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Cinéma et littérature, qui influence qui ? Table ronde
/ La Cinémathèque française
/ 06-07-2008
/ Canal-U - OAI Archive
La Cinémathèque française, Tabucchi Antonio, Vecchio Sergio, Delay Florence
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La parole sera ainsi donnée à plusieurs auteurs, autour d'Antonio Tabucchi, pour discuter des liens qui se tissent sans cesse entre l'écriture de leur œuvre et le cinéma. Une rencontre animée par Bernard Comment (écrivain et éditeur).Intervenants :- Antonio Tabucchi (écrivain)- Sergio Vecchio (écrivain)- Florence Delay (écrivain) Mot(s) clés libre(s) : cinéma, cinéma et littérature, langage cinématographique, littérature (histoire et critique), roman moderne
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Toulouse-Le Mirail, son université... une empreinte emblématique des "modernes" / Gérard Huet
/ Claire SARAZIN, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 08-04-2010
/ Canal-U - OAI Archive
HUET Gérard
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"Toulouse-Le Mirail, son université... l'UTM une empreinte emblématique des "modernes" en terre toulousaine. Peut-elle s'adapter aux évolutions dictées par le temps ? "L'Arche" bâtiment d'entrée révèle cette question". Gérard HUET. In colloque "Conservation, restauration de l'architecture du Mouvement moderne : l'exemple de l'Université de Toulouse-Le Mirail de Georges Candilis", organisé avec la collaboration des universités Rennes 2, Paris 1 et Panthéon-Sorbonne. Université Toulouse II Le Mirail, 8-10 avril 2010.En 1985, l'université du Mirail, sous la présidence de Georges Bertrand, est lancé un concours pour la construction sur le campus d'un programme de salles pédagogiques et d'un bâtiment d'accueil des étudiants. Pour Gérard Huet, la problématique de ré-intervenir à l'Université Toulouse-Le Mirail sur le travail de Candilis pose les questions du « fétichisme du patrimoine », de la continuité et de l'actualisation du concept original exposé à des évolutions permanentes. Dans son intervention, Gérard Huet explique les intentions architecturales et la réalisation de "l'Arche", une des extensions de l'université du Mirail dont il est l'architecte : entre solution à la "sur-densité" du campus, proposition formelle dialoguant avec le bâti existant de Candilis ((modèle initial de Le Corbusier, maison domino trame modulaire...) et réponse à la demande de créer le signal d'une liaison avec la ville, si ce n'est du côté du centre historique de Toulouse, au moins en direction du quartier du Mirail.[Avertissement : le conférencier n'ayant pas encore autorisé le droit de diffuser les photographies afférentes à son intervention, nous avons le regret de ne pouvoir les faire apparaître à l'image. Toutefois, un diaporama de quelques photographies issues de sites internet vous est proposé à titre illustratif.] Mot(s) clés libre(s) : architecture moderne, extension (architecture), Georges Candilis (1913-1995), style architectural, université Toulouse II-Le Mirail
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Schéma directeur-schéma d'aménagement : dynamiques d'un projet controversé / Nicolas Golovtchenko
/ Claire SARAZIN, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 08-04-2010
/ Canal-U - OAI Archive
GOLOVTCHENKO Nicolas
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"Université du Mirail : du schéma directeur au schéma d'aménagement, les dynamiques d'un projet controversé". Nicolas GOLOVTCHENKO. In colloque "Conservation, restauration de l'architecture du Mouvement moderne : l'exemple de l'Université de Toulouse-Le Mirail de Georges Candilis" organisé avec la collaboration des universités Rennes 2, Paris 1 et Panthéon-Sorbonne. Université Toulouse II Le Mirail, 8-10 avril 2010.Dans son intervention, Nicolas Golovtchenko (actuel vice-président délégué au patrimoine universitaire) évoque en introduction les questions qui ont émergées lors de la réflexion sur la restauration ou la réhabilitation de l'université Toulouse-Le Mirail : le rapport affectif entretenu par la communauté universitaire avec son patrimoine ancien (le "bâti Candilis") et les nouveaux bâtiments construits ou à venir, les incidences de la réflexion architecturale sur l'offre de formations et les projets scientifiques, la nécessité de ré-inventer les relations avec le quartier, les question de continuité et de rupture aussi. Sont ensuite expliquées les modalités de la mise en œuvre du schéma directeur de reconstruction, élaboré avec les cabinets d'architectes ou d'experts, ainsi que les axes de travail pour l'ouverture du campus vers la ville. Sur ce schéma directeur pas tout à fait définitif, surgissent des réflexions diverses autour de l'aménagement d'une perspective Nord-Sud, l'intégration du parc du Mirail, le déplacement des unités d'enseignement et le lien entre elles... comme autant de questions à résoudre par les architectes. Mot(s) clés libre(s) : architecture (conservation), architecture (reconstruction), architecture moderne, reconstruction (schéma directeur), Université Toulouse II-Le Mirail
