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EEMIS 2007 : Le projet des certificats de décès électroniques
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, C.E.R.I.M.E.S., SPI-EAO
/ 15-07-2007
/ Canal-U - OAI Archive
UMVF - Université Médicale Virtuelle Francophone, PAVILLON Gérard, JOUGLA Eric
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La France est le seul pays au monde ou ce type de service est intégré à l'activité de l'hôpital. Le Cepidc est une structure Inserm créée depuis 1968 : sa mission est la diffusion des statistiques et la recherche (évaluation de la qualité des données) ; c'est aussi un centre collaborateur OMS. Depuis 2004, le cancer (devant les maladies cardiovasculaires) est la première cause de mortalité en France. D'une manière générale, la France a une position défavorable au niveau des décès par rapport aux autres pays européens. Les pays de l'est ont eux aussi un taux très défavorable. Par rapport au royaume Uni, la France a des taux très négatifs notamment en ce qui concerne le suicide et le cancer du poumon chez les hommes de moins de 65 ans. Le certificat de décès en France est nominatif, il contient une partie Etat-Civil et une partie médicale. le décès doit être certifié par un médecin , il est transmis à la mairie qui transmet à la DDASS.
SCD médecine nancy 1
SCD médecine nancy 1 mpa Mot(s) clés libre(s) : 2007, anonymat, base de données, causes décès, certificat de décès, CORTE, EEMIS, France, suicides, système d'alerte, taux décès
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Les émigrés de la pampa / Jean-Christian Tulet
/ Bruno BASTARD, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 01-01-1998
/ Canal-U - OAI Archive
TULET Jean-Christian
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En 1884, une quarantaine de familles aveyronnaises ont tout laissé derrière elles pour suivre François Issaly jusqu'à Pigüé, territoire encore non peuplé de la pampa argentine. A travers la ville, de nombreuses traces témoignent encore de la fondation de cette nouvelle communauté. Outre les monuments commémoratifs des précurseurs, on remarque les traces d'une culture quotidienne qui s'est implantée avec les hommes, l'architecture, le nom des rues... Aujourd'hui ces pionniers de la communauté de Pigüé reposent au cimetière, cependant, certains se souviennent. Mot(s) clés libre(s) : aveyronnais (migrations), français (Argentine), François Issaly (1852-1934), lieux de mémoire, mémoire collective, Pigüé (Argentine)
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Les émigrés de la pampa / Jean-Christian Tulet
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Bruno BASTARD, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 01-01-1998
/ Canal-u.fr
TULET Jean-Christian
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En 1884, une quarantaine de familles aveyronnaises ont tout laissé derrière elles pour suivre François Issaly jusqu'à Pigüé, territoire encore non peuplé de la pampa argentine. A travers la ville, de nombreuses traces témoignent encore de la fondation de cette nouvelle communauté. Outre les monuments commémoratifs des précurseurs, on remarque les traces d'une culture quotidienne qui s'est implantée avec les hommes, l'architecture, le nom des rues...
