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Tourisme et culture surgelée
/ UTLS - la suite
/ 14-01-2006
/ Canal-U - OAI Archive
TILROE Anna
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L'art et la culture deviennent de plus en plus des produits comme les autres, et les stratégies de marketing commencent à égaler celles du commerce. Le monde de l'art, par exemple, se manifeste aujourd'hui comme festival permanent avec, à tous moments, des biennales partout sur le globe. En même temps le rôle de l'artiste change rapidement en celui d'un amuseur. Pourtant il y a conscience générale de la qualité de l'art et la culture, en tant qu'expression d'expériences, de sentiments et de manières de pensée individuelles et collectives, ainsi que de leur capacité de former une mémoire commune. Cela se voit en particulier quand une nation, une ville ou une communauté s'en servent pour se construire une identité. A l'industrie de tourisme une telle construction d'identité culturelle au niveau locale ou nationale, est fortement favorable. Elle la pousse même jusqu'à un cliché aisément reconnu par les masses: le cliché d'un monde paradisiaque. Par conséquent la mémoire collective est aplatie, l'expérience personnelle nivelée et les développements culturels et artistiques dérobés de leurs acuités et ambiguïtés. Mais cette culture surgelée, est-elle bien capable de chasser le Grand Ennui ? Mot(s) clés libre(s) : commerce de l'art, culture et mondialisation, économie de la culture, histoire de l'art, industrie culturelle, instrumentalisation de la culture, marketing de la culture, sociologie de la culture, sociologie des loisirs, tourisme culturel
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Table ronde 2. Michelangelo Reloaded : Les Esclaves (re)vus par Robert Smithson
/ Canal-u.fr
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2. Michelangelo
Reloaded : Les Esclaves (re)vus par Robert Smithson
– Salle Vasari –
Modération : Larisa Dryansky (Institut national
d’histoire de l’art)
De quelle manière le maniérisme de Michel-Ange, et
notamment les corps tourmentés de ses Esclaves, ont-ils pu constituer pour
l’artiste américain Robert Smithson un contre-modèle à un certain puritanisme
du modernisme ?
Nina Leger
(Paris 8 Vincennes Saint-Denis)
« Un idéalisme
monstrueux ». Méta et infra-physique des corps de Michel-Ange selon Robert
Smithson
Maud Maffei
(Paris 8 Vincennes Saint-Denis)
« Un rire
apathique» — au-delà de l’expression tragique des Esclaves de Michel-Ange : une
lecture de Robert Smithson
Riccardo Venturi (INHA)
« Some corners of hell ». Autour de Asphalt
Rundown de Robert Smithson Mot(s) clés libre(s) : histoire de l'art, art contemporain, Michel-Ange
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Table ronde 1. L'effet Michel-Ange - Quatrièmes Rencontres de la galerie Colbert
/ Canal-u.fr
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1. L'effet
Michel-Ange
– Salle Benjamin –
Modération : Giovanni Careri (EHESS)
L’objet de cette table ronde sera d’envisager « l’effet »
produit par l’art et le personnage de Michel-Ange dans la culture occidentale,
du xvie au xxe siècle (sculpture,
peinture, littérature, cinéma).
Nicolas Cordon
(université Paris 1 Panthéon Sorbonne / HiCSA)
Michel-Ange et ses
simulacres
Sara Vitacca
(université Paris 1 Panthéon Sorbonne / HiCSA)
« Sous les yeux
clos » : Regards croisés autour de l’Esclave mourant au xixe siècle
Abslem Azraibi
(EHESS / CEHTA)
Du corps prisonnier
à l’architecture libérée Mot(s) clés libre(s) : Sculpture, histoire de l'art, architecture, Michel-Ange
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Qu’est-ce-qu’une oeuvre d’art ? - Yves Michaud
/ UTLS au lycée
/ 23-02-2009
/ Canal-U - OAI Archive
MICHAUD Yves
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Une production artistique devient une œuvre d’art lorsqu'elle est acceptée comme telle par un milieu déterminé compétent. La qualification d’œuvre d’art n’est attribuée que sous certaines conditions d’acceptation du groupe social. L’œuvre d’art se définit donc différemment selon les époques et les lieux. Philosophe et spécialiste de l'art, Yves Michaud revient sur ces évolutions aux cours des siècles et des mouvements artistiques.Une conférence de l'UTLS au Lycée avec Yves Michaud (philosophe). Partenariat Région Auvergne Mot(s) clés libre(s) : art, chefs-d’œuvre, esthétique, histoire de l'art, philosophie de l'art
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Paysages d’après photographie
/ 08-11-2011
/ Canal-u.fr
Ehrmann Sabine, Besse Jean-Marc
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En regard de quelques images, il s’agit de se demander ce que la
photographie a fait au paysage. Sous cette question se love l’hypothèse
que la photographie aurait fait époque pour le paysage ; une époque
moderne. Qu’on pense à la photographie comme à un des outils désormais
familier des paysagistes, comme à un référent visuel qui aura su faire
entrer sous le référent « paysage » des espaces en marge des canons
traditionnels de reconnaissance (zone industrielle, friche urbaine,
espace infrastructurel, etc.) ou que l’on considère le cortège
sémantique (le banal, le fragment, la révélation, etc.), abondamment
réactivé par nos manières actuelles de voir, de dire et peut-être aussi
de faire des paysages ; l’hypothèse est que la photographie aura, si ce
n’est déterminé, du moins imprégné profondément la définition du
paysage moderne. Elle aurait, a minima, fait cela au paysage : le tenir
pour un moment d’espace. Il convient de mesurer les conséquences de
cette proposition qui formule paradoxalement le paysage dans l’ordre des
événements plus que dans celui des images. Mot(s) clés libre(s) : histoire de l'art, architecture
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Monument or Ornament ? Early French architectural histories of Islamic buildings in Egypt (1850s–1870s)