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Les 50 ans des Escanaux à Bagnols sur Cèze / Laurent Duport (texte lu par Catherine Compain-Gajac)
/ Claire SARAZIN, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 09-04-2010
/ Canal-U - OAI Archive
DUPORT Laurent
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Les 50 ans des Escanaux à Bagnols sur Cèze. Laurent DUPORT (texte lu par Catherine Compain-Gajac). In colloque "Conservation, restauration de l'architecture du Mouvement Moderne : l'exemple de l'Université de Toulouse-Le Mirail de Georges Candilis" organisé par l'Université de Toulouse II-Le Mirail en partenariat avec les universités de Rennes 2 et Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Université Toulouse II-Le Mirail / Musée Les Abattoirs, 8-10 avril 2010.Laurent Duport, architecte spécialiste de Le Corbusier et du mouvement architectural de la Team X, évoque la conception du nouvel ensemble urbain des Escanaux, à Bagnols-sur-Cèze, conçu par le cabinet d’architectes Candilis-Josic-Woods pour accueillir les employés du site de Marcoule, un des premiers sites nucléaires de France.Extrait du texte accompagnant les archives du fonds Candilis (236 Ifa) de la Cité du Patrimoine et de l'Architecture : "Les travaux de la nouvelle cité commencent en avril 1956, avec le lancement par le CEA, au quartier de « La Citadelle », d'une première tranche de 371 logements (terrain acheté en janvier 1956), en même temps qu’une commission spécialisée du plan (constituée principalement par R. Coquerel, urbaniste en chef du Ministère de la construction en mission spéciale, Ch. Delfante, urbaniste du plan régional, G. Candilis et son équipe) entreprend l’élaboration d’un projet d’ensemble pour l’extension de la ville, « capable de prendre le relais de cette première initiative ». Ainsi, la transformation d’un petit centre commercial et administratif d’une région agricole en une ville industrielle est devenue un objectif national, un véritable symbole de la reconstruction nationale.En 1959, quand le nouvel ensemble de Bagnols-sur-Cèze est récompensé par le Prix d’urbanisme du gouvernement français (décerné pour la première fois en France), 35 ha ont été déjà aménagés et la population de Bagnols est passée de 4500 en 1956 à environ 12 000 habitants (la perspective étant alors d’atteindre le nombre de 18 000 habitants avec l’achèvement de la nouvelle ville).Principes d’implantation et de composition :L’extension de la ville vers le sud a été dictée par les données géographiques du site (topographie, climat), en même temps que pour rechercher des éléments de liaison entre les deux villes et créer une continuité. La structure de la vieille ville a déterminé directement la structure de la nouvelle :- le système de liaison des anciennes rues, jamais orthogonales, est repris sur un mode plus large et inspire le mode d’implantation varié des unités de logements. Les groupements (articulés de façon à créer de micro-ensembles de caractères différents) forment des décrochements et se caractérisent par des ruptures systématiques de l’alignement en ligne droite ;- l’utilisation des immeubles-tours comme symbole et identité de la nouvelle ville, mis en rapport symbolique avec les flèches gothiques des églises et des tours médiévales existantes, symbole et identité de la vieille ville ;- la préservation et la mise en valeur des éléments du passé artificiels ou naturels, comme éléments de composition d’ensemble : théâtre en plein air, vieux parcs et jardins, ruines ;- l’utilisation de la polychromie traditionnelle du Midi (bleu, ocre, rouge, ocre jaune, gris), un chromatisme à la fois chatoyant et très nuancé sur un fond blanc.La nouvelle ville comporte une densité périphérique assez forte. Elle est limitée par une route extérieure (la nouvelle route des Rocades unifiant le sud à l’est de la ville) sur laquelle s’implantent les parkings, tandis que l’espace intérieur des zones d’habitations est libéré de toute circulation automobile.En effet, dans les aménagements de Bagnols, on retrouve des éléments concrets des recherches typologiques normalisées précédentes, fruit des réflexions architecturales entreprises au sein de l’équipe de Candilis à l’occasion du concours lancée sous l’égide du Ministère de la Construction pour créer un nouveau type de logement économique, dans le cadre de l’opération million : les trois plans de masse (perpendiculaire, en rond, en « V »), une certaine ordonnance en domino des façades et un type d’immeuble bas à quatre ou cinq niveaux, associés cette fois à une composition contextuelle en plan masse". Mot(s) clés libre(s) : Atelier AAA, Bagnols-sur-Cèze (Gard, France), Mouvement moderne (architecture)
