Tri :
Date
Editeur
Auteur
Titre
|
|
Droit et mondialisation
/ Mission 2000 en France
/ 06-11-2000
/ Canal-U - OAI Archive
DELMAS-MARTY Mireille
Voir le résumé
Voir le résumé
La question n'est déjà plus de savoir si l'on est pour ou contre la mondialisation du droit, car le droit devient mondial, dans certains secteurs et par à coups. Sur une planète en proie aux tensions nées des inégalités économiques croissantes et de la montée des particularismes, nationaux et régionaux, qui mettent en cause l'universalisme des droits de l'homme, cette mondialisation est-elle pratiquement possible ? Est-elle juridiquement raisonnable, c'est-à-dire pensable comme un ensemble ordonné selon la raison juridique, alors que la prolifération anarchique des normes et le brouillage des repères donnent plutôt une image de désordre ? Enfin la mondialisation est-elle éthiquement souhaitable, alors que les valeurs démocratiques ne sont respectées ni dans tous les États, ni dans toutes les institutions internationales ? Autant de défis à relever dans la construction de ce "droit commun de l'humanité" dont on commence peut-être à entrevoir le dessein pour la première fois dans l'histoire. Mot(s) clés libre(s) : démocratie, droits de l'Homme, Europe, mondialisation, souveraineté
|
Accéder à la ressource
|
|
Reims 2011 – Jurisprudence et avenir de l’expertise en Europe.
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport
/ 08-04-2011
/ Canal-U - OAI Archive
de FONTBRESSIN Patrick
Voir le résumé
Voir le résumé
Titre : Reims 2011 – Jurisprudence et avenir de l’expertise en Europe.Intervenant : Patrick de FONTBRESSIN (Avocat à la Cour – Maitre de Conférence à l’Université de Paris XI).Résumé : Réflexions à un carrefour de la jurisprudence : point de choc ou point de rencontre. Retour sur la construction jurisprudentielle de l’Europe.L’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée.Conférence enregistrée lors du colloque des compagnies d’experts de justice du grand est : L’expert de justice en Europe. Organisé par la Compagnie de Reims le vendredi 8 avril 2011.Réalisation, production : Canal U/3S Mot(s) clés libre(s) : environnement, Europe, expert, jurisprudence, justice, Reims 2011, santé
|
Accéder à la ressource
|
|
Experts 2011 - Jurisprudence et avenir de l'expertise en Europe
/ C.E.R.I.M.E.S., Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport
/ 08-04-2011
/ Canal-U - OAI Archive
de FONTBRESSIN Patrick
Voir le résumé
Voir le résumé
Colloque des Compagnies des Experts de Justice du Grand Est.Organisé par la Compagnie de Reims sous la présidence d’honneur de Monsieur le Premier Président et de Monsieur le Procureur Général de la Cour d’Appel de Reims.Titre : Jurisprudence et avenir de l'expertise en Europe.Intervenant: Maître Patrick de FONTBRESSIN, avocat à la Cour-Maître de conférences à l’Université Paris XISCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : Compagnie des Experts de Reims, droit, droits de l'Homme, économie, Europe, expertise, juge, jurisprudence, justice
|
Accéder à la ressource
|
|
Emilio de Capitani / Espace Schengen, flux migratoires et sécurité en Europe
/ Université de Bordeaux - Service Audiovisuel et Multimédia
/ 27-11-2015
/ Canal-u.fr
DE CAPITANI Emilio
Voir le résumé
Voir le résumé
Dans le cadre de l’édition 2015 des
journées sur l’Union Européenne Eurotémis, organisée par Science Po Bordeaux,
plusieurs personnalités se sont prêtées aux questions des étudiants de
l’association EUROFEEL sur le thème « L’espace Schengen : Problème ou
solution aux flux migratoires et à la sécurité en Europe ? »
Mot(s) clés libre(s) : immigration, Espace Schengen, Europe
|
Accéder à la ressource
|
|
ORPHANET - Au service de l'Europe et du citoyen par Loredana d'AMATO-SIZONENKO
/ 15-02-2007
/ Canal-U - OAI Archive
D'AMATO-SIZONENKO Loredana
Voir le résumé
Voir le résumé
La Suisse ne bénéficie pas des accords européens. La Suisse est un pays de 26 cantons, trois langues et 26 ministres de la santé. la coordination médicale y est donc difficile.
