Tri :
Date
Editeur
Auteur
Titre
|
|
"Nord", un travail photographique sur les lieux de mai 40 / Pascal Mougin
/ Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 26-05-2011
/ Canal-U - OAI Archive
MOUGIN Pascal
Voir le résumé
Voir le résumé
"Nord", un travail photographique sur les lieux de mai 40 / Pascal Mougin. In colloque international "Claude Simon géographe" organisé par l'Équipe Littérature et Herméneutique du laboratoire Patrimoine Littérature Histoire (PLH) de l'Université Toulouse II-Le Mirail. Toulouse : Université Toulouse II-Le Mirail, 26-27 mai 2011. Mot(s) clés libre(s) : Claude Simon (1913-2005), littérature et photographie, littérature française (20e siècle)
|
Accéder à la ressource
|
|
"Biblique des derniers gestes" ou la quête de l'epos / María Celeste Biorda, Pierre Soubias
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 10-10-2014
/ Canal-u.fr
SOUBIAS Pierre, BIORDA María Celeste
Voir le résumé
Voir le résumé
"Biblique des derniers gestes" ou la quête de l'epos / María Celeste Biorda, Pierre Soubias. In "Patrick Chamoiseau et la mer des récits", colloque international organisé par le laboratoire Lettres, Langages et Arts (LLA CREATIS) de l'Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, 8-10 octobre 2014. Thématique 5 : Explorations génériques.Marqueur de paroles, chercheur de paroles ou metteur en scène d’une
parole ? Depuis ses premiers romans, Chamoiseau s’intéresse
à des histoires sinon oubliées du moins tues, qui sont à la
marge de l’Histoire et qu’il veut faire entendre (Chronique de
sept misères, Texaco). Mais dans Biblique des derniers
gestes, sans doute son roman le plus ambitieux, on raconte moins
l’Histoire vraie qu’on ne profère des histoires. Chamoiseau
semble dépasser la dimension historique au profit d’une
dimension épique, en prenant l’adjectif dans son acception
étymologique (relatif à epos –l’epos
désignant à la fois le contenu de l’épopée et la parole
incarnée dans laquelle elle est énoncée). María Celeste Biorda et Pierre Soubias montrent comment le
romancier construit soigneusement des situations de communication
bien précises, qui permettent l’émergence et le déploiement du
récit, afin que ce dernier prenne la valeur d’une parole
primordiale et collective.
[Illustration adaptée de "Mystery River", photographie de Mattias Ripp, 2014, publiée sur Flickr]. Mot(s) clés libre(s) : littérature française (20e-21e siècles), Patrick Chamoiseau (1953-....), analyse du discours narratif
|
Accéder à la ressource
|
|
"L'esclave vieil homme et le molosse" ou la restructuration du paysage intime d'un roman des Amériques / Corina Crainic
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 10-10-2014
/ Canal-u.fr
CRAINIC Corina
Voir le résumé
Voir le résumé
"L'esclave vieil homme et le molosse" ou la restructuration du paysage intime d'un roman des Amériques / Corina Crainic. In "Patrick Chamoiseau et la mer des récits", colloque international organisé par le laboratoire Lettres, Langages et Arts (LLA CREATIS) de l'Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, 8-10 octobre 2014. Thématique 6 : Esthétiques naratives et récits des Amériques.Si
les romans qui le précèdent se préoccupent d’abord du sort commun des
Martiniquais et s’attachent à mettre en relief la richesse, la diversité et la
beauté antillaises de manière à parer au legs esclavagiste, "L’esclave vieil homme et le molosse" met en
scène l’avènement de préoccupations autres, qui relèvent davantage du désir
d’une libération intime que de la sauvegarde ou de la réhabilitation d’un
peuple. Ce désir, exploré d’ailleurs aussi dans "Un dimanche au cachot", "L’empreinte
à Crusoé" et "Le papillon et la lumière",
éloigne le discours des effondrements et des éventuelles solutions en contexte
postcolonial. Il l’éloigne aussi d’une pensée du devenir commun, d’un projet
social, de revendications et d’invitations à une réflexion quant aux manières
d’habiter et de penser le monde en général et la Martinique en particulier. Ou
encore, s’il y a invitation à penser et à habiter le monde différemment, et
surtout plus intelligemment, plus sensiblement ou plus poétiquement, elle est
adressée à ce que l’être humain comporte de plus solitaire et de plus profond,
comme si la révolution appelée ne pouvait correspondre qu’à une intimité
envisagée comme la seule instance pouvant soutenir un projet d’une telle
envergure. Le roman entame aussi un mouvement relevant du roman des Amériques
ou d’une américanité se définissant d’abord et surtout par un désir de la
métamorphose inséparable de celui de la solitude, sinon même d’une
individualité définie non pas comme une pulsion narcissique destructrice ou
stérile mais plutôt comme la condition même de la connaissance et de la
plénitude. Corina Crainic étudie donc les manières dont s’expriment ces
préoccupations, ce qu’elles révèlent de la pensée de l’écrivain et la place
qu’elles occupent parmi des idées, idéaux, fantasmes ou lucidités d’écrivains
des Amériques tels que William Faulkner et Alejo Carpentier.
