Nouveautés
Recherche simple :
Accueil
Documents
Pédagogie
Thèses
Publications Scientifiques
Multi-formats
Pédagogie > Recherche par mots-clefs en fr
  • Nouveautés
  • Recherche avancée
  • Recherche thématique UNIT
  • Recherche thématique
  • Recherche par établissements
  • Recherche par auteurs
  • Recherche par mots-clefs
Mots-clefs > E > évolution
Niveau supérieur
  • 174 ressources ont été trouvées. Voici les résultats 41 à 50
  |< << Page précédente 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 Page suivante >> >| documents par page
Tri :   Date Editeur Auteur Titre

Darwin et les origines de l’Homme : un siècle de perdu !

/ Université de Nice Sophia Antipolis / 21-12-2009 / Canal-U - OAI Archive
PICQ Pascal
Voir le résumé
Voir le résumé
Lundi 21/12/2009, Pascal Picq : « Darwin et les origines de l’Homme : un siècle de perdu ! »
Mot(s) clés libre(s) : Darwin, évolution
 |  Accéder à la ressource

Darwin et Herschel : La science entre la Terre et les étoiles (IAP)

/ Marcel LECAUDEY, Loïc QUENTIN, Jean MOUETTE, Institut d'Astrophysique de Paris, CERIMES / 05-03-2013 / Canal-u.fr
PICQ Pascal
Voir le résumé
Voir le résumé
Conférence de l'Institut d'Astrophysique de Paris présentée par Pascal Picq (paléoanthropologue, maître de conférence au Collège de France) le 5 mars 2013.Le jeune Charles Darwin rencontre le célèbre astronome John Herschel au Cap, en Afrique du Sud, le 3 juin 1836 alors que son long voyage d'exploration sur le HMS Beagle arrive à son terme. Le naturaliste des mers du sud rencontre l'astronome qui construit une carte du ciel depuis l'hémisphère sud. Deux ans plus tard, en 1838, deux lectures influencent la genèse de la théorie darwinienne de l'évolution au moyen de la sélection naturelle : L'Essai sur le principe de population de Thomas Malthus et A Preliminary Discourse on Natural Philosophy de John Herschel. Seulement ce dernier donne une critique désagréable du mécanisme de la sélection naturelle de Darwin après la publication de L'origine des espèces en 1859. Depuis, persiste une incompréhension épistémologique majeure entre les théories de l'évolution et celles de la physique, notamment chez les astrophysiciens et plus particulièrement chez les cosmologistes. Ces derniers, et leurs diverses variations autour du principe anthropique, commettent des erreurs épistémologiques bien plus fondamentales que ce qu'ils reprochent à l'épistémologie des théories de l'évolution. Que ce soit en religion ou en sciences, il semble impossible de réconcilier les choses de la Terre et du ciel.À lire : Pascal PICQ Il était une Fois la Paléoanthropologie Odile Jacob 2010.
Mot(s) clés libre(s) : astronomie, théorie de l'évolution, Charles Darwin, John Herschel
 |  Accéder à la ressource

La pollution des sols

/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France / 16-10-2000 / Canal-U - OAI Archive
PEFFERKORN Emile
Voir le résumé
Voir le résumé
Le problème des sols pollués ne fait pas recette auprès du grand public car les origines de la pollution peuvent être diverses et ne présenter qu'un impact peu perceptible sur la santé. En raison de leur importance dans la production de nourriture et de végétation, nous mettrons l'accent sur la pollution des sols agricoles et corrélerons entre structure et fertilité des sols. Pour illustrer le propos, nous présenterons l'impact de l'acidification d'un milieu complexe, constitué de poudre d'alumine ou d'argile et de substances organiques naturelles, sur la modification de la structure des systèmes et en donnerons une interprétation basée sur les phénomènes responsables du transfert d'ions au sein de la couche organique en surface de l'oxyde ou de l'argile. Nous décrirons les mécanismes responsables de la dispersion des agrégats en milieu acide. L'examen des deux systèmes permettra de rendre compte de la difficulté qu'il y a à restructurer des systèmes simples pollués. On pourra imaginer la difficulté qu'il y aura à donner vie et fertilité à un sol pollué dans la mesure où la nature physico-chimique des sols est extrêmement complexe. Enfin, nous donnerons un exemple où l'ajout de matières organiques à l'eau d'irrigation renforce la cohésion des sols.
Mot(s) clés libre(s) : aluminium, argile, écologie, évolution, fertilité, ions aluminium, kaolinite, matière organique, pédologie, pollution, remédiation, sol, sols agricoles
 |  Accéder à la ressource

