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Mots-clefs > J > Jacques Le Goff
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Tri :   Date Editeur Auteur Titre

Découper l’histoire. Qu’est-ce qu’une période historique ?

/ Serge BLERALD, Philippe KERGRAISSE, Direction de l'Audiovisuel de l'EHESS (Dir. Jean-Claude Penrad) / 19-03-2014 / Canal-u.fr
ANHEIM Étienne, SEBASTIANI Silvia, BOUCHERON Patrick, LAMOUROUX Christian, LE GOFF Jacques
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"Ni thèse, ni synthèse, cet essai peut être lu comme l’aboutissement d’une longue recherche. Et d’une réflexion sur l’histoire, sur les périodes de l’histoire occidentale, au centre de laquelle le Moyen Âge est mon compagnon depuis 1950. Il s’agit donc d’un ouvrage que je porte en moi depuis longtemps, des idées qui me tiennent à cœur. Écrit en 2013, à l’heure où les effets quotidiens de la mondialisation sont de plus en plus tangibles, ce livre-parcours pose des questions sur les diverses manières de concevoir les périodisations dans l’histoire : les continuités, les ruptures, les manières de repenser la mémoire de l’histoire. Traitant du problème général du passage d’une période à l’autre, j’examine un cas particulier : la prétendue nouveauté de la « Renaissance » et son rapport au Moyen Âge auquel j’ai consacré avec passion ma vie de chercheur. Reste le problème de savoir si l’histoire est une et continue ou sectionnée en compartiments ? ou encore : s’il faut vraiment découper l’histoire en tranches?" Jacques Le Goff Intervenants :  Étienne Anheim, Université Saint-Quentin-en-Yvelines ; Patrick Boucheron, Université Paris I ; Christian Lamouroux,EHESS ; Silvia Sebastiani, EHESS.
Mot(s) clés libre(s) : Chine, historiographie, continuité, Renaissance, Moyen-Âge, Jacques Le Goff, Lumières
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« Comment je suis venu à l’École… ». Une passion de Jacques Le Goff

/ Direction de l'Audiovisuel de l'EHESS (Dir. Jean-Claude Penrad) / 04-04-2010 / Canal-u.fr
LE GOFF Jacques, MAZON Brigitte
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Introduction aux extraits mis en ligne le 1er juin 2014 dans La Lettre de l’EHESS par Brigitte Mazon, Responsable du service des archives de l’EHESS  Dans un entretien accordé à Brigitte Mazon le 4 avril 2010, Jacques Le Goff raconte en toute liberté comment il est arrivé à « l’École », alors sixième section de l’Ecole pratique des hautes études. Au sortir de l’agrégation, en 1950, attiré par l’enseignement en séminaires (plus particulièrement ceux de Maurice Lombard), il a été recruté par Fernand Braudel comme chef de travaux d’abord (1960), puis nommé premier maître-assistant de la section, avant d’être élu directeur d’études, en 1962. L’heure venue de la succession de Fernand Braudel (1972), il s’est donné pour mission de « démocratiser » le fonctionnement de l’École, en organisant préalablement, à Royaumont,  un premier grand séminaire de réflexion collective. C’est à son collègue et ami Roland Barthes qu’il confia la synthèse et la coordination de ces rencontres qui ont fait date dans les esprits de la seconde génération de l’École. Préservant le rôle du président à la tête des trois instances, incitant les hommes et les disciplines à se parler encore davantage, dans la tradition de la revue Annales d’histoire économique et sociale, fondée par Marc Bloch et Lucien Febvre en 1929, Jacques Le Goff a conduit la transformation de la sixième section de l’École pratique des hautes études, en École des hautes études en sciences sociales. « Si devais résumer la passion que j’ai eue pour ce qui est devenu l’École des hautes études en sciences sociales, pour ses horizons pour ses activités, c’est le fait précisément qu’elle ouvrait les horizons les plus larges […] qu’il y avait ce dialogue permanent, qui allait au-delà du dialogue, qui était une sorte de mariage si je peux dire entre les sciences sociales, c’est-à-dire  l’histoire, la géographie, l’économie, la sociologie et l’ethnologie ». Préférant la notion de « multiplicité des civilisations » à celle, héritée de la période Braudel, d’ « aires culturelles », Jacques Le Goff, homme de dialogue, confie dans cette conversation enregistrée quelques anecdotes et témoignages, autant de « traces » orales qu’il inscrivait volontiers comme une des sources multiples de l’histoire.
Mot(s) clés libre(s) : histoire, institutions, Fernand Braudel (1902-1985), EHESS, Jacques Le Goff
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