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Taille-Vent, le pétrel des montagnes
/ Emmanuel PONS, Serge MONTAGNAN
/ Canal-u.fr
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La Réunion est la seule île au monde à abriter deux espèces de pétrels strictement endémiques. Comme dans de nombreuses îles, un grand nombre d’espèces sont en danger d’extinction, d’autres ont déjà disparu.
Le pétrel de Barau (Pterodroma baraui) est un emblème de la valeur exceptionnelle de la biodiversité réunionnaise. Cet oiseau marin est soumis à des pressions importantes d’origines humaines, principalement la prédation par les prédateurs introduits et la pollution lumineuse des villes. Il est malheureusement classé en danger d’extinction sur la liste rouge de l’UICN.
Les pétrels de Barau nichent dans les plus hautes montagnes de l’île, et c’est à plus de 2600 m d’altitude, dans des falaises presque inaccessibles, que les chercheurs du laboratoire ECOMAR de l’Université de La Réunion vont, saison après saison, étudier ce pétrel peu connu afin de comprendre sa biologie et percer le mystère de son écologie en mer.
Maintenant inscrit sur la liste des Biens du Patrimoine mondial de l’UNESCO, le Parc National de La Réunion s’engage aussi bien localement qu’internationalement pour protéger cette espèce exceptionnelle. C’est donc grâce à une étroite collaboration avec l’Université de La Réunion et la SEOR que des actions de conservation d’envergures sont menées à l’échelle de l’île, pour enrayer la disparation programmée des pétrels de Barau. Mot(s) clés libre(s) : biologie marine, Taille-vent, Grand Bénard, SEOR, espèce endémique, Observation des oiseaux, pollution lumineuse, Pétrels, île de La Réunion, espèces menacées, ECOMAR
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Le Soleil sous toutes ses faces : apport des observations multi-satellitaires (IAP)
/ Jean MOUETTE, Marcel LECAUDEY, Loïc QUENTIN, CERIMES Centre de ressources et d'information sur les multimédias pour l'enseignement supérieur, Institut d'Astrophysique de Paris
/ 07-10-2014
/ Canal-u.fr
VILMER Nicole
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Conférence de l'Institut d'Astrophysique de Paris présentée par Nicole Vilmer, astrophysicienne au
Laboratoire d'études spatiales et d'instrumentation en astrophysique
(LESIA) de l'Observatoire Paris, le 7 octobre 2014 à l'IAP.« Le Soleil sous toutes ses faces : apport des observations multi-satellitaires »Le Soleil est l'étoile la plus proche de la Terre,
sans doute la plus observée et ceci depuis plusieurs siècles. Pourtant,
certains aspects de son comportement sont encore mal compris et
demeurent l'objet de recherches très actives pour les physiciens Mot(s) clés libre(s) : observation du soleil
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La cosmologie moderne : les nouveaux outils d'observation de l'univers
/ Mission 2000 en France
/ 02-07-2000
/ Canal-U - OAI Archive
VIGROUX Laurent
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La nuit semble être noire. Il n'en est rien. L'univers baigne dans un rayonnement aux multiples origines. Dès le 17e siècle, le physicien Olberg montre tout le parti pouvant être tiré de la brillance du ciel. Si l'univers était uniforme et infini, la brillance du ciel due à la superposition de l'émission de toutes les sources qui le composent, devrait être infinie. Le fait qu'elle ne le soit pas, montre que l'univers n'est ni uniforme, ni infini. Il faut attendre le début du XXe siècle pour comprendre les implications profondes du paradoxe de Olberg. Grâce aux observatoires spatiaux, les astrophysiciens modernes élargissent leur champ d'investigation à tout le domaine du rayonnement électromagnétique. Les satellites américains permettent d'achever la mesure complète du spectre du rayonnement présent dans l'univers. Ces observatoires permettent également d'identifier les origines de ce rayonnement. Le recensement de l'univers est en passe d'être achevé. C'est en soi un résultat spectaculaire, qui marque la fin d'une recherche qui a commencé il y a plus de deux mille ans. Les résultats obtenus montrent que comme l'a supposé Olberg, l'univers n'est ni uniforme, ni infini, mais qu'en plus lui et ses constituants ont évolué très fortement depuis leur origine. La prochaine génération de télescopes, au sol, et dans l'espace va s'attaquer à la compréhension de cette évolution. Mais l'univers n'est pas fait