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La biodiversité des sols au service de l’humanité - Ph. Lemanceau, INRA
/ Canal-u.fr
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Organisées au sein du Pavillon de la France, ces conférences TAG, courtes et dynamiques, permettent de comprendre les grands enjeux de l’innovation et de la recherche dans les domaines de l’agriculture et de l’alimentation, dans une perspective de développement durable.
Les conférenciers sont issus des grandes institutions de recherche et de formation françaises dans le domaine : universités, établissements publics de recherche, écoles et fondations.
Les thématiques abordées donnent une photographie de la contribution de la France à l’alimentation mondiale, de la gestion et la préservation des ressources naturelles, des nouveaux modèles de l’agriculture, de la sécurité alimentaire... réparties en cinq thèmes : Alimentation, Agriculture, Changement climatique, Environnement, Santé. Mot(s) clés libre(s) : microbiologie, biodiversité, sol, fertilité du sol, méthodologies de recherche
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La fonction critique
/ Canal-u.fr
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Comment, dans le monde de demain, les SHS devront- elles redéfinir leur fonction critique et leur rapport à l’idéal démocratique? Leur faudra-t-il revendiquer explicitement des visées normatives? Si oui, lesquelles, et au nom de quoi ?
How should social sciences consider their contribution to collective reflexivity?
Présidence : Eve Chiapello (sociologue, EHESS)
Avec
Wolfgang Streeck (sociologue, Cologne), Carla Hesse (historienne, Berkeley), Thomas Piketty (économiste, EHESS), Étienne Balibar (philosophe, Paris-Ouest Nanterre) Mot(s) clés libre(s) : engagement, recherche scientifique, débat critique
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La Nuit Européenne des Chercheur.e.s 2015
/ Canal-u.fr
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La Nuit Européenne des Chercheur.e.s 2015
Mot(s) clés libre(s) : recherche
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La recherche au Centre Alexandre-Koyré
/ Canal-u.fr
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Adossé au dispositif scientifique et intellectuel de l’EHESS, le
Centre Alexandre-Koyré est un laboratoire de recherche et de formation à
la recherche dont la vocation principale est d’étudier les
configurations historiquement situées dans lesquelles les objets de
« science », de « technique » ou de « médecine » se sont constitués.
Cette ambition commune se décline dans le cadre des multiples domaines de compétence des chercheurs de l’équipe.
Le Centre Alexandre-Koyré a non seulement
accompagné les dynamiques intellectuelles qui ont reconfiguré le champ
des études sur les sciences et les savoirs dans les trente dernières
années, mais en a été l'un des acteurs. Il a contribué à son
enrichissement et à sa diversification en conduisant des enquêtes sur de
nouveaux objets, en promouvant de nouvelles approches et de nouvelles
méthodologies. Une histoire sociale et culturelle, ouverte aux
développements de la sociologie et de l’anthropologie des sciences,
attentive aussi aux reconfigurations de l’ensemble des sciences
sociales, a ainsi réorganisé le périmètre de la recherche. Les
pratiques, les formes matérielles, les lieux de savoir, ont été investis
en même temps que s’élargissait l’éventail des acteurs étudiés. La
problématisation même de la notion de science a permis d’approfondir
l’historicité et le caractère situé des systèmes de connaissance.
Dans le cadre des nouvelles recompositions du
domaine qui émergent de nos jours, la recherche au sein du Centre
Alexandre-Koyré privilégie le déploiement de démarches critiques
concernant les échelles, les outils d’analyse, l’irruption des
non-humains comme objet d’étude, des renouvellements qui, tous, mettent
l’histoire des sciences et des savoirs au défi d’un retour réflexif fort
sur les enjeux historiographiques et épistémologiques de sa pratique.
La recherche au Centre Alexandre-Koyré
s’efforce d’être à la hauteur de ce défi, qu’elle n’a eu de cesse de
relever par le passé mais qui réclame aujourd’hui de nouvelles
opérations intellectuelles.