/ Canal-u.fr
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Looking Widely, Looking Closely Symposium : Monument or Ornament ? Early French architectural histories of Islamic buildings in Egypt (1850s–1870s)
Metropolitan Museum of Art
Recorded October 18–20, 2012 (Part Twenty-one of Twenty-Six)
Mercedes Volait, CNRS Research Professor, Institut national d’histoire de l’art (INHA)
In 1869, the French publisher Veuve A. Morel and Co. was engaged in the publication of two parallels works illustrating monuments in Egypt. Resulting from surveys made during the 1850s and 1860s, the books quite differ in their method, scope and philosophy. They represent distinct approaches to Islamic architecture in Egypt that can be broadly summarized as engaging with theory vs. engaging with history. In their own ways, both publications indeed address issues and topics that are still of relevance to current scholarship of Islamic art and architecture. Furthermore, they share an evolution towards including objects in their perspective that is worth questioning Mot(s) clés libre(s) : histoire de l'art, architecture, Egypte, monument
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Le Saint Sérapion de Zurbarán
/ Marie Dessaillen
/ 04-06-2016
/ Canal-u.fr
Vincent-Cassy Cécile
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Appelé le « peintre de la vie monastique », Francisco de Zurbarán (1598-1664) occupe une place à part dans le panorama artistique du Siècle d’Or espagnol. En 1628, il exécuta le tableau Saint Sérapion pour le couvent de l’ordre de la Merci chaussée de Séville. Cécile Vincent-Cassy mène une réflexion sur le sens de cette image religieuse dans son contexte, et plus généralement sur ce que ce chef-d’œuvre permet de saisir de l’art de Zurbarán. Mot(s) clés libre(s) : histoire de l'art, Siècle d'or espagnol, saint, Art espagnol, Zurbaran
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La table du Tsar [19ème s.]
/ Serge STEYER, Université Paul Verlaine - Metz (UPV-M), Les Films de l'Observatoire
/ 30-06-1999
/ Canal-U - OAI Archive
STEYER Serge
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Ce film présente “Flore de Lorraine”, table énigmatique à la marqueterie représentant un paysage allégorique de la Lorraine, commandée en automne 1893 à Emile Gallé et offerte au Tsar Alexandre III à l’occasion de la signature de l’alliance franco-russe.La table du Tsar raconte, en compagnie de conservateurs et restaurateurs du musée de l’Ermitage, d’historiens lorrains, de botanistes et biographes de Gallé, l’histoire de cet exceptionnel objet d’art conçu et fabriqué dans l’urgence par le célèbre artiste de l’Art Nouveau, ses collaborateurs et artisans, en seulement trois semaines. Mot(s) clés libre(s) : 1891, 1893, Alexandre III, Allemagne, alliance franco-russe, alliance germano-austro-italienne, annexion allemande, Art Nouveau, botanique, ébénisterie d’art, Ecole de Nancy, Emile Gallé, esthétique, flore, France, Guillaume II, histoire de l’art, image d
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La collection de plaques de projection de l’Institut d’Histoire de l’art de l’Université de Strasbourg
/ Canal-u.fr
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Mme Denise Borlée
M. Hervé Doucet Mot(s) clés libre(s) : histoire de l'art, Plaques photographiques
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L'histoire de l'art au tournant
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 07-04-2000
/ Canal-U - OAI Archive
BELTING Hans
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"L'histoire de l'art en tant que discipline entra dans sa phase active de science humaine à peu près au moment où furent fondés les musées. Elle adopta d'emblée elle-même une orientation muséale, ce qui s'explique facilement par le fait que son sujet était constitué des oeuvres anciennes qui étaient présentées dans les musées. Pour être en mesure de classer ces oeuvres, il fallait disposer des noms exacts et de données historiques adéquates. La simple étiquette qu'on apposait à un tableau exposé dans le musée exigeait des informations sur le maître qui en était l'auteur, ainsi que sur la place occupée dans la production artistique d'ensemble par une oeuvre qu'on pouvait rencontrer dans le musée.Toutefois, de simples dates ne nous apprennent pas grand chose lorsqu'on ne les replace pas dans un développement personnel ou général, dont elles tirent tout leur sens. De même, les biographies d'artistes ne prirent sens qu'à partir du moment où on fut en mesure de les intégrer à une histoire générale, par exemple à l'histoire de l'"école" à laquelle appartenait tel artiste. Dans le cas des collections du Louvre, l'"école française" joua bien entendu un rôle essentiel. Lorsqu'on pensait en termes de catégories nationales, les "écoles" faisaient office pour l'art de concepts généraux. Cependant, leur rayonnement ne coïncidait pas avec les frontières des nations modernes. Sans quoi il n'aurait pu exister d'école vénitienne ou florentine, lesquelles nous indiquent justement qu'à cette époque l'Italie n'en était encore qu'à ses premiers pas de nation. Les premiers catalogues du Louvre s'efforcent de s'éloigner encore un peu plus de l'artiste et de l'école, pour représenter la marche des arts à travers le temps sous la forme d'un événement universel. Le "progrès" régi par des lois devenait par là le moteur d'une "histoire de l'art" qui était pourtant parvenue, dans l'Antiquité comme pendant la Renaissance, à un achèvement dont le classicisme tendait précisément à remettre en question le progrès. Ainsi s'opposèrent d'emblée deux paradigmes, dont la contradiction se révéla difficile à résoudre." Mot(s) clés libre(s) : art, histoire de l'art
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