Protéines

/ BioMedia-UPMC / 27-02-2007 / Unisciel
Nicolas Pierre
Voir le résumé
Voir le résumé
Cours de biochimie pour l'UE MV435
Mot(s) clés libre(s) : anatomie, protéines, assemblage, évolution, Biochimie
 |  Accéder à la ressource

Révolution génomique et évolution humaine : Darwin revisité, mais pas réfuté

/ Université de Nice Sophia Antipolis / 23-11-2009 / Canal-U - OAI Archive
NAHON Jean-Louis
Voir le résumé
Voir le résumé
Lundi 23/11/2009, Jean-Louis Nahon : « Révolution génomique et évolution humaine : Darwin revisité, mais pas réfuté ! »En cette année 2009, nous célébrons le 200e anniversaire de la naissance de Charles Robert Darwin (1809-1882) et le 150e anniversaire de la parution du livre fondateur de la théorie moderne de l’Évolution « On the Origin of Species by Natural Selection ». Ironie de l’Histoire, c’est également le bicentenaire de la parution de la « Philosophie zoologique » de Jean-Baptiste Monnet, chevalier de Lamarck (1744-1820), livre tout aussi iconoclaste à son époque. Ainsi se retrouvent réunis l’inventeur du « transformationisme » et celui qui s’en inspira pour finalement s’en éloigner en proposant ses deux idées fortes : la descendance avec modification et la sélection naturelle. Un autre point commun entre ces deux penseurs de la biologie : tous deux subirent les attaques féroces des « fixistes », partisans des dogmes bibliques et d’une création unique des espèces. Deux siècles après, que ce soit sous le nom de créationnisme ou celui, anglosaxon, « d’intelligent design », les résistances perdurent ! Et pourtant on peut dire que 1859 marque l’introduction de la méthode scientifique dans l’étude historique de la biologie. Depuis, la Théorie Darwinienne de l’Évolution s’est enrichie des découvertes qui jalonnèrent la fin du XIXe et le XXe siècle. D’abord en Paléoanthropologie, puis en Génétique, avec l’émergence du gène comme support de l’hérédité, pour aboutir à une Synthèse dans laquelle l’apport de la Biologie du Développement fut considérable. L’Evo/Devo, qui cherche à comprendre le développement de l’organisme à la lumière des mécanismes de l’Évolution, devient le domaine de convergence de toutes les disciplines. Ce qu’on appelle communément « darwinisme » ne se limite pas à des hypothèses, ainsi que tentent de le faire croire ceux qui veulent le discréditer. Il s’agit d’une vraie construction intellectuelle synthétique, fondée sur des hypothèses vérifiées par un protocole expérimental, d’un système cohérent servant de base à une science, la science de l’évolution. Il s’agit également d’un évènement fondateur aux implications sociales et philosophiques majeures qui ont connu leur lot de dérives dont les tentations sont toujours présentes dans nos sociétés. Dans le cadre de cette Conférence-Débat nous aborderons en premier lieu comment l’Histoire de la Terre a façonné le Vivant, puis en quoi la Théorie de l’Évolution est révolutionnaire… et largement confirmée, mais plus complexe que ne l’imaginait son génial inventeur. Enfin, nous nous interrogerons sur notre propre histoire, et comment les données issues du séquençage massif des génomes et de l’étude de gènes « singuliers » nous renseignent sur « ce qui nous fait humain »… Et sur les limites d’un réductionnisme parfois excessif, dérive née d’une fascination naïve devant la puissance de l’analyse génétique, car l’Homme, comme tous les êtres vivant, ne se réduit pas à son génome, si « plastique » soit-il !
Mot(s) clés libre(s) : évolution, génétique, sélection
 |  Accéder à la ressource

Diversité du génome humain : de l'histoire des populations humaines aux maladies infectieuses

/ UTLS - la suite / 04-07-2008 / Canal-U - OAI Archive
MURCI Luis Quintana
Voir le résumé
Voir le résumé
Une conférence du cycle : Qu'est ce que la vie ? Où en est la connaissance du génome ? Par Luis Quintana Murci, Directeur de l’unité génétique évolution humaine, Institut Pasteur
Mot(s) clés libre(s) : évolution, Génétique
 |  Accéder à la ressource