Aujourd'hui, les pionniers de la communauté de Pigüé reposent au cimetière. Cependant, d'autres se souviennent. Mot(s) clés libre(s) : mémoire collective, aveyronnais (migrations), français (Argentine), François Issaly (1852-1934), lieux de mémoire, Pigüé (Argentine)
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Coteaux du Quercy : naissance d'un vignoble / Jean-Christian Tulet
/ Bruno BASTARD, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 01-01-2001
/ Canal-U - OAI Archive
TULET Jean-Christian
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Ce film retrace les étapes de la construction d’un nouveau vignoble qui couvre plus de 400 hectares et compte 120 producteurs. L’objectif initial a été de renforcer ce que l’on pourrait appeler une "polyproduction spécialisé" afin de mieux résister aux aléas conjoncturels. Très vite, ce nouveau vin, doté de règles très strictes de production, s’est révélé de grande qualité et a conquis une notoriété régionale incontestable. Le succès a fait boule de neige en attirant de nouveaux producteurs, intéressés par une bonne rémunération et un débouché presque assuré. Une coopérative a été installée à Montpezat de Quercy (Tarn-et-Garonne) pour ceux qui n’avaient pas les moyens de vinifier leur production.Vignerons indépendants et coopérateurs sont réunis dans une association très dynamique pour la promotion de leur vin. Tous ces résultats ont permis aux « Vins des coteaux du Quercy » d’obtenir, en 2000, l’appellation VDQS (vin de qualité supérieure) "Coteaux du Quercy". L’objectif des responsables de cette nouvelle appellation est de parvenir à la consécration suprême : accéder à l’appellation AOC. Mot(s) clés libre(s) : appellations d'origine (vin), coopérative viticole, produit agricole (commercialisation), Quercy (France), terroir (viticulture), vin de pays (Quercy), viticulture (aspect économique)
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Mémoire de résistance : FTP-MOI / Rolande Trempé
/ Raphaël REQUENA, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, AMICALE DU BATAILLON CARMAGNOLE-LIBERTÉ, INSTITUT NATIONAL DE L'AUDIOVISUEL (INA)
/ 01-01-1992
/ Canal-U - OAI Archive
TREMPÉ Rolande
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Nous savons depuis peu de temps seulement qu'une partie des travailleurs immigrés, des réfugiés politiques et raciaux ont participé dans la France entière à la résistance.Ce film n'a pas la prétention de retracer leur histoire mais, à travers le cas des combattants FTP-MOI (Francs Tireurs et Partisans de la Main d'Oeuvre Immigrée) de Lyon, de répondre aux questions suivantes : Qui étaient-ils ? Pourquoi et comment ont-ils combattu ? Leur engagement, le rôle des femmes dans la résistance et quels souvenirs aujourd'hui...Liste des intervenants : Claude Urman, André Katz, Hélène Witzman (dite "Nelly"), Philippe Daudy, Léon Landini, Gilles Najman, Balthazar Sanchez, Salomon Mossovic, Jacques Szmulewicz, Etienne Raczymon, Jean Ottavi, Henri Krischer, Charles Bluwol, Nathan Chapochnik, André Fontanel, André Schmer, Jacques Victorovitch, Max Tzwangue, Dina Krischer, Roland Kamienny.Scène particulière : Discours de commémoration par Léon Landini.Inclusion graphique : le système organisationnel et politique des FTP-MOI.Utilisation d'images d'archives :- Visite du maréchal Pétain à l'hôpital de Lyon après un bombardement.- Exposition "le Juif et la France" au Palais Berlitz Mot(s) clés libre(s) : francs-tireurs et partisans français. main-d'oeuvre immigrée, Guerre mondiale (1939-1945), Lyon (Rhône), mouvements de résistance
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Camps de femmes / Rolande Trempé
/ Claude AUBACH, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 01-11-1994
/ Canal-U - OAI Archive
TREMPÉ Rolande
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Le 21 janvier 1939 fut créé, à Rieucros (près de Mende, en Lozère), le premier camp de concentration français, dénomination officielle retenue par le Préfet du Tarn, le 31 décembre 1941. D'abord peuplé par des étrangers suspects, il sera réservé, après la déclaration de guerre, aux femmes étrangères et françaises. Ce camp se déplacera à Brens (près de Gaillac, dans le Tarn) en février 1942, puis à Gurs (Pau) en juin 1944.Grâce aux témoignages des dernières rescapées, dispersées à travers l'Europe, grâce aussi au regard porté par l'écrivain Michel Del Castillo, interné avec sa mère à Rieucros, ce film retrace la vie quotidienne et les luttes de ces femmes à l'intérieur du camp, internées