[Illustration adaptée de "Mystery River", photographie de Mattias Ripp, 2014, publiée sur Flickr]. Mot(s) clés libre(s) : Patrick Chamoiseau (1953-....), littérature antillaise de langue française
|
Accéder à la ressource
|
|
002 - L'Algérie en 1830 : difficultés d'une histoire critique de la période ottomane
/ ENS-LSH/SCAM
/ 20-06-2006
/ Canal-U - OAI Archive
ENS-LSH/SCAM
Voir le résumé
Voir le résumé
Résumé de la communication de Lemnouar Merouche, lu par Aïssa Kadri .Colloque pour une histoire critique et citoyenne - le cas de l'histoire franco-algérienne Formes et processus de colonisationDu beylik ottoman au pouvoir français : session thématique (prés. Aïssa Kadri)Pratiquement monopole français pendant plus d’un siècle après 1830, l’histoire de l’Algérie ottomane n’a pas échappé à ce qu’on appelle aujourd’hui les conflits de mémoires. ...A quelques exceptions près, les travaux de caractère général sur cette période restent prisonniers des thèmes développés par l’historiographie française de l’époque coloniale. Le projet annoncé à l’indépendance de décoloniser l’histoire n’a pas porté ses fruits.D’une part, loin de s’atteler à forger des instruments adéquats à la connaissance de la société et de son passé, on s’est souvent contenté de répondre au dénigrement colonialiste par une glorification du passé. D’autre part, les lacunes de formation scientifique, l’enfermement qui a prévalu depuis la guerre civile et la montée des courants xénophobes et irrationnels ont réduit considérablement les échanges scientifiques avec l’extérieur et handicapé gravement la recherche et l’enseignement. Décoloniser l’histoire doit se comprendre comme un effort de sortir de certaines visions étriquées de l’époque coloniale et des effets qu’elles entraînent, de s’approprier son histoire et porter un regard autonome, et de l’intérieur, sur son passé... même si le monopole colonial français sur l’histoire de l’Algérie continue à marquer de ses empreintes parfois négatives la recherche sur la période ottomane. Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux, Julien Lopez, Son: Xavier comméat, Encodage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : algérie, algérie 1830-1871 (conquête française), colonisation, constantinois (1567-1837 - Beylik), histoire, politique et gouvernement
|
Accéder à la ressource
|
|
005 - Du beylik ottoman au pouvoir français : débat et questions
/ ENS-LSH/SCAM
/ 20-06-2006
/ Canal-U - OAI Archive
ENS-LSH/SCAM
Voir le résumé
Voir le résumé
Formes et processus de colonisationColloque pour une histoire critique et citoyenne - le cas de l'histoire franco-algérienne Du beylik ottoman au pouvoir français : session thématique (prés. Aïssa Kadri)Dans un contexte où s’affrontent, sur le sujet sensible de l’histoire franco-algérienne, les porte-parole de groupes de mémoire adverses, et des pressions ou injonctions d’histoires des deux côtés de la Méditerranée, le colloque se propose de rendre la parole à l’histoire. Sont donc invités surtout des historiens, français, autres européens, et algériens. En effet, seule une histoire élaborée en partenariat, et fondée sur l’échange et le dialogue international, est susceptible de fortifier sainement les relations internationales, en particulier entre l’Algérie et la France. Le colloque est conçu pour aborder la moyenne et la courte durée. Il ne se limite pas aux aspects politiques, mais embrasse aussi bien l’économie que les migrations, le poids des structures sociales et des mentalités, voire de l’inconscient. Il traite aussi d’histoire politique, d’histoire militaire, de la colonisation, des résistances à la colonisation, et du nationalisme ; sans compter encore de culture, de littérature et d’art. ..Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux, Julien Lopez, Son: Xavier comméat, Encodage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : algérie, algérie (1830-1871 - conquête française), colonisation, constantinois (1567-1837 - Beylik), histoire, politique et gouvernement, pouvoir français, relations france-algérie
|
Accéder à la ressource
|
|
007 - La minorité européenne d'Algérie (1830-1962)
/ ENS-LSH/SCAM
/ 20-06-2006
/ Canal-U - OAI Archive
ENS-LSH/SCAM
Voir le résumé
Voir le résumé
