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La révolution des satellites de Jupiter
/ Observatoire de Paris
/ 2003
/ Unisciel
Roques Françoise, Henry Florence
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Déterminer la masse de Jupiter en mesurant les propriétés des orbites des satellites de Jupiter et en les analysant à l'aide de la troisième loi de Kepler.
Interpréter un mouvement d'aller et retour comme la projection d'un mouvement circulaire et d'utiliser cette interprétation pour mesurer les orbites des satellites.
Découvrir la relation entre le rayon d'une orbite et la période pour un système lié par la gravitation.
Porter ces résultats sur un graphique et y ajuster une courbe sinusoïdale.
Appliquer la loi gouvernant ce mouvement (troisième loi de Kepler) pour calculer la masse de Jupiter.
Estimer la période orbitale ou le rayon pour une autre lune de Jupiter. Mot(s) clés libre(s) : satellites de Jupiter, troisième loi de Kepler, masse, rayon, orbite
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Du sel sur Io
/ ENS Lyon CultureSciences-Physique, Catherine Simand
/ 22-12-2008
/ Unisciel
Lellouch Emmanuel
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Un article du dossier « La spectroscopie en astronomie ». En 2002
la présence de sel (NaCl) a été détectée dans l'atmosphère ténue de Io,
un des satellites de Jupiter. Les spectres sont obtenus par l'IRAM
dans le domaine des ondes millimétriques. La présence de sel est
reliée à l'émission volcanique de Io et explique les « nuages » de sodium atomique
qui sont observés autour du satellite. Mot(s) clés libre(s) : spectroscopie, spectre, Io, Jupiter, raie rotationnelle, Institut de radioastronomie millimétrique, IRAM, télescope spatial, Hubble
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DES EXOPLANÈTES ET NAINES BRUNES PASSÉES À LA LOUPE DES MICROLENTILLES GRAVITATIONNELLES
/ Jean MOUETTE
/ 01-12-2015
/ Canal-u.fr
CASSAN Arnaud
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Quand en 1995 fut découverte la première exoplanète autour de l'étoile
51 Peg, la surprise fut grande : cette planète ne ressemblait à rien de
connu dans notre
système solaire. Aujourd'hui, force est de constater que rares sont les
systèmes extra-solaires qui y ressemblent ! La diversité exo-planétaire
s'est
avérée extraordinairement riche. Plusieurs méthodes de détection
permettent maintenant d'explorer ces divers systèmes. Par chance, elles
se complètent
admirablement bien pour mettre au jour des exoplanètes couvrant une
vaste plage de masses et de distances orbitales. Dans un article fameux
publié en 1936,
Albert Einstein posait les bases de ce qui s'appelle l'effet de
microlentille gravitationnelle, et qui est aujourd'hui mis en pratique
pour détecter
des exoplanètes à très grande distance de la Terre. Je parlerai plus
particulièrement de cette méthode, en la faisant dialoguer avec d'autres
techniques pour aborder des problèmes qui restent encore entourés d'un
voile de mystère : des planètes qui n'existent pas dans le système
solaire,
un lien très ambigu entre les planètes géantes et les naines brunes, la
découvertes de planètes flottantes, l'origine des Jupiter chauds,
l'estimation
du nombre d'exoplanètes dans la galaxie, et quelques réflexions sur
l'habitabilité de certains de ces mondes lointains. Mot(s) clés libre(s) : exoplanètes, vie extrasolaire, microlentilles gravitationnelles, Jupiter Chauds, naines brunes
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