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L'État souverain face à la mondialisation
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 10-06-2000
/ Canal-u.fr
STERN Brigitte
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""" No man is an island "", "" Aucun homme n'est une île "" disait le poète John Donne. L'homme ne vit pas isolé, il est inséré dans toute une série de collectivités, dans tout un ensemble de sociétés : la société familiale, la société tribale, les sociétés religieuses, les sociétés sportives, les sociétés savantes, voire des sociétés secrètes, mais aussi la société étatique. L'Etat se distingue fondamentalement des autres collectivités humaines, parce qu'il est une collectivité souveraine, du fait qu'il dispose du monopole de la force armée organisée sur son territoire. A ce monopole de la force armée organisée est lié le monopole d'édiction du droit : est règle juridique la règle que l'État considère comme une règle juridique, soit qu'il l'édicte lui-même à travers ses organes, soit qu'il reconnaisse des règles posées par d'autres, comme par exemple dans les contrats nationaux ou internationaux établis par les particuliers ou des sociétés multinationales, comme ayant valeur juridique. On conçoit facilement qu'un droit destiné à s'appliquer au sein d'un État qui dispose de la force - le droit national - n'aura vraisemblablement pas les mêmes caractéristiques qu'un droit destiné à s'appliquer entre États souverains, disposant chacun du monopole de la force armée organisée sur son territoire, mais non dans l'ensemble de la communauté des États : le droit international apparaît dès lors comme un droit s'appliquant dans une société où il n'y a pas de centralisation de la force armée organisée. Cette structuration différente des sociétés internes et de la société internationale explique que les contours de la souveraineté ne soient pas les mêmes dans l'ordre interne et dans l'ordre international. " Mot(s) clés libre(s) : etat, mondialisation, souveraineté
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L'identité fluctuante de Barack Obama / Lea Stephan
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Claire SARAZIN, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 15-10-2014
/ Canal-u.fr
STEPHAN Léa
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L'identité fluctuante de Barack Obama / Lea Stephan, in colloque "Les Amériques noires : identités et représentations",
organisé par le Pôle Sud-Ouest de l'Institut des Amériques, l'Institut de recherche et études culturelles (IRIEC), l'Institut Pluridisciplinaire pour les Études sur
les Amériques à Toulouse (IPEAT) et le laboratoire Cultures Anglo-Saxonnes (CAS), Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, 15-18 octobre 2014. Thématique 2 : Identités relationnelles.Cette communication se propose d'étudier l'identité changeante
qu'endosse Barack Obama en montrant combien il choisit de représenter
des facettes spécifiques de son identité en fonction de ses besoins
politiques du moment. A l'instar de la population américaine, les
origines de Barack Obama sont mixtes et complexes. Toutefois, pour les
besoins de son rôle de président de tous les américains, Barack Obama
favorise le plus souvent une identité racialement neutre, celle du politicien noir post-mouvement des droits civiques qui privilégie
le paradigme de la classe au détriment de celui de la race. Mais
l'analyse montre que suivant le sujet abordé et l'auditoire, Obama
choisit par contre de mettre en avant d'autres facettes de son identité.
En effet, particulièrement pour des sujets sensibles ou concernant
certaines communautés en particulier, Obama puise dans son identité
complexe pour tisser des liens avec son auditoire. Lea Stephan montre
comment Obama favorise tour à tour ses oirigines noires ainsi que celles
de sa femme, afin d'asseoir sa légitimité auprès de la communauté
africaine-américaine, mais aussi comment il utilise son passé d'immigré
en Indonésie pour créer un rapport priviligié avec la communauté
hispanique. Mot(s) clés libre(s) : identité culturelle (Etats-Unis), noirs américains (identité collective), Barack Obama (1961-....)
