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La globalisation financière
/ Mission 2000 en France
/ 29-04-2000
/ Canal-U - OAI Archive
MARTIN Philippe
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Le phénomène auquel nous assistons aujourd'hui n'est pas un simple retour à l'age d'or de la globalisation de la fin du XIXème siècle. En obligeant les gouvernements à renoncer soit à la stabilisation interne (qui leur permettrait par exemple de diminuer le chômage en période de récession) soit à la stabilisation externe, la globalisation financière remet en cause les données des politiques économiques au niveau national. La libéralisation des mouvements de capitaux, qui voue les marchés de change à une extrême volatilité, est aussi à l'origine de la multiplication et de la contagion des crises financières: la croyance qu'une crise puisse survenir peut aujourd'hui suffire à produire cette crise elle-même. Peut-on conjuguer les gains de la globalisation financière et réduire la fragilité qu'elle a engendrée ? Les débats actuels les plus vifs portent sur l'intérêt et la faisabilité d'une taxe sur les transactions financières internationales ainsi que sur une réforme de l'architecture financière internationale. Mot(s) clés libre(s) : crise financière, économie, finance, marché financier
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La globalisation financière
/ Mission 2000 en France
/ 29-04-2000
/ Canal-u.fr
MARTIN Philippe
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Le phénomène auquel nous assistons aujourd'hui n'est pas un simple retour à l'age d'or de la globalisation de la fin du XIXème siècle. En obligeant les gouvernements à renoncer soit à la stabilisation interne (qui leur permettrait par exemple de diminuer le chômage en période de récession) soit à la stabilisation externe, la globalisation financière remet en cause les données des politiques économiques au niveau national. La libéralisation des mouvements de capitaux, qui voue les marchés de change à une extrême volatilité, est aussi à l'origine de la multiplication et de la contagion des crises financières: la croyance qu'une crise puisse survenir peut aujourd'hui suffire à produire cette crise elle-même. Peut-on conjuguer les gains de la globalisation financière et réduire la fragilité qu'elle a engendrée ? Les débats actuels les plus vifs portent sur l'intérêt et la faisabilité d'une taxe sur les transactions financières internationales ainsi que sur une réforme de l'architecture financière internationale. Mot(s) clés libre(s) : économie, crise financière, finance, marché financier
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Les projets collaboratifs
/ Serge BLERALD, Direction de l'Image et de l'Audiovisuel de l'EHESS
/ 30-09-2015
/ Canal-u.fr
MICHEL Didier, FUSAI Guillaume, KERAUDREN, Philippe
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Présentation des possibilités de financement des SHS dans l’ensemble d’H2020 :
Moderateur:
Gisèle SAPIRO, EHESS
Présentation : Philippe KERAUDREN, Commission Européenne, DG Recherche et Innovation
Basudeb CHAUDHURI, PCN Sociétés inclusives, innovantes et réflexives
Guillaume FUSAI, PCN Actions Marie Skłodowska-Curie
Didier MICHEL, PCN Science avec et pour la société Mot(s) clés libre(s) : financement, sciences humaines et sociales, recherche, collaboration scientifique
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JPEMA 2009 n15 - Assurance Maladie et vieillissement de la population
/ Canal-U Médecine, CERIMES, Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport
/ 25-09-2009
/ Canal-U - OAI Archive
MORAND Gérard
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JPEMA 2009 Amiens. Thème : Ethique et vieillissement.Titre : Assurance Maladie et vieillissement de la population.Résumé : Les deux rôles de financeur et d’acteur de santé publique de l’Assurance Maladie ont pour objectif de permettre à la personne âgée de vieillir dans les meilleures conditions possibles en bénéficiant du juste soin. Intervenant : Gérard MORAND.SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : APEEM, assurance maladie, déontologie, éthique, financement des soins, incapacités lourdes, JPEMA 2009, longévité, précarisation, prévention, prévoyance, vieillissement
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Perspectives on social enterprise and hybridity in housing organisations [VF] / D. Mullins
/ Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 07-07-2011
/ Canal-U - OAI Archive
MULLINS David
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International perspectives on social enterprise and hybridity in housing organisations: présentation de la plénière [version française] / David Mullins. In "Mixité : an urban and housing issue? Mixing people, housing and activities as urban challenge of the future", 23ème colloque international de l'European Network for Housing Research (ENHR), organisé par le Laboratoire Interdisciplinaire Solidarités, Sociétés, Territoires (LISST) à l'Université Toulouse II-Le Mirail, 5-8 juillet 2011.This session draws on work for a Special Issue of Housing Studies to stimulate debate on the implications (theoretical and practical) of the growth of social enterprise and hybrid models of housing provision. Three of the authors of papers produced for the special issue (abstracts for which are included in this brochure) will review the increasing emphasis on social enterprise and