La réflexivité par l’historiographie,
que les chercheurs du Centre développent par-delà la diversité de leurs
terrains d’enquête, trouve sa matière et sa concrétisation dans les
questions que ces enquêtes permettent elles-mêmes de poser. Elles sont
liées à l’historicité des savoirs et plus généralement à l’inscription
historique des rationalités, aux échelles temporelles et spatiales, aux
choix de périodisation, au statut des matériaux mobilisés comme sources,
aux découpages des objets étudiés, aux répertoires de notions et de
catégories analytiques, etc.
L’un des grands enjeux du renouvellement du domaine concerne la question des méthodes et des échelles de l’analyse.
Les histoires transnationales des sciences y
contribuent de manière décisive. Champ épistémique dont on considère la
portée comme étant universelle, l’histoire des sciences est pourtant
souvent décrite à travers un prisme national. Sous-étudié, le rapport
entre les sciences « modernes » et le reste du monde est communément
conçu en termes d’une diffusion à partir de l’Occident ou de son pendant
agonistique. S’inscrivant dans les débats actuels autour de l’histoire
coloniale, postcoloniale et mondiale, et à la lumière du renouvellement
des objets et approches de l’histoire des sciences, ces perspectives
s’appuient sur les méthodes relationnelles mises au point depuis la
dernière décennie – histoire croisée, connectée, comparée, circulatoire…
– afin d’étudier des phénomènes dans une perspective mondiale attentive
à l’émergence poly-centrée des savoirs et savoir-faire aussi bien que
leur appropriation différenciée selon les lieux.
En outre, au-delà du choix du niveau d’analyse
auquel les enquêtes peuvent se situer, la question des échelles engage
celle des effets d’intelligibilité que produit leur variation. Au
renouveau de la biographie comme genre historiographique fait écho, dans
les recherches menées au Centre Alexandre-Koyré, un déplacement qui
consiste à examiner le biographique comme matériau et l’enquête
biographique comme mode de connaissance dans les études sur les
sciences. La prise en compte du « jeu d’échelles » invite, plus
généralement, à mettre au jour des dynamiques particulières des sciences
et des savoirs qui déclinent les approches entre le macro et le micro.
Les études sur les sciences et les savoirs sont profondément reconfigurées aussi par les approches qui privilégient la dimension visuelle et matérielle des
objets étudiés, dans le cadre d’une réflexion historiographique et de
mise à l’épreuve d’outils méthodologiques,empruntés notamment à
l’histoire des pratiques, aux media studies, à l’histoire de
l’art et du livre, ou à l’histoire culturelle. Les études visuelles et
matérielles des sciences développées au Centre impliquent une
réévaluation de ce qui « fait source » en histoire des sciences et des
savoirs, un domaine qui a longtemps privilégié l’écrit, avec une
attention particulière portée aux supports matériels, dont ceux de la
production visuelle, des techniques de fabrication, d’impression,
d’organisation et de circulation qui y sont liées, mais aussi aux enjeux
épistémiques matérialisés dans des objets et engendrés par leurs
usages.
