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La Risata continua de Gino De Dominicis
/ Serge BLERALD
/ 04-06-2016
/ Canal-u.fr
Tomassoni Italo
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Le 24 avril 1970, Gino Di Dominicis inaugurait une exposition provocatrice à la galerie l’Attico à Rome, qu’il laissait complètement vide. Manipulateur de l’invisible, il habillait cette fois l’absence d’un éclat de rire continuel, terrifiant et infernal. Rarement présentée depuis, l’œuvre a été de nouveau mise en situation au château de Fontainebleau pendant le Festival. La performance a été expliquée à l’occasion de cette conférence. Mot(s) clés libre(s) : rire, Art italien (XXe siècle), Gino de Dominicis, provocateur
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/ La Cinémathèque française
/ 12-10-2009
/ Canal-U - OAI Archive
Toffetti Sergio
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Mot(s) clés libre(s) : cinéma italien, Cinémathèque française, conférence, Federico Fellini, Italie, Sergio Toffetti
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Présence italienne au théâtre Garonne de Toulouse : une programmation d’avant-garde / Jean-Claude Thiriet
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Claire SARAZIN, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 27-03-2015
/ Canal-u.fr
THIRIET Jean-Claude
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Présence italienne au théâtre Garonne de Toulouse : une programmation d’avant-garde / Jean-Claude Thiriet, in Journées d'études "Opera contro. L’œuvre de rupture sur la scène italienne contemporaine, de 1960 à nos jours", organisées, sous la responsabilité scientifique de Margherita Orsino et Antonella Capra, par Il Laboratorio et l'Institut de Recherche Pluridisciplinaire en Arts Lettres Langues (IRPALL) de l'Université Toulouse Jean Jaurès, 26-27 mars 2015.
Thématique : Rompre les frontières : transgressions, échanges, rencontres.
Ces Journées d'étude se penchent sur un phénomène, voire un concept, qui a été intitulé « Opera contro » en écho au fameux film de Francesco Rosi, Les hommes contre (1970), film culte pour toute une génération engagée. Par là "l’œuvre de rupture" est entendue à la fois comme œuvre d’avant-garde (qui rompt avec l’esthétique préexistante) mais aussi comme œuvre qui a vocation à dénoncer, bannir, renverser, s’opposer à un statu quo, un aspect de la culture ou de la société voire tout un système sociopolitique. La question de la relation entre la littérature, et plus généralement "les arts", et l’engagement se pose en effet pour tout le XXe siècle (à commencer par la période des avant-gardes dites "historiques" dans le contexte de la Première Guerre mondiale par exemple) et passe ensuite par les polémiques et conflits internes à la néo-avant-garde lors des événements de mai 68. C’est aussi un sujet transversal, dont les problématiques sont complexes et nombreuses et touchent notamment la question de l'expérimentalisme et, en amont, du langage. C'est enfin une question toujours actuelle si l’on considère l’œuvre non comme un produit "fini" et détaché de toute autre entité, mais comme une « œuvre ouverte » en interaction avec le lecteur/public et plus généralement les lieux, cultures, arts, histoire : en bref ce qu’on pourrait résumer par « réalités individuelles et collectives ». Dans cet esprit, une attention particulière est réservée à l’édition et à la réception de ces œuvres à la fois "en opposition à" et "en marge de" la culture dominante. Mot(s) clés libre(s) : diffusion de la culture, théâtre italien (20e-21e siècles)
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Fellini ou la fabrique de l'image. Conférence de Sam Stourdzé
/ La Cinémathèque française
/ 29-10-2009
/ Canal-U - OAI Archive
Stourdzé Sam
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Montrer le cinéma en train de se faire, c'est la garantie d'une authenticité plus forte que le cinéma lui-même. Comme si le dispositif comptait tout autant que le résultat, qu'il fallait, non pas montrer le champ et le hors champ, mais l'image et la fabrique de l'image. Comme si le cinéma n'était qu'une illusion, et qu'en montrant le cinéma en train de se faire, on pouvait espérer devancer l'illusion... Dans un de ses rêves de 1980, Fellini avouait, face à la projection de l'image d'une femme : "Ces images sont plus vraies que la vérité elle-même !".Retour sur la fabrique et la circulation des images selon Fellini. Mot(s) clés libre(s) : cinéma, cinémathèque, conférence, fellini, italie, italien
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La table du Tsar [19ème s.]
