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Une périodisation par le culturel : Post-modernité
/ Université Paris I Panthéon-Sorbonne
/ 18-05-2015
/ Canal-u.fr
ORY Pascal
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Cette vidéo présente la périodisation d’un point de vue culturel sur la deuxième moitié du 20ème siècle avec le post-modernisme. Ainsi sur le plan politique, la pensée révolutionnaire faiblit tandis que la croissance économique arrive à son terme. Le plan culturel est donc marqué par une contestation des valeurs, au point de parler d’une notion de révisionnisme.Cette vidéo est issue du MOOC "Découper le temps : les périodes de l'histoire". Mot(s) clés libre(s) : 21ème siècle, 11 septembre 2001, Post-modernisme, Révolution de 1975
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Une nouvelle histoire de la Chine au 20e siècle - Yves Chevrier
/ UTLS - la suite
/ 06-01-2003
/ Canal-U - OAI Archive
CHEVRIER Yves
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Mon propos procède d'une évidence après vingt ans d'ouverture et de réformes post-maoïstes, la révolution chinoise a cessé d'être une référence au présent pour devenir un événement historique et se résume à une brassée de questions que je vous livre d'emblée: où est la spécificité contemporaine de la Chine dès lors que son histoire révolutionnaire et communiste semble se replier sur un cadre étatique autoritaire et bureaucratique qui évoque celui de l'empire ? Que reste-t-il de la révolution quand les traditions sont de retour, quand le message universaliste dont la Chine révolutionnaire se voulait le centre et le ferment a cédé devant la mondialisation ? Ce qui faisait la spécificité du XXe siècle chinois au regard d'une histoire et d'une culture millénaires étaient la révolution et l'occidentalisation. La Chine d'aujourd'hui semble échapper à l'un comme à l'autre de ces marqueurs de sa modernité. Il serait en effet naïf de penser que le renoncement post-maoïste à la révolution n'est qu'un surcroît de l'occidentalisation amorcée à la fin du XIXe siècle et dont l'histoire aurait été momentanément suspendue. Car s'il est vrai que la Chine s'intègre au monde "globalisé" d'aujourd'hui, ses réticences et ses différences, ainsi que leur prévisible influence sur le cours du monde, montrent à quel point la mondialisation est loin d'obéir à une logique unique, capable de simplifier le monde, et avec lui l'histoire chinoise, en le ramenant à un seul modèle dont le noyau serait l'histoire moderne de l'Occident.Il ne s'agit pas ici, comme on le dit souvent un peu vite, d'identité culturelle et de "choc des civilisations", ces grands mythes et fantasmes des lendemains post-révolutionnairestentés par la fin de l'histoire. Il s'agit de politique et d'histoire du politique. L'Etat chinois se construit et s'affirme, alors que la logique globale serait celle des réseaux. Le pouvoir règne à Pékin, dans les provinces et sur les marches de l'empire en tant que représentation légitime de la collectivité nationale chinoise, alors que l'heure mondiale serait ou devrait être celle des individus, de leurs droits, de leurs particularités identitaires et de leurs libertés. Nous ne voyons pas ici l'effet d'un écart ou d'un retard, l'écart étant culturel ou totalitaire selon la vulgate, le retard ressortissant à une transition dont une autre vulgate veut nous persuader que la logique différerait la transformation du politique après celle de l'économie et de la société. L'effet, massif, durable, est celui d'une trajectoire historique plus ancienne que la fin du maoïsme, mais guère plus âgée que la fin de l'Empire, en 1911-1912, une trajectoire de construction étatique, de nationalisation et de politisation de l'Etat à laquelle la mondialisation a offert de nouvelles ressources sans en modifier le cours. Ce constat indique en quoi, une fois relativisées la place et l'influence de la révolution maoïste, le XXe siècle possède une histoire spécifique, j'allais dire, en utilisant un terme dont il convient de se méfier, une identité dans la longue durée chinoise et dans l'histoire moins longue mais quand même antérieure des contacts de la Chine avec l'Occident. Le siècle post-impérial ne serait-il pas le moment où le vieil ordre chinois, qui avait été longtemps posé, pensé et défendu comme l'ordre même du monde, s'est réorganisé pour occuper toute sa place dans un