que de rayonnement. Il contient aussi des particules. Depuis les années 1930 on sait que plus de 90% de cette matière échappe à la détection. Des recherches sont activement poursuivies par les astrophysiciens et les physiciens des particules pour élucider ce problème. Par contre des progrès spectaculaires ont été très récemment obtenus sur la répartition de cette matière dans l'univers, en utilisant la propriété de déflexion de la lumière par une masse gravitationnelle prédite par la relativité générale d'Einstein. L'univers lointain nous apparaît déformé car la lumière émise par les galaxies lointaines ne se propage pas en ligne droite. Son parcours s'infléchit en passant à proximité de masses importantes. Les astrophysiciens ont mis au point des techniques permettant de calculer ces déformations, et donc de calculer la distribution de la matière noire responsable de ces déformations. C'est un domaine en plein développement. Mot(s) clés libre(s) : astronomie extragalactique, astrophysique, Big Bang, cosmologie, fond diffus cosmologique, galaxie, infrarouge, observation du ciel, radioastronomie, rayon cosmique, rayonnement électromagnétique, rayonnement fossile, télescope, univers
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Les planètes extrasolaires
/ Mission 2000 en France
/ 12-07-2000
/ Canal-U - OAI Archive
VIDAL-MADJAR Alfred
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Depuis quelques années de nouvelles planètes ont été découvertes autour d'étoiles proches du système solaire. Elles présentent de nombreuses surprises et en particulier, elles ne sont pas du tout à l'endroit où nous les attendions. La conférence fera le point sur ces découvertes, et donnera quelques conséquences éventuelles sur la possibilité de trouver la vie ailleurs dans l'univers. Le rôle du temps sera tout particulièrement souligné. Mot(s) clés libre(s) : astrophysique, Big Bang, cosmologie, étoile, galaxie, observation astronomique, physique stellaire, planète, planétologie, soleil, système planétaire, système solaire, Terre, univers, vie extraterrestre
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Qu'est-ce qu'une étoile ?
/ Mission 2000 en France
/ 11-07-2000
/ Canal-U - OAI Archive
VAUCLAIR Sylvie
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"Depuis l'aube des temps les hommes regardent le ciel et étudient le mouvement de ces points brillants que sont les étoiles sur la "" sphère céleste "" : ils les ont regroupées en constellations et ils ont projeté vers elles leurs mythes terrestres. Ce n'est qu'au cours du XXe siècle cependant que la structure, la composition et l'évolution des étoiles ont pu être intimement dévoilées et comprises. Il fallait auparavant découvrir l'énergie nucléaire, qui les nourrit et leur permet de survivre pendant des milliards d'années, ainsi que tous les outils de la physique contemporaine. L'avènement des premiers ordinateurs était nécessaire pour permettre la résolution des équations qui gouvernent leur structure interne. Au delà de leur intimité, les étoiles nous ont révélé leur importance fondamentale dans l'Univers : moteurs de l'évolution du monde, nous leur devons la formation de presque tous les éléments qui composent la matière qui nous entourent et dont nous-mêmes sommes constitués. En cette fin de siècle, la connaissance de ces fascinants objets célestes atteint une apothéose, grâce à la découverte et à l'étude de leur vibrations : une nouvelle science est née, appelée "" heliosismologie "" pour le Soleil et "" astérosismologie "" pour les autres étoiles. Le XXIe siècle s'annonce prometteur dans cette nouvelle approche de nos origines ! " Mot(s) clés libre(s) : astérosismologie, astre, astrophysique, cosmologie, équilibre hydrostatique, étoile, héliosismologie, objet céleste, observation du ciel, oscillation stellaire, physique stellaire, planète, rayonnement, soleil, structure d’une étoile, système solaire, ter
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Déforestation et nouveaux systèmes de production au Guatemala, analyse par télédétection
/ Yves LACOSTE, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 20-03-2008
/ Canal-U - OAI Archive
SELLERON Gilles, VIDAL Franck
