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L'islamisme aujourd'hui - Hamit Bozarslan
/ UTLS - la suite
/ 05-10-2007
/ Canal-U - OAI Archive
BOZARSLAN Hamit
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Au tournant des années 1999-2000, un certain nombre d’ouvrages sont parus qui annonçaient la fin de l’islamisme. En France, l’un des plus marquants est celui de Gilles Kepel :
Jihad, expansion et déclin de l’islamisme (2000). La thèse de l’impasse, voire de l’échec de l’Islam politique, avancée d’abord par Olivier Roy au début des années 1990, semble trouver alors sa confirmation. En effet, on assiste à ce moment précis à un essoufflement de l’islamisme qui s’était imposé comme la syntaxe politique hégémonique au Moyen-Orient depuis la Révolution iranienne de 1979.
Cette période s’achève brutalement en 2001 avec l’entrée en scène, à l’échelle mondiale, de l’organisation Al Qaida. Se met alors en place un mode d’action qui est aujourd’hui le trait distinctif d’un nouveau radicalisme islamiste : la violence auto-sacrificielle des attentats-suicides. Les transformations survenues durant les 6 dernières années ont pu surprendre les chercheurs par leur radicalité et par leur ampleur. Je voudrais ici évoquer la façon dont elles se sont opérées, ainsi que les raisons qui peuvent expliquer ces changements. Mot(s) clés libre(s) : islam, islamisme, religion
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Interdits religieux et normes modernes.
/ Philippe KERGRAISSE, Direction de l'Image et de l'Audiovisuel de l'EHESS
/ 23-03-2015
/ Canal-u.fr
BOURMEAU Sylvain, HERMONT-BELOT Rita, ROUSSELET Kathy, BRAS Jean-Philippe
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Interdits religieux et normes modernes.
Lundi 23 mars 2015
Avec Jean-Philippe Bras (juriste, Université de Rouen), Rita Hermon-Belot (historienne, EHESS), Kathy Rousselet (politiste, CERI) et Sophie Gherardi, journaliste, Fait-religieux.com. Animé par Sylvain Bourmeau (France Culture & EHESS)
APRÈS JANVIER 2015
Assassinats de journalistes, de policiers, de citoyens juifs, marche du 11 janvier : les événements qu'a connus la France au début de cette année ont suscité un besoin d'intelligence collective. Mieux comprendre le sens de ce qui s'est passé, analyser les processus qui ont mené à la tragédie et qui, demain encore, ici ou ailleurs, pourraient à nouveau y mener : c'est devenu, pour beaucoup d'entre nous, une urgence. Parce que les sciences sociales ont une responsabilité particulière dans l'effort intellectuel qu'il faut livrer, l'EHESS organisera, en mars, un cycle de conférences-débats publiques, au cours duquel les événements de janvier seront analysés sous quatre angles complémentaires. Des sociologues, des historiens, des anthropologues et des juristes apporteront leur éclairage, parfois volontairement décalé dans le temps et l'espace, et ouvriront un débat avec des acteurs de la société civile (magistrats, enseignants, journalistes, ...) et le public. Mot(s) clés libre(s) : rapport à la religion, interdit
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Croyances et messianisme
/ Mission 2000 en France
/ 28-11-2000
/ Canal-U - OAI Archive
BIRMAN Claude
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Le messianisme est une croyance dont la compréhension suppose d'en considérer l'origine, le développement, et l'actualité. Son origine historique est un rite d'onction, c'est-à-dire l'acte de verser de l'huile sur la tête du nouveau roi, attesté dans les sociétés du Proche-Orient antique, il y a 3000 ans. Il s'apparente aux libations d'huile en général. L'huile adoucit, protège, réchauffe, nourrit, éclaire. Le roi assure la paix, la paix civile, la prospérité, la civilisation, la culture, c'est-à-dire le bien du peuple qui lui confie le pouvoir. Repris par les Hébreux ( I Samuel 2,35), ce rite est sublimé par le monothéisme : l'onction du roi d'Israël par le dieu d'Israëll ne concerne plus le seul bien d'un peuple particulier, mais, par la conservation du peuple de l'Alliance du Sinaï, la présence au monde d'un message de paix à toute l'humanité. C'est en ce sens que les prophètes bibliques l'ont compris, associant toujours l'espoir d'un nécessaire renouveau d'Israël, après ses désastres nationaux, avec l'exigence d'une paix mondiale et d'une unification fraternelle des hommes. Cet esprit d'universalité, développé et cultivé depuis 2000 ans par le Judaïsme, le Christianisme et l'Islam, non sans consonances avec nombre d'autres spiritualités, est sans doute aujourd'hui celui de la Charte des Nations-Unies. Mot(s) clés libre(s) : Bible, messianisme, messianisme juif, Messie, prophète, religion
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Identité et communautarisme - Christophe Bertossi
/ UTLS au lycée
/ 01-03-2010
/ Canal-U - OAI Archive
BERTOSSI Christophe
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Une conférence de l'UTLS au LycéeIdentité et communautarisme par Christophe BertossiLycée Sidoine Apolinaire (63 Clermont Ferrand) Mot(s) clés libre(s) : communautarisme, diversité, identités, intégration, religion
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Argent et religion font-ils bon ménage ?