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Expériences de réhabilitation dans des réalisations de l'agence Candilis en PACA / Sylvie Denante
/ Claire SARAZIN, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 09-04-2010
/ Canal-U - OAI Archive
DENANTE Sylvie
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Deux expériences en cours de "connaissance-réhabilitation patrimoniale" dans des réalisations de l'agence Candilis en Provence-Alpes-Côte d'Azur. Sylvie DENANTE. In colloque "Conservation, restauration de l'architecture du Mouvement Moderne : l'exemple de l'Université de Toulouse-Le Mirail de Georges Candilis" organisé par l'Université de Toulouse II-Le Mirail en partenariat avec les universités de Rennes 2 et Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Université Toulouse II-Le Mirail / Musée Les Abattoirs, 8-10 avril 2010.Sylvie Denante présente deux expériences de conservation du patrimoine architectural moderne, deux réalisations "sœurs" labellisées "Patrimoine du XXe siècle" : le lotissement "Les Muriers" à Manosque et la résidence "le Petit Nice" à Aix-en-Provence, conçus en 1962-1963 par les architectes Georges Candilis, Alexis Josic et Shadrach Wodds.Ces deux chantiers de réhabilitation sont représentatifs de la difficulté d'intervenir pour protéger les réalisations du XXe siècle hors d'un cadre règlementaire car il ne résulte aucune protection particulière de l'obtention du label. Dans les deux cas, l'intervention a consisté tout d'abord à "documenter" les bâtiments (étude historique, expertise architecturale...), à poser un partenariat avec les copropriétaires pour les aider à l'entretien de l'édifice, à les sensibiliser sur l'esprit architectural d'origine... Mot(s) clés libre(s) : Aix-en-Provence (Bouche-du-Rhône), architecture moderne, logement (réhabilitation), Manosque (Alpes-de-Haute-Provence), politique de rénovation urbaine
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Une sensibilisation à la théorie de la relativité
/ Université Claude Bernard Lyon 1, Unisciel
/ Unisciel
Dazord Jacques
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après avoir discuté des fondements de la Théorie de la
Relativité moderne, nous limitons nos considérations à un espace à une dimension
spatiale. Un postulat implicite de la Physique classique est le suivant : la mesure
de la longueur d’une règle, par repérage simultané de ses extrémités par rapport à
un repère d’inertie, est indépendante de la vitesse de la règle par rapport à ce
repère. Or l’unicité de la vitesse de la lumière dans le vide invalide ce postulat.
Nous calculons comment varie la longueur apparente d’une règle mesurée par rapport à
un repère d’inertie. Il en résulte que deux évènements peuvent être simultanés par
rapport à un repère d’inertie et non par rapport à un autre. Cette proposition est
logiquement équivalente à ce que le temps affecté à un événement ne puisse pas être
universel, c’est-à-dire commun à tous les repères d’inertie, car sinon, s’il
existait un temps universel t1 pour l’événement E1 et t2 pour l’événement E2 , il ne
pourrait pas y avoir simultanéité des deux évènements (t1 = t2) par rapport à un
repère d’inertie, et non simultanéité des deux évènements (t1 ≠ t2) par rapport à un
autre repère d’inertie. D’autre part, un évènement est repéré par rapport à un
repère d’inertie grâce à une coordonnée d’espace et une coordonnée de temps. Lorsque
nous changeons de repère d’inertie, ces coordonnées sont transformées. Nous
démontrons les formules de transformation à partir de l’expression rigoureuse de la
longueur apparente d’une règle en mouvement. Mot(s) clés libre(s) : Relativité, Relativité moderne, Théorie de la relativité
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La mémoire de la Grande Guerre en France : permanences et mutations (de 1918 à nos jours)
/ 19-11-2015
/ Canal-u.fr
DALISSON Rémi
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La Grande Guerre est aujourd’hui omniprésente dans l’univers médiatique et commémoratif en France.
Sa mémoire est célébrée par la « mission du centenaire » autant que par
les médias et par le 11 novembre. Elle est aussi ravivée par « la
grande collecte » de ses objets mémoriaux qui connait un succès
inattendu depuis 2014. Ce poids mémoriel est une constante dans un pays
qui a fait du « devoir de mémoire » un impératif culturel et politique, et des commémorations des outils de formation civique et républicaine.
