|
|<
<< Page précédente
1
Page suivante >>
>|
|
documents par page
|
Tri :
Date
Editeur
Auteur
Titre
|
|
Organisation familiale et forme sociale de production en agriculture (thème 1) : synthèse des ateliers
/ Bruno BASTARD, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Université Toulouse II-Le Mirail
/ Canal-u.fr
Voir le résumé
Voir le résumé
Organisation familiale et forme sociale de production en
agriculture (thème 1) : synthèse des ateliers. In colloque « Genre
et agriculture familiale et paysanne. Regards Nord-Sud. Débats entre mondes
académique, du développement et de la formation », organisé par
le Laboratoire Dynamiques
Rurales (Université Toulouse II), l’École Nationale de Formation
Agronomique (ENFA) de Toulouse-Auzeville,
le laboratoire Environnement,
Ville, Société de l'Université de Lyon 3 et l'Association Genre en Action.
Université Toulouse II-Le Mirail, 22-24 mai 2012.Le colloque « Genre et agriculture familiale et paysanne » propose une lecture sociale et culturelle genrée des évolutions des mondes agricoles des Nords et des Suds confrontés à un certain nombre de difficultés et d’impasses. Le colloque tente de montrer comment la lecture des rapports de genre en agriculture éclaire des expériences nouvelles d’ordre organisationnel, mais aussi de manières de produire, de choix productifs, de rapports aux territoires. Il propose une interrogation spécifique sur les liens entre agriculture, développement, environnement en mobilisant les outils spécifiques des rapports de genre. Ces grandes questions interrogent tant le monde académique que celui du développement et correspondent à des enjeux de sociétés majeurs. Le pari est que l’université, à l’occasion de ce colloque, crée les conditions d’un dialogue entre chercheurs, experts et acteurs de terrain. Cette méthodologie de construction d’un dialogue recherche/ formation/ développement en lien avec l’expression d’une grande diversité d’acteurs à l’occasion du colloque est une manière pour l’université et la recherche d’instaurer une proxémie mettant en action de nouveaux objets, de nouveaux questionnements et de nouvelles méthodes. Ce colloque répond ainsi à la demande faite à la recherche de se rapprocher du monde professionnel, en se mettant à l’écoute des innovations et des acteurs et actrices des mondes ruraux.Les communications portent autour de quatre thèmes : - Thème 1 : Organisations familiales et formes sociales de production en agriculture,- Thème 2 : Genre et gestion sociale des ressources, - Thème 3 : Les inégalités de genre dans la définition et l’impact des politiques agricoles et environnementales, - Thème 4 : hommes et des femmes dans les systèmes alimentaires territorialisés. Mot(s) clés libre(s) : systèmes coopératifs, femmes dans le développement rural, rapports sociaux de sexe (genre), enseignement agricole (formation continue), production agricole familiale, agricultrices, femmes en agriculture, inégalités hommes-femmes, production agricole, aide au développement économique et social
|
Accéder à la ressource
|
|
Violaine Sebillotte-Cuchet
/ Claude (CNRS Images) DELHAYE
/ Canal-u.fr
Voir le résumé
Voir le résumé
Historienne, Université Paris 1 Panthéon SorbonneViolaine Sebillotte Cuchet, professeure d'histoire ancienne à l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, est spécialiste du monde grec antique des périodes archaïque et classique (8ème avant J-C. - 4ème avant J-C.). Elle s'intéresse particulièrement à la question du genre en analysant les discours et pratiques de cette époque qui renseignent sur le sens que les Anciens donnaient à la différence des sexes. Elle a étudié précisément le cas d'Artémise d'Halicarnasse, femme guerrière, "bête noire" des Athéniens.Elle explique ses méthodes de travail qui consistent à étudier en bibliothèque les textes édités mais également à analyser les images et inscriptions sur les objets, monuments et stèles en se rendant dans les musées ou sur les chantiers de fouilles. Elle parle également de ses fonctions d'enseignante.Tous les portraits d'enseignants-chercheurs Mot(s) clés libre(s) : Grèce antique, différences entre sexe, rapports sociaux de sexe (genre)
|
Accéder à la ressource
|
|
"Corps, Travail et Genre"
1ère partie
/ Thomas GUIFFARD
/ 16-12-2015
/ Canal-u.fr
RIVOAL Haude, JACQUELIN Anne, MORENO PESTANA José Luis
Voir le résumé
Voir le résumé
Qu’il soit biologique ou social, physique ou politique, réel ou fantasmé, le mot de « corps » est polysémique. Il renvoie à de nombreux domaines de recherches comme la science, l’histoire, la sociologie ou encore la philosophie.