/ Serge STEYER, Université Paul Verlaine - Metz (UPV-M), Les Films de l'Observatoire
/ 30-06-1999
/ Canal-U - OAI Archive
STEYER Serge
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Ce film présente “Flore de Lorraine”, table énigmatique à la marqueterie représentant un paysage allégorique de la Lorraine, commandée en automne 1893 à Emile Gallé et offerte au Tsar Alexandre III à l’occasion de la signature de l’alliance franco-russe.La table du Tsar raconte, en compagnie de conservateurs et restaurateurs du musée de l’Ermitage, d’historiens lorrains, de botanistes et biographes de Gallé, l’histoire de cet exceptionnel objet d’art conçu et fabriqué dans l’urgence par le célèbre artiste de l’Art Nouveau, ses collaborateurs et artisans, en seulement trois semaines. Mot(s) clés libre(s) : 1891, 1893, Alexandre III, Allemagne, alliance franco-russe, alliance germano-austro-italienne, annexion allemande, Art Nouveau, botanique, ébénisterie d’art, Ecole de Nancy, Emile Gallé, esthétique, flore, France, Guillaume II, histoire de l’art, image d
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Da "Patrizia Vicinelli" a "Evasione", il mio percorso attraverso la poesia d'azione / Jonida Prifti
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Claire SARAZIN, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 26-03-2015
/ Canal-u.fr
PRIFTI Jonida
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Da "Patrizia Vicinelli" a "Evasione", il mio percorso attraverso la poesia d'azione / Jonida Prifti, conférence performance, in Journées d'études "Opera contro. L’œuvre de rupture sur la scène italienne contemporaine, de 1960 à nos jours", organisées, sous la responsabilité scientifique de Margherita Orsino et Antonella Capra, par Il Laboratorio et l'Institut de Recherche Pluridisciplinaire en Arts Lettres Langues (IRPALL) de l'Université Toulouse Jean Jaurès, 26-27 mars 2015.
Thématique : Corps à corps : poésie sonore, action, performance.
« L’autrice ha presentato il suo saggio “Patrizia Vicinelli. La poesia e
l’azione” ed eseguito una performance. La sua poetica è stato oggetto di
studio per il lavoro dello scrittore e studioso Gabriele Belletti che
ha presentato in Power Point un lavoro approfondito sulla storia di
“Poesia Sonora” e in particolare sulla poesia dell’autrice » (Jonida Prifti).
[Cette conférence-performance est suivie de la vidéo d'un spectacle de Jonida Prifti donné lors de l'Eutropia Festival de Rome (Campo Boario, Testaccio), Tutti i peti d’Italia, été 2015]. Mot(s) clés libre(s) : performance artistique (poésie), poésie italienne (20e-21e siècles)
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Dramaturgies au féminin : écritures politiques contemporaines du corps et du sexe / Muriel Plana
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Claire SARAZIN, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 26-03-2015
/ Canal-u.fr
PLANA Muriel
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Dramaturgies au féminin : écritures politiques contemporaines du corps et du sexe / Muriel Plana, in Journées d'études "Opera contro. L’œuvre de rupture sur la scène italienne contemporaine, de 1960 à nos jours", organisées, sous la responsabilité scientifique de Margherita Orsino et Antonella Capra, par Il Laboratorio et l'Institut de Recherche Pluridisciplinaire en Arts Lettres Langues (IRPALL) de l'Université Toulouse Jean Jaurès, 26-27 mars 2015.
Ces Journées d'étude se penchent sur un phénomène, voire un concept, qui a été intitulé « Opera contro » en écho au fameux film de Francesco Rosi, Les hommes contre (1970), film culte pour toute une génération engagée. Par là "l’œuvre de rupture" est entendue à la fois comme œuvre d’avant-garde (qui rompt avec l’esthétique préexistante) mais aussi comme œuvre qui a vocation à dénoncer, bannir, renverser, s’opposer à un statu quo, un aspect de la culture ou de la société voire tout un système sociopolitique. La question de la relation entre la littérature, et plus généralement "les arts", et l’engagement se pose en effet pour tout le XXe siècle (à commencer par la période des avant-gardes dites "historiques" dans le contexte de la Première Guerre mondiale par exemple) et passe ensuite par les polémiques et conflits internes à la néo-avant-garde lors des événements de mai 68. C’est aussi un sujet transversal, dont les problématiques sont complexes et nombreuses et touchent notamment la question de l'expérimentalisme et, en amont, du langage. C'est enfin une question toujours actuelle si l’on considère l’œuvre non comme un produit "fini" et détaché de toute autre entité, mais comme une « œuvre ouverte » en interaction avec le lecteur/public et plus généralement les lieux, cultures, arts, histoire : en bref ce qu’on pourrait résumer par « réalités individuelles et collectives ». Dans cet esprit, une attention particulière est réservée à l’édition et à la réception de ces œuvres à la fois "en opposition à" et "en marge de" la culture dominante. Mot(s) clés libre(s) : étude sur le genre (dans l'art), théâtre italien (20e-21e siècles), littérature italienne (21e siècle), Lina Prosa (1951-....), corps humain (dans l'art)
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Hommage à Pier Paolo Pasolini [performance] / Chiara Mulas
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Claire SARAZIN, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 26-03-2015
/ Canal-u.fr
MULAS Chiara
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Hommage à Pier Paolo Pasolini / Chiara Mulas, performance artistique, in Journées d'études "Opera contro. L’œuvre de rupture sur la scène italienne contemporaine, de 1960 à nos jours", organisées, sous la responsabilité scientifique de Margherita Orsino et Antonella Capra, par Il Laboratorio et l'Institut de Recherche Pluridisciplinaire en Arts Lettres Langues (IRPALL) de l'Université Toulouse Jean Jaurès, 26-27 mars 2015.
