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Changement institutionnel et fiscalité dans le monde hispanique (1750-1850) : ouverture du colloque
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 17-10-2011
/ Canal-u.fr
BERTRAND Michel, MICHONNEAU Stéphane, MOUTOUKIAS Zacarías
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Changement institutionnel et fiscalité dans le monde hispanique (1750-1850) : ouverture du colloque / Michel Bertrand, Stéphane Michonneau, Zacarías Moutoukias. Colloque organisé par le laboratoire "France Méridionale et Espagne : histoire des sociétés du Moyen-Âge à l'époque contemporaine" (FRAMESPA). Toulouse : Université Toulouse II-Le Mirail, 17-19 octobre 2011.
Ce colloque propose un débat sur les mécanismes d'évolution des institutions politiques, administratives et sociales, durant cette période de profondes mutations de la Monarchie hispanique. Et il cherche a appréhender ces mécanismes à partir de l'histoire de la fiscalité et a travers l'analyse des liens entre cette dernière et la vie économique ou politique, ainsi que celle des aspects sociaux liés a son fonctionnement. Par conséquent, les problèmes fiscaux sont envisagés dans leur interdépendance avec les transformations et les bouleversements institutionnels plus vastes. Cette approche a amené à choisir comme point de départ du colloque l’intérieur même des dynamiques institutionnelles. Par l'étude d'un seul phénomène dans des contextes divers, mais à l'intérieur d'un même cadre institutionnel global et d'une même tradition administrative – celle de l'Empire espagnol- il s'agit d'approfondir la nature des liens, très complexes, qui relient les changements politiques, sociaux et économiques et dégager des articulations transposables tant dans le champ des études économiques que dans celles des études sur l'Etat et les réseaux de pouvoir. La succession de crises et bouleversements depuis la Guerre de Sept Ans et le début des réformes des Bourbons jusqu’à l'occupation napoléonienne de la péninsule Ibérique, avec pour corollaire les indépendances et le financement de la guerre ainsi que la construction des nouveaux Etats de deux cotés de l’Atlantique, constitue le contexte dans lequel s’inscrit la réflexion.
El presente coloquio intenta organizar un debate sobre los mecanismos de evolución de las instituciones políticas, administrativas y sociales que se sucedieron en los territorios de la monarquía hispana, durante dicho periodo de profundas mutaciones. Y el coloquio procura aprehender dichos mecanismos a partir de la historia de la fiscalidad y del análisis de los lazos que la vinculan a la vida económica y política, así como de los aspectos sociales de su funcionamiento. Se considera, por lo tanto, a los problemas fiscales en su interdependencia con las transformaciones y los trastornos institucionales más amplios. Este enfoque ha conducido a situar la perspectiva de nuestro coloquio a partir del interior mismo de las dinámicas institucionales. Por medio del estudio de un mismo fenómeno -el de la fiscalidad- en contextos diversos, pero dentro del mismo marco institucional global y de la común tradición administrativa del imperio español, pretendemos profundizar el análisis de la naturaleza de los vínculos, extremadamente complejos, que unen los cambios políticos, sociales y económicos. E identificar de este modo las articulaciones que pueden transponerse tanto al campo de los estudios económicos, como al de los estudios sobre el estado y de las redes de poder. La sucesión de crisis y trastornos que se fueron sucediendo entre, por un lado, la Guerra de Siete Años y el comienzo de las Reformas borbónicas y, por el otro, la ocupación napoleónica de España, con su corolario de independencias y construcción de nuevos estados a ambos lados del Atlántico, constituye entonces el contexto en el cual se sitúa la reflexión. Mot(s) clés libre(s) : administration publique (modernisation), politique fiscale (1750-1850), civilisation hispanique (histoire), Espagne (18e-19e siècle), économie politique (Amérique latine), Amérique latine (18e-19e siècle), Mexique (1800-1850), Impôts fonciers, région du rio de la Plata (Argentine-Uruguay)
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Politique monétaire et fiscale
/ AUNEGE, IAE Lyon, Université Jean-Moulin Lyon 3
/ 04-01-2016
/ Canal-u.fr
DELAHAYE Arnaud
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La politique fiscale est décidée
par le gouvernement qui bénéficie de trois outils principaux pour influer sur
l’économie : impôts, dépenses, dette. La politique monétaire, quant à elle,
dispose du taux du prêt marginal, des réserves obligatoires, des opérations
d’open-market, auquel on peut ajouter une mesure moins conventionnelle : le
quantitative easing.
