Tri :
Date
Editeur
Auteur
Titre
|
|
Le Ta'arof, l'art de la politesse iranienne
/ Chiara Vuillaume, Anne-Salomé Daure, Archives audiovisuelles Langes et Cultures du Monde (ALCM)
/ 23-03-2016
/ Canal-u.fr
Anvar Leili, Motaghedi Mahmoud
Voir le résumé
Voir le résumé
Leili Anvar, maître de conférences en littérature persane à l'INALCO, et le Docteur Mahmoud Motaghedi, poète, chercheur en littérature persane et critique littéraire, présentent dans cet entretien les différents aspects du Ta'arof, une politesse codifiée spécifique à l'Iran dont le concept est difficile à cerner et représenter. Caractéristique linguistique et sociale, le Ta'arof joue un rôle primordial
dans la construction identitaire du peuple iranien et fait appel au dualisme de la pensée iranienne. Coutume centrale
remontant à des temps anciens, elle détient une valeur patrimoniale
importante. Mot(s) clés libre(s) : code linguistique, patrimoine culturel, Iran, Persan, taarof, politesse
|
Accéder à la ressource
|
|
“Improvising together” Debate
/ Canal-u.fr
Voir le résumé
Voir le résumé
“Improvising together” Debate Mot(s) clés libre(s) : interaction linguistique, improvisation
|
Accéder à la ressource
|
|
« Les voix de papier : écrits de peu-lettrés en Amérique française » Introduction
/ Canal-u.fr
Voir le résumé
Voir le résumé
Conférence présentée par France Martineau au séminaire du laboratoire PRAXILING (UMR 5267), le 23 février 2015, à l’invitation de l’équipe « Corpus 14 » (http://www.univ-montp3.fr/corpus14/).La conférencièreFrance Martineau est professeur titulaire à l’Université d’Ottawa (Chaire Frontières, réseaux et contacts en Amérique française). Chercheuse de renommée internationale, elle dirige le projet Polyphonies du français (http://polyphonies.uottawa.ca/).
Les
écrits ordinaires, correspondance et journaux personnels, permettent de jeter
un éclairage sur la langue, à travers les traces d’oralité qui percent l’écrit.
Ils ouvrent également une fenêtre sur les pratiques linguistiques et les
réseaux et alliances qui se tissent entre locuteurs d’une même communauté,
notamment en contexte de bilinguisme.Après une brève description du Corpus de français
familier ancien
(http://polyphonies.uottawa.ca/fr/corpus/i-corpus-de-francais-familier-ancien/)
constitué d’écrits de scripteurs de France et d’Amérique française, du 17e
siècle jusqu’au début du 20e siècle, nous nous attarderons aux
écrits de deux familles de condition modeste, écrivant aux 18e et 19e
siècles au Canada français. Nous discutons des stratégies d’écriture des
peu-lettrés et de ce que peut révéler l’écrit sur les usages de l’époque, à un
moment où le Canada français est isolé de la France, suite à la Conquête
britannique, et où le contact avec l’anglais s’accroît. Nous montrons également
comment certaines pratiques linguistiques s’éclairent quand on examine les
réseaux et le capital symbolique que représente la langue pour les locuteurs. Mot(s) clés libre(s) : francophonie, sociolinguistique, littératie, corpus linguistique, Ecrits
|
Accéder à la ressource
|
|
« Les voix de papier : écrits de peu-lettrés en Amérique française » Gestion des corpus de peu lettrès à l'ère des d'humanités digitales (2)
/ Canal-u.fr
Voir le résumé
Voir le résumé
Conférence présentée par France Martineau au séminaire du laboratoire PRAXILING (UMR 5267), le 23 février 2015, à l’invitation de l’équipe « Corpus 14 » (http://www.univ-montp3.fr/corpus14/).La conférencière
France Martineau est professeur titulaire à l’Université d’Ottawa (Chaire Frontières, réseaux et contacts en Amérique française). Chercheuse de renommée internationale, elle dirige le projet Polyphonies du français (http://polyphonies.uottawa.ca/).
Les
écrits ordinaires, correspondance et journaux personnels, permettent de jeter
un éclairage sur la langue, à travers les traces d’oralité qui percent l’écrit.
Ils ouvrent également une fenêtre sur les pratiques linguistiques et les
réseaux et alliances qui se tissent entre locuteurs d’une même communauté,
notamment en contexte de bilinguisme.Après une brève description du Corpus de français
familier ancien
(http://polyphonies.uottawa.ca/fr/corpus/i-corpus-de-francais-familier-ancien/)
constitué d’écrits de scripteurs de France et d’Amérique française, du 17e
siècle jusqu’au début du 20e siècle, nous nous attarderons aux
écrits de deux familles de condition modeste, écrivant aux 18e et 19e
siècles au Canada français. Nous discutons des stratégies d’écriture des
peu-lettrés et de ce que peut révéler l’écrit sur les usages de l’époque, à un
moment où le Canada français est isolé de la France, suite à la Conquête
britannique, et où le contact avec l’anglais s’accroît. Nous montrons également
comment certaines pratiques linguistiques s’éclairent quand on examine les
réseaux et le capital symbolique que représente la langue pour les locuteurs. Mot(s) clés libre(s) : francophonie, sociolinguistique, littératie, corpus linguistique, Ecrits
|
Accéder à la ressource
|
|
« Les voix de papier : écrits de peu-lettrés en Amérique française » Écrits de peu lettrés dans l'espace social - Introduction
/ Canal-u.fr
Voir le résumé
Voir le résumé
La conférencière
France Martineau est professeur titulaire à l’Université d’Ottawa (Chaire Frontières, réseaux et contacts en Amérique française). Chercheuse de renommée internationale, elle dirige le projet Polyphonies du français (http://polyphonies.uottawa.ca/).