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La région du Petén au Guatemala était occupée par la civilisation Maya jusqu’au Xe siècle de notre ère. Défrichant les forêts, installant un intense réseau de communication et d’implantations agricoles et urbaines, les mayas ont profondément transformé les paysages guatémaltèques. Puis, la forêt naturelle a repris ses droits jusqu’au milieu du XXe siècle où, depuis les années 1960 de nouvelles vagues de colonisation du Petén s’enfoncent dans les espaces naturels. A l’aide d’images de télédétection de 1987 à 2003 (photographies aériennes et images satellitaires) et de techniques d’analyses numériques il est possible de reconstituer les formes et les types de fronts pionniers qui annoncent, à moyen terme, la probable disparition complète de la forêt dans cette région d’Amérique Centrale. Mot(s) clés libre(s) : cartographie forestière, colonisation intérieure (Guatemala), déboisement (Petén ; Guatemala), évaluation du risque, observation (méthode scientifique), télédétection
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La palette des grands équipements d'observations en astrophysique
/ UTLS - la suite
/ 18-07-2001
/ Canal-U - OAI Archive
ROUAN Daniel
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Les regards neufs de l'astrophysicien : grands équipements et moyens nouveaux de l'astronomie Cantonné au seul domaine de la lumière visible pendant des siècles, le regard que l'astronome a posé sur l'Univers s'est aiguisé essentiellement en augmentant la taille des télescopes pour voir toujours plus loin. Puis arrive au vingtième siècle le spectrographe qui permet d'analyser cette lumière en la décomposant pour en déduire la teneur et les propriétés physiques des astres qui l'émettent. Jusqu'au milieu de ce siècle, c'est cette combinaison d'outils relativement simples qui permet d'avancer dans notre connaissance de l'Univers, à grands pas cependant, tant la lumière est porteuse d'une information riche. Aujourd'hui la palette des moyens d'investigation de l'astrophysicien s'est considérablement enrichie et permet de percevoir la musique des sphères sur une gamme devenue immense. Cette gamme, c'est en fait celle du rayonnement électromagnétique qui comprend, outre le modeste octave de la lumière visible, des dizaines d'octaves de rayonnements d'autre nature : ceux des domaines de la radio, des micro-ondes, de l'infrarouge, de l'ultraviolet, des rayonnements X et gamma. Avec l'entrée dans l'ère spatiale et l'évasion hors de l'atmosphère - le plus souvent un écran opaque à ces émissions -, d'immenses fenêtres se sont ainsi ouvertes au chercheur pour appréhender l'Univers autrement : des voiles sombres de poussières deviennent transparents, l'émission ténue de gigantesques bulles de gaz dilué est captée, des densités inouïes d'énergie ou de matière se divulguent, des températures glaciales ou infernales sont mesurées, des masses colossales de matière invisible sont traquées. Toujours habité par le désir de voir mieux et plus loin, l'astrophysicien demande aux ingénieurs de le doter d'yeux toujours plus grands, plus sensibles, plus perçants. Ces nouvelles machines, parfois coûteuses mais aux performances remarquables, remplissent effectivement leurs promesses comme le témoigne le rythme des découvertes dont les journaux nous informent presque quotidiennement. C'est ce panorama des moyens les plus récents dont s'est dotée l'astronomie moderne qui sera balayé, en évoquant les nouveaux télescopes géants et leur instrumentation, ainsi que les récepteurs et les télescopes propres à tous ces autres domaines du spectre électromagnétique qui ont commencé à être explorés, depuis la radio jusqu'aux rayons gamma. On essaiera de montrer l'apport unique de ces domaines nouveaux dans la compréhension des astres. On montrera aussi que l'Astronomie, gourmande de performances extrêmes pour ses instruments, est également un moteur du progrès technique en exigeant toujours plus : les caméras infrarouges, l'optique adaptative sont des exemples où s'est fait cet échange avec la recherche plus appliquée, pour le profit de tous. Mot(s) clés libre(s) : astre, astronomie, astrophysique, infrarouge, objet céleste, observation, optique adaptative, rayonnement électromagnétique, rayons X, télescope, univers
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Observation et cosmologie
/ UTLS au lycée, UTLS - la suite
/ 19-07-2001
/ Canal-U - OAI Archive
PUGET Jean Loup
