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Visite au Centre de recherche et de restauration des Musées de France
/ FRANCE INTER
/ 20-11-2009
/ Canal-U - OAI Archive
FRANCE INTER, UTLS au lycée
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Utls au Lycée en partenariat avec la Tête au carré(émission en audio uniquement)Dans les sous-sols du musée du Louvre à la découverte du C2RMF, Centre de recherche et de restauration des Musées de France. Il y a retrouvé les élèves de 1ère L du lycée Sophie Barat de Chatenay Malabry en région parisienne en compagnie de l'Université de tous les Savoirs. Mot(s) clés libre(s) : Louvre, musée, restauration
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Visite au Centre de recherche et de restauration des Musées de France
/ FRANCE INTER
/ 20-11-2009
/ Canal-u.fr
FRANCE INTER, UTLS au lycée
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Utls au Lycée en partenariat avec la Tête au carré
(émission en audio uniquement)
Dans les sous-sols du musée du Louvre à la découverte du C2RMF, Centre de recherche et de restauration des Musées de France. Il y a retrouvé les élèves de 1ère L du lycée Sophie Barat de Chatenay Malabry en région parisienne en compagnie de l'Université de tous les Savoirs. Mot(s) clés libre(s) : restauration, Louvre, musée
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Un car rapide sénégalais au Musée de l'Homme de Paris : un chef-d'oeuvre d'art populaire, un “art parlant”
/ Canal-u.fr
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ARTISTES
El Hadj Kane & Pape Omar Pouye
ACTEURS
El Hadj Kane, Pape Omar Pouye, les peintres, Malick Seck, l'apprenti, Pape Sall (mairie SICAP Liberté 3, Dakar), Ibrahima Diop & les voisins du chantieret les sons industriels des menuisiers métalliquesAUTEURS : Alain Epelboin & Ndiabou Sega Touré
COMMENTAIRES : Ndiabou Sega Touré & Alain
Epelboin
CAMÉRA, SON, MONTAGE, RÉALISATION : Alain Epelboin
REMERCIEMENTS : El Hadj Kane, Pape Omar Pouye, Pape Sall, Ibrahima Diop et les voisins du chantier, Alioune Thiam (CETUD Sénégal), la famille du défunt El Hadj El Kaba Touré, Mireille Gruska & Annie Marx, Studio ad hoc France.
RÉSUMÉ :Dans son exposition permanente, dans la partie consacrée à la mondialisation, le nouveau Musée de l'Homme de Paris présente un « car rapide » sénégalais, nommé aussi « super », « ndiaga ndiaye : c’est-à-dire un objet industriel du nord, mis au rebut, réapproprié par les artisans, artistes et tradipraticiens des suds. Ce film suit la réalisation des peintures décoratives et protectrices d’un fourgon Saviem Renailt Super-Goélette SG2 datant des années 1970, par deux peintres, spécialistes de cet art populaire, El Hadj Kane et Pape Omar Pouye, à la demande de deux anthropologues Alain Epelboin (CNRS-MNHN Paris) et Ndiabou Sega Touré (UCAD Dakar) en collaboration avec Studio ad hoc, chargé de la réalisation du projet.
L’action a lieu dans un parking de la mairie de SICAP Liberté 3 de Dakar servant d’entrepôt de matériaux de construction et abritant des ateliers de menuiserie métallique à ciel ouvert, avec une ambiance sonore déchirée régulièrement par les sons des scies, meuleuses et autres appareils à souder.
Tout en travaillant, les artistes se racontent, expliquent ce qu’il font, évoquent leur apprentissage auprès de leurs maitres, leurs propres apports artistiques, « leur touche », leur goût à exercer ce métier, leur fierté d’être des artistes. Les deux peintres soulignent leur conscience de réaliser un chef d’oeuvre d’art populaire sénégalais, qui représente le Sénégal et l’Afrique aux yeux des visiteurs d’un grand musée de Paris, sis face à la Tour Eifel, à proximité de l’esplanade du Trocadéro, le Parvis des droits de l'homme où des colporteurs sénégalais « clandestins » sont pourchassés par la police française.
Un art populaire, c’est-à-dire selon eux un art qui parle à tout le monde, sans distinction de classe ou d’âge, mais aussi un témoignage de l’histoire du Sénégal et de ses relations avec la France depuis le XIX ème siècle.