La minorité européenne d'Algérie (1830-1962) : inégalités entre "nationalités", résistances à la francisation et conséquences sur les relations avec la " majorité musulmane ". par Fanny Colonna (Ecole des Hautes études en Sciences sociales), Christelle Taraud (Ecole des Hautes études en Sciences sociales)Colloque pour une histoire critique et citoyenne - le cas de l'histoire franco-algérienne Cette contribution a pour objet la nature hétéroclite du peuplement européen en Algérie, laquelle fut longtemps objet d’inquiétude et de mesures palliatives de la part du pouvoir politique français (loi de « francisation automatique » de 1889). On interrogera les résistances à cette uniformisation, y compris de la part des Français, leurs formes et leurs effets, souvent paradoxaux et contrastés d’une région à l’autre du pays, sur les rapports avec la majorité démographique musulmane.On plaidera ce faisant pour une approche micro-historique, à partir de ce que Carlo Ginzburg appelle « traces » ou ce que Jacques Rancière nomme « [...] les effractions aléatoires à ce silence fondamental qui rend toute histoire collective problématique ». Un tel choix épistémologique permet seul en effet de rapprocher et de donner sens aux nombreuses et pourtant improductives tentatives, tant au XIXe qu’au XXe siècle, de sorties du modèle holiste colonial pour créer une société égalitaire qui aurait inclus ceux qu’Urbain appelait du terme désormais désuet de « régnicoles ». Il s’agit donc d’une tentative pour penser à nouveaux frais, en même temps, l’histoire du peuplement européen dans son rapport avec l’hégémonie française et le statut des Algériens musulmans. Histoire de ce qui n’a pas eu lieu, certes, mais qui n’en est pas moins violemment présente dans le présent d’aujourd’hui.Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux, Julien Lopez, Son: Xavier comméat, Encodage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : algérie (1830-1871 - conquête française), algérie (1954-1962 - guerre d'Algérie), colonisation, européens (algérie), histoire, inégalité sociale, minorités, musulmans, résistances à la francisation
|
Accéder à la ressource
|
|
009 - L'Algérie coloniale : la constante militaire dans le pouvoir français
/ ENS-LSH/SCAM
/ 20-06-2006
/ Canal-U - OAI Archive
ENS-LSH/SCAM
Voir le résumé
Voir le résumé
par Jacques Frémeaux (Université Paris 4Colloque pour une histoire critique et citoyenne - le cas de l'histoire franco-algérienne En Algérie, l’armée française a d’abord fait la guerre selon des méthodes inconnues dans les conflits classiques. Mais en même temps, elle s’est voulue constructrice d’une certaine Algérie, très différente de celle des civils. Le temps de la conquête et celui du combat pour l’indépendance, qu’il importe de rapprocher mais non de confondre, sont les deux moments de cette action, qui engendra des représentations contraignantes. Il faut souligner aussi un point trop mésestimé : l’armée a fourni à la France le renfort de nombreux soldats algériens, dont la présence a pesé dans les conflits où la « métropole » a été engagée, et dont le souvenir contribue à accroître les conflits de mémoire.Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux, Julien Lopez, Son: Xavier comméat, Encodage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : algérie (1830-1962), algérie (1954-1962 - guerre d'Algérie), armée française, colonisation, guerre d'indépendance, histoire, histoire militaire, politique et gouvernement, relations france-algérie
|
Accéder à la ressource
|
|
010 - Les militaires nord-africains dans l'armée française pendant la seconde guerre mondiale
/ ENS-LSH/SCAM
/ 20-06-2006
/ Canal-U - OAI Archive
ENS-LSH/SCAM
Voir le résumé
Voir le résumé
par Belkacem Recham (Université de Strasbourg 2)Colloque pour une histoire critique et citoyenne - le cas de l'histoire franco-algérienne La participation de soldats venus de l’empire colonial français à la Seconde Guerre mondiale est aujourd’hui un véritable enjeu de mémoire. Divers mouvements et associations initiés par les petits-enfants des anciens tirailleurs demandent à la France plus de reconnaissance.Troupes destinées initialement aux conquêtes coloniales et à leur protection, la France les utilisa, non sans hésitation, pour la défense de la métropole, d’abord lors de la guerre franco-allemande de 1870 puis lors de la Grande Guerre et enfin lors de la Seconde Guerre mondiale. Pour cette dernière, présentée aux populations du Maghreb comme le combat de la justice contre la barbarie, la France mobilisa plus 350 000 Nord-Africains en 1939-1940 dont plus de deux tiers de musulmans qui se retrouvèrent en partie prisonniers dans les Fronstalags de France.La défaite de la France eut pour conséquence la démobilisation et la remise à la vie civile de la majorité des militaires nord-africains dans un contexte social très difficile. Ceux de confession juive furent chassés de l’armée et déchus de la nationalité française après l’abrogation du décret Crémieux qui la leur avait accordée en 1870. Après le débarquement allié en Afrique du Nord en novembre 1942, les trois colonies du Maghreb furent de nouveau mises fortement à contribution pour reconstituer l’armée française et participer aux combats pour la libération de la métropole. Les Européens fortement mobilisés fournirent la majorité des cadres et les musulmans la majorité des fantassins des 500 000 hommes et femmes que comptait cette armée régulière reconstituée.