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Economie et innovation
/ Mission 2000 en France
/ 26-04-2000
/ Canal-U - OAI Archive
LORENZI Jean-Hervé
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A l'aube du XXIe siècle, il existe un consensus selon lequel, le progrès technologique est le moteur de la croissance économique, des gains de productivité et de l'élévation des niveaux de vie à long terme. Tous ces éléments conjugués nous conduisent à nous interroger sur la relation entre économie et innovation, dans une perspective à la fois historique, théorique et empirique. C'est l'étude de ces différentes relations qui fera l'objet de la présente leçon. Les relations entre le progrès technique et la croissance sont longtemps demeurées incomprises. C'est cet aspect qui fera l'objet de la deuxième partie de notre présentation. Les économistes se sont d'abord attachés à dégager les lois d'une production en régime d'équilibre stationnaire. Ils n'ont guère accordé leur attention à la croissance économique qu'à partir de la deuxième guerre mondiale, sans pour autant, dans un premier temps, évoquer le rôle du progrès technique. Ils se sont ensuite contentés d'analyser le progrès technique comme une variable exogène à la croissance. Ce n'est que très récemment que la théorie économique accorde une attention toute particulière au rôle du progrès technique dans la croissance. Dans la troisième partie de la leçon, nous présenterons les questions relatives à la relation complexe entre le progrès technique et l'emploi, à la fois en terme de chômage et de modification des structures d'emploi. Enfin, dans la quatrième partie, nous discuterons du rôle de l'Etat dans l'organisation des activités de recherche et d'innovation en prenant comme exemple la politique d'innovation européenne actuelle, et les recommandations en faveur d'un changement d'orientation des actions politiques pour préparer la troisième révolution industrielle. Mot(s) clés libre(s) : croissance économique, économie, innovation, recherche, révolution industrielle, technologie
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Économie et innovation
/ Mission 2000 en France
/ 26-04-2000
/ Canal-u.fr
LORENZI Jean-Hervé
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A l'aube du XXIe siècle, il existe un consensus selon lequel, le progrès technologique est le moteur de la croissance économique, des gains de productivité et de l'élévation des niveaux de vie à long terme. Tous ces éléments conjugués nous conduisent à nous interroger sur la relation entre économie et innovation, dans une perspective à la fois historique, théorique et empirique. C'est l'étude de ces différentes relations qui fera l'objet de la présente leçon. Les relations entre le progrès technique et la croissance sont longtemps demeurées incomprises. C'est cet aspect qui fera l'objet de la deuxième partie de notre présentation. Les économistes se sont d'abord attachés à dégager les lois d'une production en régime d'équilibre stationnaire. Ils n'ont guère accordé leur attention à la croissance économique qu'à partir de la deuxième guerre mondiale, sans pour autant, dans un premier temps, évoquer le rôle du progrès technique. Ils se sont ensuite contentés d'analyser le progrès technique comme une variable exogène à la croissance. Ce n'est que très récemment que la théorie économique accorde une attention toute particulière au rôle du progrès technique dans la croissance. Dans la troisième partie de la leçon, nous présenterons les questions relatives à la relation complexe entre le progrès technique et l'emploi, à la fois en terme de chômage et de modification des structures d'emploi. Enfin, dans la quatrième partie, nous discuterons du rôle de l'Etat dans l'organisation des activités de recherche et d'innovation en prenant comme exemple la politique d'innovation européenne actuelle, et les recommandations en faveur d'un changement d'orientation des actions politiques pour préparer la troisième révolution industrielle. Mot(s) clés libre(s) : recherche, économie, innovation, technologie, croissance économique, révolution industrielle
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La démocratie électronique
/ Mission 2000 en France
/ 06-06-2000
/ Canal-U - OAI Archive
LETERRE-ROBERT Thierry