/ 20-02-2014
/ Canal-u.fr
BERGTHOLD Marion-Jacques, FEIX Marc, RIVELINE C., WEILL Laurent
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Intervenants : M-J. BergtholdM. FeixM.c RivelineM.l Weill Mot(s) clés libre(s) : économie, religion
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Femmes et droit en Islam - Sana Ben Achour
/ UTLS - la suite
/ 10-10-2007
/ Canal-U - OAI Archive
BEN ACHOUR Sana
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Le propos est de montrer comment, aujourd’hui, dans les pays de culture musulmane, notamment dans les pays du Maghreb, se réarticule, se construit et se noue autour de la réforme du statut personnel ou de la famille, un système de normativité où droit et religion, tradition et modernité, droits universels et spécificités culturelles et identitaires, sont en «équilibre transactionnel » (pour reprendre une formule chère à Jacques Berque). Il est donc important de retracer la genèse des codes de la famille et du statut personnel pour dégager le sens de l’évolution et comprendre les enjeux du présent, mais aussi de présenter leurs dispositifs pour comprendre en quels termes se pose la question du statut des femmes au sein de l’institution familiale. Cette approche par la norme resterait insuffisante si l’on ne portait pas le regard sur les acteurs (les législateurs, les juges, les associations de la société civile) et sur leurs stratégies dans la mise en jeu et la mobilisation des deux « vérités légales » religieuses et profanes des codes de la famille et du statut personnel. Comment se réalise l’entrelacement des contraires entre normativité islamique et étatisme sécularisant ? Par quels processus pratiques et symboliques les normes sur les femmes accèdent-elles au statut de « légalité légitime »? Qu’est-ce qui est mis en œuvre, quel référentiel et pour lui faire produire quels effets ? Mot(s) clés libre(s) : droit, femme, islam, religion
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La laïcité dans l'Union européenne / Jean Baubérot
/ Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 06-03-1995
/ Canal-U - OAI Archive
BAUBÉROT Jean
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La laïcité dans l'Union européenne. Jean Baubérot. Conférence donnée en mars 1995 dans le cadre de l'Institut d'Études Doctorales (IED) de l'Université Toulouse II-Le Mirail (France). Présentation par le sociologue Jean-Michel Berthelot, directeur de l'IED. Mot(s) clés libre(s) : laïcité (Europe), relations Eglise-Etat, religion et Etat
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‘Aīd al-Siyaha — Siwa Oasis, Egypt (Vincent Battesti, October 2015)
/ Vincent Battesti
/ 27-10-2015
/ Canal-u.fr
Battesti Vincent
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Chaque année à la première pleine lune d’octobre se tient ce que l’on appelle ‘aīd al-siyaḥa dans l’oasis de Siwa, dans le désert Libyque égyptien. L’origine de ces trois ou quatre jours de festivités propres à cette oasis berbérophone est obscure. Et le nom actuel (‘aīd al-siyaḥa) n’y aide pas (en arabe et peut littéralement être compris comme « fête du tourisme »). Le récit local le plus courant dit que cela commémore une réconciliation entre les deux factions (« Orientaux » et « Occidentaux ») de l’oasis.
Ce que l’on peut en dire aujourd’hui, c’est qu’elle est au moins l’occasion de réunir les habitants de Siwa et les différentes confréries soufies: pendant trois jours sont partagés des repas communs (et préparés en commun) et des cérémonies nocturnes qui sont des ḥaḍra (حضرة), constitué de dhikr (ذِكْر). Ce sont ces cérémonies qui sont ici dans le film, images et sons enregistrés les 25, 26 et 27 octobre 2015. Cette fête, habituellement annuelle, n’avait pas été organisée depuis cinq années, parce que les confréries soufi sont vieillissantes et par précaution sécuritaires suite à la révolution de janvier 2011.
Cette vidéo a été montée dans la perspective d’un contre-don: à la demande d’habitants de Siwa, ce film a été monté et leur a été distribué.