Corps sublimés, corps blessés, corps niés ou corps remaniés, nous ne pouvons réfuter l’importance des pratiques corporelles dans l’analyse du travail. Le corps utilisé comme « outil » n’échappe pas à une construction symbolique ou culturelle conduisant et dirigeant l’action. Les discours biologisants ont relayé une certaine idée des corps masculins et féminin qui n’est pas sans lien avec la construction des rapports sociaux de sexe, allant à l’encontre d’une illusion de libération des contraintes à l’oeuvre. Aujourd’hui encore, on questionne la libération du corps des femmes à travers le voile ou l’IVG alors que le corps des hommes n’en est pas moins soumis à un idéal de masculinité virile.
Mais au-delà de leur matérialité, les corps féminins et masculins ont une histoire : ils sont liés à des enjeux politiques, économiques et sociaux qui nous obligent à penser la dimension du genre dans l’analyse du corps au travail et du travail du corps. Celui-ci n’échappe pas à des formes d’intériorisation des normes sociales liées, entre autres, au genre.
Quel est le traitement réservé au corps par le travail ? Comment celui-ci s’adapte-t-il aux contraintes sociales ou aux contraintes de genre qui lui sont associées ?
Lors de cette journée d’étude, les intervenants sont invités à enrichir le débat en croisant à la fois la question des corps, du genre et du travail.
Si beaucoup de travaux ont pu se pencher sur le corps féminin au travail (la manière dont il est façonné, utilisé, abîmé), il est également intéressant de s’interroger sur le corps masculin au prisme des injonctions à la virilité : conduite de dépense, importance de la force, etc. seront autant de pistes de réflexions développées. Les interventions seront étendues aux croisements classe, race et genre.
Accueil par Anne Jacquelin & Haude Rivoal, doctorantes en sociologie (CRESPPA-GTM)
Introduction par Jose Luis Moreno Pestaña, professeur de philosphie (Université de Cadiz)
La valorisation du corps sur le marché de travail -morphologie, allure...- a été théorisée comme une
forme de capital, en l’occurence comme un capital érotique. Ces exigences de transformation du corps
selon les formes de beauté “légitimes” dominantes, sont plus présentes dans les métiers féminisés.
Dans notre approche, nous établissons des liens entre ces exigences de valorisation du corps et les troubles
alimentaires : ceux-ci permettent d’analyser certains traits structurels du capital érotique au travail. Mot(s) clés libre(s) : rapports sociaux de sexe (genre), corps et travail
|
Accéder à la ressource
|
|
"Corps, Travail et Genre" 3ème partie
/ Thomas GUIFFARD
/ 16-12-2015
/ Canal-u.fr
LE LAY Stéphane, RENAHY Nicolas, DEJOURS Christophe, RIVOAL Haude
Voir le résumé
Voir le résumé
Qu’il soit biologique ou social, physique ou politique, réel ou fantasmé, le mot de « corps » est polysémique. Il renvoie à de nombreux domaines de recherches comme la science, l’histoire, la sociologie ou encore la philosophie.
Corps sublimés, corps blessés, corps niés ou corps remaniés, nous ne pouvons réfuter l’importance des pratiques corporelles dans l’analyse du travail. Le corps utilisé comme « outil » n’échappe pas à une construction symbolique ou culturelle conduisant et dirigeant l’action. Les discours biologisants ont relayé une certaine idée des corps masculins et féminin qui n’est pas sans lien avec la construction des rapports sociaux de sexe, allant à l’encontre d’une illusion de libération des contraintes à l’oeuvre. Aujourd’hui encore, on questionne la libération du corps des femmes à travers le voile ou l’IVG alors que le corps des hommes n’en est pas moins soumis à un idéal de masculinité virile.
Mais au-delà de leur matérialité, les corps féminins et masculins ont une histoire : ils sont liés à des enjeux politiques, économiques et sociaux qui nous obligent à penser la dimension du genre dans l’analyse du corps au travail et du travail du corps. Celui-ci n’échappe pas à des formes d’intériorisation des normes sociales liées, entre autres, au genre.
Quel est le traitement réservé au corps par le travail ? Comment celui-ci s’adapte-t-il aux contraintes sociales ou aux contraintes de genre qui lui sont associées ?
Lors de cette journée d’étude, les intervenants sont invités à enrichir le débat en croisant à la fois la question des corps, du genre et du travail.