univers qui le dépassait? Que cette réorganisation, révolutionnaire ou réformiste, portée par des groupes sociaux ou par des pouvoirs d'Etat, ait été avant tout et reste dans le temps présent un processus politique centré sur la construction de l'Etat-nation, que ce processus n'ait pas été l'imitation d'une formule imposée à partir du XIXe siècle par des Etats modernisés en Europe, en Amérique du Nord et au Japon, qui furent momentanément plus forts, autrement dit une réponse à l'Occident, comme le voulait John King Fairbank, mais une réponse de la Chine à sa propre histoire, et, précisément, à l'histoire des rapports entre le pouvoir impérial et une société en pleine mutation sous la dynastie des Qing, que cette réponse par la mutation du politique ait conféré au siècle dernier sa contemporanéité et sa spécificité dans l'histoire de la Chine et du monde, ainsi qu'une unité d'ensemble embrassant dans un même mouvement la fin de l'époque impériale, le moment révolutionnaire et la sortie du maoïsme, et qu'enfin cette unité permette de recadrer les événements dispersés et les expériences isolées auxquels s'attachent désormais nombre d'historiens, voilà quelle sera notre hypothèse. Il s'agit là, bien sûr, d'un questionnement qui s'adresse aux spécialistes, mais il suffit de songer une seconde à ce que représente, dans la dynamique du monde actuel, le poids de la construction étatique chinoise débarrassée des impedimenta de la souveraineté limitée et des hyperboles révolutionnaires pour mesurer l'importance non seulement intellectuelle, mais avant tout politique de l'enjeu, dans une dimension qui déborde de beaucoup les intérêts strictement géopolitiques et qui, bien évidemment, ne se limite pas à l'affrontement culturel sur les valeurs ni à la compétition économique. Deux exemples suffiront à préciser ces enjeux. Si l'on accepte l'idée que la mondialisation fait entrer l'Etat-nation dans l'histoire, il faut passer par pertes et profits la trajectoire historique chinoise la plus récente, celle qui est encore active de nos jours, ou, du moins, il faut en rendre compte en posant que l'Etat post-maoïste, encore si puissant aujourd'hui, est appelé à se dissoudre dans les réseaux nationaux et internationaux, dont certains observateurs annoncent au reste qu'ils minent déjà l'édifice. Ou bien il faut postuler qu'un totalitarisme aussi résilient ne pourra qu'être rompu par le poids supérieur des processus de la mondialisation qui l'englobent irrésistiblement, en dépit de ses adaptations. à moins que la Chine néo-totalitaire du post-maoïsme ne soit que l'avant garde politiquement explicite d'un régime de pouvoir total qui serait celui de l'économie de marché planétarisée. L'autre exemple est, bien entendu, celui de la démocratie et de son avenir en Chine continentale et, par ricochet, à Hong Kong et à Taiwan. Enjeu majeur de l'histoire du politique dans la Chine du XXe siècle, sera-t-elle assurément au rendez-vous de la modernisation post-maoïste, comme beaucoup le pensent ou le souhaitent? Ne doit-on pas, ici encore, s'interroger sur le poids non d'une tradition culturelle intemporelle, mais d'une histoire tout à fait contemporaine, dans laquelle l'objectif primordial de l'Etat-nation n'a cessé d'écarter l'institutionnalisation des libertés publiques et individuelles? Ne faut-il pas remarquer que si la société taiwanaise construit bel et bien un Etat-nation dans une perspective démocratique, cette démocratie et cette nation ne peuvent parvenir à la reconnaissance étatique internationale parce que l'histoire contraire de la démocratie, de la nation et de l'Etat sur le Continent les en empêchent? Cette histoire-là est-elle appelée à se fondre dans le grand tout globalisé, ou bien ce tout n'est-il qu'un changement de l'échelle d'interaction de trajectoires historiques particulières qui n'ont pas dit leur dernier mot? S'interroger sur la place et sur le sens d'une histoire du contemporain en Chine, c'est donc bien plus que suggérer des pistes à des spécialistes pour lesquels l'éclatement de l'ancien système des références historiques a ouvert une ère de repli et parfois même de désarroi. C'est, en réalité, comprendre non seulement la Chine d'aujourd'hui mais aussi le monde dans lequel nous vivons. Guidés par ces interrogations, nous allons partir pour ce qui pourrait s'appeler la recherche d'une histoire perdue, en mesurant les effets