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Tri :   Date Editeur Auteur Titre

ONEPROD EAGLE : surveillance sans fil automatique pour l’industrie du futur

/ Canal-u.fr
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La maintenance dite industrielle est connue, mais il existe d’autres domaines d’applications avec des spécificités dont la maintenance dans les entreprises du médicament, démonstration en direct de ONEPROD EAGLE, un système de surveillance continue des machines tournantes utilisant des capteurs sans fil M. Thomas Bonnefond
Mot(s) clés libre(s) : maintenance, génie industriel
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2015 - Fille ou Garçon, un gène à l’aiguillage

/ Icare Multimédia - Faculté de Médecine Lille 2 / Canal-u.fr
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« Fille ou Garçon, un gène à l’aiguillage » par le Professeur Philippe Berta Conférence du Professeur Philippe Berta qui a eu lieu le 17 octobre à 10h à la Faculté des sciences juridiques, politiques et sociales, et qui entre dans le cadre du cycle : " Quand les scientifiques observent le sexe ". Philippe Berta, Professeur des universités, est fondateur et président du conseil scientifique de l’École de l’ADN, secrétaire général du pôle de compétitivité santé Eurobiomed, codécouvreur du gène de la masculinité SRY, directeur du master régional de biotechnologie BIOTIN et concepteur de PatentShaker. On lui doit aussi la mise en place de l’Université de Nîmes. On vient de célébrer le 25ème anniversaire de la découverte du gène de la masculinité, SRY. Cette découverte a, tout à la fois, mis fin à des siècles d’hypothèses sur l’origine des deux sexes au profit de l’hypothèse génétique. Elle a aussi permis, depuis, de décrypter en grande partie les mécanismes moléculaires conduisant à la mise en place de la gonade mâle/femelle. Enfin, ce gène si particulier a conduit à la description d’une grande famille de gènes, les gènes SOX (SRY box), qui font régulièrement l’actualité par leurs implications dans de grandes voies de développement ou, par exemple, dans l’établissement d’un profil cellule souche à nos cellules différenciées.
Mot(s) clés libre(s) : génétique, sexualité, sry, sox, géne
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2015 - L’homosexualité a-t-elle des bases biologiques

/ Icare Multimédia - Faculté de Médecine Lille 2 / Canal-u.fr
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« L’homosexualité a-t-elle des bases biologiques ? ». Conférence du Professeur Jacques Balthazart qui a eu lieu le 9 décembre à 18h à la Faculté des sciences juridiques, politiques et sociales (amphithéâtre René CASSIN) dans le cadre du cycle : " Quand les scientifiques observent le sexe ". Jacques  Balthazart  est  Professeur  Émérite  au Grappe Interdisciplinaire de Génoprotéomique Appliquée (GIGA) Neurosciences de l’Université de Liège. Il étudie  depuis plus  de  40  ans  les  mécanismes neuroendocriniens   et   neurochimiques de contrôle du comportement sexuel. Il s’intéresse spécialement  à  la  différenciation  sexuelle, c’est  à  dire  aux  mécanismes  qui  pendant  le développement  déterminent  les  différences  comportementales, neuroanatomiques et neurochimiques entre mâles et femelles. Il a dans ce cadre publié plus de 400 articles scientifiques dans des revues internationales. Il a organisé de nombreuses conférences internationales sur ces thèmes, fait partie du comité de rédaction de plusieurs journaux scientifiques et est actuellement co-éditeur en chef de la revue Frontiers in Neuroendocrinology. Sa conférence a pour but d’exposer les résultats de recherches en biologie indiquant que les effets des hormones embryonnaires, eux-mêmes sous le contrôle partiel de facteurs génétiques, jouent probablement  un  rôle  prépondérant  dans  le  déterminisme  de l’orientation sexuelle. Il passera tout d’abord en revue les études animales  qui  démontrent  formellement  que  de  nombreuses différences entre mâles et femelles sont le résultat de l’action des hormones testiculaires pendant la vie embryonnaire. Dans un deuxième stade, il montrera que ces mêmes hormones sont toujours  bien  présentes  et  actives  dans  l’espèce  humaine  et déterminent  les  différences  sexuelles  morphologiques  ainsi que  certaines  différences  comportementales  entre  hommes  et femmes. Enfin une troisième partie passera en revue les Études cliniques et diverses Études épidémiologiques qui suggèrent très fortement que ces mécanismes hormonaux jouent également un rôle important dans le déterminisme de l’orientation sexuelle.
Mot(s) clés libre(s) : génétique, homosexualité, sexualité, hormones, géne
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2015 - Sexe, diversité, innovation