Les humanités numériques,
enfin, sont un domaine dans lequel le Centre Alexandre-Koyré est engagé
depuis les années 1990. Les activités de recherche en la matière,
étroitement liées à l’élaboration et la mise en œuvre de plusieurs
projets numériques dans le cadre de la plateforme web
développée au sein du Centre, consistent à explorer les contraintes et
les questions méthodologiques liées à la spécificité des corpus
d’histoire des sciences, des savoirs et des techniques. Il s’agit
également, ici aussi, de produire une réflexion critique vis-à-vis des
technologies numériques, en inscrivant notamment les pratiques
numériques savantes dans une histoire longue, renvoyant de manière plus
générale aux techniques et figures de l’érudition. Il s’agit enfin, pour
le Centre Alexandre-Koyré, de travailler à l’intégration des humanités
numériques dans les dispositifs d’enseignement et de formation à la
recherche. Mot(s) clés libre(s) : recherche
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Laurence FLEURY (SEDOO-OMP) : "Les bonnes pratiques en gestion de données scientifiques vues par le SErvice de DOnnées de l'OMP"
/ Canal-u.fr
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Intervention à la journée d'étude "Données en partage : enjeux et
acteurs des données de la recherche aujourd’hui", organisée par Médiad’Oc, l’Observatoire Midi-Pyrénées et l'URFIST de Toulouse à la Maison de la Recherche et de la Valorisation de Toulouse le 15 juin 2015. Mot(s) clés libre(s) : Université fédérale Toulouse Midi-Pyrénées, Données de la recherche, Journée d'étude
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Laurence FLEURY (SEDOO-OMP), Pierre NAEGELEN (SCD-UPS) : Échanges avec le public
/ Canal-u.fr
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Interventions à la journée d'étude "Données en partage : enjeux et
acteurs des données de la recherche aujourd’hui", organisée par Médiad’Oc, l’Observatoire Midi-Pyrénées et l'URFIST de Toulouse à la Maison de la Recherche et de la Valorisation de Toulouse le 15 juin 2015. Mot(s) clés libre(s) : Université fédérale Toulouse Midi-Pyrénées, Données de la recherche, Journée d'étude
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Le Master "Histoires des sciences, technologies, sociétés"
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Les études sur les sciences et techniques ont connu de profonds
développements depuis une quarantaine d'années. Ceux-ci ont affecté la
façon dont historiens et philosophes interrogent tant la production des
savoirs que ses contextes. Ils ont conduit tant à des ouvertures
fructueuses avec les différentes formes d’histoire (sociale, culturelle,
micro-histoire, histoire globale) qu’à des rencontres avec les sciences
sociales (sociologie, anthropologie, études de genre, économie).Ce master propose une formation à l’ensemble de ces
approches. Il vise à inscrire l’étude des sciences dans une perspective
large, au croisement de l’histoire et des sciences sociales.
Il s’agit donc de penser les sciences et les
savoirs dans leurs modes d’existence sociaux et historiques, ce qui
conduit notamment à :
confronter les différentes approches des sciences.
exposer les dynamiques d’élaboration et d’usage des savoirs dans une perspective qui varie.
présenter les interrogations relatives aux
sciences et aux choix technologiques contemporains, qui constituent une
dimension essentielle du gouvernement des sociétés.
assurer aux étudiants un travail collectif sur
les sources, les méthodes et les outils de recherche, ainsi qu'un suivi
personnalisé des parcours.
La mention dispense donc des enseignements en histoire des sciences, histoire des techniques et études sociales des sciences.
Ceux-ci concernent une grande variété de domaines
(des sciences de l’homme aux mathématiques), de périodes (de l’Antiquité
au temps présent) ou de thèmes (des formes de visualisation à
l’expertise en passant par les rapports à l’économie ou au droit).
La formation associe séminaires introductifs et séminaires de recherche spécialisés. Elle comprend :
des enseignements d’histoire des sciences et des techniques par grande période historique.
des enseignements sur les différentes formes de
savoirs et de pratiques savantes – sciences formelles, sciences
physiques, sciences de la vie, médecine, sciences humaines, techniques
et technologies
des enseignements sur la place des savoirs dans
les mondialisations successives, du XVIe siècle à nos jours et sur les
traditions savantes en dehors de l’Europe.
des enseignements sur les sciences et les
techniques en société, la place des régulations économiques et
politiques, l’expertise, le débat public.
Du fait de cette diversité, la mention permet aux
étudiants de réaliser des parcours thématiques assez variés qui peuvent
porter sur une période (par exemple sur la première modernité ou le XIXe
siècle), un domaine (par exemple sur les techniques ou sur les savoirs
de la santé et de la maladie) ou sur une thématique (par exemple le
rapport entre sciences et religion).
Ces parcours ne sont en aucun cas des filières
séparées. Les étudiants peuvent les construire librement à partir de
l’ensemble des propositions d’enseignements en accord avec leur tuteur
et en conformité avec l’esprit du master de Sciences sociales de
l’EHESS.