politiques ou de droit commun, militantes communistes ou résistantes opposées au régime de Vichy, françaises, allemandes, polonaises ou espagnoles antifascistes, juives, prostituées raflées à Toulouse, femmes accusées de marché noir, etc.Sur l'internement de ces femmes, l'historienne Rolande Trempé apporte une mise en perspective politique et historique, entrecoupée des témoignages de Fernande Valignat Cognet, Dora Schaul Davidson, Reina Melis Wessels, Michel Del Castillo, Angelita Bettini Del Rio, Camille Planque Alvarez, Raymonde David Fitoussi, Colette Sanson Lucas, Janina Socha, Steffi Spira, Ursula Katzenschein.Film produit avec le soutien du Ministère des anciens combattants et victimes de guerre.Utilisation d'archives photographiques issues du fonds documentaire de l'Association pour Perpétuer le Souvenir des Internées des Camps de Brens et Rieucros (A.P.S.I.C.B.R.) ou bien d'archives personnelles]. Mot(s) clés libre(s) : Brens (Tarn), camps de concentration (France ; sud), détenues de camp d'internement, guerre mondiale (1939-1945), militantes politiques, résistantes, Rieucros (Lozère)
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Camps de femmes / Rolande Trempé
/ Claude AUBACH, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 01-11-1994
/ Canal-u.fr
TREMPÉ Rolande
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Le 21 janvier 1939 fut créé, à Rieucros (près de Mende, en Lozère), le premier camp de concentration français, dénomination officielle retenue par le Préfet du Tarn, le 31 décembre 1941. D'abord peuplé par des étrangers suspects, il sera réservé, après la déclaration de guerre, aux femmes étrangères et françaises. Ce camp se déplacera à Brens (près de Gaillac, dans le Tarn) en février 1942, puis à Gurs (Pau) en juin 1944.
Grâce aux témoignages des dernières rescapées, dispersées à travers l'Europe, grâce aussi au regard porté par l'écrivain Michel Del Castillo, interné avec sa mère à Rieucros, ce film retrace la vie quotidienne et les luttes de ces femmes à l'intérieur du camp, internées politiques ou de droit commun, militantes communistes ou résistantes opposées au régime de Vichy, françaises, allemandes, polonaises ou espagnoles antifascistes, juives, prostituées raflées à Toulouse, femmes accusées de marché noir, etc.
Sur l'internement de ces femmes, l'historienne Rolande Trempé apporte une mise en perspective politique et historique, entrecoupée des témoignages de Fernande Valignat Cognet, Dora Schaul Davidson, Reina Melis Wessels, Michel Del Castillo, Angelita Bettini Del Rio, Camille Planque Alvarez, Raymonde David Fitoussi, Colette Sanson Lucas, Janina Socha, Steffi Spira, Ursula Katzenschein.
* Film produit avec le soutien du Ministère des anciens combattants et victimes de guerre.Utilisation d'archives photographiques issues du fonds documentaire de l'Association pour Perpétuer le Souvenir des Internées des Camps de Brens et Rieucros (A.P.S.I.C.B.R.) ou bien d'archives personnelles]. Mot(s) clés libre(s) : guerre mondiale (1939-1945), Brens (Tarn), camps de concentration (France ; sud), détenues de camp d'internement, militantes politiques, résistantes, Rieucros (Lozère)
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Occupation de l'espace dans la montagne corse au bas Moyen Age: peuplement et économie / E. Tomas
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 09-09-2009
/ Canal-U - OAI Archive
TOMAS Émilie
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Exemple de l'occupation de l'espace dans la montagne corse au bas Moyen Age: peuplement et économie dans la Pieve de Rostino. Emilie TOMAS. In "La construction des territoires montagnards : exploitation des ressources et mobilité des pratiques", 2e International Workshop on archaeology of european mountain landscape, organisé par les laboratoires GEODE, FRAMESPA, GEOLAB et Chrono-Environnement. Université Toulouse 2-Le Mirail, 8-11 octobre 2009. [seconde journée]La piève de Rustinu est située au coeur de la Corse. Vaste de 97,74 km², elle est encaissée dans la vallée du Golo et se caractérise par un réseau de collines peu escarpées et de hauts sommets aux versants abrupts qui aboutissent aux terrasses alluviales du Golo. L’altitude varie entre 126 m (Bisinchi) et 1650 m (le Monte Goio, Gavignano), avec une moyenne qui est comprise entre 400 et 600 m. Cette microrégion est essentiellement en situation d’ubac et protégée des masses humides venant de l’Est par les puissants massifs du Monte Castellare et de San Petrone. Cette situation est