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Tri :   Date Editeur Auteur Titre

Forum Sante : Vers un coeur immortel

/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport / 27-01-2012 / Canal-U - OAI Archive
ZANNAD Faiez, KHALIFE Khalifé
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Forum Santé : Vers un coeur immortel ?Ce mois-ci au programme du forum santé, débat sur les progrès de la médecine dans le domaine cardiaque. Avec le Professeur Zannad, cardiologue,coordinateur du centre d'investigation clinique CHU de Nancy, chercheur, et le Docteur Khalifé cardiologue au CHR de Metz Thionville. En partenariat avec Margo Initiative et Acoris mutuelles.Enregistré au forum de la Fnac de Metz le vendredi 27 janvier 2012 à 17h30
Mot(s) clés libre(s) : 27 janvier, Canal U Medecine, coeur, debat, fnac, forum, immortel, initiative, Khalife, Margo, medecine, metz, public, sante, UMVF, UNF3S, zannad
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Chirurgie esthetique, a quel prix

/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport / 10-02-2012 / Canal-U - OAI Archive
Pujo Julien, Minetti Christophe
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Forum santé à Nancy, "Chirurgie esthétique, à quel prix ?"350 000 interventions de chirurgie esthétique seraient réalisées en France chaque année. Malgré l’affaire des prothèses PIP, la chirurgie mammaire garde la préférence avec le lifting et la lipo-aspiration. Alors, faut-il craindre la chirurgie esthétique ? Quand y avoir recours ? Quelles sont les possibilités offertes ? Pour quels résultats, quels risques et quelles garanties ? A quel prix ? Les Docteurs Pujo et Minetti, spécialistes en chirurgie plastique et reconstructrice au CHU de Nancy, présenteront les dernières avancées médicales et répondront aux questions du public.Deux femmes qui ont eu récemment recours à la chirurgie plastique et reconstructrice viendront témoigner dont Charline Beltz Miss Plastic France 2011.
Mot(s) clés libre(s) : Chirurgie, Esthétique, Fnac, Forum, Initiative, Isabelle, Margo, Nancy, Prix, Santé
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Les Tsogho du Gabon, initiation au Bwiti

/ 16-06-2002 / Canal-u.fr
LE BOMIN Sylvie
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Initiation de jeunes garçons tsogho au culte du Bwiti
Mot(s) clés libre(s) : masque, Temple, iboga, harpe, bwiti, initiation, tsogho, culte des ancêtres, arc musical,, tambour, film ethnographique, afrique, danse, vidéo, homme, cérémonie, chant, Gabon, rituel, mythe des origines
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Forum Fnac, Vaincre l'AVC

/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport / 24-02-1912 / Canal-U - OAI Archive
Guaragna Caterina, Baillot Pierre-Alexandre
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Forum santé à Metz, "Vainre l'AVC ?"Vaincre l'AVC ?Date : vendredi 24 février Horaires : de 17h30 à 19h Lieu : Fnac de Metz (57000) Avec 130 000 cas par an en France l’Accident Vasculaire Cérébral (AVC), est l’une des principales causes de mortalité en France, la première cause de handicap et la deuxième cause de démence. 640 Lorrains sont accueillis chaque année aux Urgences Neuro Vasculaires à cause d’un AVC. 1 400 personnes sont suivies au service Neurologie du CHU de Nancy pour la même raison. Deux chiffres qui posent bien les enjeux de santé publique de cette pathologie : survivre à un AVC. Les docteurs Caterina Guaragna et Pierre-Alexandre Baillot neurologues au CHR de Metz-Thionville répondront aux questions du public.
Mot(s) clés libre(s) : AVC, Fnac, Forum, Initiative, Isabelle, Margo, Metz, Santé
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Les initiations : une seconde naissance, pourquoi et pour qui ?

/ Eric (CICA Vidéo Aubervilliers) Garreau / 20-10-2014 / Canal-u.fr
GODELIER Maurice
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Dans de très nombreuses sociétés existent des institutions qu’on appelle « initiations ». Elles consistent à faire franchir aux individus selon leur sexe et selon leur âge certaines étapes dans la connaissance de l’ordre de l’univers, des règles de conduite appropriées dans la société à laquelle ils appartiennent. Ces savoirs sont transmis par étapes au cours de cérémonies. Mais les initiations ne sont pas seulement un processus de transmission de connaissances, ce sont également des institutions prenant en compte pleinement l’éducation sociale des individus. Les initiations instituent une division au sein des sociétés entre initiés et non-initiés. Ceux-ci jouissant alors d’un statut social inférieur et subordonné. Une partie des savoirs transmis dans les initiations est ésotérique, c’est-à-dire qu’ils constituent des secrets qu’il ne faut en rien révéler à des moins initiés et surtout à des non-initiés.Toutes les Conférences Campus Condorcet
Mot(s) clés libre(s) : initiation sociale, anthroplogie
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L’invisible initiation : devenir filles et garçons dans les sociétés rurales d’Europe