Végétaux : diversité, hybridation

/ UTLS - la suite / 15-07-2002 / Canal-U - OAI Archive
MUGNIER Jacques
Voir le résumé
Voir le résumé
En 1998, le Groupe sur la Phylogénie des Angiospermes (APG) publie une étude phylogénétique des plantes à fleurs en comparant des séquences de l'ADN chloroplastique. Ces taxonomistes moléculaires ne retiennent que les groupes strictement monophylétiques (c'est-à-dire descendant tous d'un ancêtre commun). Autant que possible, ils ont tenu à conserver les noms des ordres et des familles bien connus. Des études portant sur des gènes avec des fonctions différentes, la petite sous-unité de l'ARN ribosomique, le 18S, et les espaceurs internes transcrits, les ITS, ont abouti aux mêmes conclusions. Plus important encore, la classification moléculaire est basée sur des séquences consultables sur Internet (GenBank), accessibles à tous les chercheurs. L'ancêtre vivant des plantes à fleurs (‘the abominable mystery' de Darwin) est un arbuste de Nouvelle-Calédonie, Amborella. Les Welwitchia et Gnetum sont proches des Conifères et pas des Angiospermes. Les Monocots ont dérivé de plantes de type Magnolia. Les Dicots vraies comprennent les plantes dont les grains de pollen comportent trois pores. Les Dicots regroupent deux vastes ensembles naturels, les rosidées et des astéridées, et à leur base on trouve les Saxifragales et les Ranunculales. Quelquefois, les phénomènes de convergence et de simplification par retour vers un caractère primitif confèrent, à des espèces apparentées, une multiplicité d'apparences, totalement déroutante. Les études moléculaires ne sont pas une fin en soi, mais la première étape pour comprendre les processus de diversification des espèces végétales. Des phénomènes d'hybridation - on parle aussi d'introgression - peuvent survenir et avoir des implications évolutives très significatives. Les études de ces dix dernières années ont montré que l'hybridation et l'introgression, plus répandues dans le monde végétal que ce que l'on imaginait, peuvent conduire à la diversification rapide des espèces. La connaissance des relations phylogénétiques entre les espèces permettra de surveiller les risques de dissémination des transgènes.
Mot(s) clés libre(s) : botanique, classification phylogénétique, coévolution, diversité végétale, évolution, gène, hybridation, phylogénie, plante à fleur, taxonomie moléculaire, transgène
 |  Accéder à la ressource

La biodiversité

/ Mission 2000 en France / 06-01-2000 / Canal-U - OAI Archive
MOUNOLOU Jean-Claude
Voir le résumé
Voir le résumé
Pour se nourrir et construire leur société, les hommes exploitent la diversité biologique. Agriculture, élevage, artisanat et industries sont des activités qui associent des choix d'objets vivants et des techniques d'exploitation. Au cours des trois derniers siècles leur développement s'est appuyé sur l'élaboration patiente de la science biologique. L'intervention des chercheurs et la prise en compte des connaissances nouvelles dans le fonctionnement social se faisait cependant très progressivement. Réciproquement, la société ne s'imposait guère dans le champ de la biologie dont l'évolution n'obéissait qu'à une logique scientifique. En conséquence la définition des droits et le système juridique qui organisent le rapport entre les hommes à propos du vivant s'établissaient au fur et à mesure et paraissaient tenir en équilibre les perceptions culturelles et philosophiques, les activités économiques et la connaissance de la diversité biologique. Depuis quelque vingt années la cohérence passée a fait place à une situation de crise juridique et biologique. Plusieurs événements y concourent. D'un côté la croissance démographique, l'épuisement envisagé de certaines ressources biologiques et les changements climatiques menacent la diversité existante. D'un autre côté, le progrès des connaissances, en particulier génétiques et écologiques, fait entrevoir des perspectives tout à fait remarquables de créer des objets vivants nouveaux. Les enjeux économiques de la biologie, autrefois modestes et lointains, sont devenus majeurs et immédiats. Ils incitent à des transformations, des investissements et des productions qui bousculent les structures et les liens sociaux actuels. Les conflits qui apparaissent posent en termes nouveaux la question de la relation entre ressources biologiques et droits. Le monde s'accorde à penser que, d'une façon ou d'une autre, l'avenir des générations futures doit être construit dans une perspective de développement durable par une relation nouvelle, étroite, évolutive entre la société et la science. Le concept et le vocable de biodiversité, apparus dans les années 80, identifient ce champ de réflexion et d'action. Qu'on la précipite, qu'on la freine ou qu'on l'accompagne, une évolution se fait. Elle impose au citoyen d'intégrer, dans ses réflexions et ses choix, des concepts, des connaissances et des démarches de sciences biologique, économique, juridique, médicale et sociale. L'Université remplira sa mission si elle prépare cette synthèse en apportant plus d'informations par sa recherche et des formations adaptées pour les jeunes.
Mot(s) clés libre(s) : biodiversité, diversité biologique, écologie, ecosystème, évolution, génétique, génétique des populations, ressource biologique
 |  Accéder à la ressource