qu'ont eus sur les interprétations historiques du XXe siècle chinois l'abandon de la référence révolutionnaire et l'insertion de la Chine post-maoïste dans la mondialisation. Chemin faisant, cette recherche va nous conduire à revisiter les paradigmes de l'ancienne histoire moderne chinoise avant de nous orienter vers une histoire contemporaine du politique en Chine. Si je tiens mon pari, nous pourrons conclure ensemble que la mise en perspective critique et comparatiste d'une nouvelle histoire de la Chine au vingtième siècle peut ambitionner de nourrir une histoire du vingtième siècle en Chine dont le discriminant serait cette histoire du politique. Mot(s) clés libre(s) : Chine, maoïsme, mondialisation, révolution chinoise
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Ukraine, un an après. De la révolution à la guerre
/ Philippe KERGRAISSE, Direction de l'Image et de l'Audiovisuel de l'EHESS
/ 22-01-2015
/ Canal-u.fr
SHUKAN Loulia, MINAKOV Mikhail, VITKINE Benoit, WERTH Nicolas
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Table-ronde organisée par Ioulia Shukan, Maître de conférence à l'Université Paris Ouest Nanterre La Défense, et modérée par Nicolas Werth, Directeur de recherche au CNRS.
L'Ukraine s'est trouvée prise en 2014 dans un tourbillon d’événements politiques majeurs : la révolution du Maïdan, l’annexion de la Crimée, la guerre du Donbass. Ces événements se sont suivis à une extrême rapidité et ils ont changé en profondeur le pays.
Cette première édition des Rendez-vous internationaux de l’EHESS sera consacrée à établir un bilan d'ensemble de l’année écoulée. Les chercheurs et spécialistes invités reviendront sur ces différentes séquences pour analyser et discuter leur impact sur le paysage politique, la société civile et les vies quotidiennes des Ukrainiens.
Intervenants :
- Mykhailo Minakov, philosophe, Professeur à l’Université Kyiv-Mohila Academy (intervention en anglais)
- Ioulia Shukan, politiste, Maître de conférences à l’Université Paris Ouest Nanterre La Défense
- Benoit Vitkine, journaliste au Monde Mot(s) clés libre(s) : guerre, révolution, pays d'europe
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Sections planes de surfaces : fiche de synthèse et exercices d'application directe
/ Pascale Boudière, Frédéric Raymond, Cédric Tondeur, Jacques Queyrut, Geneviève Bretenoux, Université Bordeaux-I, Unisciel
/ 2009
/ Unisciel
Felloneau Claude, Sorbe Xavier, Bordas Mirentxu, Dauriac Chantal, Delahaye Xavier, Dubos Jean-Pierre, Gagné Myriam, Lachapèle Antoine, Perrin Ghyslaine
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Cette ressource propose un résumé des connaissances sur la géométrie dans l'espace en terminale S et des exercices d'application immédiate sur l'ensemble des notions abordées : sections planes de surfaces (enseignement de spécialité). Mot(s) clés libre(s) : RAMSES, géométrie dans l'espace, section plane des surfaces, surfaces, surfaces de révolution, surfaces d'équation
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Républicanisme et révolution
/ ENS-LSH/SCAM
/ 13-11-2001
/ Canal-U - OAI Archive
MONNIER Raymonde
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Les discours du politique : Ecole thématique Violence, consensus, sécuritéRaymonde Monnier propose ici une définition des deux termes, républicanisme et révolution, qui recouvrent deux concepts apparemment contradictoires mais étroitement liés. Elle s'intéresse au transfert et à la réappropriation révolutionnaire des théories du républicanisme. Elle évoque notamment la notion de liberté politique en mentionnant Jean-Fabien Spitz, Constant et celle de liberté civile défendue par Condorcet. Elle propose une définition de la liberté républicaine comme non domination entre les individus et entre les peuples puis s'intéresse au problème général de l'association politique et de la liberté des individus. Desmoulin, Bonneville, Taine, Mandart, Milton, le journaliste Robert et sa brochure "Le Républicanisme adapté à la France", les pamphlets de Lavicomtrie, l'Oceana de Harrington, Turgot, John Adams sont autant de références sur lesquelles elle s'appuie. Elle s'attache notamment à montrer l'importance des transferts entre les Lumières anglaises et françaises prouvée par le grand nombre de traductions d'ouvrages anglais. Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia Captation vidéo : Sebastien Boudin, Julien Lopez, Mathias Chassagneux, Son: Samuel Bazin, Montage-Encodage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : liberté, républicanisme, révolution