Every year at the first full moon of October stands what is called ‘aīd al-siyaḥa in Siwa oasis, deep in the Egyptian Western desert. The origin of these three or four-day festival — specific to this Berber oasis — is obscure. And the current name (‘aīd al-siyaḥa) is not helpful (in Arabic; and it can literally be understood as "Tourism Day"… which is not). The most common local story says it commemorates a reconciliation between the two factions ("Easterners" and "Westerners") of the oasis.
What we can say today is that it is, at least, an opportunity to bring together the people of Siwa and also the various Sufi brotherhoods: during three days are shared meals (and prepared jointly) and nightly ceremonies which are ḥaḍra (حضرة) consisting of dhikr (ذكر). These ceremonies are the topic of this film, images and sounds were recorded on 25, 26 and 27 October 2015. This annual festival had not been held for five years, because the Sufi brotherhoods are aging and because of safe precaution following the January 2011 revolution.
This video has been edited in the perspective of a back gift: this film was edited and distributed to the inhabitants of Siwa at their request. Mot(s) clés libre(s) : musique, Sufism, Siwa, Égypte, Popular, Egypt, music, Soufisme, populaire, cérémonie, religion, Islam, OASIS, Ceremony
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Le jihad - Makrâm Abbes
/ UTLS - la suite
/ 07-10-2007
/ Canal-U - OAI Archive
ABBES Makram
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Depuis l’avènement du 11 septembre, d'abord en tant que donnée historique fondamentale qui a bouleversé les relations internationales, ensuite, et surtout, en tant que concept qui a permis d’isoler certains éléments du réel et de fournir une grille de lecture pour tout ce qui touche à la guerre, à l’ennemi, aux problèmes du droit et de la sécurité, l’islam s’est trouvé au centre des débats induits par ce grand tournant du début du XXIème siècle. Le concept du 11 septembre a initié une nouvelle figure de l’ennemi (le jihadiste) qui n’a rien à voir avec celles de l'ennemi classique représenté par un Etat, et respectueux, peu ou prou, de ce que les doctrines classiques de la guerre appelaient "la guerre régulière" ou "la guerre en forme", celle qui obéit à des codes, à certaines lois faisant une large place au droit ou à la morale. Visiblement, cet ennemi ne respecte aucun code, aucune loi puisqu'il situe le combat non pas entre des entités politiques et juridiques bien déterminées, mais plutôt entre, d'un côté, des groupes agissant au nom de l’islam, et, de l'autre, des cibles potentielles non identifiables pouvant varier d’un pays à l’autre. En raison de la naissance de cette figure d’un ennemi insaisissable, se réclamant d’une doctrine terrifiante et monstrueuse, fondée sur la barbarisation de l’Autre, qu’il soit arabo-musulman ou occidental, les discours portant sur la conception de la guerre en islam ont eu tendance, récemment, à accréditer l'idée d'un islam foncièrement belliciste et guerrier, dans lequel l'ennemi est forcément ontologisé et prédéfini. Certaines lectures qui se veulent savantes et académiques font même de l’islam une exception sur le plan militaire, puisqu’il serait le seul à prôner la doctrine de la guerre fondée sur la violence aveugle et la conversion forcée, une guerre totale et pérenne qui doit continuer, au nom d'un horizon théologique macabre, jusqu'à la fin des temps. Ainsi, pour l'un des auteurs représentatifs de ce type de lectures, l'islam serait passé par deux phases : celle, dans un premier temps, du
jihâd en tant que combat meurtrier où il a cherché à soumettre les autres peuples par la violence, et celle, dans un deuxième temps, après l’épuisement de ses forces militaires, d'un
jihâd plus méritoire, le combat contre soi-même. «Malheureusement, dit l'auteur, il s’avère que [l'islam] est toujours miné par la violence extrême (terrorisme, assassinat et suicides), et l’on s’interroge légitimement pour savoir si elle n’a pas quelque base dans sa culture. » La naissance de cette figure du
jihâdiste, associée à celle du musulman conquérant du VIIème siècle serait ainsi le socle de cette représentation d’un islam qui a toujours mobilisé les mêmes raisons (la croyance) pour faire la guerre et dans lequel la théologie est à la fois le moteur et le
télos du politique. Le seul changement, d'après ces lectures, c'est que du combattant tellurique qui a sillonné les terres au nom de Dieu au VIIème siècle, on est passé au combattant aérien qui fend les airs à l'aube du XXIème siècle. Mais la nature du combat, ainsi que la conception et la représentation de la l'activité guerrière sont et seront toujours les mêmes. Mot(s) clés libre(s) : islam, jihad, religion
