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CNIPsy 2010 Marseille - De la psychiatrie à la sexologie. Débat.
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 28-10-2010
/ Canal-U - OAI Archive
PRINGUEY Dominique, DYE Sandrine
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CNIPsy 2010 Marseille : 7ème Congrès National des Internes en Psychiatrie (CNIPsy). Thème : «Mauvais genre»Session : Sexualité et psychiatrie : un mélange des genres.Titre : CNIPsy 2010 Marseille - De la psychiatrie à la sexologie : un parcours atypique.Résumé : Le sexe est un sujet dont tout le monde parle. Comment aborder ce sujet en tant que psychiatre face à un patient est un problème autrement plus complexe. Pour un prescripteur, le sujet pourra être abordé en recherchant des effets indésirables des traitements psychotropes.La sexologie est pourtant un champ très vaste qui ne fait pas toujours partie des programmes de formation des internes. On a donc invité des professionnels qui se sont pencher sur ce sujet qui peut paraitre si délicat à aborder pour les internes et pourtant si essentiel dans la vie.L'idée de cette demi-journée est de proposer des pistes de réflexion et une ouverture sur ce domaine.Modérateur : Pr Dominique PRINGUEY, Sandrine DYESCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : CNIPsy 2010 Marseille, dysphorie de genre, éthique, psychiatrie, psychotropes, sexologie
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Dramaturgies au féminin : écritures politiques contemporaines du corps et du sexe / Muriel Plana
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Claire SARAZIN, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 26-03-2015
/ Canal-u.fr
PLANA Muriel
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Dramaturgies au féminin : écritures politiques contemporaines du corps et du sexe / Muriel Plana, in Journées d'études "Opera contro. L’œuvre de rupture sur la scène italienne contemporaine, de 1960 à nos jours", organisées, sous la responsabilité scientifique de Margherita Orsino et Antonella Capra, par Il Laboratorio et l'Institut de Recherche Pluridisciplinaire en Arts Lettres Langues (IRPALL) de l'Université Toulouse Jean Jaurès, 26-27 mars 2015.
Ces Journées d'étude se penchent sur un phénomène, voire un concept, qui a été intitulé « Opera contro » en écho au fameux film de Francesco Rosi, Les hommes contre (1970), film culte pour toute une génération engagée. Par là "l’œuvre de rupture" est entendue à la fois comme œuvre d’avant-garde (qui rompt avec l’esthétique préexistante) mais aussi comme œuvre qui a vocation à dénoncer, bannir, renverser, s’opposer à un statu quo, un aspect de la culture ou de la société voire tout un système sociopolitique. La question de la relation entre la littérature, et plus généralement "les arts", et l’engagement se pose en effet pour tout le XXe siècle (à commencer par la période des avant-gardes dites "historiques" dans le contexte de la Première Guerre mondiale par exemple) et passe ensuite par les polémiques et conflits internes à la néo-avant-garde lors des événements de mai 68. C’est aussi un sujet transversal, dont les problématiques sont complexes et nombreuses et touchent notamment la question de l'expérimentalisme et, en amont, du langage. C'est enfin une question toujours actuelle si l’on considère l’œuvre non comme un produit "fini" et détaché de toute autre entité, mais comme une « œuvre ouverte » en interaction avec le lecteur/public et plus généralement les lieux, cultures, arts, histoire : en bref ce qu’on pourrait résumer par « réalités individuelles et collectives ». Dans cet esprit, une attention particulière est réservée à l’édition et à la réception de ces œuvres à la fois "en opposition à" et "en marge de" la culture dominante. Mot(s) clés libre(s) : étude sur le genre (dans l'art), théâtre italien (20e-21e siècles), littérature italienne (21e siècle), Lina Prosa (1951-....), corps humain (dans l'art)
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L'histoire saisie par le genre et la différence des sexes
/ Mission 2000 en France
/ 22-04-2000
/ Canal-U - OAI Archive
PERROT Michelle
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"Longtemps, l'histoire a ignoré la différence des sexes ; pas seulement les femmes en général, mais les hommes dans leur virilité, les êtres humains dans leur dimension privée, sexuée et sexuelle. Depuis vingt-cinq ans, d'abord aux États-Unis, puis ailleurs et notamment en France, où dès 1949, Simone de Beauvoir avait posé la question du Deuxième Sexe, les choses ont changé. L'histoire des femmes a ouvert la voie, et d'elle surtout on évoquera les principaux développements. Mais aujourd'hui, le"premier sexe" s'interroge sur lui-même. Les gays et lesbiennes revendiquent leur droit à l'histoire. Les uns et les autres remettent en cause un récit dont ils sont absents, une conception de l'histoire où l'universel ne recouvre en fait que le masculin, voire une certaine définition du masculin. Pourquoi et comment ces changements ? Quelle signification ont-ils ? Et quels effets ?" Mot(s) clés libre(s) : droit à l'histoire, femmes dans l'histoire, histoire du genre, historiographie, homosexuels dans l'histoire
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Gendering the Margins: Gypsy Women Seeking Justice in Istanbul (1540-1600)
/ 07-01-2012
/ Canal-u.fr
ÖZ ÇELİK Faika
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Journée
d'études: La justice dans la société
ottomane Institutions acteurs et pratiques : 6-7/01/2012 Session III. Quand différents corps de
droit (chéria, kanun et coutume) et systèmes juridiques se croisentFaika Öz Çelik (Doctorante, McGill University, Montréal-Canada), “Gendering the Margins: Gypsy Women Seeking Justice in Istanbul (1540-1600)”. Mot(s) clés libre(s) : Turquie, justice, Empire ottoman, genres
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An Interview with Steven Millhauser
/ Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 06-11-2015
/ Canal-u.fr
MILLHAUSER Steven, CHÉNETIER Marc, FÉVRIER Étienne, COCHOY Nathalie
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An
Interview with Steven Millhauser, lecture-entretien dans le cadre de la journée d’études
« Small Town America » organisée par Nathalie Cochoy et Etienne
Février (Laboratoire Cultures Anglo-Saxonnes, axe « Poéthiques »), avec la participation de Marc Chénetier (Université Paris-Diderot). Université
Toulouse-Jean Jaurès, 6 novembre 2015.