Si beaucoup de travaux ont pu se pencher sur le corps féminin au travail (la manière dont il est façonné, utilisé, abîmé), il est également intéressant de s’interroger sur le corps masculin au prisme des injonctions à la virilité : conduite de dépense, importance de la force, etc. seront autant de pistes de réflexions développées. Les interventions seront étendues aux croisements classe, race et genre.
Séance présidée par Haude Rivoal, doctorante en sociologie au CRESPPA-GTM et discutée par Nicolas Renahy, directeur de recherches en sociologie au CESAER
“Corps, travail et genre en psychodynamique du travail”
Christophe Dejours, professeur titualaire de la chaire de Psychanalyse-Santé-Travail au CNAM.
L’introduction du genre dans la théorie psychanalytique de la sexualité par Laplanche sera au départ de la
présentation. Mis à l’épreuve de la clinique du travail, le concept d’assignation dégagé par Laplanche peut
être étendu aux catégories de classe, genre, race. L’identité subjective qui se constitue dans l’enfance en
réponse à l’assignation peut être remaniée par l’expérience du travail. Si les tâches sont genrées par la division
sociale du travail, l’intelligence requise pour les accomplir ne semble pas l’être : l’intelligence au travail
mobilise en effet dans le corps des propriétés qui semblent échapper aux différences de sexe et de
genre. Le travail de production (poièsis) exige pourtant, dans l’ombre, un autre travail de soi sur soi (Arbeit)
qui se traduit par des remaniements du corps subjectif. Ces derniers sont parfois une ressource
pour remettre en cause la domination de genre, tant dans la vie sociale que dans l’économie amoureuse.
« Le corps en-jeu-x »
Stéphane Le Lay, sociologue associé à l’équipe “psychodynamique du travail et de l’action” - CNAM-Paris 5
L’observation attentive des transformations intervenues depuis plusieurs années dans divers champs professionnels
amène à poser sans relâche la question de la place du corps dans l’organisation du travail.
Le corps est un enjeu de pouvoir, on le sait depuis longtemps, puisqu’il est ce sans quoi aucun travail
ne saurait être engagé, aucune production réalisée, aucun capital – économique, culturel, social
– accumulé, pour soi ou par autrui. Le corps est « outillé » par nos dispositions sociales. Mais il est également
« instrumentalisé » par le jeu des rapports sociaux interpénétrés qui forment une configuration sociale
donnée. Or, quoi de mieux que le jeu pour le travail d’incorporation ? Jouer pour développer ses dispositions.
Jouer pour s’incorporer à l’organisation du travail. Jouer pour tenter de s’en arracher, et souffler un peu. Mot(s) clés libre(s) : rapports sociaux de sexe (genre), corps et travail
|
Accéder à la ressource
|
|
"Corps, Travail et Genre" 2ème partie
/ Thomas GUIFFARD
/ 16-12-2015
/ Canal-u.fr
GUICHARD-CLAUDIC Yvonne, PAÏVA Michèle, BERCOT Régine
Voir le résumé
Voir le résumé
Qu’il soit biologique ou social, physique ou politique, réel ou fantasmé, le mot de « corps » est polysémique. Il renvoie à de nombreux domaines de recherches comme la science, l’histoire, la sociologie ou encore la philosophie.
Corps sublimés, corps blessés, corps niés ou corps remaniés, nous ne pouvons réfuter l’importance des pratiques corporelles dans l’analyse du travail. Le corps utilisé comme « outil » n’échappe pas à une construction symbolique ou culturelle conduisant et dirigeant l’action. Les discours biologisants ont relayé une certaine idée des corps masculins et féminin qui n’est pas sans lien avec la construction des rapports sociaux de sexe, allant à l’encontre d’une illusion de libération des contraintes à l’oeuvre. Aujourd’hui encore, on questionne la libération du corps des femmes à travers le voile ou l’IVG alors que le corps des hommes n’en est pas moins soumis à un idéal de masculinité virile.
Mais au-delà de leur matérialité, les corps féminins et masculins ont une histoire : ils sont liés à des enjeux politiques, économiques et sociaux qui nous obligent à penser la dimension du genre dans l’analyse du corps au travail et du travail du corps. Celui-ci n’échappe pas à des formes d’intériorisation des normes sociales liées, entre autres, au genre.
Quel est le traitement réservé au corps par le travail ? Comment celui-ci s’adapte-t-il aux contraintes sociales ou aux contraintes de genre qui lui sont associées ?
Lors de cette journée d’étude, les intervenants sont invités à enrichir le débat en croisant à la fois la question des corps, du genre et du travail.