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/ Bruno BASTARD, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 31-05-2011
/ Canal-U - OAI Archive
SLOVIC Scott
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Mot(s) clés libre(s) : communication en sciences humaines (Etats-Unis), édition savante (Etats-Unis), édition scientifique en sciences humaines, presses universitaires (Etats-Unis), publications universitaires, sciences humaines et sociales (information scientifique)
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Introduction à l'oeuvre architecturale de William Morgan / Richard Shieldhouse (lu par M. Mirande)
/ Claire SARAZIN, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 10-04-2010
/ Canal-U - OAI Archive
SHIELDHOUSE Richard
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Brève introduction à l'oeuvre architecturale de William Morgan. Richard SHIELDHOUSE (texte lu par Marion Mirande). In colloque "Conservation, restauration de l'architecture du Mouvement Moderne : l'exemple de l'Université de Toulouse-Le Mirail de Georges Candilis" organisé par l'Université de Toulouse II-Le Mirail en partenariat avec les universités de Rennes 2 et Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Université Toulouse II-Le Mirail / Musée Les Abattoirs, 8-10 avril 2010.Formé par Walter Gropius et par José Luis Sert (collaborateur de Le Corbusier dans les années 20) à la Graduate School of Design de l'Université d'Harvard, William Morgan est devenu l'un des architectes les plus distingués des États-Unis. Internationalement reconnus pour leur excellence dans la conception architecturale, les travaux de William Morgan vont de l'ambassade américaine à Khartoum, aux palais de justice de Fort Lauderdale et Tallahassee, en passant par le Musée d'Histoire naturelle de Gainesville et des appartements à Atlantic Beach en Floride où William Morgan a installé son cabinet d'architecture en 1961. Les réalisations de William Morgan démontrent ses influences et ses intérêts architecturaux : architectures en terre, architectures pré-colombiennes (structures pyramidales, colonnes de béton-arbres...). Mot(s) clés libre(s) : architecture moderne (États-Unis), construction en béton, Mouvement moderne (architecture), William Morgan (1930- ....)
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Raison d'Etat et science de la police : deux technologies de l'ordre
/ ENS-LSH/SCAM
/ 13-11-2001
/ Canal-U - OAI Archive
SENELLART Michel
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Les discours du politique : Ecole thématique Violence, consensus, sécuritéMichel Senellart se livre ici à une analyse de la Raison d'Etat et de la police comme deux modes très différents d'exercice du pouvoir. Il propose une définition, une histoire et une liste des attributions de la police ainsi qu'une définition de la Raison d'Etat, d'après Giovanni Botero. Il précise que c'est avec Botero, en 1589, que cette expression accède à la dignité d'un concept théorique. La Raison d'Etat consiste en une "connaissance des moyens de maintenir et affermir la domination de l'Etat". Michel Senellart rappelle que la conservation de l'Etat était déjà le problème de Machiavel et s'interroge sur le but ultime de l'Etat - le bonheur commun - ainsi que sur celui de la police et de la politique. Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia Captation vidéo: Sebastien Boudin, Julien Lopez, Mathias Chassagneux, Son: Samuel Bazin, Montage-Encodage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : philosophie, police, pouvoir, raison d'état
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L'idée d'Etat de droit - Cours n°14
/ ENS-LSH / Canal Philo / Service Commun Audiovisuel et Multimédia
/ 14-05-2007
/ Canal-U - OAI Archive
SENELLART Michel
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Introduction à la philosophie politique, l'idée d'état de droit.Kelsen (suite). Le statut épistémologique de la norme fondamentale. Validité de tout ordre juridique positif. (III) La théorie de l’Etat. Contre le dualisme de l’Etat et du droit. A) Critique du concept de souveraineté ; ses fondements théologiques. B) L’identité de l’Etat et du droit. Définition de l’Etat comme ordre normatif. Signification des concepts d’autorité, de volonté et de puissance à la lumière de cette définition. L’Etat, personnification de l’ordre juridique. Tout Etat est un Etat de droit. Schmitt contre Kelsen.Equipe technique :Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Exploitation: Julien Lopez, Image: Sébastien Boudin, Son: Xavier comméat, Montage: Mathias Chassagneux, Multimédia: Patrick Sarselli, Design graphique: Antonello Marvulli Mot(s) clés libre(s) : droit et état, état de droit, primauté du droit
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L'idée d'Etat de droit - Cours n°13
/ ENS-LSH / Canal Philo / Service Commun Audiovisuel et Multimédia
/ 07-05-2007
/ Canal-U - OAI Archive
SENELLART Michel