Mot(s) clés libre(s) : politique fiscale, impôts, Dette, dépenses, monétaire, prêt marginal, réserves obligatoires, open-market, quantitative easing
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015 - Le système fiscal colonial et la dynamique d’identification communautariste en Algérie
/ ENS-LSH/SCAM
/ 20-06-2006
/ Canal-U - OAI Archive
ENS-LSH/SCAM
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Colloque pour une histoire critique et citoyenne - le cas de l'histoire franco-algérienne Le système fiscal colonial et la dynamique d’identification communautariste en Algérie (1830-1918) par Ahmed Henni (Université d’Artois)L’analyse de la fiscalité et de la politique budgétaire coloniale en matière de dépenses fait ressortir qu’entre 1830 et 1918 un principe de communautarisation a été mis en place en Algérie, installant pour une longue période une pratique d’administration séparée sur des bases officielles d’identification ethnique.La « communauté indigène », composée essentiellement d’agro-pasteurs, si elle a été la première à contribuer aux finances publiques, a été la dernière servie. L’autorité publique a institutionnalisé un système utilisant la médiation du politique pour transférer collectivement des ressources d’une communauté à l’autre. Si un tel système a permis de maintenir en place les notabilités de commandement locales en leur attribuant des fonctions de collecte de l’impôt, reproduisant en cela certains traits historiques antérieurs à la colonisation, il a, en même temps, faute de retour sous forme de service public de leurs recettes aux payeurs, fait apparaître ces notabilités - et l’administration - comme des éléments purement répressifs au profit d’un colonat identifié ethniquement comme communauté d’Européens.Dès lors, on peut y voir l’une des raisons du détournement des populations algériennes de leurs propres notabilités historiques ainsi démonétisées. Elles chercheront, de ce fait, le chemin de leur émancipation sous la conduite d’autres médiateurs, principalement issus du sous-prolétariat qui sauront combiner l’opposition ethnique aux colons, l’opposition politique à l’administration et l’opposition sociale aux notabilités musulmanes. À ce résultat s’en ajoute un autre : après une si longue tradition, l’administration algérienne ne pourra pas avant longtemps apparaître comme une instance de médiation ou de service public. Elle donnera toujours l’image, jusqu’à nos jours, d’un fondé de pouvoir gérant privativement l’État au bénéfice de « rentiers » et au détriment des véritables « payeurs ». Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux, Julien Lopez, Son: Xavier comméat, Encodage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : algérie (1830-1962), colonies (administration), communautarisation, finances publiques, impôt
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Inégalités et redistribution en France au XXe siècle
/ UTLS - la suite
/ 11-04-2002
/ Canal-U - OAI Archive
PIKETTY Thomas
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Il s'agira de dresser le tableau d'un siècle d'inégalités en France et de montrer que contrairement à une idée reçue, l'inégalité des salaires y est restée sensiblement la même tout au long du 20e siècle. Le pouvoir d'achat a été multiplié par 5, mais la hiérarchie n'a pratiquement changé. L'inégalité totale des revenus a fortement diminué au cours des années 1914-1915, mais cette baisse est due pour l'essentiel aux chocs subis par les revenus du capital (destruction, inflation, crise des années 1930), et non pas à un processus économique « naturel ». La concentration des fortunes et des revenus du capital n'a par la suite jamais retrouvé le niveau astronomique qui été le sien à la veille de la première Guerre mondiale. L'impact de l'impôt progressif sur l'accumulation et la reconstitution de patrimoines importants semble avoir prévenu le retour à une société de rentiers. En l'absence de ces chocs et de l'impôt progressif, il est probable que la France n'aurait pas quitté de sitôt le sommet inégalitaire du début du siècle. Je me fonderai notamment sur une exploitation systématique des sources fiscales permettant de couvrir l'ensemble du siècle (déclarations de revenus, de salaire et de successions). J'analyserai également l'évolution de la perception de ces inégalités de 1901 à 1998 (« fin des rentiers », « montée des cadres »