Si beaucoup de travaux ont pu se pencher sur le corps féminin au travail (la manière dont il est façonné, utilisé, abîmé), il est également intéressant de s’interroger sur le corps masculin au prisme des injonctions à la virilité : conduite de dépense, importance de la force, etc. seront autant de pistes de réflexions développées. Les interventions seront étendues aux croisements classe, race et genre.
Session 1: Séance présidée par Anne Jacquelin, doctorante en sociologie au CRESPPA-GTM et discutée par Régine Bercot, Professeure à Université Paris 8, UFR Philosophie-SHS, et chercheure du CRESPPA UMR 7217 - Genre, Travail, Mobilités
Ce que l’anatomie-politique des corps cancéreux donne à voir du travail des femmes.
Michelle Paiva, doctorante en sociologie (CRESPPA-GTM)
Le cancer est une maladie chronique et la première cause de mortalité en France. Le poumon est en tête de
liste des tumeurs les plus meurtrières : 21 326 décès chez les hommes et 8 623 décès chez les femmes
(INCa, 2015). Par ailleurs, les études sur les inégalités sociales de santé constatent le désavantage des ouvriers
par rapport aux cadres face au cancer, conséquence de l’inégale sollicitation de leur corps au travail.
Or, que se passe-t-il si, au-delà de la position sociale, on s’intéressait à la relation entre genre et cancer ?
Alors que le cancer ronge indistinctement des corps d’hommes et de femmes, le statut qu’on lui accorde
semble cependant respecter des logiques genrées. Dans cette communication, nous allons tenter de montrer
que si la relation entre le travail réalisé par les hommes et leur cancer est difficile à établir, pour les
femmes, elle demeure souvent impensée. À partir de l’exemple du cancer du poumon et du cancer du sein,
nous allons tenter d’illustrer le fait que la distinction des organes atteints par le cancer, suit une anatomie aussi
biologique que politique, dans laquelle l’(in)visibilité du travail des femmes représente un enjeu majeur.
Le corps féminin à l’épreuve du travail en mer
Yvonne Guichard-Claudic, Maîtresse de conférence en sociologie à l’Université de Brest
La profession de marin est traditionnellement considérée comme masculine et le groupe professionnel s’est
historiquement construit comme sexué. Les différences physiologiques entre hommes et femmes et surtout les
représentations qui leur sont associées ont longtemps conduit à considérer la féminisation de cette profession
comme impensable. Désormais, cette féminisation varie selon les métiers mais l’hégémonie masculine reste très
marquée. Comment dès lors, les femmes « font-elles avec » un corps souvent considéré comme un frein ou un
obstacle à leur intégration professionnelle ? On abordera ici la question de la force physique, et de l’adoption
ou non des manières de faire masculines. On évoquera la neutralisation du corps sexué dans un espace restreint
où femmes et hommes se côtoient jour et nuit. On s’intéressera aussi au traitement juridique et institutionnel
de la grossesse et de la maternité. Au final, à travers le prisme du corps au travail, en mettant en perspective ce
qui change et ce qui résiste, on se demandera dans quelle mesure cette féminisation affecte l’ordre de genre. Mot(s) clés libre(s) : rapports sociaux de sexe (genre), corps et travail
|
Accéder à la ressource
|
|
Les excès du genre : concept, image, nudité / Geneviève Fraisse
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Nathalie MICHAUD, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 04-11-2015
/ Canal-u.fr
FRAISSE Geneviève
Voir le résumé
Voir le résumé
Geneviève Fraisse, philosophe, directrice de recherche émérite au CNRS, a publié de nombreux ouvrages relatifs à la généalogie de la pensée
féministe ainsi qu'à la controverse sexe/genre d'un point de vue
épistémologique et politique.
Avec "Les Excès du genre" (éd. Lignes, 2014), Geneviève Fraisse offre une perspective sur la
polémique sexe/genre, la critique des stéréotypes et l'usage de la
nudité en politique. Avec l'oeil critique d'une chercheuse, elle privilégie résolument la généalogie de l'émancipation et l'examen de la
tradition philosophique, plutôt que la discussion sur les catégories et
les identités. Le concept de "genre", ni simple outil, ni théorie
radicale, est un pari philosophique. Philosophie pour distinguer
clairement ce qui relève d'un objet de pensée, d'un concept ou d'une
théorie. Et pour toutes disciplines, car l'enjeu est alors de comprendre
ses usages : comme un neutre, le genre, comme un pluriel, les genres
et, avec ou sans le mot "sexe" ? Aussi, ne l'oublions pas, ce mot est en
excès, car ce qu'il traite déborde l'ordre établi.
