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Les réseaux socionumériques et la reconfiguration de l’espace public en Russie post-soviétique
/ Canal-u.fr
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Intervention d'Alexander Kondratov : Doctorant au Gresec. Université Stendhal Grenoble 3. Le 4 mai 2015 à l'Institut de la Communication et des Médias (Université Stendhal Grenoble 3). Communication au colloque international "La communication numérique au cœur des sociétés : dispositifs, logiques de développement et pratiques". Mot(s) clés libre(s) : Numérique - Communication - Espace Public - Russie post-soviétique
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Forum Nîmois - Charles GIDE - ADLER - 30 mai 2013
/ 30-05-2013
/ Canal-u.fr
ADLER Alexandre
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L’activité de notre association Charles Gide reprend, pour son cycle de conférences "le forum Nîmois Charles GIDE" Jean MATOUK président de l'assosiation et professeur des universités recoit, le 30 mai 2013, à la maison du protestantisme à Nîmes Alexandre Adler.
« La Russie de Poutine » Passé, futur et relations avec l’Europe
Alexandre Adler, né le 23 septembre 1950 à Paris, est un historien et journaliste français, spécialiste des relations internationales.
Alexandre Adler est le directeur scientifique de la chaire de géopolitique de l'université Paris-Dauphine créée en novembre 2009. La chaire comprend un volet enseignement et un volet recherche portant notamment sur les points suivants : mondialisation et gouvernance, géopolitique, énergie et matières premières et politique européenne.
Mot(s) clés libre(s) : Russie, jounalisme, relations Union européenne-Russie
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L’histoire par le bas
/ L'équipe technique des auditoriums de la BnF, Direction de l'Image et de l'Audiovisuel de l'EHESS
/ 17-06-2016
/ Canal-u.fr
CERUTTI Simona, BLUM A., CALAFAT Guillaume, ANHEIM Étienne, BARBOT Michela
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L’histoire de l’Europe moderne constitue l’un des terrains privilégiés du dialogue entre l’histoire et les sciences sociales. Ces sociétés qui à la fois se trouvent à distance de ce que nous considérons comme contemporain et en forment le creuset ont permis l’élaboration d’œuvres intellectuelles de grande ampleur, comme celle d’E. P. Thompson (1924-1993), dont le travail sur la classe ouvrière ou l’économie morale a marqué l’historiographie internationale. À l’occasion de la récente traduction en français par Jean Boutier et Arundhati Virmani des Usages de la coutume, l’historienne Simona Cerutti s’est livrée à une relecture de la notion essentielle d’« histoire par le bas » (history from below), une approche qui désigne à la fois une méthode et un objet historiographiques, tout en prêtant attention à des pratiques sociales qui demeurent souvent dans l’ombre de l’histoire traditionnelle. Nous proposons de revenir sur cette notion, ce qui permettra de confronter les approches d’E. P. Thompson et de S. Cerutti et, plus largement, d’aborder des questions méthodologiques qui concernent l’ensemble de l’histoire et des sciences sociales.
Pour en savoir plus Mot(s) clés libre(s) : histoire sociale, identité, pauvreté, relations sociales, couches populaires, juridiction, monde soviétique, société russe
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Perspectives sur les institutions européennes : Quel avenir pour l'Europe ?
/ Mission 2000 en France
/ 09-11-2000
/ Canal-U - OAI Archive
COHN-BENDIT Daniel
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En un certain sens, la construction européenne a débuté, entre autres, suite à une première prise de conscience et une reconnaissance des limites de l'état-nation tel qu'il avait été conçu jusque-là. Face à la réalité d'un continent fracturé et affaibli, l'Europe était la seule réponse qui permettait d'aller de l'avant. On pourrait presque dire que le processus d'intégration européenne -d'abord économique- qui visait à garantir la paix a été "pathologiquement extorqué". La logique utilitariste peut également fonctionner pour expliquer la nécessité d'une Europe forte face au processus de globalisation de l'économie, d'une Union européenne capable de peser notamment dans les négociations de l'OMC. Pourtant, quand nous admettons que nous avons besoin de l'Europe, nous présupposons également des raisons qui ne relèvent pas purement et simplement de la logique de l'intérêt bien compris. Quand on parle d'Europe, on parle aussi d'un système de valeurs, d'un projet conscient et voulu qui oriente la re-définition de soi. Les Européens ont opté pour une Europe fondée sur un projet anti-totalitaire qui tende toujours plus vers l'universalisme. Ils se reconnaissent dans les idées de démocratie sociale, de société solidaire, de commerce éthique, de responsabilité face à l'avenir, de droits inaliénables des citoyens, d'une souveraineté éthique par-delà le particularisme des états-nations... Nous sommes actuellement dans une phase cruciale pour l'avenir des citoyennes et citoyens de l'Europe. Un pas décisif vers la construction européenne doit être fait si nous ne voulons pas que le système implose. Et il serait illusoire de croire que de ce big-bang renaîtrait une constellation de Nations laissées intactes ou que le statu quo serait viable malgré l'élargissement. Il faut une réforme radicale de nos institutions et de leur rôle, il faut instaurer un véritable gouvernement européen affranchi de la tutelle cacophonique des intérêts nationaux, il faut... Il va falloir opter pour une Constitution européenne dont le projet pourrait être réalisé avant l'élargissement. L'Europe renforcée munie d'une constitution digne de ce nom est encore une fois la seule manière de répondre aux faits et à nos idéaux. Mot(s) clés libre(s) : commission, démocratie sociale, environnement, immigration, injustice sociale, mondialisation, monnaie, nation, nationalisme, Russie, sécurité, société solidaire, Turquie