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Mais tout a une fin
/ Université Paris I Panthéon-Sorbonne
/ 18-05-2015
/ Canal-u.fr
GENET Jean-Philippe
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Même si l'on peut conserver, au plan académique, la date de 1492, la rupture décisive qui marque la fin du Moyen Âge se produit entre 1680 et 1780, période qui correspond à un vaste changement d'échelle provoqué par deux révolutions, l'une scientifique, l'autre industrielle, dont les effets se font véritablement sentir à partir du début du 19e siècle.Cette vidéo est issue du MOOC "Découper le temps : les périodes de l'histoire". Mot(s) clés libre(s) : révolution industrielle, révolution scientifique, 1492, 1789
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Les vies multiples de l'Homme nouveau : 1914-1945
/ 24-09-2015
/ Canal-u.fr
Michaud Eric
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Séminaire dispensé par Eric Michaud Mot(s) clés libre(s) : corps, esthétique, tyrannie, Première Guerre Mondiale, Révolutions, Europe
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Les révolutions, filles ou fin des Lumières
/ Université Paris I Panthéon-Sorbonne
/ 18-05-2015
/ Canal-u.fr
LE GALL Jean-Marie
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La filiation entre Lumières et révolutions a été souvent affirmée, par les révolutionnaires tout autant que par les contre-révolutionnaires, au service de stratégies discursives bien différentes. Il convient cependant de signifier l’autonomie des Lumières face aux révolutions.Cette vidéo est issue du MOOC "Découper le temps : les périodes de l'histoire". Mot(s) clés libre(s) : Les Lumiéres, les révolutions
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Les ondelettes et la révolution numérique
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 18-06-2000
/ Canal-U - OAI Archive
MEYER Yves
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"La "" révolution numérique "" change profondément notre vie, puisqu'elle modifie notre relation au monde et notre relation aux autres. Elle comprend le téléphone digital, le fax et la télévision numérique (qui sont déjà en oeuvre) mais s'inscrit aussi dans le programme beaucoup plus ambitieux de la réalité virtuelle, monde dans lequel nous pourrons entrer, nous mouvoir, mais que nous pourrons aussi transformer et modifier à notre guise. L'interactivité est l'une des conséquences de la révolution numérique. La révolution numérique a également révolutionné l'imagerie médicale, le scanner, la RMN etc. puisque toutes ces images sont aujourd'hui élaborées a l'aide de calculs mathématiques. Dans mon exposé, je commencerai par décrire l'histoire, peu connue, des débuts de la révolution numérique. Les pionniers furent des physiciens et des mathématiciens comme Léon Brillouin, Dennis Gabor John von Neumann, Claude Shannon et Norbert Wiener et leurs résultats conduisirent à la construction des premiers ordinateurs. Ensuite je montrerai que l'analyse par ondelettes est directement issue des préoccupations de ces pionniers et c'est ainsi qu'elle sera introduite. Nous décrirons les succès des ondelettes et indiquerons leurs limites dans le cadre du traitement du signal et de l'image. L'exposé se terminera par l'analyse de certaines images fournies par Hubble (explosion de la Supernova S1987A)." Mot(s) clés libre(s) : algorithme, analyse mathématique, compression d'image, conversion analogique numérique, image numérique, JPEG, ondelette, révolution numérique, traitement de l'image, transmission d'image
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Les mouvements de la Terre et de la Lune
/ Observatoire de Paris
/ 09-2008
/ Unisciel
Rocher Patrick
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Ce sous-chapitre décrit les mouvements de la Terre et de la Lune (présentation historique, description des mouvements, présentation des êlêments orbitaux et éléments elliptiques) puis les phases de la Lune. Mot(s) clés libre(s) : Terre, Lune, période de révolution, phases de la Lune, mouvement de la Lune, mouvement de la Terre, éléments orbitaux, mouvement orbital, éléments elliptiques, lunaison
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