Conférence présentée à l'Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, le 4 novembre 2015. Mot(s) clés libre(s) : rapports sociaux de sexe (genre), études sur le genre, recherches en sciences humaines et féminisme, sexualité et genre, études féministes (en philosophie)
|
Accéder à la ressource
|
|
"Vers une dénaturalisation du genre, de la sexualité et de la famille ?", semi-plénière avec la participation de Louise Dejeans, Éric Fassin et Irène Théry
/ 02-07-2015
/ Canal-u.fr
FASSIN Eric, THERY Irène
Voir le résumé
Voir le résumé
Vers une dénaturalisation du genre, de la sexualité et de la famille ?
Coordination : Salima Amari (RT24, université Paris 8, CRESPPA-GTM) et Gilda Charrier (RT33, Université de Bretagne Occidentale, LABERS)
Intervenant.e.s :
- Louise Dejeans, Université Paris Descartes, CERLIS.
- Éric Fassin, Professeur, Université de Paris 8, LEGS : « Ni tout à fait la même, ni tout à fait une autre. Du PaCS au "mariage pour tous" »
- Irène Théry, directrice d’Études à l’EHESS, Centre Norbert Elias : « Les métamorphoses de l’institution de la parenté face aux deux formes de naturalisation de la famille »
Cette table ronde se propose d’interroger les conceptions de la famille aujourd’hui en France en termes de rapports sociaux de sexe et de genre à l’aune des débats publics lors du vote de la loi relative à l’ouverture du mariage aux couples de même sexe. Dans quelle mesure le débat autour du mariage pour tous remet-il en cause la place constitutive de la différence des sexes dans le fondement de la famille ? Comment une telle conception redessine-t-elle le lien entre mariage et droits reproductifs ? Il paraît pertinent de porter une attention particulière à la diversité des modèles familiaux qu’auraient révélés et ramenés sur le devant de la scène publique les débats qui ont eu lieu. Il s’agira en outre de rendre compte des types de résistance, de dérogation à la norme dominante, dont relèvent ces modèles familiaux, ainsi que de la redéfinition de la famille qu’ils impliquent. Mot(s) clés libre(s) : homosexualité, sexualité, famille, genre, rapports sociaux de sexe (genre), dénaturalisation
|
Accéder à la ressource
|
|
Mujeres campesinas en la Cuenca del rio Pixquiac, Mexico. Reflexiones desde lo local para nuevos esquemas de participacion social entre hombres y mujeres / Elsa Almeida
/ Bruno BASTARD, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 23-05-2012
/ Canal-u.fr
ALMEIDA Elsa
Voir le résumé
Voir le résumé
Mujeres campesinas en la Cuenca del rio Pixquiac, Mexico. Reflexiones desde lo local para nuevos esquemas de participacion social entre hombres y mujeres / Elsa Almeida. In
colloque « Genre
et agriculture familiale et paysanne. Regards Nord-Sud. Débats entre
mondes académique, du développement et de la formation »,
organisé par le Laboratoire Dynamiques
Rurales
(Université Toulouse II), l’École Nationale de Formation
Agronomique (ENFA)
de Toulouse-Auzeville, le laboratoire Environnement,
Ville, Société
de l'Université de Lyon 3 et l'Association Genre en Action. Université Toulouse II-Le Mirail, 22-24
mai 2012.
Le Mexique a été, au cours de ces dernières décennies, le lieu de profondes transformations rurales dans les modes de vie et en particulier dans l’accès à la propriété de la terre. En ce qui concerne la propriété sociale, l’un de ces changements est constitué par le léger progrès des femmes dans l’accès au droit à la terre face aux hommes. Toutefois, elles représentent moins de la moitié des propriétaires et ceci à cause des facteurs culturels jouant dans la distribution des biens et l’accès différencié aux chances d’emploi et de revenus entre les deux sexes ainsi que la division sexuelle du travail qui limite leur participation dans les initiatives locales de développement. Partant de deux expériences dans des ejidos paysans dans le sud-est du Mexique, cette conférence a pour objet de montrer les conséquences d’une distribution inégale de la terre dans la promotion de projets de développement avec des femmes en utilisant une analyse socio-spatiale. Mot(s) clés libre(s) : aide au développement économique régional, exploitations agricoles familiales, inégalités hommes-femmes, Mexique, propriété foncière, rapports sociaux de sexe (genre), femmes dans le développement rural
|
Accéder à la ressource
|
|
|<
<< Page précédente
1
Page suivante >>
>|
|
documents par page
|
|