Origine
ORPHANET, 10 ans au service des maladies rares le 15 février 2007
Générique
Auteur : Loredana d'AMATO-SIZONENKO Réalisation : Canal-U Médecine et Santé - CERIMES Marcel LECAUDEY Loïc QUENTIN SCD médecine Mot(s) clés libre(s) : Europe, maladies rares, ORPHANET, Suisse
|
Accéder à la ressource
|
|
ORPHANET - Au service de l'Europe et du citoyen par Mircea COVIC
/ 14-01-2007
/ Canal-U - OAI Archive
COVIC Mircea
Voir le résumé
Voir le résumé
Orphanet est un très bon exemple de collaboration internationale en Europe : la Roumanie est entrée dans Orphanet en 2004. Depuis janvier 2007, ce pays est entré dans l'Union européennne. Mais il n'y a pas de stratégie nationale en médecine et encore moins la génétique médicale qui n'est pas reconnue comme spécialité .
Origine
ORPHANET, 10 ans au service des maladies rares le 15 février 2007
Générique
Auteur : Mircea COVIC Réalisation : Canal-U Médecine et Santé - CERIMES Marcel LECAUDEY Loïc QUENTIN SCD médecine Mot(s) clés libre(s) : coordination, Europe, génétique, maladies rares, ORPHANET, réseaux, Roumanie
|
Accéder à la ressource
|
|
L’habitat urbain en Europe centrale et orientale - Les déjeuners de l'ISH et de l'ENS de Lyon
/ Ensmédi@ / ENS de Lyon, ENS de Lyon
/ 24-11-2006
/ Canal-u.fr
COUDROY de LILLE Lydia
Voir le résumé
Voir le résumé
Quelles dynamiques ?
Cette séance des « Déjeuners de l’ISH et de l’ENS LSH » est l’occasion de présenter au public les résultats d’une partie des recherches menées par l’auteur depuis une quinzaine d’années sur les transformations urbaines en Pologne et dans d’autres pays d’Europe centrale et orientale, sous l’angle de l’habitat. Marqueur du niveau de développement économique d’un territoire, des relations entre Etat et société, emprunt de codes et de valeurs individuels et collectifs, l’habitat offre une entrée complexe sur la compréhension des rapports entre espace et société – qui constitue le cœur de la démarche géographique. Au croisement entre réflexion diachronique (le rôle des grandes fractures historiques, la pérennité des héritages territoriaux) et synchronique (la démarche comparative, l’analyse multiscalaire), l’habitat est ici questionné plus particulièrement sous l’angle des modèles
d’évolution urbaine en Europe centrale et orientale.
Dans une première partie, l’habitat des villes de l’Europe qu’on appelait alors « socialiste » socialiste est présenté dans toute sa diversité. En effet, on a tendance à l’associer spontanément à l’image itérative et monotone du grand ensemble. Pourtant, cette apparence est trompeuse. D’une part, parce que cette forme architecturale et résidentielle s’est développée en Pologne et en Tchécoslovaquie entre les deux guerres, de manière expérimentale, avant que ces deux pays ne soient des pays « socialistes ». D’autre part, la résolution de la crise du logement grâce au recours à des formes architecturales « modernes » est un courant qui traverse toute l’Europe à cette même période, puis surtout après la Seconde Guerre mondiale.
La différence fondamentale entre l’Europe dite alors « de l’est » avec l’Europe occidentale est la pérennisation du phénomène à l’est, alors qu’à l’ouest, d’autres solutions de logement furent proposées aux ménages à partir des années 1970 alors que cette alternative ne fut que très rarement autorisée (en Hongrie notamment). Le grand ensemble dans les pays socialistes offrait en définitive la meilleure réponse technique aux présupposés économiques
et idéologiques que les Etats s’y étaient fixés. Sa généralisation et le gigantisme paroxysmique avec lequel il s’est diffusé sont responsables de l’indigence paysagère de bien des villes à l’est de l’Europe. Mais paradoxalement, l’habitat dit « de masse » laissait les populations en situation de pénurie structurelle de logements.