Il s’agit d’un de ces fourgons Super-Goélette Renault
SG2, peints en jaune et bleu, ornés de multiples motifs, couleurs, écritures, amulettes
et objets magiques. Ils assurent quotidiennement les transport en commun dans
les grandes villes du Sénégal, en concurrence avec les bus des grandes
compagnies étatiques et les taxis collectifs privés, voire les charrettes.
Des milliers de Sénégalais les empruntent chaque jour et nombreux sont ceux qui
en gardent, enfouis dans leur mémoire, des images émouvantes, des scènes, des
sons, des odeurs, des émotions datant de
leur jeunesse.
Les fourgons Super-Goélette Renault SAVIEM SG2 produits
de 1967 à 1982, succédant aux Goélettes Renault (1947-1965), ont été très
populaires, équipant massivement les entreprises, les administrations civiles
et militaires européennes. Au fur et à mesure de leurs mises en réforme, des
lots importants ont été revendus massivement dans les colonies françaises, puis
dans les pays francophones devenus indépendants, essentiellement en tant que
véhicules de transport en commun permettant de charger officiellement 25
passagers, sans compter les personnes debout et d’éventuels occupants de la
galerie ou marche-pied..
Dans chacun de ces pays, ces objets industriels du
Nord mis au rebut, ont été réinvestis par des savoir-faire autochtones,
des techniques, de mécanique, de tôlerie, de menuiserie métallique, qui ont
permis à une flotte importante de continuer à circuler jusqu’à présent, chaque
véhicule cumulant des millions de kilomètres.
Au Sénégal, ils ont été également investis de
générations en générations par un art décoratif et protecteur original, à base
de peintures multicolores, de nombreuses formules sentencieuses, morales, protectrices,
en wolof, arabe et français, mais aussi des amulettes, objets,
écritures, portraits de marabouts, « blindant » le véhicule contre
les jaloux, les malfaisants, les génies, générateurs de malchances, de pannes
et d’accidents.
Enfin, ces cars rapides sénégalais aux peintures caractéristiques
sont aussi devenus des sources d’inspiration de dessinateurs de bandes
dessinées, d'artistes, de peintres de tableaux et de peintures sous verre, suwers vendus
aux touristes.
Depuis 2005, le gouvernement sénégalais a confié au du
Conseil exécutif des transports urbains de Dakar (CETUD) un programme de
renouvellement du parc de transports en commun. Les propriétaires des cars
rapides sont incités à les remplacer par des bus de marques indiennes et
asiatiques. Et c’est dans ce cadre que le CETUD a offert un de ces véhicules au
Musée de l’homme, lors d’une campagne de récupération à Saint Louis. Mot(s) clés libre(s) : pollution, deuxième vie des objets, savoirs populaires, tôlerie, menuiserie métallique, peintures décoratives, peintres, art, urbain, Saviem Super-Goélette SG2, Saint Louis, transport en commun, Sénégal, histoire, vidéo, récupération, Dakar, mécanique, arts et traditions populaires, art populaire, Musée de l'Homme de Paris
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Un "car rapide", un transport en commun sénégalais au Musée de l'Homme de Paris : un chef-d'oeuvre d'art populaire.
Diaporama du 28 juillet 2015
/ 28-07-2015
/ Canal-u.fr
EPELBOIN Alain
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Montage de photos de la réalisation des peintures par les peintres El Hadj Kane & Pape Omar Pouye à Dakar, puis arrivée du car au Musée de l'Homme de Paris.Auteurs-réalisateurs Alain Epelboin et Ndiabou Sega TouréPhotos : Alain Epelboin, Jean Christophe Domenech et Vincent BattestiCommentaires de El Hadj Kane & Pape Omar Pouye, extraits du film en cours de production : "Un car rapide au MDH de Paris : un chef d'oeuvre d'art populaire, un art parlant." 46 mnCes "cars rapides", au départ, ce sont des objets du Nord mis au rebut, qui ont été revendus dans les pays du Sud. Mais ils ont été réinvestis à la fois par des savoir-faire techniques, de mécanique, de débrouillardise et en même temps, réinvestis en termes d’objets esthétiques par des peintures spécifiques, mais également par toute une série de protections magiques correspondant aux cultures sénégalaises.Le commentaire des deux peintres, El Hadj Kane & Pape Omar Pouye, soukigne le caractère emblèmatique du chef d'eouvre d'art populaire qu'ils ont réalisés et leur propre fierté d'artiste.Les photos du car montrent :- des motifs ornementaux (fleurs, fruits, oiseaux), comparables à ceux que les jeunes filles éduquées par les religieuses catholiques, puis par leurs grands mères reproduisent sur des draps depuis le début du XX eme siècle- un paon échappé du palais présidentiel sénégalais, un lapin grignotant une carotte, jailli d'un abécédaire...