/ Eric (CICA Vidéo Aubervilliers) Garreau / 09-02-2015 / Canal-u.fr
FABRE Daniel
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Daniel Fabre, Ethnologue, anthropologue, directeur d’études, École des hautes études en sciences socialesLes sociétés rurales européennes depuis l'époque moderne ne connaissent pas les grands rites initiatiques qui marquent, dans d'autres sociétés, le passage à l'âge adulte. Pourtant la distinction entre les deux sexes et l'accès à la maturité sociale sont des principes centraux dans l'organisation et la reproduction des sociétés villageoises du vieux continent. L'initiation y est donc remplacée par un trajet initiatique discret et même invisible. Il passe, pour les garçons, par des expériences de transgression des frontières – entre sauvage et domestique, vivants et morts, masculin et féminin. On les voit se manifester avec force au moment du carnaval. Les filles, pour leur part, apprennent à donner sens aux transformations qui adviennent dans leur corps en interprétant, en particulier, certaines techniques du travail féminin. Cette séparation, profonde, se convertit quand vient l'âge de la fréquentation amoureuse. Alors, les deux sexes se rencontrent et trouvent dans les langages qui les identifient et les séparent les éléments d'une communication et d'un rapprochement. À moins que, figés dans le passage qui les a fait grandir, certaines filles et certains garçons ne s'installent dans une forme de folie. La folie de ceux dont le trajet initiatique s'est interrompu.Toutes les Conférences du Campus Condorcet
Mot(s) clés libre(s) : initiation sociale, anthroplogie, sociétés rurales, Europe, carnaval
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Chronique des Pygmées Babongo, avril - mai 2008 Le « temple du Shaolin » : chants d'origine initiatique des femmes avec leurs enfants, 8 avril 2008, Manamana

/ 08-04-2008 / Canal-u.fr
EPELBOIN Alain
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Chronique des Pygmées Babongo, avril - mai 2008 (Gabon)Le "temple du Shaolin" pour faire court en français : chants d'origine initiatique de femmes avec leurs enfants (20 mn 44) 8 avril 2008, Manamana, Ogooué-Lolo, Gabon Sous titrage en français Enregistrement d'une séance de chant et musique entre femmes. ACTEURS La commerçante de produits vivriers et son enfant Joseph, le politicien Mandzola Monique, infirmière Nina, la danseuse de bwiti et ses enfants Henok, dit "Poupon", fils de Jean Christophe Tengui les voisines Lipoukou Joseph, le politicien Jean Blaise Matzanga "Makunza" Alain Epelboin MONTAGE Alain Epelboin & Annie Marx CAMÉRA-SON : Alain Epelboin AUTEURS-RÉALISATEURS : Alain Epelboin & Jean Blaise Matzanga "Makunza"
Mot(s) clés libre(s) : musique, Afrique, ethnomusicologie, interaction mère-enfant, bercement, bwiti, Ogooué-Lolo, Manamana, esprits, politique, petite enfance, film ethnographique, Gabon, téléphone, apprentissage, femmes, enfants, croyance, religion, vidéo, chant, jeu, initiation
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Chronique aka, Motonga, RCA, 6 décembre 1992 : zengi, cérémonie de danse de l'esprit de la forêt zengi