Ce constat général doit être nuancé par le fait que ces orientations communes ont été mises en œuvre de manière finalement assez contrastée dans les différents Etats. Les populations y étaient toutes globalement mal logées à la fin des années 1980, mais selon des
critères distincts : en Pologne, la pénurie quantitative était très marquée, en Roumanie la taille moyenne des logements était très basse, alors que les Bulgares étaient ceux qui devaient le plus souvent vivre dans des appartements communautaires. Autre différence marquante : le rapport à la propriété. La Bulgarie est un pays de propriétaires à plus de 90 % alors que c’est le cas de 40% des Polonais. Traditions historiques, choix politiques et économiques expliquent ces contrastes qui heurtent les idées reçues sur les éventuels choix idéologiques.
Enfin, les grands ensembles ne sont pas conçus comme de l’habitat « social » mais doivent loger la majorité de la population, dans toute sa diversité sociale. Cela n’abolit pas les différences de statut des quartiers d’habitat collectif, mais celles-ci sont fines.
Depuis les années 1990, les paradigmes politiques et économiques sont renouvelés : l’Etat s’est désengagé de la mission essentielle qu’il s’était fixée de contrôler l’offre de logements, et a reporté sur les communes une partie de ses compétences, comme l’offre de logements sociaux ; l’économie de marché exerce désormais ses lois sur le marché foncier
notamment, et de nouveaux opérateurs économiques augmentent la part du privé dans l’offre de logements. Pour autant, 15 ans d’économie de marché n’ont pas du tout résolu le manque quantitatif de logements, ne serait-ce que parce que les investisseurs se sont d’abord intéressés à des secteurs économiques à plus forte rentabilité (immobilier d’affaires, tourisme). D’autre part, les ménages ont
été fragilisés économiquement et socialement, ce qui a freiné la demande. Le rattrapage n’est donc pas fait, quantitativement. En revanche, l’amélioration qualitative de la construction est réelle : l’architecture est plus différenciée, et les matériaux de meilleure qualité. Dans les capitales, qui enregistrent le plus fortement les dynamiques et réagissent comme des miroirs grossissants – ou déformants, parfois -, l’habitat évolue là encore selon des logiques très différentes. En Hongrie, en Pologne, elles jouent un rôle de tête
de pont des dynamiques économiques et profitent nettement de la situation en concentrant depuis la fin des années 1990 une part sensible des investissements dans l’immobilier résidentiel. Il n’en est rien en Roumanie, ni en Bulgarie. Le marasme s’y perpétue : à Bucarest seuls les populations les plus aisées se font construire des logements - très vastes -, et en Bulgarie, Sofia est délaissée, au profit de l’urbanisation touristique littorale.
Spatialement, les dynamiques de l’habitat produisent des situations qui demandent des lectures interprétatives croisées. D’un côté, les dynamiques en cours montrent des traits de convergence avec des trajectoires urbaines « européennes » : le retour vers un certain interventionnisme étatique à la fin des années 1990, des politiques publiques territorialisées
vers les quartiers les plus en difficulté en témoignent dans certains Etats. Mais d’autre part, la tendance des élites à s’enfermer dans des quartiers préservés tandis que se forment des poches de pauvreté à base ethnique (rom) dans certains quartiers péricentraux ou dans des grands ensembles (Hongrie, Slovaquie, Bulgarie) évoquent plus des processus d’« américanisation ». En ce sens, les villes d’Europe centrale et orientale indiquent une voie de développement hybride. Mot(s) clés libre(s) : Europe centrale et orientale, habitat urbain
|
Accéder à la ressource
|
|
Les déjeuners de l'ISH et de l'ENS de Lyon : L’habitat urbain en Europe centrale et orientale
/ Ensmédi@ / ENS de Lyon, ENS de Lyon
/ 24-11-2006
/ Canal-U - OAI Archive
COUDROY de LILLE Lydia
Voir le résumé
Voir le résumé