/ Icare Multimédia - Faculté de Médecine Lille 2 / Canal-u.fr
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Conférence du Professeur Pierre-Henri Gouyon qui a eu lieu le 2 décembre à 18h à la Faculté des sciences juridiques, politiques et sociales, et qui entre dans le cadre du cycle : " Quand les scientifiques observent le sexe ". Généticien ayant aussi fait des études de philosophie, Pierre-Henri Gouyon est Professeur au Muséum National d’Histoire Naturelle, à l’AgroParisTech, à l’ENS et à Sciences Po. Il est aussi responsable de l’Équipe de recherche en Botanique au sein du Laboratoire ISYEB (Institut de Systématique, Evolution, Biodiversité). Il étudie actuellement les mécanismes de l’Évolution en allant de la génétique à l’Écologie. Auteur de nombreuses publications scientifiques qui lui ont notamment valu un prix de la Société Américaine d’Écologie et d’avoir été élu à l’Academia Europea de Londres, il a aussi publié plusieurs ouvrages ou CD à visée didactique, notamment : - « Aux origines de la Sexualité » (2009), - « La reproduction, ce que l’on ne sait pas encore », - « l’Évolution, 2014 » (qui a reçu le Prix « Lire dans le Noir » de Radio-France). Il appartient ou a appartenu à plusieurs comités nationaux en lien avec les questions de Science dans la Société, ainsi qu’aux comités d’Éthique de l’INSERM et du Département des Sciences de la Vie du CNRS.
Mot(s) clés libre(s) : génétique, sexualité, hormones, Darwin, géne, parthénogénèse, Hermaphrodisme
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La gestion des risques : le cas des montagnes

/ Bruno BASTARD, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, UOH - Université Ouverte des Humanités / 14-02-2007 / Canal-U - OAI Archive
ANTOINE Jean-Marc, VIDAL Franck
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A côté des grands types de risques naturels (feux, inondations, mouvements de terrain...) certains milieux sont susceptibles de générer des risques propres, mais également d'en amplifier les effets. C'est le cas des risques naturels en milieu montagnard. La concentration des aléas potentiels avec la pente, l'altitude, la géomorphologie et les conditions météorologiques locales d'une part, mais également une exploitation et une occupation humaine du territoire montagnard d'autre part génèrent chaque année bon nombre de catastrophes. Bien que des actions spécifiques au milieu montagnard (service RTM par exemple) soient développés en France, une meilleure information et sensibilisation des usagers de la montagne est aujourd'hui nécessaire.GénériqueInterview : Franck VIDAL - Réalisation et post-production : Bruno BASTARD - Cadreurs : Nathalie MICHAUD et Claire SARAZIN - Production et moyens techniques : CAM, Université de Toulouse-Le Mirail, 5 allées Antonio Machado, 31058 Toulouse CEDEX 09
Mot(s) clés libre(s) : aménagement du territoire, avalanche, catastrophe naturelle, génie civil, géographie, gestion des risques, modélisation du risque, montagne, prévention, prévision, réchauffement climatique, restauration des terrains en montagne, risque naturel
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Les gènes homéotiques et l'évolution des animaux

/ UTLS - la suite / 11-07-2002 / Canal-U - OAI Archive
BALAVOINE Guillaume
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L'idée que les modifications que subissent les espèces au cours de l'évolution sont causées par des altérations du développement de l'embryon est apparue dès le XIXe siècle. Néanmoins, l'ignorance dans laquelle nous étions des mécanismes fondamentaux de l'embryogenèse, c'est-à-dire le développement progressif d'un animal juvénile composé de milliers de cellules, de tissus différenciés et d'organes complexes à partir d'une seule cellule, l'oeuf fécondé, a empêché jusqu'à une date récente toute avancée significative dans le domaine des mécanismes embryologiques de l'évolution. Cette situation a radicalement changé depuis une trentaine d'années. Des progrès considérables ont été faits dans la compréhension de la façon dont les gènes contrôlent le développement de l'embryon. Pour la première fois, des exemples convaincants du rôle possible de certains gènes dans l'évolution de la morphologie des animaux ont été proposés. Au cours de mon exposé, je souhaite donner un aperçu historique de la relation entre embryologie et évolution. J'essaierai d'expliquer à quel point la découverte des gènes homéotiques et de leur conservation chez la plupart des animaux a été révolutionnaire pour la biologie du développement. Dans une troisième partie, j'expliquerai comment certains de ces gènes peuvent avoir été impliqué dans l'évolution du plan d'organisation des animaux.
Mot(s) clés libre(s) : animal, biologie du développement, embryologie, embryon, évolution, gène homéotique, gènes HOX, génétique, génétique moléculaire
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Collège de France – Le continuum entre troubles bipolaires et schizophrénie/Continuum between bipolar disorder and schizophrenia