/ 06-12-1992 / Canal-u.fr
EPELBOIN Alain
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 Thomas J.M.C., Bahuchet S, Epelboin A. (depuis 1993) & Fürniss S. (depuis 2003) (éds.) (Arom, Bahuchet, Cloarec-Heiss, Epelboin, Fürniss, Guillaume, Motte, Sénéchal & Thomas), 1981-2014, Encyclopédie des Pygmées Aka : techniques, langage et société des chasseurs-cueilleurs de la forêt centrafricaine (Sud-Centrafrique et Nord-Congo), Paris, Editions Peeters-SELAF, 11 volumes (3130 p). p 234-238 in volume II (8) K [SELAF 436], 2007, 182 fig., 385 p. .kondi         (N : 3/4 = mò.kondi / mè.kondi 1. rituel à l'esprit de la forêt .zengi, rituel de renouveau Ce rituel étant destiné à obtenir de l'esprit suprême lui-même sa bienveillance, sous la forme d'abondance de vivres et d'enfants, il sera utilisé pour deux fonctions principales : rendre favorable une nouvelle installation et restaurer les conditions optimales après un bouleversement, un décès ou, pire, une série de décès. Il s'agit en effet de toute une période qui regroupe non seu­lement des actes rituels en tant que tels, mais aussi les préparatifs du point culminant du rituel qu'est une cérémonie publique. Elle comprend la préparation des jeunes adultes à la fin de leur initiation, qui sanctionne leur intégration dans le monde des adultes, et le renforcement de la cohésion sociale entre les campements d'un même territoire, .banze, regroupés pour l'occasion, au moyen, notamment, des concours de chant .kpakpale, et des chasses collectives. Ces chasses procurent par ailleurs l'abondance de viande nécessaire à l'approvisionnement de cette concentration de participants et à la réussite des festivités. Le rituel s'étend sur tout un cycle annuel ou bisannuel. C'est à partir du début de la saison sèche que prend place le regroupement des campements en un camp du territoire, .sambà, qui peut durer jusqu'à deux ou trois lunes. Les préparatifs ainsi que la cérémonie sont sous la responsabilité de l'aîné du territoire, .mbai-wa-bòle. Sans en être la seule cause, elle intervient lors de la nouvelle installation d'un campement. C'est en effet après la période des grandes expéditions de chasse aux filets qu'on fonde un nouveau campement permanent pour la saison des pluies. Les vivres et le gibier sont alors abondants. À Zinga en 1994, on célèbre même ce rituel en fin de saison des pluies, après la chasse fructueuse de plusieurs éléphants, également synonyme de nourri­ture abondante. Lorsque la cérémonie a lieu pour l'installation de nouveaux campements dans le ter­ritoire, elle visera à rendre ceux-ci prospères sous le double aspect d'une nombreuse progé­niture et d'une abondance de gibier. Elle peut cependant être réalisée pour des cam­pements déjà installés, surtout dans le contexte actuel de sédentarisation progressive, sans que son sens fondamental de rite de fécondité et d'abondance en soit modifié : il s'agit alors de maintenir et de restaurer l'ordre original et d'assurer des conditions optimales pour la per­pétuation et la prospérité du groupe. De même en est-il, lorsqu'après un décès, l'ordre perturbé par la mort doit être rétabli. On abandonne l'ancien campement où est enterré le mort pour en fonder un nouveau où on réaménage la disposition du campement sédentaire. Outre les rituels de levée du deuil, .kanu, dont c'est la fonction au niveau de l'individu et de sa réinsertion dans le groupe, le .kondi assurera le rétablissement de l'équilibre vital de la communauté entière. La cérémonie est également la face visible d'une initiation qui concerne les jeunes gar­çons depuis la puberté. La fin de l'initiation, secrète, a lieu en forêt hors du campement, en saison des pluies, pendant la période de chasse à la sagaie où les hommes vivent seuls en­sembles durant plusieurs semaines. C'est alors que les nouveaux adultes.bòlà, ap­pren­nent de quoi sont faits les masques qui apparaissent dans diverses cérémonies. Dans certaines régions, des voisins Villageois (Kaka, Ngundi…) sont admis à l'ini­tiation par les Aka. 2. cérémonie du rituel de renouveau La cérémonie publique a lieu à la fin de l'initiation. Son efficacité rituelle nécessite un grand rassemblement où hommes et femmes se retrouvent en une fête de la fécondité et de l'abondance. Elle a donc lieu après une période intense de chasses au filets. Elle se déroule dans le campement du mbài-wà.bòle, au sein du camp du territoire, .sambà. Dans le contexte de la sédentariation croissante, la cérémonie peut également avoir lieu dans le campement permanent de l'aîné du territoire et impliquer un nombre réduit de participants venant des campements alentours. Pendant la cérémonie, attiré par les chants et le jeu des tambours et machettes, l'esprit, supérieur  .zengi  apparaît et danse parmi les humains. Quand l'esprit désire se présenter de lui-même, il fait le .vango (claquement rituel d'une feuille sur la main) pour avertir de sa venue et demander qu'on prépare la céré­monie; sinon l'aîné du rassemblement des campements l'appelle de la même façon, pour le faire venir. L'esprit est personnifié par le danseur .omba, revêtu du costume-masque en raphia .pùndù / .kùndù, .ndimba {Mongoumba}. L'esprit réside alors dans un camp, .zanga, dressé en forêt, à l'écart du campement, interdit aux femmes, où se retrouvent les initiés, où le costume du masque est fabriqué et conservé et où le danseur le revêt, en même temps que la personnalité de l'esprit qu'il incarne. La fonction de danseur du masque est tenue par un nouvel initié de force de caractère particulière. Les nouveaux initiés sont entièrement décorés de motifs géométriques peints sur le visage, les membres et le torse. Il marquent par ailleurs leur état de nouveaux adultes en rasant leurs sourcils en pointillé, .kiki. À Bagandou, le masque qui venait danser était .ziàkpokpo, probablement personnification de l'esprit du même nom, lui-même esprit de Tônzanga, frère cadet de Tôle dont l'esprit est .zengi. syn .zengi {Ndélé-Bayanga}, .omba {Mga} // var .zengi 3. danse de l'esprit de la forêt .zengi Elle constitue le point central de la cérémonie publique. Un seul danseur, .omba, l'exécute, en général un adolescent nouvellement initié, masqué par un costume de raphia, .pùndù, qui le cache entièrement. Le masque représente et incarne alors l'esprit de la forêt, .zengi, maître des mânes .diò. Il tournoie sur lui-même en se déplaçant rapidement, faisant voler les fibres de raphia; puis il s'accroupit et s'immobilise en un tas compact de raphia avant de reprendre son déplacement virevoltant. De temps en temps il se retire dans l'enclos .zanga qui lui est réservé, accompagné seulement des hommes et des jeunes nouvellement initiés. Les femmes se tiennent à une distance respectueuse, fuient devant son avancée et le suivent en courant sur la place. 4. répertoire de chants et formule rythmique (sp.) Le répertoire de chants connu à ce jour comprend cinq chants, .ndòmbóyè (cf. Antho­logie de la musique aka, CD II, pl. 1), .lembe-ya-di.bala, .yòmbò, .yeba et .nzibo (tons et signifi­cation inconnus). Leur structure est fondée sur quatre parties vocales qui se superposent de façon complémentaire en contrepoint (cf. § .lembò). Exécutés collectivement, les chants préparent et accompagnent la danse de l'esprit de la forêt .zengi. Ils sont soutenus par une formule polyrythmique spécifique faisant appel à deux tam­bours, .kinda, une paire de baguettes de frappe, .kpàkpà, et les machettes entrecho­quées, .keto. Les battements de mains des chanteurs marquent la pulsation : pulsations    1     2     3     4     5     6     7     8   valeurs minimales 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 tambour-mère s s s s s s s s s s s s tambour-enfant l l l l l l l l l l l l baguettes y y y y y y y y y machettes j j j j j j j j j j j j j mains xx xx xx xx xx xx xx xx 5. esprit de la forêt, maître des .diò {Mongoumba} NB. Les enquêtes ayant été très intensives dans l'est de l'aire aka, nous disposons d'une terminologie plus abondante pour cette zone, ce qui ne signifie pas que les termes n'existent pas dans l'ouest. Chez les Baka, bien que le terme mò.kondi soit attesté, il ne renvoie pas au même complexe rituel que leur (è)jengi, qui corres­pond au .zengi des Aka.
Mot(s) clés libre(s) : masque, zengi, initiation, raphia, Motonga, esprit de la forêt, Mongoumba, aka, République Centrafricaine, video, rituel, chant, performance, alcool, pygmées, musique, danse, Encyclopédie des Pygmées aka
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Mumbwiri, rite thérapeutique : initiation d’une femme et d’un enfant nzebi