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Les transformations récentes de Moscou
/ Bruno BASTARD, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, UOH - Université Ouverte des Humanités
/ 01-08-2006
/ Canal-U - OAI Archive
ECKERT Denis, LE CORRE Sébastien
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Moscou est aujourd'hui la première agglomération Européenne avec près de douze millions d'habitants. Comment Moscou a-t-elle atteint ce rang ? Quels sont ses visages, son organisation spatiale et ses fonctions au sein de la Russie. Après l'effondrement du bloc soviétique, cette ville est aujourd'hui en mesure de rayonner sur le plan international et se retrouve en compétition avec d'autres capitales. Quels sont ses atouts et ses faiblesses pour y parvenir ? (entretien enregistré le 7 juin 2006)GénériqueInterview : Sébastien Le Corre - Réalisation et montage : Bruno Bastard - Cadreurs : Nathalie Michaud et Claire Sarazin - production et moyens techniques : CAM, Université de Toulouse-Le Mirail, 5 allées Antonio Machado, 31058 Toulouse CEDEX 09 Mot(s) clés libre(s) : aménagement du territoire, commerce (Russie), croissance urbaine, économie urbaine, Moscou (conditions économiques), Moscou (géographie économique), Moscou (Russie), politique publique, politique urbaine
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Jean Potocki et la Russie ou L'identité en crise / Remigiusz Forycki
/ Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 15-04-2011
/ Canal-U - OAI Archive
FORYCKI Remigiusz
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Jean Potocki et la Russie ou L'identité en crise / Remigiusz Forycki. In colloque "Jean Potocki. Pérégrinations", organisé par la section de slavistique de l'UFR de Langues, Littératures et Civilisations Étrangères de l'Université Toulouse II-Le Mirail dans le cadre de la "Semaine polonaise". Toulouse : Université-Toulouse II-Le Mirail, 14-15 avril 2011.Thématique 2 : A la recherche de l'identité 2, 14 avril 2011. Mot(s) clés libre(s) : Jan Potocki (1761-1815), Russie (18e siècle)
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Jean Potocki et la Russie ou L'identité en crise / Remigiusz Forycki
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 15-04-2011
/ Canal-u.fr
FORYCKI Remigiusz
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Jean Potocki et la Russie ou L'identité en crise / Remigiusz Forycki. In colloque "Jean Potocki. Pérégrinations", organisé par la section de slavistique de l'UFR de Langues, Littératures et Civilisations Étrangères de l'Université Toulouse II-Le Mirail dans le cadre de la "Semaine polonaise". Toulouse : Université-Toulouse II-Le Mirail, 14-15 avril 2011.Thématique 2 : A la recherche de l'identité 2, 14 avril 2011. Mot(s) clés libre(s) : Jan Potocki (1761-1815), Russie (18e siècle)
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La Russie face au Monde après l'effondrement de l'Union Soviétique
/ Mission 2000 en France
/ 25-10-2000
/ Canal-U - OAI Archive
GRATCHEV Andrei
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Les idées fortes de ma conférence : le XXème siècle a été marqué à deux reprises par des tournants historiques qui se sont produits en Russie. À son début - par la Révolution de 1917. à sa fin - par la Perestroïka : tentative d'une partie la plus moderne de la société soviétique de sortir de son propre passé totalitaire et de se rallier au monde. Avec une foi presque religieuse le pays s'est jeté dans la réforme croyant qu'en empruntant à l'Occident les libertés politiques accompagnées du libéralisme économique il pourra finalement accomplir son rêve séculaire - marier la justice sociale à la prospérité. Pour gagner la confiance de ses anciens adversaires, la Russie a accepté de sacrifier son statut de superpuissance et le démantèlement de son Empire. Or, dix ans après la chute du mur de Berlin, nous vivons l'effondrement des espoirs. La société russe, après avoir fait un grand pas en avant semble être rattrapée par son passé et peut faire deux pas en arrière. Et le monde sorti du glacis de la guerre froide découvre la rude réalité des nouveaux conflits et un mur d'incompréhension qui remplace le "rideau de fer". Mot(s) clés libre(s) : communisme, économie de marché, mafia, mikhail sergeevich gorbachev (1931-....), nationalisme, pauvreté, pereistroïka, relations russie-occident, russie (histoire), russie 1917 (révolution)
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Traduire les images du Goulag : problème de fidélité et d'opacité / Liuba Jurgenson
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 25-03-2016
/ Canal-u.fr
JURGENSON Liuba
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Traduire les images du Goulag : problème de fidélité et d'opacité / Liuba Jurgenson, conférence dans le cadre des journées d'études "Introduction à la traductologie" organisées sous la direction scientifique de Vladimir Beliakov (section de slavistique du département Langues étrangères) et du laboratoire LLA-Creatis de l'Université Toulouse Jean Jaurès, le 25 mars 2016.