Les unités d’enseignement (UE) offertes par la mention sont de trois types :
des UE de base, obligatoires, qui s’appuient sur
la lecture de textes fondamentaux permettant une initiation aux grandes
questions historiographiques, aux diverses méthodes d’étude des
sciences et aux grands cadres chronologiques.
des UE dites fondamentales qui introduisent à un domaine ou une thématique précis.
des séminaires de recherche, dans lesquels les
étudiants de master sont en contact avec doctorants et
enseignants-chercheurs travaillant sur un sujet d’intérêt direct pour
leur recherche, en particulier pour le mémoire de M2.
La liste des enseignements sera disponible, début octobre, sur le site du Centre Alexandre-Koyré.
Les étudiants sont encouragés à choisir au moins
une de leurs UE parmi toutes celles offertes par l’ensemble des mentions
de l’EHESS. La mention HSTS a aussi passé deux accords plus
spécifiques :
avec la mention « Santé, population, politiques
sociales » (spps) qui permet aux étudiants inscrits dans chacune des
mentions de choisir 3 ue dans l’autre.
avec le parcours « Travail, techniques et sociétés » (tts) et le parcours « Transfrontières »En savoir plus Mot(s) clés libre(s) : EHESS, master, activités d'enseignement et de recherche
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Les frontières de la justice en perspective
/ Canal-u.fr
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Table ronde Les frontières de la justice en perspective
La deuxième table ronde aborde la question plus institutionnelle des frontières de la justice en posant la question de son articulation avec les formes alternatives de traitement des litiges. Jean-Pierre Bonafé-Schmitt, à l’aide d’enquêtes en cours sur la médiation, met en évidence leurs effets concrets au niveau local. Mariana Valverde, à partir de l’exemple du droit canadien, cherchera à montrer comment y sont progressivement intégrés des principes relevant des formes de normativité des premières nations, y compris dans le droit constitutionnel. Emmanuel Dockès soulignera ensuite les limites de la notion de médiation dans le domaine du droit du travail, en montrant comment elles peuvent contribuer à reproduire ou à légitimer les rapports de force qu’elles prétendent atténuer. Dans le domaine du droit pénal international, Sandrine Lefranc décrira ensuite avec les outils des sciences sociales le « succès » de la justice restaurative dont elle propose une lecture critique.
Animateur : Jacques COMMAILLE, ENS Cachan
Espaces et frontières du droit par Mariana VALVERDE, professeur, université de Toronto
Les formes alternatives de règlement des contentieux et leurs limites par Emmanuel DOCKÈS, université de Paris Ouest Nanterre La DéfenseL’invention de nouvelles formes de justice dans le cadre du droit international : perspectives critiques sur la justice restaurative par Sandrine LEFRANC, CNRS, université Paris Ouest Nanterre La Défense
Les effets des processus de médiation par Jean-Pierre BONAFÉ-SCHMITT, CNRS, centre Max Weber, université de Lyon 2
Discutants : Claire MÉRIGONDE, directrice des services pénitentiaires et Carine DENOIT-BENTEUX, avocate Mot(s) clés libre(s) : droit pénal, sciences humaines et sociales, justice, recherche
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L’horizon planétaire
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La mondialisation aidera-t-elle les SHS à mieux se garantir contre le risque de l’ethnocentrisme ? Par ailleurs, conduira-t-elle à une forme de standardisation des modes de pensée dans ces sciences ?
How might one reconcile national-oriented types of research with a global ambition?
Présidence : Jane Burbank (historienne, New York)
Avec
Andreas Wimmer (Princeton), Marc Aymes & Larissa Zakharova (historiens, CNRS & EHESS), Sébastien Lechevalier (économiste, EHESS),Alessandro Stanziani (historien, EHESS) Mot(s) clés libre(s) : recherche scientifique, mondialisation, ethnocentrisme, standardisation
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L’orientation vers le doctorat et le recrutement des doctorants
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Table-ronde
Présentation : Alain FUCHS, Président du CNRS
Hervé BIAUSSER, Directeur de Centrale-Supélec
Christian BROSSEAU, Directeur Ecole doctorale SICMA, Université de Brest
Eric DUCEAU, Directeur scientifique, Airbus
Gérard GOVERS, Directeur Ecole Doctorale Sciences, Ingénierie et technologies, Leuven, Belgique Mot(s) clés libre(s) : recherche scientifique, doctorant, formation
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