/ 01-06-2007 / Canal-U - OAI Archive
BELLIVIER Frank
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Bipolar disorders and schizophrenia continue to present complex diagnostic and therapeutic challenges. Traditionally, bipolar disorder has been considered as a clinical entity distinct from schizophrenia, although that assumption is being increasingly challenged. Despite the availability of international classifications, such as the DSM-IV and ICD-10, which clearly distinguish these two disorders, diagnosis is still problematic due to instability and symptoms overlap. In addition, each disorder is heterogeneous characterized by different subtypes and degrees of severity. Proponents of a bipolar continuum theory support the concept of an expanded psychiatric continuum ranging from bipolar disorders to schizophrenia. Although, the concept of continuum has never been clearly defined, this notion is supported by various independent findings. Both bipolar disorder and schizophrenia demonstrate a high degree of genetic heritability. Some data reported in family and twin studies suggest a genetic overlap between the two disorders. Gene mapping for both diseases is in its early stages, but certain susceptibility markers appear to be located on the same chromosomes and some candidate genes have been associated with each of these disorders. Bipolar disorder and schizophrenia also demonstrate some similarities in neurotransmitter dysfunction. Neuroimaging and cognitive studies have also provided arguments suggesting the existence of a continuum between schizophrenia and bipolar disorder. As further indirect evidence of a possible association, many atypical antipsychotic agents approved for the treatment of schizophrenia are also proving useful for bipolar disorder. Conversely, mood stabilizers have also been proposed in the treatment of schizophrenia. Recent research using dimensional and genetic approaches may reconcile both (unitary versus Kraepelinian) conceptions. Origine SPI-EAO CERIMES Canal-U Santé et Sport Générique Auteurs : Frank BELLIVIER – Franck Schurhoff Pôle de Psychiatrie CHU Mondor-Chenevier Créteil /INSERM U842 Paris XII
Mot(s) clés libre(s) : Collège de France, gènes, neurobiologie, psychiatrie, schizophrénie, troubles bipolaire
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Gènes, synapses et autismes

/ BioMedia-UPMC / 05-05-2010 / Unisciel
Bourgeron Thomas
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L'autisme n'est plus considéré comme une entité unique, mais plutôt comme un ensemble de troubles que l'on nomme « les troubles du spectre autistique » (TSA). Les TSA sont caractérisés par des troubles de l'interaction sociale et du langage, et la présence de comportements répétitifs et stéréotypés.
Mot(s) clés libre(s) : autisme, TSA, gène, synapse, Physiologie humaine
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Plastiques = polluants ? Mythes et réalités - L'ingénierie aujourd'hui

/ UTLS au lycée / 20-01-2009 / Canal-U - OAI Archive
BUFFENOIR Michel
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Une conférence de l'UTLS au LycéeAvec Michel Buffenoir (ingénieur chez Technips)Lycée Jean Zay (63300 Thiers)Partenariat Région Auvergne
Mot(s) clés libre(s) : éthylène, génie industriel, ingénierie, métier de l'ingénieur, pétrochimie, plastique, polymère, problème technologique
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Cancers et gènes suppresseurs de tumeur

/ BioMedia-UPMC / 20-05-2010 / Unisciel
Camus Gilles, Ibarrondo Françoise
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Redonner aux cellules cancéreuses la capacité de contrôler leurs divisions serait un bon moyen de lutter contre leur prolifération. C'est ce qui a été tenté chez la souris au tournant de l'année 2007 avec les gènes suppresseurs de tumeur Bim et p53. Qu'enseignent ces expériences?
Mot(s) clés libre(s) : cancer, gène suppresseur, tumeur, Génétique
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