La biodiversité

/ Mission 2000 en France / 06-01-2000 / Canal-u.fr
MOUNOLOU Jean-Claude
Voir le résumé
Voir le résumé
Pour se nourrir et construire leur société, les hommes exploitent la diversité biologique. Agriculture, élevage, artisanat et industries sont des activités qui associent des choix d'objets vivants et des techniques d'exploitation. Au cours des trois derniers siècles leur développement s'est appuyé sur l'élaboration patiente de la science biologique. L'intervention des chercheurs et la prise en compte des connaissances nouvelles dans le fonctionnement social se faisait cependant très progressivement. Réciproquement, la société ne s'imposait guère dans le champ de la biologie dont l'évolution n'obéissait qu'à une logique scientifique. En conséquence la définition des droits et le système juridique qui organisent le rapport entre les hommes à propos du vivant s'établissaient au fur et à mesure et paraissaient tenir en équilibre les perceptions culturelles et philosophiques, les activités économiques et la connaissance de la diversité biologique. Depuis quelque vingt années la cohérence passée a fait place à une situation de crise juridique et biologique. Plusieurs événements y concourent. D'un côté la croissance démographique, l'épuisement envisagé de certaines ressources biologiques et les changements climatiques menacent la diversité existante. D'un autre côté, le progrès des connaissances, en particulier génétiques et écologiques, fait entrevoir des perspectives tout à fait remarquables de créer des objets vivants nouveaux. Les enjeux économiques de la biologie, autrefois modestes et lointains, sont devenus majeurs et immédiats. Ils incitent à des transformations, des investissements et des productions qui bousculent les structures et les liens sociaux actuels. Les conflits qui apparaissent posent en termes nouveaux la question de la relation entre ressources biologiques et droits. Le monde s'accorde à penser que, d'une façon ou d'une autre, l'avenir des générations futures doit être construit dans une perspective de développement durable par une relation nouvelle, étroite, évolutive entre la société et la science. Le concept et le vocable de biodiversité, apparus dans les années 80, identifient ce champ de réflexion et d'action. Qu'on la précipite, qu'on la freine ou qu'on l'accompagne, une évolution se fait. Elle impose au citoyen d'intégrer, dans ses réflexions et ses choix, des concepts, des connaissances et des démarches de sciences biologique, économique, juridique, médicale et sociale. L'Université remplira sa mission si elle prépare cette synthèse en apportant plus d'informations par sa recherche et des formations adaptées pour les jeunes.
Mot(s) clés libre(s) : écosystème, évolution, génétique, biodiversité, écologie, diversité biologique, génétique des populations, ressource biologique
 |  Accéder à la ressource

Température

/ Observatoire de Paris / 02-09-2008 / Unisciel
Mosser Benoît, Gerbaldi Michèle
Voir le résumé
Voir le résumé
Troisième chapitre du cours "Fenêtres sur l'Univers" Ce chapitre traite de phénomènes qui peu ou prou ont à voir avec un paramètre plus intime des objets, leur température. Il aborde, entre autres questions : - La définition de la température effective stellaire. - Le lien entre cette température et le spectre de l'étoile, puis le lien entre ce spectre stellaire et les autres propriétés de l'étoile. - Les propriétés des étoiles, ordonnées selon un diagramme température-luminosité. La question de l'évolution stellaire - comment les étoiles naissent, vivent et meurent - est alors abordée.
Mot(s) clés libre(s) : température, étoile, luminosité, magnitude, évolution stellaire, effet Doppler, corps noir, classification spectrale, diagramme Hertzsprung-Russell
 |  Accéder à la ressource

rss |< << Page précédente 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 Page suivante >> >| documents par page
© 2006-2010 ORI-OAI