/ 21-05-1995 / Canal-u.fr
DUPUIS Annie
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Deux malades sont traités au cours de ce rituel, la jeune femme pour devenir féconde, l’enfant pour guérir d’une grave et ancienne toux à laquelle aucun traitement n’a pu remédier. Le rituel requiert la possession  par les génies et la prise du bois sacré l’« iboga », qui doivent conduire à la guérison. Le rituel se déroule sur deux jours et  deux nuits au village et en forêt.  Le film commence avec la présentation de l’espace rituel, dans lequel au cours de la nuit s’est déroulé la cérémonie.  Les génies sont appelés à investir les participants et la malade par le jeu des instruments de musique (harpe, tambours, percussions, corne) qui accompagnent les chants et les danses. . Les membres de la société encadrent la postulante.   Des soins sont donnés à la malade par la guérisseuse et des membres de la société : aspersions au moyen de plantes médicinales et massages.  Les génies apportent leur « bénédiction » à la malade. En forêt près de la rivière, un espace est débroussé. Les malades sont maquillés, ils absorbent l’iboga sous forme de décoction et de rapures, et sont appelés à la transe par les sifflets. Ils reçoivent dans les yeux une instillation de sève leur permettant d’aiguiser leur vision. Ils sont invités à voir dans le miroir, aidés par les génies, la cause de leur mal.  La cérémonie se poursuit le lendemain matin au village. Le soir et la nuit suivante, les malades identifient la cause de leur mal, et procèdent à une séance de divination pour eux-mêmes et pour toute l’assistance, par lecture dans le miroir. Des offrandes sont offertes. Je remercie les participants du village de Lébamba, de m’avoir invitée à ce rituel et permis de le filmer. Merci également à mon amie Madeleine Koundi qui m’a beaucoup appris.  montage : Mireille Gruska, Annie Marx, Annie Dupuis Chapitres 01 - 1er jour au village, danses de possession au petit matin après la première nuit Au village, présentation de l’espace rituel, dans lequel au cours de la nuit s’est déroulé la cérémonie.  Les génies sont appelés à investir les participants et la malade par le jeu des instruments de musique (harpe, tambours, percussions, corne) qui accompagnent les chants et les danses. .Les membres de la société encadrent la postulante. 02 - 2ème jour au village, soins, aspersions, onctions et massages Des soins sont donnés à la malade par la guérisseuse et des membres de la société : aspersions au moyen de plantes médicinales et massages.  Les génies apportent leur « bénédiction » à la malade. 03 - 2ème jour en forêt, Aménagement de l'espace, maquillage et mise en condition des nouveaux initié. En forêt près de la rivière, un espace est débroussé. Les malades sont maquillés, ils absorbent l’iboga sous forme de décoction et de rapures, et sont appelés à la transe par les sifflets. Ils reçoivent dans les yeux une instillation de sève leur permettant d’aiguiser leur vision. Ils sont invités à voir dans le miroir, aidés par les génies, la cause de leur mal. 04 - 2ème jour en forêt. Appel à la transe. Possession des initiés  Instillation dans les yeux et onctions sur le corps de sève médicinale. Appel des esprits par les sifflets, les instruments de musique, les chants. Prises répétitives d’iboga (décoction et râpures). Le lendemain matin, la cérémonie se poursuit au village. 05 - 2ème jour en forêt . Possession des nouveaux initiés 06 - 2ème jour en forêt .Possession d’une initiée soignante 07 - 2ème jour au village, soirée  divination par lecture dans le miroir 08 2ème Nuit : divination, offrandes Le soir et la nuit suivante, les malades identifient la cause de leur mal, et procèdent à une séance de divination pour eux-mêmes et pour toute l’assistance, par lecture dans le miroir. Des offrandes sont offertes.
Mot(s) clés libre(s) : afrique, corne, possession, offrande, tambour, Tabernanthe iboga, rituel thérapeutique, harpe, états modifiés de conscience, nzebi, percussion, initiation, bois sacré, aspersion, onction, sève médicinale, Lebamba, guérissage, guérisseur, transe, danse, musique, miroir, stérilité, maladie, plante médicinale, enfant, femme, vidéo, massage, maquillage, cérémonie, génie, chant, film ethnographique, divination, Sud Gabon
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Croix Rouge - Nancy 2011 : Prévenir et réinsérer - L’acte d’éduquer