Les
écrits ordinaires, correspondance et journaux personnels, permettent de jeter
un éclairage sur la langue, à travers les traces d’oralité qui percent l’écrit.
Ils ouvrent également une fenêtre sur les pratiques linguistiques et les
réseaux et alliances qui se tissent entre locuteurs d’une même communauté,
notamment en contexte de bilinguisme.Après une brève description du Corpus de français
familier ancien
(http://polyphonies.uottawa.ca/fr/corpus/i-corpus-de-francais-familier-ancien/)
constitué d’écrits de scripteurs de France et d’Amérique française, du 17e
siècle jusqu’au début du 20e siècle, nous nous attarderons aux
écrits de deux familles de condition modeste, écrivant aux 18e et 19e
siècles au Canada français. Nous discutons des stratégies d’écriture des
peu-lettrés et de ce que peut révéler l’écrit sur les usages de l’époque, à un
moment où le Canada français est isolé de la France, suite à la Conquête
britannique, et où le contact avec l’anglais s’accroît. Nous montrons également
comment certaines pratiques linguistiques s’éclairent quand on examine les
réseaux et le capital symbolique que représente la langue pour les locuteurs. Mot(s) clés libre(s) : francophonie, sociolinguistique, littératie, corpus linguistique, Ecrits
|
Accéder à la ressource
|
|
« Les voix de papier : écrits de peu-lettrés en Amérique française » Documenter hier et aujourd'hui : diachronie et géographie
/ Canal-u.fr
Voir le résumé
Voir le résumé
Conférence présentée par France Martineau au séminaire du laboratoire PRAXILING (UMR 5267), le 23 février 2015, à l’invitation de l’équipe « Corpus 14 » (http://www.univ-montp3.fr/corpus14/).La conférencière
France Martineau est professeur titulaire à l’Université d’Ottawa (Chaire Frontières, réseaux et contacts en Amérique française). Chercheuse de renommée internationale, elle dirige le projet Polyphonies du français (http://polyphonies.uottawa.ca/).
Les
écrits ordinaires, correspondance et journaux personnels, permettent de jeter
un éclairage sur la langue, à travers les traces d’oralité qui percent l’écrit.
Ils ouvrent également une fenêtre sur les pratiques linguistiques et les
réseaux et alliances qui se tissent entre locuteurs d’une même communauté,
notamment en contexte de bilinguisme.Après une brève description du Corpus de français
familier ancien
(http://polyphonies.uottawa.ca/fr/corpus/i-corpus-de-francais-familier-ancien/)
constitué d’écrits de scripteurs de France et d’Amérique française, du 17e
siècle jusqu’au début du 20e siècle, nous nous attarderons aux
écrits de deux familles de condition modeste, écrivant aux 18e et 19e
siècles au Canada français. Nous discutons des stratégies d’écriture des
peu-lettrés et de ce que peut révéler l’écrit sur les usages de l’époque, à un
moment où le Canada français est isolé de la France, suite à la Conquête
britannique, et où le contact avec l’anglais s’accroît. Nous montrons également
comment certaines pratiques linguistiques s’éclairent quand on examine les
réseaux et le capital symbolique que représente la langue pour les locuteurs. Mot(s) clés libre(s) : francophonie, sociolinguistique, littératie, corpus linguistique, Ecrits
|
Accéder à la ressource
|
|
« Les voix de papier : écrits de peu-lettrés en Amérique française » Gestion des corpus de peu lettrès à l'ère des d'humanités digitales (1)
/ Canal-u.fr
Voir le résumé
Voir le résumé
La conférencière
France Martineau est professeur titulaire à l’Université d’Ottawa (Chaire Frontières, réseaux et contacts en Amérique française). Chercheuse de renommée internationale, elle dirige le projet Polyphonies du français (http://polyphonies.uottawa.ca/).
Les
écrits ordinaires, correspondance et journaux personnels, permettent de jeter
un éclairage sur la langue, à travers les traces d’oralité qui percent l’écrit.