Illustration : « Neverland Colorado », photographie de Jean Kempf (1977). Mot(s) clés libre(s) : littérature américaine (20e-21e siècles), Steven Millhauser (1943-....), nouvelle (genre littéraire)
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Filles et garçons au collège : quels lieux pour quelles rencontres ?
/ Eric (CICA Vidéo Aubervilliers) Garreau
/ 23-03-2015
/ Canal-u.fr
Maurin Aurélie
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Aurélie Maurin, Psychologue clinicienne, maîtresse de conférences, Université Paris 13Si les institutions scolaires sont dévouées à la transmission des savoirs constitués, elles sont aussi un lieu de socialisation pour les jeunes générations. Les filles et les garçons, mais aussi les femmes et les hommes, s'y rencontrent, s'y côtoient et s'y confrontent. Ainsi des enjeux de territoires désignés, assignés, conquis, séparés, partagés etc. s'entrecroisent avec des enjeux de construction identitaires. Le partage des lignes entre l'espace interne personnel (vie psychique), les espaces de la rencontre (intersubjectivité) et les espaces symboliques (topiques institutionnelles) semble se resserrer autour de la différence des sexes comme unique marqueur, avec la différence culturelle, de l'identité des jeunes gens, au détriment des autres figures de l’altérité. Pourtant, les lieux de l'école, ainsi que ces hors-lieux (lieux informels et intersticiels tels que la cour, les parvis, les couloirs, etc.), restent investis par les jeunes eux-mêmes de manière à s'y inscrire dans la diversité de leurs appartenances (genrées, culturelles, groupales, etc.). Ce dernier point sera abordé à partir de plusieurs séries observations dans les collèges d’Île-de-France.Toutes les Conférences Campus Condorcet Mot(s) clés libre(s) : collège, étude sur le genre (identité)
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L'autobiographie - Philippe Lejeune
/ UTLS - la suite
/ 26-04-2007
/ Canal-U - OAI Archive
LEJEUNE Phillipe
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Espace de liberté permettant à chacun de mettre sa vie par écrit, l'autobiographie est, avant d'être un genre littéraire, une pratique. A l'origine du concept du "pacte autobiographique" et spécialiste du genre, Philippe Lejeune nous livre ici son expérience personnelle de la pratique autobiographique. Mot(s) clés libre(s) : autobiographie, genres littéraires, journaux intimes, narration à la première personne, philippe lejeune (1938-....), récits personnels
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L'autobiographie - Philippe Lejeune
/ UTLS - la suite
/ 26-04-2007
/ Canal-u.fr
LEJEUNE Phillipe
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Espace de liberté permettant à chacun de mettre sa vie par écrit, l'autobiographie est, avant d'être un genre littéraire, une pratique. A l'origine du concept du "pacte autobiographique" et spécialiste du genre, Philippe Lejeune nous livre ici son expérience personnelle de la pratique autobiographique. Mot(s) clés libre(s) : autobiographie, genres littéraires, journaux intimes, narration à la première personne, philippe lejeune (1938-....), récits personnels
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"Corps, Travail et Genre" 3ème partie
/ Thomas GUIFFARD
/ 16-12-2015
/ Canal-u.fr
LE LAY Stéphane, RENAHY Nicolas, DEJOURS Christophe, RIVOAL Haude
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Qu’il soit biologique ou social, physique ou politique, réel ou fantasmé, le mot de « corps » est polysémique. Il renvoie à de nombreux domaines de recherches comme la science, l’histoire, la sociologie ou encore la philosophie.