Quelles dynamiques ?Cette séance des « Déjeuners de l’ISH et de l’ENS LSH » est l’occasion de présenter au public les résultats d’une partie des recherches menées par l’auteur depuis une quinzaine d’années sur les transformations urbaines en Pologne et dans d’autres pays d’Europe centrale et orientale, sous l’angle de l’habitat. Marqueur du niveau de développement économique d’un territoire, des relations entre Etat et société, emprunt de codes et de valeurs individuels et collectifs, l’habitat offre une entrée complexe sur la compréhension des rapports entre espace et société – qui constitue le cœur de la démarche géographique. Au croisement entre réflexion diachronique (le rôle des grandes fractures historiques, la pérennité des héritages territoriaux) et synchronique (la démarche comparative, l’analyse multiscalaire), l’habitat est ici questionné plus particulièrement sous l’angle des modèles d’évolution urbaine en Europe centrale et orientale. Dans une première partie, l’habitat des villes de l’Europe qu’on appelait alors « socialiste » socialiste est présenté dans toute sa diversité. En effet, on a tendance à l’associer spontanément à l’image itérative et monotone du grand ensemble. Pourtant, cette apparence est trompeuse. D’une part, parce que cette forme architecturale et résidentielle s’est développée en Pologne et en Tchécoslovaquie entre les deux guerres, de manière expérimentale, avant que ces deux pays ne soient des pays « socialistes ». D’autre part, la résolution de la crise du logement grâce au recours à des formes architecturales « modernes » est un courant qui traverse toute l’Europe à cette même période, puis surtout après la Seconde Guerre mondiale. La différence fondamentale entre l’Europe dite alors « de l’est » avec l’Europe occidentale est la pérennisation du phénomène à l’est, alors qu’à l’ouest, d’autres solutions de logement furent proposées aux ménages à partir des années 1970 alors que cette alternative ne fut que très rarement autorisée (en Hongrie notamment). Le grand ensemble dans les pays socialistes offrait en définitive la meilleure réponse technique aux présupposés économiques et idéologiques que les Etats s’y étaient fixés. Sa généralisation et le gigantisme paroxysmique avec lequel il s’est diffusé sont responsables de l’indigence paysagère de bien des villes à l’est de l’Europe. Mais paradoxalement, l’habitat dit « de masse » laissait les populations en situation de pénurie structurelle de logements. Ce constat général doit être nuancé par le fait que ces orientations communes ont été mises en œuvre de manière finalement assez contrastée dans les différents Etats. Les populations y étaient toutes globalement mal logées à la fin des années 1980, mais selon des critères distincts : en Pologne, la pénurie quantitative était très marquée, en Roumanie la taille moyenne des logements était très basse, alors que les Bulgares étaient ceux qui devaient le plus souvent vivre dans des appartements communautaires. Autre différence marquante : le rapport à la propriété. La Bulgarie est un pays de propriétaires à plus de 90 % alors que c’est le cas de 40% des Polonais. Traditions historiques, choix politiques et économiques expliquent ces contrastes qui heurtent les idées reçues sur les éventuels choix idéologiques. Enfin, les grands ensembles ne sont pas conçus comme de l’habitat « social » mais doivent loger la majorité de la population, dans toute sa diversité sociale. Cela n’abolit pas les différences de statut des quartiers d’habitat collectif, mais celles-ci sont fines. Depuis les années 1990, les paradigmes politiques et économiques sont renouvelés : l’Etat s’est désengagé de la mission essentielle qu’il s’était fixée de contrôler l’offre de logements, et a reporté sur les communes une partie de ses compétences, comme l’offre de logements sociaux ; l’économie de marché exerce désormais ses lois sur le marché foncier notamment, et de nouveaux opérateurs économiques augmentent la part du privé dans l’offre de logements. Pour autant, 15 ans d’économie de marché n’ont pas du tout résolu le manque quantitatif de logements, ne serait-ce que parce que les investisseurs se sont d’abord intéressés à des secteurs économiques à plus forte rentabilité (immobilier d’affaires, tourisme). D’autre