propice au développement de la forêt composée essentiellement de quercus, castanea et pinus. Le Rustinu est depuis dix ans le cadre d’une étude archéologique dont l’objectif principal est l’analyse du peuplement et de l’économie de la fin du Moyen Age. Le programme se décompose en deux volets complémentaires : - des prospections systématiques et une recherche dans les archives corses et italiennes fournissent les éléments nécessaires à l’élaboration d’un catalogue des fortifications, habitats, édifices de culte et voies de communication, mais permettent aussi d’appréhender, au moins dans ses grandes lignes, l’économie de la région ; - fouilles étendues et sondages archéologiques, réalisés dans des sites abandonnés considérés comme représentatifs, donnent quant à eux une image plus précise à la fois de la topographie, de la chronologie et de la culture matérielle de ces établissements, mais aussi de leurs occupants. Ces recherches archéologiques ont permis de mettre en évidence les spécificités de cette espace montagnard de l’intérieur de l’île par rapport aux zones côtières. L’occupation du sol est marquée au milieu du XIVe siècle par l’abandon et la destruction de l’unique castrum de la piève. Les petits habitats ouverts, exploitations isolées et hameaux de quelques maisons, ne connaissent en revanche aucun changement. Ce n’est qu’à partir du XVe siècle que leur nombre augmente sensiblement, même si beaucoup d’entre eux vont très vite disparaître. Ces créations, qui viennent compléter un réseau déjà dense (36 habitats), s’inscrivent dans une lente croissance démographique et semblent principalement destinées à assurer une plus large exploitation des terres. Si la sylviculture occupe encore une place importante dans l’économie locale diversifiée, l’élevage des caprinés, marginale jusqu’au début du XIVe siècle, devient désormais l’activité dominante. Une partie de la production de laine, de lait et de viande, semble alors être destinée à un marché extrarégional, à un moment où la région s’ouvre très largement aux importations ligures et génoises en particulier. Mot(s) clés libre(s) : archéologie médiévale, Corse (France), économie médiévale, géographie rurale, paléoenvironnement
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Exemple de l'occupation de l'espace dans la montagne corse au bas Moyen Age: peuplement et économie dans la Pieve de Rostino / Émilie Tomas
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 09-09-2009
/ Canal-u.fr
TOMAS Émilie
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Exemple de l'occupation de l'espace dans la montagne corse au bas Moyen Age: peuplement et économie dans la Pieve de Rostino. Émilie TOMAS. In "La construction des territoires montagnards : exploitation des ressources et mobilité des pratiques", 2e International Workshop on archaeology of european mountain landscape, organisé par les laboratoires GEODE, FRAMESPA, GEOLAB et Chrono-Environnement. Université Toulouse 2-Le Mirail, 8-11 octobre 2009. [seconde journée]
La piève de Rustinu est située au coeur de la Corse. Vaste de 97,74 km², elle est encaissée dans la vallée du Golo et se caractérise par un réseau de collines peu escarpées et de hauts sommets aux versants abrupts qui aboutissent aux terrasses alluviales du Golo. L’altitude varie entre 126 m (Bisinchi) et 1650 m (le Monte Goio, Gavignano), avec une moyenne qui est comprise entre 400 et 600 m. Cette microrégion est essentiellement en situation d’ubac et protégée des masses humides venant de l’Est par les puissants massifs du Monte Castellare et de San Petrone. Cette situation est propice au développement de la forêt composée essentiellement de quercus, castanea et pinus. Le Rustinu est depuis dix ans le cadre d’une étude archéologique dont l’objectif principal est l’analyse du peuplement et de l’économie de la fin du Moyen Age. Le programme se décompose en deux volets complémentaires :
- des prospections systématiques et une recherche dans les archives corses et italiennes fournissent les éléments nécessaires à l’élaboration d’un catalogue des fortifications, habitats, édifices de culte et voies de communication, mais permettent aussi d’appréhender, au moins dans ses grandes lignes, l’économie de la région ;
- fouilles étendues et sondages archéologiques, réalisés dans des sites abandonnés considérés comme représentatifs, donnent quant à eux une image plus précise à la fois de la topographie, de la chronologie et de la culture matérielle de ces établissements, mais aussi de leurs occupants.