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Averroès - La théologie politique
/ ENS-LSH/SCAM, ENS/UOH
/ 29-06-2009
/ Canal-U - OAI Archive
ABBES Makram
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Bien qu’il y ait eu, en terre d'Islam, de nombreux philosophes entre les XIIIe et XVIIe siècles, de l’andalou Ibn Sab'în (XIIIe siècle) jusqu’au perse Molla Sadra (XVIIe siècle), la plupart des recherches s'accordent à dire que c’est Averroès (1126-1198) qui est le dernier philosophe de la civilisation de l'Islam classique. Ce jugement, qui doit être nuancé sur certains points, repose principalement sur l’ampleur du projet qu’il a réalisé, et surtout sur la réception de ce même projet dans l'Occident latin pendant le Moyen Âge. Dans son travail, Averroès cherchait, en effet, à renouer avec l’aristotélisme et avec la méthode rationnelle, longtemps occultés par l’intérêt des philosophes arabes et alexandrins pour les commentaires de l’œuvre du Stagirite plutôt que pour ses textes eux-mêmes. Parallèlement au commentaire systématique des textes d’Aristote, Averroès a entrepris un autre travail de défense de l’acte de philosopher qui s’était trouvé fortement remis en cause par les accusations d’impiété lancées par al-Ghazâlî (1058-1111) contre les philosophes. Ce sont les réponses aux problèmes soulevés par al-Ghazâlî et la discussion de questions comme le rapport entre la philosophie et la religion, la foi et la raison, le philosophe et la cité qui occupent la partie centrale des œuvres personnelles d’Averroès (le Discours décisif, le Traité du dévoilement, et l’Incohérence de l’Incohérence) et qui contiennent une part importante de ses idées politiques. Renouer avec la méthode scientifique dont le modèle est Aristote et lutter contre le projet intellectuel d’al-Ghazâlî constituent donc les deux dynamiques sur lesquelles repose un pan entier de la philosophie politique d'Averroès. Celle-ci s'engage dans une réflexion sur des sujets qui sont à l’origine de la Modernité, comme, par exemple, l’étude du problème théologico-politique qui est directement lié à la définition du processus de sécularisation. Comment ce travail se présente-t-il dans les textes d’Averroès et de quelle manière peut-il être interprété dans les limites du contexte culturel de l’Islam du XIIe siècle?En dehors de ce premier aspect, Averroès peut être considéré, du point de vue de la philosophie politique classique, comme le dernier représentant d’une tradition qui remonte aux Grecs et qui est, à partir du Xe siècle, solidement ancrée en terre d’Islam grâce aux écrits de Fârâbî (870-950). Cette tradition consiste à étudier les conditions de la réalisation d’une cité juste et de l’instauration d’un régime parfait. Consignés dans le principal texte politique d’Averroès qui est le Commentaire de la République de Platon, ces développements abordant, entre autres, le statut et le rôle du chef de la cité parfaite, les cités injustes, et la meilleure éducation des citoyens sont loin d’être une spéculation théorique gratuite et éloignée des soucis du réel. Au contraire, cette recherche s’inscrit pleinement dans un cadre qui reprend les enseignements platoniciens sur la cité idéale tout en les transformant et en les adaptant à un nouveau contexte. Le modèle politique platonicien subira ainsi de nombreuses transformations du fait de l’introduction d’éléments aristotéliciens dans le Commentaire, et de la volonté de redéfinir, sur d’autres bases épistémologiques, l’art politique lui-même. Ce deuxième axe nous permettra donc de voir comment se pose le problème du rapport entre un modèle normatif de la politique hérité des Grecs et l’un des usages qui en est fait, en l'occurrence par Averroès, afin de comprendre l’histoire de l’Islam en général et celle de l'Andalousie en particulier. Plan du cours :Première partie : une biographie politique1) Le philosophe et le politique2) Le milieu intellectuel andalou et le projet d'Averroès3) Averroès et les traditions de pensée politiques de l'islam classique4) La fondation de la science politique : le paradigme médicalDeuxième partie : la cité parfaite1) La théorie des excellences humaines2) Le statut du roi-philosophe3) Les attributs de la cité parfaite4) Les régimes injustesTroisième partie : les conditions de la politique parfaite1) L'éducation des citoyens2) La philosophie et la religion : l'interprétation du texte coranique3) La théologie politiqueConclusionDirecteur de la publication: Olivier FaronProducteur executif: Christophe PorlierRéalisation: Francis OudréaogoImage et post-production: Mathias ChassagneuxLumière: Sébastien BoudinSon: Xavier ComméatDiffusion Web: Jean Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : Averroès, philosophie et religion, philosophie islamique
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