hybrid models in housing organisations and the delivery of social and affordable housing in Europe, the United States and Australia. Social enterprise models have been widely promoted in recent years by both state policies and civil society interests in many countries. Social enterprises are often characterised by hybrid formal institutional characteristics, motivations and activities since they intertwine state, market and society influences within single organisations. Understanding current trends in the adoption of social enterprise and hybrid concepts and approaches by (social) housing organisations, the reasons for these trends and their implications for organisations which frequently ‘face several ways’ (to state, market and society) are important tasks for researchers in housing studies. Such work is necessary both to improve our theoretical understanding of these trends and their meaning and also enable us to engage with contemporary policy and practice. Yet to date there has been very little systematic analysis within this field.Following an introduction by the Chair, each speaker will draw on their research on social housing organisations in parts of Europe, the United States and Australia to illuminate the following plenary panel questions:- How and to what extent do housing organisations engage with debates about social enterprise and hybridity?- How do they position themselves vis-à-vis the state, the market and society?- How do they reconcile conflicting logics of ‘common good’, financial return and government policy?- How do these conflicting logics play out in housing policy and implementation in different national and local contexts?The plenary will conclude with a panel discussion of similarities and differences in conceputalisation and practice of social enterprise and hybridity in Europe, North America and Australia. This will help us to address the final questions:- How useful are models of social enterprise and hybridity in analysis of organisational behaviour in the housing sector in these different contexts?- What are the policy implications of the growth in social enterprise and hybridity?> La communication est traduite en français par Mme Solange Hibbs (directrice du Département Centre de Traduction, d'Interprétation et de Médiation linguistique (CETIM) de l'université Toulouse II-Le Mirail, membre de l'Association Internationale des Interprètes de Conférence-AIIC). Mot(s) clés libre(s) : logement social (financement), mixité sociale, offices publics d'habitation, politique de l'habitat, politique du logement, politique sociale, sociologie du logement
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Le financement des humanités dans les universités américaines / Christopher Newfield
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 27-05-2010
/ Canal-U - OAI Archive
NEWFIELD Christopher
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Le financement des humanités dans les universités américaines. Christopher NEWFIELD. In "Les Humanités pour quoi faire : enjeux et propositions", colloque international organisé par le laboratoire Patrimoine, Littérature, Histoire (PLH) en collaboration avec le laboratoire Lettres, Langages et Arts (LLA). Université Toulouse II-Le Mirail, IUFM Midi-Pyrénées, 27-29 mai 2010. Thème III : L'utilité de la littérature, passé modélisé et fonctions des modèles, 27 mai 2010. Mot(s) clés libre(s) : enseignement supérieur (politique publique), sciences humaines (enseignement), universités (finances)
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Economie du cinéma
/ UTLS - la suite
/ 10-07-2004
/ Canal-U - OAI Archive
NICOLAS Marc
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Le cinéma n'est pas né seulement en France. Edison avant les Lumière lui a apporté des inventions majeures, même si ce sont eux qui ont parfait le dispositif en lui ajoutant notamment la part que l'on sait décisive de la projection. Mais la France est le pays de la cinéphilie. Intellectuels de renom, revues spécialisées, ciné-clubs, Cinémathèque, salles d'art et essai parisiennes ont forgé cette tradition, ici répandue plus que partout ailleurs au monde, en profondeur réflexive comme en surface sociale. Elle est aussi depuis de nombreuse années le pays qui défend une certaine idée du cinéma, art autant que loisir, celui qui accueille et soutient des cinéastes de tous les pays qui n'ont pas de cinématographie forte, celui où l'on chante l' « exception culturelle », celui où l'Etat organise et apporte un soutien financier important et constant. En résulte une économie atypique, en partie hors marché, faite de dispositifs de soutien très sophistiqués organisés par l'Etat en étroite liaison avec la profession elle même. Ce système s'est forgé tout au long des soixante dernières années, pas à pas, franchissant des étapes décisives sans parfois que celles ci soient repérées comme telles au moment où elles étaient produites. Peu à peu, le modèle a sédimenté l'adhésion de l'ensemble des professionnels du cinéma et des forces politiques nationales jusqu'à faire croire à son quasi « état de nature ». On voudrait ici au contraire, par un récit à base chronologique, restituer les moments forts de l'invention du modèle, ses tournants faits de nouveaux paradigmes parfois audacieux et en rappeler la naissance souvent conflictuelle, loin du consensus admis aujourd'hui. Ce faisant, le récit traitera autant d'action publique et collective que d'économie du cinéma au sens strict et débouchera sur quelques interrogations très contemporaines. Mot(s) clés libre(s) : cinéma, cinéma et état, économie de la culture, exception culturelle, financements, france, industrie cinématographique, politique culturelle, production et réalisation, subventions