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La cosmologie occupe dans les sciences observationnelles une place particulière. Elle se trouve en effet à la frontière entre physique fondamentale et astrophysique aussi bien par les questions auxquelles elle essaie de répondre que par son mode de relation entre théorie et observations. Les grandes questions sur la géométrie de l'univers, son histoire, son contenu ou sa dynamique ont été posées dés le début du vingtième siècle juste après la mise au point de la relativité générale comme théorie de la gravitation. L'histoire de la cosmologie est pavée depuis près d'un siècle par des prédictions très précises et souvent basées sur des considérations de physique fondamentale ou la philosophie n'était pas absente (si on pense en particulier à l'origine de l'inertie et au principe de Mach). Certaines de ses prédictions allaient même à l'encontre des premières observations comme le principe cosmologique supposant que l'univers est homogène a grande échelle. Il est frappant que beaucoup de ces prédictions, qui étaient pour certaines très difficile à tester, soient en passe d'être vérifiées. L'astrophysique, comme les sciences de la Terre, se heurte à une difficulté essentielle : la physico-chimie des objets étudiés est en général complexe et les prédictions liées à un modèle particulier ne peuvent être testées qu'avec une précision médiocre liée aux limitations évidentes de ces modèles eux même. Par contre en cosmologie, certaines prédictions peuvent être mesurées avec une précision qui les rapproche plus des expériences de physique fondamentale. L'exemple le plus spectaculaire est certainement le caractère Planckien du rayonnement cosmologique découvert par Penzias et Wilson et vérifié par le satellite COBE. L'histoire de cette prédiction née dans les années 40 de déductions hardies basées sur la physique nucléaire et finalement vérifiée dans les années 90 est un des meilleurs exemples. Il n'est pas le seul ; l'histoire de la constante cosmologique, celle de la matière noire ou surtout de la géométrie de l'Univers sont tout aussi passionnantes. Le caractère Euclidien ou non de la géométrie de notre univers est une de ces questions qu'il est difficile d'attacher à une seule discipline. Elle vient dans les dernières années d'entrer de plein pied dans la science expérimentale. Les moyens observationnels spatiaux liés à des progrès technologiques très pointus sur les détecteurs ont permis une part importante de ces vérifications spectaculaires. On retracera leur histoire durant le vingtième siècle. Mot(s) clés libre(s) : astrophysique, cosmologie, courbure, étoile, expansion de l'univers, fond diffus cosmologique, galaxie, géométrie de l'univers, matière noire, modèle cosmologique, observation de l'espace, principe cosmologique, rayonnement électromagnétique, relativité g
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La planète Mars photographiée depuis la Terre, à l'heure de l'exploration spatiale
/ 09-03-2013
/ Canal-u.fr
PELLIER Christophe
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Alors que Mars est sous surveillance constante des sondes
spatiales, on peut se demander quel est encore l'intérêt de l'observer depuis
la Terre. Mais si la science se réalise effectivement mieux depuis la proche
banlieue de la planète rouge, l'observateur terrestre dispose aujourd'hui de
moyens photographiques très performants qui lui autorisent des vues détaillées
de la planète.
Ainsi,
tempêtes de poussières, nuages orographiques au-dessus des anciens volcans,
sublimation des calottes polaires, sont autant de phénomènes passionnants à
suivre et que l'on peut admirer depuis la Terre, que ce soit grâce aux images
du télescope spatial Hubble ou bien à celles que prend l'amateur au fond de son
jardin avec son propre télescope et les moyens informatiques modernes... Mot(s) clés libre(s) : Mars, astronomie, planète, observation astronomique, photographies spatiales, observation de l'espace
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Repérer et observer
/ Observatoire de Paris
/ 02-09-2008
/ Unisciel
Mosser Benoît
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sous-chapitre du cours "Fenêtres sur l'Univers"
L'astronomie s'intéresse au repérage des objets. Ce repérage dépend intimement du lieu d'observation, et son interprétation nécessite le plus souvent un changement de référentiel. Mot(s) clés libre(s) : astronomie, temps, distance, mesure, triangulation, échelle des distances, référentiel, observation, temps sidéral
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