part, les ménages ontété fragilisés économiquement et socialement, ce qui a freiné la demande. Le rattrapage n’est donc pas fait, quantitativement. En revanche, l’amélioration qualitative de la construction est réelle : l’architecture est plus différenciée, et les matériaux de meilleure qualité. Dans les capitales, qui enregistrent le plus fortement les dynamiques et réagissent comme des miroirs grossissants – ou déformants, parfois -, l’habitat évolue là encore selon des logiques très différentes. En Hongrie, en Pologne, elles jouent un rôle de tête de pont des dynamiques économiques et profitent nettement de la situation en concentrant depuis la fin des années 1990 une part sensible des investissements dans l’immobilier résidentiel. Il n’en est rien en Roumanie, ni en Bulgarie. Le marasme s’y perpétue : à Bucarest seuls les populations les plus aisées se font construire des logements - très vastes -, et en Bulgarie, Sofia est délaissée, au profit de l’urbanisation touristique littorale. Spatialement, les dynamiques de l’habitat produisent des situations qui demandent des lectures interprétatives croisées. D’un côté, les dynamiques en cours montrent des traits de convergence avec des trajectoires urbaines « européennes » : le retour vers un certain interventionnisme étatique à la fin des années 1990, des politiques publiques territorialisées vers les quartiers les plus en difficulté en témoignent dans certains Etats. Mais d’autre part, la tendance des élites à s’enfermer dans des quartiers préservés tandis que se forment des poches de pauvreté à base ethnique (rom) dans certains quartiers péricentraux ou dans des grands ensembles (Hongrie, Slovaquie, Bulgarie) évoquent plus des processus d’« américanisation ». En ce sens, les villes d’Europe centrale et orientale indiquent une voie de développement hybride. Mot(s) clés libre(s) : Europe centrale et orientale, habitat urbain
|
Accéder à la ressource
|
|
La culture, langue commune de l'Europe
/ Mission 2000 en France
/ 10-11-2000
/ Canal-U - OAI Archive
COMPAGNON Antoine
Voir le résumé
Voir le résumé
" L'idée de culture ", écrivait Valéry, " est pour nous dans une relation très ancienne avec l'idée d'Europe ". La culture est la " langue commune de l'Europe ", affirmait l'historien Fernand Braudel. " L'Europe sera culturelle, ou ne sera pas ! ", s'écrie aujourd'hui plus d'un Européen convaincu. Ainsi l'identité européenne tend-elle à être définie par la culture, plutôt que par l'économie ou la politique. Mais, d'une part, en quel sens entendre culture dans cette définition : comme en latin et en français, cultura animi de l'honnête homme ? ou, comme en anglais ou en allemand, ensemble de pratiques symboliques enregistrées par l'anthropologue ? ou encore, comme en américain, culture industry ou industrie du divertissement ? Et, d'autre part, dans la civilisation globalisée du nouveau millénaire, quand Vivendi, entreprise d'origine française, devient propriétaire d'Universal, studio d'Hollywood le plus identifié au multimédia d'origine américaine que peut encore signifier une culture continentale ? Mot(s) clés libre(s) : culture, Europe, industrie culturelle, mondialisation
|
Accéder à la ressource
|
|
Les premiers européens - épisode 2
/ INSTITUT NATIONAL DE L'AUDIOVISUEL (INA), ARTE France, YLE TV1
/ 01-01-2010
/ Canal-u.fr
CLEVENOT Axel
Voir le résumé
Voir le résumé
Qui sont les premiers Européens ? D’où venons-nous ? Depuis près de deux
millions d’années, l’Europe a connu d’incessantes migrations. De la
Grèce à la Finlande, du Portugal à la Pologne, de l’Europe centrale aux
îles Britanniques, des hommes ont dû, peu à peu, conquérir de nouveaux
territoires. Mais pour survivre il leur a fallu s’adapter. Nous sommes
leurs descendants... S’appuyant sur les dernières recherches
scientifiques et grâce à une écriture visuelle originale, "Les premiers
Européens" nous fait découvrir les grandes étapes culturelles,
artistiques et techniques qui, dès la Préhistoire, ont fondé nos
identités européennes.
Episode 2 : de - 20 000 à - 3 000 avant notre ère Mot(s) clés libre(s) : préhistoire (Europe)
|
Accéder à la ressource
|
|