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L'économie du sport
/ UTLS - la suite
/ 13-06-2002
/ Canal-U - OAI Archive
NYS Jean-François
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Le sport est une activité économique récente. Pendant de nombreuses années cette fonction a été gommée du fait de la domination d'une conception anglo-saxonne et Coubertinienne du sport fondée sur le bénévolat et réservé à une élite financière aisée. Peu à peu, principalement au cours du 20e siècle, l'argent a pénétré la sphère du sport. Comme pratique ou comme spectacle le sport constitue une consommation pour les ménages. Elle s'est élevée à près de 74 milliards de francs en 1999 dont 20 milliards consacrés à l'achat de vêtements et de chaussures, 26 milliards aux articles et équipements sportifs et 27,6 milliards à des achats de services sportifs. Comme activité productrice, le sport crée des marchés dont la taille avoisine 1 % du P.I.B. dans tous les pays développés. Le marché des articles de sport est fortement internationalisé et l'industrie est très hétérogène ; on y trouve aussi bien des PME que des firmes multinationales comme Nike, Reebok ou Adidas. Les formes de production artisanale (ballon cousu à la main) ont quasiment disparu sauf pour des produits haut de gamme. Elles ont été remplacées par la sous-traitance industrielle, par une production standardisée utilisant une main-d'oeuvre peu qualifiée. Face à un marché aussi segmenté les entreprises adoptent des stratégies multiples : différenciation du produit, innovation, promotion, etc. Le marché du spectacle sportif et plus particulièrement celui du sport télévisé constituent la plus grande part du marché des services liées au sport. Les relations économiques entre le sport et la télévision sont basées sur une convergence d'intérêt. Le sport attire la télévision en ce qu'il est un gisement d'audience, ce que confirment les taux d'audience exceptionnels réalisés par la retransmission des spectacles sportifs internationaux. De ce fait le sport contribue aux recettes publicitaires des chaînes de télévision d'autant plus que les annonceurs sont attirés par les émissions à forte audience. Le sport est intéressée par la télévision à la fois parce qu'elle offre un gisement financier de plus en plus important, principalement pour le sport professionnel, mais également parce qu'elle assure la promotion du sport. Les relations entre le sport et la télévision ne sont cependant pas exemptes d'effets pervers : développement inégal des disciplines sportives, vision déformée du sport, tendance à la « vedettarisation »
Du fait de la grande médiatisation de ce secteur de nombreuses entreprises cherchent à associer leur nom à celui d'une équipe ou d'un athlète, à parrainer une compétition afin de bénéficier des valeurs véhiculées par le sport et à profiter de l'image des champions. En contrepartie le mouvement sportif attend des sponsors un apport financier. Les divers marchés du sport sont créateurs de métiers spécifiques et d'emplois qui en France dépassent les 300 000 personnes et les dépenses des organisateurs des événements sportifs viennent s'ajouter aux investissements dans les installations sportives et dans les infrastructures engagées par l'état ou les collectivités locales aussi bien que par les entreprises privées. Elles génèrent des retombées économiques pour la ville, la région ou le pays dans lequel se déroulent ces compétitions. Mais la pénétration massive de l'argent dans le sport et sa marchandisation croissante conduisent à s'interroger sur les possibilités de concilier éthique et sport. Mot(s) clés libre(s) : administration, économie, financement, medias et sports, sports
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L'économie du sport
/ UTLS - la suite
/ 13-06-2002
/ Canal-u.fr
NYS Jean-François
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Le sport est une activité économique récente. Pendant de nombreuses années cette fonction a été gommée du fait de la domination d'une conception anglo-saxonne et Coubertinienne du sport fondée sur le bénévolat et réservé à une élite financière aisée. Peu à peu, principalement au cours du 20e siècle, l'argent a pénétré la sphère du sport. Comme pratique ou comme spectacle le sport constitue une consommation pour les ménages. Elle s'est élevée à près de 74 milliards de francs en 1999 dont 20 milliards consacrés à l'achat de vêtements et de chaussures, 26 milliards aux articles et équipements sportifs et 27,6 milliards à des achats de services sportifs. Comme activité productrice, le sport crée des marchés dont la taille avoisine 1 % du P.I.B. dans tous les pays développés. Le marché des articles de sport est fortement internationalisé et l'industrie est très hétérogène ; on y trouve aussi bien des PME que des firmes multinationales comme Nike, Reebok ou Adidas. Les formes de production artisanale (ballon cousu à la main) ont quasiment disparu sauf pour des produits haut de gamme. Elles ont été remplacées par la sous-traitance industrielle, par une production standardisée utilisant une main-d'oeuvre peu qualifiée.