Écrasés et méprisés par le régime colonial, les musulmans se retrouvèrent dans cette armée, à l’occasion de cette guerre, choyés et entourés de toutes les sollicitations. Encadrés en permanence par des Français une véritable fraternité d’arme s’établit entre soldats de toute confession. Cependant, l’encadrement paternaliste, poussé parfois au ridicule, masquait mal les discriminations dont les musulmans souffraient au sein de l’armée, et la méfiance du commandement à l’égard des cadres d’entre eux est à l’origine d’un malaise grandissant parmi les officiers et sous officiers musulmans.Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux, Julien Lopez, Son: Xavier comméat, Encodage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : algérie, armée française, forces armées coloniales, france, guerre mondiale (1939-1945), histoire, militaires nord-africains, participation coloniale
|
Accéder à la ressource
|
|
029 - Histoire du système d’enseignement colonial en Algérie
/ ENS-LSH/SCAM
/ 20-06-2006
/ Canal-U - OAI Archive
ENS-LSH/SCAM
Voir le résumé
Voir le résumé
par Aïssa Kadri (Université François Rabelais (Tours)Enseignement et enseignants dans l'Algérie coloniale : session thématique (prés. Frédéric Abécassis)Colloque pour une histoire critique et citoyenne - le cas de l'histoire franco-algérienne Dans l’histoire de l’imposition de l’école française en Algérie, 1883 marque pour de nombreux analystes, historiens et sociologues, une césure entre deux grandes phases qui sont généralement identifiées pour celle antérieure à cette date comme celle du refus scolaire de la part de la population locale et pour la période qui la suit comme celle de la progressive montée d’une demande scolaire qui ne devient véritablement franche qu’à partir de l’entre-deux-guerres.Cependant, s’il est indéniable que l’intervention des lois Ferry a modifié sensiblement le paysage scolaire qui prévalait jusqu’alors en Algérie, en définissant une politique cohérente qui tranche avec celle de la période précédente faite d’hésitations et de tâtonnements, la périodisation qui en découle et qui distingue un avant et un après les lois laïques demeure à notre sens réductrice à maints égards des ambiguïtés qui ont accompagné l’implantation du système scolaire français.L’impact de l’école française repéré surtout à partir du constat unilatéral des seules autorités coloniales est ainsi principalement validé par la mesure statistique : la stagnation ou la progression des effectifs scolaires algériens dans le primaire deviennent à cet égard les principaux indices de la résistance ou de l’adhésion au système scolaire exogène ; or, à considérer le nombre d’étudiants qui sont passés par le système de l’enseignement secondaire et supérieur ou le taux d’analphabétisme relevé pour les années 1960 ou même la part des élèves scolarisés dans le primaire - et ceci au moins jusqu’en 1958- sur celle des enfants en âge d’être scolarisés, le bilan scolaire colonial apparaît dérisoire n’eut été l’infléchissement tardif provoqué par la pression de la lutte de libération nationale.L’histoire de la politique scolaire coloniale n’a jamais été ce lent mouvement de civilisation des populations locales présentes seulement par leur refus : elle apparaît plutôt comme un processus profondément contradictoire dont les déterminants sont à rechercher aussi bien chez les émetteurs de cette politique qu’au niveau de ses récepteurs. Elle se laisse donc apprécier moins en terme d’effectifs algériens qui ont transité par le système de l’enseignement colonial qu’en terme de rapport de communication où ce qu’il importe de saisir, au-delà du contenu de l’émission et dans la perspective de ce qu’est l’école aujourd’hui en Algérie et de ce qu’elle représente, c’est la manière dont le message, ici l’école, est capté, interprété et assimilé à partir des caractéristiques propres de la société réceptrice.Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux, Julien Lopez, Son: Xavier comméat, Encodage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : administration scolaire, algérie (1830-1962), analphabétisme, écoles françaises (algérie), éducation, enseignement (algérie)
|
Accéder à la ressource
|
|
032 - Un ciel enfermé dans l’eau/juin 1968
/ ENS-LSH/SCAM
/ 23-05-2008
/ Canal-U - OAI Archive
GLEIZE Jean-Marie
Voir le résumé
Voir le résumé
Session Effets artistiques et littéraires de Mai 68. Transformations plastiques, déstabilisations génériques, nouveaux dispositifs de création Colloque Mai 68 en quarantaine Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux, Son: Xavier Comméat, Encodage-Montage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : art, création (esthétique), france (1968), littérature française, mai 68, vie artistique
|
Accéder à la ressource
|
|