Ces recherches archéologiques ont permis de mettre en évidence les spécificités de cette espace montagnard de l’intérieur de l’île par rapport aux zones côtières. L’occupation du sol est marquée au milieu du XIVe siècle par l’abandon et la destruction de l’unique castrum de la piève. Les petits habitats ouverts, exploitations isolées et hameaux de quelques maisons, ne connaissent en revanche aucun changement. Ce n’est qu’à partir du XVe siècle que leur nombre augmente sensiblement, même si beaucoup d’entre eux vont très vite disparaître. Ces créations, qui viennent compléter un réseau déjà dense (36 habitats), s’inscrivent dans une lente croissance démographique et semblent principalement destinées à assurer une plus large exploitation des terres. Si la sylviculture occupe encore une place importante dans l’économie locale diversifiée, l’élevage des caprinés, marginale jusqu’au début du XIVe siècle, devient désormais l’activité dominante. Une partie de la production de laine, de lait et de viande, semble alors être destinée à un marché extrarégional, à un moment où la région s’ouvre très largement aux importations ligures et génoises en particulier. Mot(s) clés libre(s) : paléoenvironnement, géographie rurale, archéologie médiévale, Corse (France), économie médiévale
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La conception des barrages
/ UTLS - la suite
/ 24-10-2004
/ Canal-U - OAI Archive
TARDIEU Bernard
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Les barrages participent au développement de plusieurs façons. Dans les territoires où la ressource hydrique est irrégulière, ils permettent de régulariser les débits d'eau pour les besoins de l'irrigation (c'est l'objet de plus des deux tiers des barrages), de l'eau domestique et industrielle. Ils participent à l'écrêtement des pics de crue et permettent dans certains cas d'améliorer la navigabilité des fleuves. Dans les territoires riches en ressources hydriques, ils sont un des éléments de la production d'énergie hydroélectrique, une énergie renouvelable et très flexible dans son adaptabilité aux variations de la demande électrique. Comme le barrage d'Assouan une génération plus tôt, le barrage des Trois Gorges, en Chine, a beaucoup fait parler de lui. Le projet sera présenté ainsi que les différents points de vue. Plus encore que d'autres grands ouvrages d'infrastructure, les barrages, par les changements qu'ils apportent, favorisent des populations et en défavorisent d'autres. Des progrès notables ont été effectués pour mieux prendre en compte les populations défavorisées, surtout les plus fragiles, et intégrer leur développement dans le projet global. Cet aspect essentiel sera également développé. D'un point de vue plus technologique, on présentera les différents types de barrages et notamment les nouvelles technologies qui permettent de construire de façon plus économique et plus efficace. Les barrages en construction se trouvent en majorité dans les pays émergents. Mot(s) clés libre(s) : barrage poids, béton compacté, construction d'ouvrage, énergie hydroélectrique, évacuateur de crue, génie hydraulique, irrigation, navigabilité des fleuves, turbine Francis
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