Face à un marché aussi segmenté les entreprises adoptent des stratégies multiples : différenciation du produit, innovation, promotion, etc. Le marché du spectacle sportif et plus particulièrement celui du sport télévisé constituent la plus grande part du marché des services liées au sport. Les relations économiques entre le sport et la télévision sont basées sur une convergence d'intérêt. Le sport attire la télévision en ce qu'il est un gisement d'audience, ce que confirment les taux d'audience exceptionnels réalisés par la retransmission des spectacles sportifs internationaux. De ce fait le sport contribue aux recettes publicitaires des chaînes de télévision d'autant plus que les annonceurs sont attirés par les émissions à forte audience. Le sport est intéressée par la télévision à la fois parce qu'elle offre un gisement financier de plus en plus important, principalement pour le sport professionnel, mais également parce qu'elle assure la promotion du sport. Les relations entre le sport et la télévision ne sont cependant pas exemptes d'effets pervers : développement inégal des disciplines sportives, vision déformée du sport, tendance à la « vedettarisation »
Du fait de la grande médiatisation de ce secteur de nombreuses entreprises cherchent à associer leur nom à celui d'une équipe ou d'un athlète, à parrainer une compétition afin de bénéficier des valeurs véhiculées par le sport et à profiter de l'image des champions.
En contrepartie le mouvement sportif attend des sponsors un apport financier. Les divers marchés du sport sont créateurs de métiers spécifiques et d'emplois qui en France dépassent les 300 000 personnes et les dépenses des organisateurs des événements sportifs viennent s'ajouter aux investissements dans les installations sportives et dans les infrastructures engagées par l'état ou les collectivités locales aussi bien que par les entreprises privées. Elles génèrent des retombées économiques pour la ville, la région ou le pays dans lequel se déroulent ces compétitions. Mais la pénétration massive de l'argent dans le sport et sa marchandisation croissante conduisent à s'interroger sur les possibilités de concilier éthique et sport. Mot(s) clés libre(s) : économie, financement, sports, administration, medias et sports
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Les coûts de l'éducation, un dilemme équité/efficacité
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 30-08-2000
/ Canal-U - OAI Archive
ORIVEL François
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L'évolution mondiale des dépenses d'éducation n'a pas suivi, comme c'est souvent le cas, les projections des économistes. Après avoir connu une hausse spectaculaire entre 1950 et 1975, on assiste depuis à une relative stagnation. L'éducation n'est ni un secteur bénéficiant d'une quelconque priorité des agents économiques, qu'ils soient publics ou privés, ni un secteur défavorisé. Il évolue tout simplement comme la moyenne des emplois des ressources dans la majorité des économies nationales. Or certains économistes avaient anticipé des hausses spectaculaires, liées à la fois au fait qu'il s'agit d'un secteur à faible croissance de la productivité, et d'un service dont la demande relative ne cesserait de croître (allongement de scolarités initiales, formation tout au long de la vie, avènement d'une société postindustrielle fondée sur la connaissance). Le caractère principalement public du financement de l'éducation s'est un peu partout généralisé, à partir d'arguments divers, dont l'équité fait évidemment partie. Cependant, les premières études empiriques portant sur le phénomène de redistribution engendré par la gratuité des services éducatifs ont plutôt montré que les bénéficiaires effectifs n'étaient pas les individus des groupes sociaux modestes, mais ceux des groupes favorisés. La sélection au mérite, les avantages de fait, et les formations longues et coûteuses, mais financées par les contribuables, bénéficient d'abord aux individus socialement aisés. Toutefois l'allongement récent des scolarités pour tous, l'idée qu'une discrimination positive (donner plus aux individus de milieux exclus) n'est pas incompatible avec l'égalitarisme républicain et a sensiblement réduit l'impact régressif du financement public de l'éducation dans les sociétés les plus développées. Mais si le problème de l'équité (ou des écarts d'accès entre groupes sociaux) s'atténue au sein des sociétés riches, on ne peut que s'inquiéter devant l'accroissement continu des inégalités en matière d'éducation entre le groupe des pays les plus avancés et celui des pays les plus pauvres. Mot(s) clés libre(s) : coût, éducation, équité, financement, politique éducative
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