/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport / 27-01-2011 / Canal-U - OAI Archive
DA COSTA Philippe
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Délinquance, violence, et éducation.La violence des jeunes nous interpelle comme un échec éducatif ou un appel à une autre formation. C’est l’acte d’éduquer qui est mis en cause quand la société constate que sa jeunesse ne va pas bien. [Il s’agit de] conduire l’enfant d’un état de dépendance à un état de liberté, « pédagogie de la réussite » amenant les jeunes à être autonomes, solidaires, responsables, engagés.Trois interdits de l’éducation: la fusion, la violence, le mensonge. Et trois attitudes de l’éducateur : croire, "je crois en toi"; espérer, "j’espère en toi"; aimer, " je t’aime comme tu es et non comme je souhaiterais que tu sois". Conférence enregistrée lors du congrès international de la Croix Rouge Française à Nancy sur le thème de la fragilité de l’enfant et de l’adolescent dans une société en mutation. Atelier n°5.3 Délinquance, violence.Modérateur : Philippe JEAMMET - Professeur émérite de Pédopsychiatrie, Paris.Intervenant : DA COSTA Philippe - Directeur du bénévolat et de la jeunesse, Croix Rouge Française.SCD Médecine.
Mot(s) clés libre(s) : adolescence, Croix Rouge Nancy 2011, éducabilité, enfance, initiation sociale, socialisation, violence
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