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Introduction à la philosophie politique, l'idée d'état de droit.Le positivisme juridique de Hans Kelsen (1881-1973). (I) L’objet de la science du droit : A) Séparation de la science juridique avec la politique. Caractère anti-idéologique de la théorie pure du droit. B) Séparation de la science juridique avec les sciences de la nature. Différence entre le principe de causalité et le principe d’imputation. Le droit comme ordre normatif. (II) La hiérarchie des normes et la norme fondamentale (Grundnorm). La recherche du fondement de la validité des normes conduit à l’hypothèse d’une norme fondamentale.Equipe technique :Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Exploitation: Julien Lopez, Image: Sébastien Boudin, Son: Xavier comméat, Montage: Mathias Chassagneux, Multimédia: Patrick Sarselli, Design graphique: Antonello Marvulli Mot(s) clés libre(s) : droit et état, état de droit, primauté du droit
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L'idée d'Etat de droit - Cours n°12
/ ENS-LSH / Canal Philo / Service Commun Audiovisuel et Multimédia
/ 26-04-2007
/ Canal-U - OAI Archive
SENELLART Michel
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Introduction à la philosophie politique, l'idée d'état de droit.Concept matériel et concept formel de l’Etat de droit. Le tournant formaliste du XIXe siècle : F. J. Stahl (1802-1861). Conséquences de ce tournant : (I) le déplacement de la notion d’Etat de droit du plan constitutionnel au plan administratif. L’Etat de droit comme « Etat du droit administratif bien ordonné » (O. Mayer). Le principe du contrôle juridictionnel de l’administration. Importance de ce principe pour Hayek. L’application du principe de l’Etat de droit dans l’ordre économique (Foucault). (II) La transformation du concept jusnaturaliste d’Etat de droit en un concept positiviste : G. Jellinek (1851-1911). L’Etat comme « personne juridique » et la théorie de l’autolimitation.Equipe technique :Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Exploitation: Julien Lopez, Image: Sébastien Boudin, Son: Xavier comméat, Montage: Mathias Chassagneux, Multimédia: Patrick Sarselli, Design graphique: Antonello Marvulli Mot(s) clés libre(s) : droit et état, état de droit, primauté du droit
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L'idée d'Etat de droit - Cours n°11
/ ENS-LSH / Canal Philo / Service Commun Audiovisuel et Multimédia
/ 02-04-2007
/ Canal-U - OAI Archive
SENELLART Michel
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Introduction à la philosophie politique, l'idée d'état de droit.Humboldt (fin). L’Etat minimal, forme pure de l’Etat de droit ? L’analyse de P. Rosanvallon : de l’Etat protecteur classique à l’Etat-providence. Refus de cette évolution par Humboldt. Sa limitation du champ d’action de l’Etat, plus restrictive que celle de Kant. Critique de la thèse de Humboldt a) par les théoriciens libéraux du Rechtsstaat (R. von Mohl) : réintroduction de la finalité du bien-être dans la définition de l’Etat de droit ; b) par Hayek (nécessité de distinguer les activités coercitives et non coercitives de l’Etat ; le problème du contrôle juridictionnel de la machine administrative).Equipe technique :Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Exploitation: Julien Lopez, Image: Sébastien Boudin, Son: Xavier comméat, Montage: Mathias Chassagneux, Multimédia: Patrick Sarselli, Design graphique: Antonello Marvulli Mot(s) clés libre(s) : droit et état, état de droit, primauté du droit
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L'idée d'Etat de droit - Cours n°10
/ ENS-LSH / Canal Philo / Service Commun Audiovisuel et Multimédia
/ 26-03-2007
/ Canal-U - OAI Archive
SENELLART Michel
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Introduction à la philosophie politique, l'idée d'état de droit.Humboldt (suite). L’Essai sur les limites de l’action de l’Etat (1792). (I) La critique de l’Etat de bien-être : A) La véritable fin de l’homme : l’accomplissement de son individualité. La liberté, première condition du perfectionnement intérieur (innere Bildung) ; pas de liberté sans diversité des situations. B) Le fonctionnement de l’Etat de bien-être. Conséquences du soin de l’Etat pour le « bien positif », physique et moral, des citoyens : uniformisation de la société, mécanisation des individus, bureaucratisation de l’Etat. (II) La thèse de l’Etat minimal : ne gouverner qu’autant qu’il est nécessaire. La sûreté des citoyens, seule fin nécessaire de l’Etat. Définition de ce « bien négatif » : « la garantie de la liberté légale ».Equipe technique :Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Exploitation: Julien Lopez, Image: Sébastien Boudin, Son: Xavier comméat, Montage: Mathias Chassagneux, Multimédia: Patrick Sarselli, Design graphique: Antonello Marvulli Mot(s) clés libre(s) : droit et état, état de droit, primauté du droit
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