Mais cette mémoire, si elle n’a jamais disparu, a connu des éclipses et bien des fluctuations. Elle ne fut en outre jamais consensuelle,dès 1918 comme de nos jours. En effet, elle touche à l’identité
républicaine du pays, à la mémoire de la mort, à l’école, à la colonisation et à la fonction du sacrifice pour la patrie. Qu’en est-il en 2015, à l’heure de l’Europe et de la mondialisation, à l’heure des replis identitaires et des guerres électroniques et comme déshumanisées ? Mot(s) clés libre(s) : symbolisme, histoire, guerre mondiale (1914-1918), commémoration, Histoire Moderne et Contemporaine, Grande Guerre, objets mémoriaux, devoir de mémoire
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Introduction à la notion de conservation-restauration de l'architecture / Catherine Compain-Gajac
/ Claire SARAZIN, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 08-04-2010
/ Canal-U - OAI Archive
COMPAIN-GAJAC Catherine
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Introduction à la notion de conservation-restauration de l'architecture. Catherine COMPAIN-GAJAC. In colloque "Conservation, restauration de l'architecture du Mouvement Moderne : l'exemple de l'Université de Toulouse-Le Mirail de Georges Candilis" organisé par l'Université de Toulouse II-Le Mirail en partenariat avec les universités de Rennes 2 et Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Université Toulouse II-Le Mirail / Musée Les Abattoirs, 8-10 avril 2010.Pour donner les éléments nécessaires à la compréhension de la notion de conservation du patrimoine architectural, Catherine Compain-Gajac retrace à grands traits l'historique de la politique de préservation du patrimoine architectural en France, du XVIIe siècle au lendemain de la Révolution française jusqu'au XXe siècle en passant par le rôle des inspecteurs des monuments historiques, Ludovic Vitet et Prosper Mérimée et la politique d'André Malraux qui, en 1958, fait dresser un classement des édifices modernes. Depuis 1980, s'est développé un intérêt pour l'architecture moderne et la mise en oeuvre de sa protection, avec, notamment, plusieurs dates importantes : les rencontres de Paris et Grenade en 1985, qui voient la rédaction de la recommandation pour la protection et la mise en valeur du patrimoine du XXe siècle. En 1988, sera créé un organisme pour la documentation et la conservation de l'architecture moderne, Docomomo International. A partir des années 1990, les différents organismes multiplient les rencontres d'experts, les colloques internationaux et les programmes d'études, ce qui ne va cependant pas suffire à faire reconnaître la valeur patrimoniale des édifices modernes. « Bien que l'architecture se soit développée de manière spectaculaire au 20ème siècle du fait de la très rapide explosion démographique, bien que pendant cette période on ait construit plus que pendant tous les siècles antérieurs, si on le compare au patrimoine ancien, celui du 20e est largement sous-représenté dans la liste du patrimoine mondial ». Catherine Compain-Gajac explique les raisons multiples de cette sous-représentation, parmi lesquelles la difficulté d'appliquer les critères fixés par la Convention du patrimoine mondial de l'Unesco, habituellement destinés à protéger des bâtiments anciens. Mot(s) clés libre(s) : architecture moderne (1945-1970), France (20e siècle), Mouvement moderne (architecture), patrimoine architectural, politique culturelle (protection du patrimoine), protection patrimoniale
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Picasso-Miró : chassés-croisés
/ Serge BLERALD
/ 05-06-2016
/ Canal-u.fr
Combalía Dexeus Victoria
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Picasso et Miró : deux artistes très différents, dans leur art et dans leur personnalité. Pourtant, ils se sont influencés l'un l'autre et une forte amitié liait le fougueux Picasso et le timide Miró. Mot(s) clés libre(s) : art moderne, Art espagnol, Pablo Picasso, Joan Miro
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Une agence à fonctionnemant collégial / Bénédicte Chaljub
/ Claire SARAZIN, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 10-04-2010
/ Canal-U - OAI Archive
CHALJUB Bénédicte
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Une agence à fonctionnemant collégial. Bénédicte CHALJUB. In colloque "Conservation, restauration de l'architecture du Mouvement Moderne : l'exemple de l'Université de Toulouse-Le Mirail de Georges Candilis" organisé par l'Université de Toulouse II-Le Mirail en partenariat avec les universités de Rennes 2 et Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Université Toulouse II-Le Mirail / Musée Les Abattoirs, 8-10 avril 2010.Sur l'Atelier AAA fondée par Georges Candilis avec Shadrach Woods et Alexis Josic ; avec un zoom sur la cité des Bruyères à Sèvres (conçue par Josic). Mot(s) clés libre(s) : agence d'architecture, Alexis Josic, architectes (atelier AAA), Mouvement moderne (architecture), Sèvres (France)
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