- des évocations historiques d'opposants à la colonisation, Lath Dior sur son cheval, Cheikh Amadou Bamba priant devant une famille de djonns au Gabon, le masssacre de tirailleurs sénégalais à leur retour de guerre en 1944 à Thyaroy, l'Indépendance du Sénégal, la victoire du Sénégal sur la France en 2002, le naufrage du Diola en 2002, les "Barsa barkhat", ceux qui meurent en mer en voulant se rendre en Europe...Il ya aussi de nombreuses formules sentiencieuses, religieuses, protectrices en wolof, arabe et françaishttp://www.ambafrance-sn.org/Un-car-rapide-va-faire-son-entree-au-musee-de-l-Homme-de-Paris Mot(s) clés libre(s) : Sénégal, chef-d'œuvre, mondialisation muséologie, Musée de l'Homme, Paris, Saint Louis, transport en commun, art populaire, rebut, Saviem Goellette SG2, football, video, Dakar, récupération, histoire, peinture, Camp Thyaroue 1944
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Temps d’incertitude et résilience : les peuples autochtones face aux changements climatiques (colloque au Musée de l’Homme du 25 au 27 novembre 2015)
/ Muséum national d'Histoire naturelle
/ 01-01-2015
/ Canal-u.fr
ROUÉ Marie
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Dans le cadre de la COP 21, l’UNESCO et le Muséum national
d’Histoire naturelle organisent un évènement international à Paris du 25
au 27 novembre 2015 afin de mettre en valeur l’expérience des peuples
autochtones dans la réduction des impacts des changements climatiques.
Cette manifestation débutera par une conférence publique le 25 novembre
2015 au Musée de l’Homme, et se poursuivra par un colloque international
les 26 et 27 novembre 2015 au siège de l’UNESCO. Mot(s) clés libre(s) : biodiversité, changement climatique, incertitude, peuples autochtones, Musée de l'Homme, résilience
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RUP : Enjeux d’un dispositif de médiation culturelle en contexte carcéral : quelles situations de communication ?
/ Olivier SCHERER
/ 01-07-2016
/ Canal-u.fr
SANDRI Eva
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par Eva Sandri, Enseignante au département des Sciences du langage, Institut des Technosciences de l’Information et de la Communication, Université Paul-Valéry Montpellier 3
Cet atelier propose de caractériser un certain type de médiation à partir d’un projet de médiation mis en place en 2014 au musée Fabre de Montpellier. Le dispositif étudié est basé sur la participation volontaire de détenus de la maison d’arrêt de Villeneuve-lès-Maguelone visant à leur faire commenter plusieurs tableaux du musée. Ces commentaires sont enregistrés sur des audioguides afn de faire entendre aux visiteurs non détenus d’autres voix que celles des médiateurs habituels sur les tableaux. Ce dispositif de médiation est donc une situation de communication inédite entre pairs puisqu’une catégorie de visiteurs s’adresse à une autre et que cette catégorie n’est pas celle attendue puisque ce sont les détenus qui s’adressent aux visiteurs traditionnels. En effet, les participants produisent le contenu culturel et le transmettent à l’extérieur de la prison alors que les projets de médiation culturelle ont plutôt tendance à procéder dans le sens inverse : livres, catalogues d’exposition, flms, expositions virtuelles, vont du musée vers la prison. Mot(s) clés libre(s) : prison, musée, ressource numérique, public empêché, environnement d'apprentissage, recherche-action
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Quelques exemples de restaurations au Musée des Augustins / Charlotte Riou
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Claire SARAZIN, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 20-01-2015
/ Canal-u.fr
RIOU Charlotte
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Quelques exemples de restaurations au Musée des Augustins / Charlotte Riou, in "Comment restaurer les œuvre d'art", troisième séance du séminaire "Le passé au présent : les passeurs du patrimoine. 1 : Conservation, transmission" animée par Adeline Grand-Clément et organisée par le laboratoire Patrimoine, Littérature, Histoire (PLH) de l'Université Toulouse-Jean Jaurès, 20 janvier 2015.