Corps sublimés, corps blessés, corps niés ou corps remaniés, nous ne pouvons réfuter l’importance des pratiques corporelles dans l’analyse du travail. Le corps utilisé comme « outil » n’échappe pas à une construction symbolique ou culturelle conduisant et dirigeant l’action. Les discours biologisants ont relayé une certaine idée des corps masculins et féminin qui n’est pas sans lien avec la construction des rapports sociaux de sexe, allant à l’encontre d’une illusion de libération des contraintes à l’oeuvre. Aujourd’hui encore, on questionne la libération du corps des femmes à travers le voile ou l’IVG alors que le corps des hommes n’en est pas moins soumis à un idéal de masculinité virile.
Mais au-delà de leur matérialité, les corps féminins et masculins ont une histoire : ils sont liés à des enjeux politiques, économiques et sociaux qui nous obligent à penser la dimension du genre dans l’analyse du corps au travail et du travail du corps. Celui-ci n’échappe pas à des formes d’intériorisation des normes sociales liées, entre autres, au genre.
Quel est le traitement réservé au corps par le travail ? Comment celui-ci s’adapte-t-il aux contraintes sociales ou aux contraintes de genre qui lui sont associées ?
Lors de cette journée d’étude, les intervenants sont invités à enrichir le débat en croisant à la fois la question des corps, du genre et du travail.
Si beaucoup de travaux ont pu se pencher sur le corps féminin au travail (la manière dont il est façonné, utilisé, abîmé), il est également intéressant de s’interroger sur le corps masculin au prisme des injonctions à la virilité : conduite de dépense, importance de la force, etc. seront autant de pistes de réflexions développées. Les interventions seront étendues aux croisements classe, race et genre.
Séance présidée par Haude Rivoal, doctorante en sociologie au CRESPPA-GTM et discutée par Nicolas Renahy, directeur de recherches en sociologie au CESAER
“Corps, travail et genre en psychodynamique du travail”
Christophe Dejours, professeur titualaire de la chaire de Psychanalyse-Santé-Travail au CNAM.
L’introduction du genre dans la théorie psychanalytique de la sexualité par Laplanche sera au départ de la
présentation. Mis à l’épreuve de la clinique du travail, le concept d’assignation dégagé par Laplanche peut
être étendu aux catégories de classe, genre, race. L’identité subjective qui se constitue dans l’enfance en
réponse à l’assignation peut être remaniée par l’expérience du travail. Si les tâches sont genrées par la division
sociale du travail, l’intelligence requise pour les accomplir ne semble pas l’être : l’intelligence au travail
mobilise en effet dans le corps des propriétés qui semblent échapper aux différences de sexe et de
genre. Le travail de production (poièsis) exige pourtant, dans l’ombre, un autre travail de soi sur soi (Arbeit)
qui se traduit par des remaniements du corps subjectif. Ces derniers sont parfois une ressource
pour remettre en cause la domination de genre, tant dans la vie sociale que dans l’économie amoureuse.
« Le corps en-jeu-x »
Stéphane Le Lay, sociologue associé à l’équipe “psychodynamique du travail et de l’action” - CNAM-Paris 5
L’observation attentive des transformations intervenues depuis plusieurs années dans divers champs professionnels
amène à poser sans relâche la question de la place du corps dans l’organisation du travail.
Le corps est un enjeu de pouvoir, on le sait depuis longtemps, puisqu’il est ce sans quoi aucun travail
ne saurait être engagé, aucune production réalisée, aucun capital – économique, culturel, social
– accumulé, pour soi ou par autrui. Le corps est « outillé » par nos dispositions sociales. Mais il est également
« instrumentalisé » par le jeu des rapports sociaux interpénétrés qui forment une configuration sociale
donnée. Or, quoi de mieux que le jeu pour le travail d’incorporation ? Jouer pour développer ses dispositions.
Jouer pour s’incorporer à l’organisation du travail. Jouer pour tenter de s’en arracher, et souffler un peu. Mot(s) clés libre(s) : rapports sociaux de sexe (genre), corps et travail
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Le care : éthique, genre et société
/ DCAM - Département Conception et Assistance Multimédia - Université Bordeaux Segalen, Université Bordeaux Segalen - DCAM
/ 12-05-2010
/ Canal-U - OAI Archive
LAUGIER Sandra
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Qu'est-ce que le care? Apporter une réponse concrète aux besoins des autres. Telle est, aujourd'hui, la définition du care, ce concept qui ne relève pas du seul souci des autres ni d'une préoccupation morale spécifiquement féminine, mais d'une question politique cruciale recoupant l'expérience quotidienne de la plupart d'entre nous. Le care concerne aussi bien le domaine de l'éthique que ceux du genre, du travail et de la santé, et nous donne une idée de ce que pourrait être une véritable politique de l'ordinaire.La conférence a été donnée à l'Université Victor Segalen Bordeaux 2 dans le cadre du cycle de conférences "L'invité du Mercredi" / Saison 2009-2010 sur le thème "Santés, médecines, sociétés". Service culturel Université Victor Segalen de Bordeaux 2 / DCAM / Mot(s) clés libre(s) : care, comportement d'aide, empathie, éthique féministe, féminisme, genre, morale sociale, sollicitude
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