Ils ouvrent également une fenêtre sur les pratiques linguistiques et les
réseaux et alliances qui se tissent entre locuteurs d’une même communauté,
notamment en contexte de bilinguisme.Après une brève description du Corpus de français
familier ancien
(http://polyphonies.uottawa.ca/fr/corpus/i-corpus-de-francais-familier-ancien/)
constitué d’écrits de scripteurs de France et d’Amérique française, du 17e
siècle jusqu’au début du 20e siècle, nous nous attarderons aux
écrits de deux familles de condition modeste, écrivant aux 18e et 19e
siècles au Canada français. Nous discutons des stratégies d’écriture des
peu-lettrés et de ce que peut révéler l’écrit sur les usages de l’époque, à un
moment où le Canada français est isolé de la France, suite à la Conquête
britannique, et où le contact avec l’anglais s’accroît. Nous montrons également
comment certaines pratiques linguistiques s’éclairent quand on examine les
réseaux et le capital symbolique que représente la langue pour les locuteurs. Mot(s) clés libre(s) : francophonie, sociolinguistique, littératie, corpus linguistique, Ecrits
|
Accéder à la ressource
|
|
Ndiabou Toure : "Les discours canoniques - le Taasu : un genre en évolution"
/ Canal-u.fr
Voir le résumé
Voir le résumé
Ndiabou Touré (Université Cheikh Anta Diop de Dakar) : "Réflexions sur la canonicité à partir de l'évolution du taasu du contexte traditionnel et aux contextes musical et publicitaire au Sénégal"
Dans le cadre de l’opération de recherche ELLAF "Discours canoniques dans leurs modalités linguistiques"
"Il s'agit d'un questionnement sur la canonicité à partir de l'étude d'un genre traditionnel wolof, le taasu,
qui relève de la poésie orale. Le taasu, à l'inverse d'autres genres, s'est remarquablement adapté à de
nouveaux contextes, et a investi un nouveau genre poétique moderne, le mbalakh (chant populaire
moderne wolof), et un champ d'application également nouveau, la publicité.
Je m'interrogerai sur la canonicité de ce genre dans une perspective évolutive, et sous un angle
énonciatif (auteur, interprète, récepteur, canal, etc.). Que se passe-t-il lorsque le taasu passe d'un
contexte traditionnel à des contextes différents, complètement modernes et qui répondent à des
modalités n'énonciation complètement différentes ? Cette question est sous-tendue par une
problématique complexe qui concerne toutes les modalités de l'énonciation : l'auteur, dont le statut
peut changer, ce qui a des incidences notamment sur le choix de l'interprète ; la communication de
masse en terme de diffusion ; le canal qui obéit à d'autres règles du point de vue de l'interaction ; le
récepteur, qui doit être abordé à plusieurs niveaux.
Ainsi, en partant de son contexte traditionnel, il est intéressant d'observer l'évolution de ce genre et son
mode de fonctionnement dans sa fusion avec d'autres genres ou dans des contextes comme la publicité". Mot(s) clés libre(s) : LLACAN, UPS2259, ELLAF, Ndiabou Touré, Discours canoniques dans leurs modalités linguistiques, Université Cheikh Anta Diop de Dakar, l'évolution du taasu du contexte traditionnel et aux contextes musical et publicitaire au Sénégal
|
Accéder à la ressource
|
|
Marie-Rose Abomo-Maurin (Université de Yaoundé 1)
" Du mvet ékang aux nouvelles formes du chant épique : Le cas de la musique religieuse au Cameroun "
/ Canal-u.fr
Voir le résumé
Voir le résumé
Dans le cadre de l'opération de recherche "Discours canoniques dans leurs modalités
linguistiques" (Llacan, Salle de conférences, Bâtiment D, 7 rue Guy Môquet,
Villejuif), Marie-Rose Abomo-Maurin (Université de Yaoundé 1) nous propose le
jeudi 16 avril de 10 à 12h une séance intitulée
" Du mvet ékang aux nouvelles formes du chant épique : le cas de la musique religieuse au Cameroun "
Elle sera accompagnée d’Edmond Bolo, un jeune joueur de mvet formé à l’école du mvet d’Onana Awono à Yaoundé à l’espace culturel Oveng (Anguissa-Yaoundé) et de Père Nama Janvier un enseignant de philosophie et chercheur en ethnomusicologie fang-beti-boulou, surtout dans le bikutisi. Mot(s) clés libre(s) : LLACAN, mvet d’Onana Awono, mvet, bikutisi., ethnomusicologie fang-beti-boulou, ELLAF, Discours canoniques dans leurs modalités linguistiques, Père Nama Janvier, Edmond Bolo, Marie-Rose Abomo-Maurin, UPS2259, l’espace culturel Oveng (Anguissa-Yaoundé)
|
Accéder à la ressource
|
|
La linguistique à bâtons rompus
/ Canal-u.fr
Voir le résumé
Voir le résumé
Des enseignants-chercheurs et jeunes chercheurs de l'Université de Strasbourg présentent en 500 secondes leur passion et l'essentiel de leur activité de recherche.Georges Kleiber. Professeur émérite de linguistique et membre de l’Institut d’Etudes Avancées de l’Université de Strasbourg (USIAS) : Chaire "Sciences du langage" Domaine de recherche : Linguistique (sémantique et pragmatique)
Mot(s) clés libre(s) : linguistique
|
Accéder à la ressource
|
|