Cette 3ème séance du séminaire "Le passé au présent : les passeurs du patrimoine" interroge la matérialité des œuvres d’art conservées dans les
collections et les musées et perçues comme un « patrimoine » à
préserver. L’histoire de la restauration révèle en effet que le fait
d’intervenir sur une œuvre n’est jamais neutre : les techniques
employées et les objectifs visés sont le fruit d’une époque. Ils
témoignent d’un certain regard porté sur le passé. Mot(s) clés libre(s) : restauration et conservation du patrimoine, Musée des Augustins (Toulouse), sculpture médiévale, statues en plâtre, statues en calcaire
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Quelles représentations se fait le public du Musée de l'Air et de l'Espace
/ 10-04-2015
/ Canal-u.fr
LEBERRE Catherine
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Chaque année, une journée d’études est organisée lors du Carrefour de
l’Air au Musée de l'air et de l'Espace, pour étudier les questions
relatives à la conservation, la restauration et la mise en valeur du patrimoine
aéronautique. Elles ne peuvent trouver leur pertinence que par des croisements
de regards avec des collections d’un autre type, avec des spécialistes d’autres
disciplines. Cette journée s’adresse à tous ceux qui sont impliqués dans la
conservation du patrimoine aéronautique : musées, associations, particuliers,…
La journée d’études « collecter, conserver et restaurer le patrimoine
aéronautique » avait pour thème 2015 : Histoire, mémoire,
représentations et collections dans les musées d’histoire et de techniques.
Un musée, avant d’être une structure administrative ou un bâtiment est avant
tout une collection suivant les termes de la loi de 2002 qui fixe le cadre
d’existence et de fonctionnement des « musées de France » : le musée conserve,
restaure, étudie et présente au public les collections qu’il détient. Le
responsable de collections porte-t-il le même regard sur les oeuvres et les
objets que les spécialistes de la médiation culturelle ou du service des
publics ?
Que vient chercher et voir le visiteur ? Au-delà de l’oeuvre ou de l’objet
présenté, il y a aussi le contexte social, mental du visiteur et du
professionnel de musée. Que donne-t-on à voir aux visiteurs ? Les regards se
croisent mais voient-ils la même chose ?
Cette journée d’études est centrée sur les questions de l’histoire des
représentations et des mentalités autour des collections techniques et
scientifiques. Les premières communications ont pour but de placer le cadre
général de la réflexion. Dans une seconde partie, des responsables de
collections, dans des interventions courtes, placeront cette question des
représentations au niveau des collections que ce soit au musée de l’Air et de
l’Espace ou dans d’autres institutions. Mot(s) clés libre(s) : marketing, musée, réputation
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L’évolution des grands singes, qu’apprenons-nous encore aujourd’hui ?
/ Muséum national d'Histoire naturelle
/ 01-01-2014
/ Canal-u.fr
MONCHICOURT Marie-Odile, SENUT Brigitte, SEGALEN Loïc, NARAT Victor, GARCIA Miguel, BALZEAU Antoine
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Les chercheurs du Muséum national d'Histoire naturelle nous présentent l'état des connaissances actuelles sur les spécificités des origines humaines en lien avec les celles des grands singes, en replaçant les individus dans leur environnement. Les méthodes d'imagerie appliquées aux collections paléoanthropologique permettent d'affiner les recherches.
Visualisation en 3D de la collection des crânes de grands singes.
Séance traduite en langue des signes (LSF). Mot(s) clés libre(s) : évolution, paléoanthropologie, grands singes, Muséum national d'histoire naturelle, Musée de l'Homme, scan
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Les images au risque du musée
/ 10-06-2013
/ Canal-u.fr
POMIAN Krzysztof
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Toutes les images fixes en deux ou en trois dimensions ont été faites, jusqu’il y a peu, pour des lieux autres que le musée : pour les palais, les églises, les places publiques, les intérieurs bourgeois, les albums privés. Leur passage de leurs lieux d’origine au musée n’a jamais été indolore. Son déroulement dépend, certes, des époques où il eut lieu, du type et du statut des images concernées, des forces sociales qui l’ont mis en marche et des croyances collectives qui l’ont motivé. Mais il s’accompagnait toujours d’une rupture : d’un abandon consécutif au rejet de la religion ou de l’idéologie jusqu’alors dominante, d’une expropriation suite au changement de régime politique, d’une séparation imposée par des contraintes économiques. Et il entraînait un déplacement et un renouvellement de signification. La conférence proposera d’étudier plusieurs exemples issus de différentes périodes et pays et évoquera le cas récent des images faites à destination du musée. Mot(s) clés libre(s) : musée
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