Parce qu'il se réfère au réel, dans un rapport au vécu particulier, le témoignage se trouve être un texte dont la langue de l'original constitue un contexte indissociable de la création du texte. En ce qui concerne les témoignages sur le Goulag, dans les textes traduits du russe, l"événement lui-même a été vécu dans la langue russe y compris par des sujets non russes. Lorsque l'on va traduire ses textes vers une autre langue, ce sont non seulement les modalités de transposition, que le traducteur va élaborer individuellement, qui vont compter, mais aussi la culture d'accueil qui participe de l'élaboration de l'événement. Dans cette communication, Liuba Jurgenson questionne le statut du témoignage comme construction d'une trace sur l'héritage des violences extrêmes, les mécanismes de transmission de textes qui voulaient faire preuve du système concentrationnaire russe, la traduction du témoignage, parfois 40 à 50 ans après la publication du texte original.
« On sort des problématiques purement traductologiques et purement littéraires, puisque la traduction va participer de l'élaboration de l'événement dans une culture donnée. La construction de l'événement Goulag dans la culture française s'est faite à partir de traductions, elle ne s'est pas faite à partir de textes originaux. Réfléchir sur la traduction va plus loin que les simples questions techniques de vocabulaires ou de style (...) Une autre question quand on passe de l'original à la traduction, est que cette mise en mots, ce passage de l'écrit des survivants a souvent été pensé par eux-mêmes comme une sorte de traduction, vers une langue autre que celle du vécu. Les témoignages eux-mêmes sont traversés par une réflexion sur l'impossibilité de restituer une expérience trop violent, trop dure, une expérience qui suppose une dissolution du sujet, d'absence du sujet à lui-même ». Faire l'épreuve d'un intraduisible relève t-il de la traduction, comment traduire cette dimension justement intraduisible ?
Le témoignage, habituellement considéré comme une source primaire par un historien, un sociologue ou un anthropologue, est-il encore une source primaire lorsque il a été traduit, même le plus fidèlement possible ? « Il y a toujours une médiation qui tire les textes hors de leur origine apportant une sorte d'indistinction entre source primaire et source secondaire ». Enfin, dit Liuba Jurgenson, « pour réfléchir au témoignage et à la traduction u témoignage, on evrait interroger aussi le rapport que notre culture entretient avec la vérité ». Mot(s) clés libre(s) : pratique de la traduction, récit (témoignage), interprétation (traduction), récits de détention russes
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La nouvelle, format obligatoire pour les écrivains soviétiques de SF ? / Patrice Lajoye
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 15-04-2016
/ Canal-u.fr
LAJOYE Patrice
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La nouvelle, format obligatoire pour les écrivains soviétiques de SF ? / Patrice Lajoye, conférence dans le cadre du séminaire "Fictions de mondes possibles" organisé par l'Institut de Recherche Pluridisciplinaire en Arts, Lettres et Langues (IRPALL) de l'Université Toulouse Jean Jaurès, 15 avril 2016.
Comment le récit bref de
science-fiction ou d’anticipation peut-il à certaines périodes bien
précises refléter les visions, les problèmes et les conflits d’un monde
en crise, notamment à partir des épisodes saillants de tension et de
crispation qui ont marqué le XXe siècle et le début du XXIe siècle ?
À partir de 1969, la
science-fiction soviétique, qui jouissait jusqu’alors d’une relative
liberté, est reprise en main par la critique officielle. La publication
de romans ambitieux devient de plus en plus difficile, même pour les
auteurs déjà établis, mais des revues littéraires commencent à publier
au compte-goutte des nouvelles. Les auteurs connaissent alors une
situation particulièrement difficile et voient leur choix de formats de
création se limiter considérablement. Après un bref panorama historique de la littérature de science-fiction soviétique de la fin du 19e sicècle et de la première moitié du 20e siècle, Patrice Lajoye présente plus particulièrement la production littéraire soviétique de la période 1960-2000, avec des écrivains comme Ivan Efrémov (La nébuleuse d'Andromède), les frères Alexandre et Sergueï Abramov, Eremeï Parnov, Alexandre Kazantsev, Pavel Amnoul, Vladimir Pokrovski, Viatcheslav Rybakov. Mot(s) clés libre(s) : nouvelles de science-fiction, littérature russe (20e siècle)
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