dans les substrats socio-culturels et historiques du continent, nationaux et régionaux, afin d’apporter des éléments de compréhension des contraintes, des convoitises, des spoliations mais également des avancées, des créations, des expériences inédites, etc. Dans les Amériques, la prise en main de leur destin par un grand nombre d’individus et de sociétés, locales ou nationales, invite donc à (re)visiter les notions (sans opposition systématique
entre elles) de ressources matérielles / symboliques, naturelles / culturelles, historiques / patrimoniales, sociales / territoriales, expressives / artistiques, sous-valorisées / idéalisées, géopolitiques / géoéconomiques. Elle invite aussi à se pencher sur les innovations
techniques, productives, sociales, politiques, organisationnelles, etc.
Elle suppose de s’interroger sur les questions des conflits vs appropriation, épuisement vs préservation, normes vs illicite, développement durable vs développement économique, valorisation vs (co)gestion. Mot(s) clés libre(s) : production agricole (aspect économique), sols agricoles, agriculture durable, communs naturels, Argentine, Agroécologie, Amazonie (Brésil)
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