Thématique : Corps à corps : poésie sonore, action, performance.
« L’artiste sarde Chiara Mulas (...),
représentante éminente de l’art-action italien, témoigne dans cette
pièce dramatique traversée de l’œuvre de Pasolini ainsi que de son
actualité critique et symbolique. Nourrie de séquences faisant référence
à la complexité de l’engagement pasolinien, entre christianisme et
révolution, l’œuvre magistrale et mystique de Chiara Mulas nous montre,
la force de l’actualité critique de cet artiste assassiné en 1975 » (Théâtre du Grand Rond). Tandis que l'artiste visse sur une croix géante des baguettes de pain en guise de
corps christique, une lithanie en voix off débite -comme dans un rapport d'autopsie- une liste de plaies, blessures et mutilations, mettant ainsi en miroir les destins du Christ et de Pasolini. Mot(s) clés libre(s) : performance artistique (poésie), théâtre italien (20e-21e siècles)
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La scène en tant que dispositif de révolte. Étude sur le théâtre d’Emma Dante / Anna Mirabella
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Claire SARAZIN, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 26-03-2015
/ Canal-u.fr
MIRABELLA Anna
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La scène en tant que dispositif de révolte. Étude sur le théâtre d’Emma Dante / Anna Mirabella, in Journées d'études "Opera contro. L’œuvre de rupture sur la scène italienne contemporaine, de 1960 à nos jours", organisées, sous la responsabilité scientifique de Margherita Orsino et Antonella Capra, par Il Laboratorio et l'Institut de Recherche Pluridisciplinaire en Arts Lettres Langues (IRPALL) de l'Université Toulouse Jean Jaurès, 26-27 mars 2015.
Thématique : Rompre le silence : le théâtre des femmes.
Ces Journées d'étude se penchent sur un phénomène, voire un concept, qui a été intitulé « Opera contro » en écho au fameux film de Francesco Rosi, Les hommes contre (1970), film culte pour toute une génération engagée. Par là "l’œuvre de rupture" est entendue à la fois comme œuvre d’avant-garde (qui rompt avec l’esthétique préexistante) mais aussi comme œuvre qui a vocation à dénoncer, bannir, renverser, s’opposer à un statu quo, un aspect de la culture ou de la société voire tout un système sociopolitique. La question de la relation entre la littérature, et plus généralement "les arts", et l’engagement se pose en effet pour tout le XXe siècle (à commencer par la période des avant-gardes dites "historiques" dans le contexte de la Première Guerre mondiale par exemple) et passe ensuite par les polémiques et conflits internes à la néo-avant-garde lors des événements de mai 68. C’est aussi un sujet transversal, dont les problématiques sont complexes et nombreuses et touchent notamment la question de l'expérimentalisme et, en amont, du langage. C'est enfin une question toujours actuelle si l’on considère l’œuvre non comme un produit "fini" et détaché de toute autre entité, mais comme une « œuvre ouverte » en interaction avec le lecteur/public et plus généralement les lieux, cultures, arts, histoire : en bref ce qu’on pourrait résumer par « réalités individuelles et collectives ». Dans cet esprit, une attention particulière est réservée à l’édition et à la réception de ces œuvres à la fois "en opposition à" et "en marge de" la culture dominante. Mot(s) clés libre(s) : théâtre italien (20e-21e siècles), Emma Dante (1967-....), femmes dans les arts du spectacle
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Claudia Cardinale, un dialogue avec Alberto Moravia. Lecture de C. Cardinale et René de Ceccatty
/ La Cinémathèque française
/ 06-03-2010
/ Canal-U - OAI Archive
La Cinémathèque française, CARDINALE Claudia, MORAVIA Alberto
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En 1961, Alberto Moravia s’entretient avec Claudia Cardinale. Elle a 23 ans, est déjà l’actrice star de Rocco et ses frères et La fille à la valise. Trois ans après l’interview, elle jouera dans l’adaptation des Indifférents. L’écrivain interroge ici la comédienne sur son corps, « en tant qu’objet dans l’espace ». C’est un blason féminin et un dialogue universel. Il y est question de la beauté, du sommeil, du temps, du rêve, de la mort, de l’histoire. On sent Claudia Cardinale décontenancée par la précision de l’écrivain. Mais elle joue le jeu de la profondeur et se révèle peu à peu :"Claudia : Les spectateurs me voient comme une figure énorme, imposante, très grande, majestueuse, monumentale.Moravia : ça vous plaît d’être perçue ainsi ?Claudia : Oui, ça me plaît beaucoup.Moravia : Pourquoi ?Claudia : Parce que ça me plaît d’être perçue telle que je ne suis pas dans ma vie.Moravia : Qui êtes-vous dans la vie ?Claudia : Dans la vie je suis une fille ordinaire, comme toutes les autres"(Traduit de l’italien par René de Ceccatty) Mot(s) clés libre(s) : Alberto Moravia, Claudia Cardinale, comédie à l'italienne, interview, Les Indifférents, littérature italienne
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