), ainsi que celle des discours et programmes politiques en matière de redistribution. La question des inégalités apparaît dès lors comme une véritable grille de lecture de l'histoire générale de la France au 20e siècle. Mot(s) clés libre(s) : capital, économie, impot
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Inégalités et redistribution en France au XXe siècle
/ UTLS - la suite
/ 11-04-2002
/ Canal-u.fr
PIKETTY Thomas
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Il s'agira de dresser le tableau d'un siècle d'inégalités en France et de montrer que contrairement à une idée reçue, l'inégalité des salaires y est restée sensiblement la même tout au long du 20e siècle. Le pouvoir d'achat a été multiplié par 5, mais la hiérarchie n'a pratiquement changé. L'inégalité totale des revenus a fortement diminué au cours des années 1914-1915, mais cette baisse est due pour l'essentiel aux chocs subis par les revenus du capital (destruction, inflation, crise des années 1930), et non pas à un processus économique « naturel ». La concentration des fortunes et des revenus du capital n'a par la suite jamais retrouvé le niveau astronomique qui été le sien à la veille de la première Guerre mondiale. L'impact de l'impôt progressif sur l'accumulation et la reconstitution de patrimoines importants semble avoir prévenu le retour à une société de rentiers. En l'absence de ces chocs et de l'impôt progressif, il est probable que la France n'aurait pas quitté de sitôt le sommet inégalitaire du début du siècle. Je me fonderai notamment sur une exploitation systématique des sources fiscales permettant de couvrir l'ensemble du siècle (déclarations de revenus, de salaire et de successions). J'analyserai également l'évolution de la perception de ces inégalités de 1901 à 1998 (« fin des rentiers », « montée des cadres »
), ainsi que celle des discours et programmes politiques en matière de redistribution. La question des inégalités apparaît dès lors comme une véritable grille de lecture de l'histoire générale de la France au 20e siècle. Mot(s) clés libre(s) : économie, capital, impot
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Comment calcule-t-on l'impôt sur le revenu ?
/ Pedago SYDO
/ Canal-u.fr
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Sur quoi se base-t-on pour calculer le montant de l'impôt sur le revenu ? Quelles sont les différentes opérations réalisées par l'administration fiscale ?
Qu'est-ce qu'un impôt progressif, un foyer fiscal, une part fiscale, une assiette fiscale ?
Cette nouvelle vidéo Dessine-moi l'éco répond à toutes ces questions en 3 minutes. Mot(s) clés libre(s) : calcul, impôts, revenu, progressif
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Qu'est-ce qu'un paradis fiscal ?
/ Pedago SYDO
/ Canal-u.fr
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Comment et pourquoi les entreprises transfèrent-elles leurs bénéfices dans un paradis fiscal ? Et pourquoi un pays choisit-il de devenir un paradis fiscal ?
Dans ce nouvel épisode de « Dessine-moi l'eco » découvrez comment les entreprises et les riches particuliers transfèrent leurs bénéfices et leurs revenus vers les paradis fiscaux pour payer moins d'impôts. Mot(s) clés libre(s) : coopération, paradis fiscaux, impôts, bénéfice, OCDE
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