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C'est un thème singulier que celui de la " démocratie électronique ". L'expression n'est d'ailleurs familière qu'à un public spécialisé ; elle renvoie à l'idée que l'utilisation des ordinateurs, leur mise en réseau, bref, l'univers de ce que l'on appelle désormais les nouvelles technologies de l'information et de la communication, pourraient contribuer à rénover l'expérience démocratique. Un esprit non prévenu doit soulever une motion d'ordre préliminaire : en quoi les machines informatiques ont-elles affaire à la politique, et à cette forme précise de politique qu'est la démocratie ? Le rapprochement ne s'impose nullement, pas plus, du moins, qu'avec n'importe quelle autre technique. Or, il ne semble pas qu'on n'ait jamais envisagé que l'automobile, ou le réfrigérateur soient des vecteurs de démocratie, sinon de manière très indirecte. Il n'y a eu ni démocratie de la machine à vapeur, ni démocratie de l'électro-ménager. Pourquoi alors parler de " démocratie électronique " ? D'où la question : qu'y a-t-il de si spécial dans ces machines pour qu'on les considère comme des instruments de démocratie ? Répondre à cette interrogation exige de se rappeler que la démocratie qualifie moins une forme de régime, qu'une sociologie politique, comme Tocqueville, l'avait affirmé. C'est sur ce point, que j'insisterai en montrant comment s'est constituée, à partir de la mise en réseau des ordinateurs, une forme de sociabilité tenant à quelques aspects essentiels de la constitution démocratique du lien social. Insister sur ce point, c'est forcément laisser dans l'ombre de nombreux enjeux, et de nombreuses expériences qui ont précédé. C'est aussi laisser de côté tout un appareil descriptif des usages de l'informatique dans la sphère politique - la mobilisation du Web pour défendre une idée, ou faire campagne par exemple. J'exclurai également du centre de mon propos les questions qui touchent au gouvernement électronique pour me concentrer sur ce point précis : comment surgit, dans l'existence démocratique, l'ère de l'information ? "" Mot(s) clés libre(s) : démocratie électronique, économie numérique, Internet, révolution numérique, société de l'information, technologies de l'information, Web
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Les révolutions, filles ou fin des Lumières
/ Université Paris I Panthéon-Sorbonne
/ 18-05-2015
/ Canal-u.fr
LE GALL Jean-Marie
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La filiation entre Lumières et révolutions a été souvent affirmée, par les révolutionnaires tout autant que par les contre-révolutionnaires, au service de stratégies discursives bien différentes. Il convient cependant de signifier l’autonomie des Lumières face aux révolutions.Cette vidéo est issue du MOOC "Découper le temps : les périodes de l'histoire". Mot(s) clés libre(s) : Les Lumiéres, les révolutions
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Cinéma stéréoscopique, une vision subjective. Une conférence de Lenny Lipton
/ La Cinémathèque française
/ 17-12-2009
/ Canal-U - OAI Archive
La Cinémathèque française
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Au début des années 1980, Lenny Lipton fondait la StereoGraphics Corporation. Il est considéré comme le père de la diffusion d'images vidéo en relief. La quarantaine de brevets de stéréoscopie dont il est le détenteur est au cœur de l'actuelle révolution 3D numérique.Intervention suivie d'un dialogue. Mot(s) clés libre(s) : 3D, brevets, cinéma, image, innovation technologique, relief, révolution numérique, StereoGraphics Corporation, stéréoscopie, trois dimensions
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029 - Débat Faire lever les devenirs : la question du devenir-révolutionnaire chez Gilles Deleuze
/ ENS-LSH/SCAM
/ 23-05-2008
/ Canal-U - OAI Archive
KROTLICA Igor
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Session Effets philosophiques de mai 68. Crises, fractures, déplacements Colloque Mai 68 en quarantaineEquipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux, Son: Xavier Comméat, Encodage-Montage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : devenir-révolutionnaire, événement, Gilles Deleuze, mai 68, mutation, révolution
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028 - Faire lever les devenirs : la question du devenir-révolutionnaire chez Gilles Deleuze
/ ENS-LSH/SCAM
/ 23-05-2008
/ Canal-U - OAI Archive
KROTLICA Igor
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Session Effets philosophiques de mai 68. Crises, fractures, déplacements ColloqueMai 68 en quarantaine Dans son seul texte consacré à la question, Deleuze affirme avec Guattari que si mai 68 est un événement qui est, en tant que tel, ouverture de possible, la société française a été incapable de s’élever à la hauteur de cet événement par son impuissance à créer des agencements collectifs capables d’effectuer la mutation : « chaque fois le possible a été refermé ». La nécessité d’effectuer la mutation, de l’actualiser, Deleuze la réaffirmera plus tard au sujet des sociétés de contrôle. Tandis que Negri lui affirme la quasi-inéluctabilité de la mutation globale du système capitaliste effectuée par la puissance de la multitude, Deleuze déclare son scepticisme à l’égard d’une telle effectuation, marquant par là la continuité problématique de la question de la pratique révolutionnaire dans son œuvre : comment effectuer les devenirs qui se lèvent ? C’est l’insistance de cette question que nous voudrions analyser.Bibliographie G. DELEUZE & F. GUATTARI, « Mai 68 n’a pas eu lieu », in DELEUZE, Deux régimes de fous, Paris, Minuit, 2003, p. 215-217. G. DELEUZE, Pourparlers, « Contrôle et devenir », Paris, Minuit, 1990, p. 229-239. G. DELEUZE, Logique du sens, Paris, Minuit, 1969, séries 21 à 25.Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux, Son: Xavier Comméat, Encodage-Montage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : devenir-révolutionnaire, événement, Gilles Deleuze, mai 68, mutation, révolution
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Le droit chez Kant (par Jean-François Kervégan)
/ Pascal CECCALDI, Lycée d’Etat Jean Zay - Internat de Paris
/ 12-01-2012
/ Canal-u.fr
KERVÉGAN Jean-François
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La Révolution française, commence Jean-François Kervégan, a eu un impact considérable sur la philosophie allemande. Cette révolution s'est faite au nom de principes et au nom du droit. C'est une révolution philosophique. Les débats qui l'ont précédée sont nourris de philosophie. De l'autre côté du Rhin, une autre révolution a eu lieu, celle du kantisme. Mais c'est une révolution philosophique. Si bien que Hegel a pu dire des Allemands qu'ils avaient fait en théorie ce que les Français avaient réalisé en pratique.La philosophie juridique et politique de Kant constitue un commentaire spéculatif de la Révolution française. Celui-ci commence par une refonte de la problématique du contrat social.À la différence de ses prédécesseurs, Kant rejette l'hypothèse d'un état de nature ou d'un contrat social primitif. Ni l'un ni l'autre ne sont un objet d'expérience, ils ne peuvent donc être connus. Le contrat social doit être conçu comme la norme rationnelle de toute communauté politique effective. Il représente une idéalité, la condition normative de légitimité de l'autorité politique. Tout doit donc se passer comme si le pouvoir légitime était fondé sur un contrat originaire de chacun avec chacun. La société politique est normativement fondée sur le contrat social. Elle se distingue de toutes les formes d'associations qui ne présupposent pas l'idéalité normative du contrat social. La société politique est une construction normative. L'état de nature s'en distingue car il ne repose pas sur une norme. Cet état de nature n'est d'ailleurs pas exclusif de toute vie sociale.La constitution de la société politique repose sur des principes de droit public. Ces principes sont au nombre de trois : la liberté, l'égalité et l'indépendance. Le premier de ces trois droits et le plus important. Le principe de liberté s'applique à l'homme. C'est un droit antérieur à la société politique mais qui ne prend sens qu'à l'intérieur de celle-ci. Le principe d'égalité juridique des sujets du pouvoir signifie que ceux-ci ont un pouvoir de contrainte mutuelle. Il n'y a pas d'inégalité juridiquement valable. Les privilèges doivent être abolis. Le principe d'indépendance concerne l'indépendance économique des citoyens. Elle est, selon Kant, la condition de leur indépendance politique.Antoine de La TailleProfesseur de CPGE - Philosophie Mot(s) clés libre(s) : contrat social, Völkerbunt, droit cosmopolitique, Staatsbürger, Révolution française de 1789, Déclaration des droits de l’homme et du citoyen, état de nature, théorie du contrat, pacte social, républicanisme, Etat de droit
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La tyrannie du politique
/ Université Paris I Panthéon-Sorbonne
/ 18-05-2015
/ Canal-u.fr
KALIFA Dominique
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Cette vidéo propose d'analyser le 19ème siècle et sa cohérence du point de vue politique, généralement utilisé pour définir les ruptures chronologiques. Après une interrogation sur l'ambiguïté de la Révolution française, à la fois chant du cygne du XVIIIe siècle et événement fondateur du 19ème siècle, D. Kalifa examine les différentes dates qui peuvent servir de bornes au 19ème siècle, et met en évidence la difficulté de trancher en faveur de l'une ou de l'autre.Cette vidéo est issue du MOOC "Découper le temps : les périodes de l'histoire". Mot(s) clés libre(s) : empire, république, révolution française
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4 - Contester l’autorité : dissidences et révolutions au Moyen-Orient, 1906-2011
/ Serge BLERALD, Direction de l'Image et de l'Audiovisuel de l'EHESS
/ 05-01-2016
/ Canal-u.fr
HAMIT Bozarslan, BURESI Pascal
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