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Le printemps des bonzaïs (version française)
/ Léa DOMENACH, Arnold MONTGAULT, Hélium Films
/ 01-01-2009
/ Canal-U - OAI Archive
DOMENACH Léa, MONTGAULT Arnold
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L'économie libérale est un modèle en crise.Aujourd'hui, il existe une alternative : l'économie sociale et solidaire, un modèle qui réhumanise l'économie et crée un monde plus juste, en faisant de chacun d’entre nous un acteur responsable.Les entrepreneurs sociaux sont les précurseurs de ce nouveau modèle.Le Printemps des Bonzaïs dresse le portrait de trois d’entre eux. Marie-Noëlle Besançon dans le domaine de la santé, Jérôme Schatzman dans celui du commerce équitable et Grégoire Héaulme dans le microcrédit.Ils partagent avec nous leurs espoirs, leurs valeurs, leurs doutes, et nous montrent comment leur position de pionnier les force chaque jour à inventer de nouveaux cadres et comment ils affrontent les défis de l’avenir. Mot(s) clés libre(s) : commerce équitable, économie sociale, microcrédit
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/ Léa DOMENACH, Arnold MONTGAULT, Hélium Films
/ 01-01-2009
/ Canal-U - OAI Archive
DOMENACH Léa, MONTGAULT Arnold
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Mot(s) clés libre(s) : commerce équitable, économie sociale, microcrédit
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Le printemps des bonzaïs (version anglaise)
/ Léa DOMENACH, Arnold MONTGAULT, Hélium Films
/ 01-01-2009
/ Canal-u.fr
DOMENACH Léa, MONTGAULT Arnold
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Global economy is a model that is showing its limits.
Today, an alternative exists: Social Business. This new business model brings moral back into the economy and creates a fairer world by making each one of us a responsible actor. Social entrepreneurs are the leaders of this new model.
"Le printemps des bonzais" draws the portrait of 3 of them. Marie-Noëlle Besançon is working on Health Care, Jérôme Schatzmann on Fair Trade and Grégoire Héaulme on Microfinance.
They share with us their hopes, their values, their doubts and show though as pioneers, they are forced to create everyday new frames and rules and how to face the challenges of the future. Mot(s) clés libre(s) : commerce équitable, économie sociale, microcrédit
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Le mythe du viol fondateur aux Antilles françaises : un récit du métissage qui en cache un autre / Stéphanie Mulot
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Claire SARAZIN, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 15-10-2014
/ Canal-u.fr
MULOT Stéphanie
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Le mythe du viol fondateur aux Antilles françaises : un récit du métissage qui en cache un autre / Stéphanie Mulot, in colloque "Les Amériques noires : identités et représentations",
organisé par le Pôle Sud-Ouest de l'Institut des Amériques, l'Institut de recherche et études culturelles (IRIEC), l'Institut Pluridisciplinaire pour les Études sur
les Amériques à Toulouse (IPEAT) et le laboratoire Cultures Anglo-Saxonnes (CAS), Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, 15-18 octobre 2014. Thématique 4 : Récits identitaires.Un débat virulent sur la place de l'esclavage dans l'histoire coloniale anime le discours public aux Antilles françaises. Diverses stratégies mémorielles témoignent des différentes affiliations choisies par les acteurs contemporains. L'analyse d'un mythe présent dans l'imaginaire antillais -celui du viol fondateur- permet de montrer que le rapport à l'histoire bute sur des nœuds mémoriels qui entretiennent les représentations du trauma originel et enferment les acteurs contemporains dans des conflits fratricides. La représentation de l'origine du métissage et de la population née dans l'esclavage dans un viol s'oppose à l'idée de rencontres sexuelles désirées. L'analyse de ces deux scénarii montre que de telles représentations inhibent la construction d'une mémoire réconciliée, aux composantes multiples, alors que le processus de créolisation a pourtant contribué à la diversification des affiliations identitaires possibles. Mot(s) clés libre(s) : mythe, représentations sociales, esclavage (mémoire collective), Noirs (identité collective), Antilles (19e-21e siècles), viol et esclavage
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Le médecin et ses malades : les progrès de la recherche médicale
/ Mission 2000 en France
/ 27-03-2000
/ Canal-U - OAI Archive
SICARD Didier
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"Le malade est devenu un ""usager"" du système de santé, son corps un produit de la science et de la technique. Les enjeux économiques considérables peuvent être à la source de nouveaux besoins de santé, suscités par l'économie elle-même. L'information du public sans limite par les nouveaux moyens de communication encourage l'autoprescription et l'espoir infini et incessant dans la révolution thérapeutique et dans les performances médicales et chirurgicales de plus en plus spectaculaires. La sécurité maximale est une exigence croissante. Ces changements radicaux de culture s'accompagnent de nouveaux rapports moins paternalistes médecin/malade et d'une revendication du droit des malades à l'accès direct à leur dossier, à un partenariat, à une information de plus en plus précise. Cette nouvelle ère où la recherche occupe une place si importante ne doit pas faire oublier que l'écoute d'une plainte, l'attention aux plus démunis, aux plus désespérés, à ceux qui terminent leur vie restent au coeur de l'acte médical, dans le respect le plus absolu du secret. La dimension économique privilégie cependant plus les changements culturels, que l'écoute et l'approche individuelle du malade. Elle impose des choix de santé qui impliquent des responsabilités tant au niveau collectif d'information, de prévention et d'évaluation, qu'au niveau individuel où le citoyen devra assumer sa responsabilité en prenant conscience que la façon dont il gère sa santé retentira de façon croissante sur l'ensemble de la société. La déshumanisation d'une médecine devenue technologique va de pair avec la place croissante du généraliste comme décrypteur, conseiller, et agent de santé publique." Mot(s) clés libre(s) : anxiété, liberté, politique, respect, responsabilité, savoir, sécurité sociale, vérité
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Le droit et les frontières
/ Philippe KERGRAISSE, Direction de l'Image et de l'Audiovisuel de l'EHESS
/ 27-05-2016
/ Canal-u.fr
RENUCCI Florence, CERUTTI Simona, SLAMA Serge, DARLEY Mathilde, LACOMBE Cyril
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Table ronde Le droit et les frontières
Cette première table ronde s’interroge sur les frontières nationales au sens classique, telles qu’elles sont institutionnalisées et réitérées par le droit et la justice. L'historienne, Simona Cerrutti, revient sur le cas de la Méditerrannée à l’époque moderne en montrant comment la « condition d’incertitude » qui était celle de l’étranger n’était pas pour autant dépourvue de ressources d’action. Par contraste, l’analyse du juriste Serge Slama, pointe comment à Mayotte, l’une des frontières de la France, s’éprouve particulièrement la fragilité de certains de nos principes juridiques. Enfin, troisième éclairage, l’étude de la saisie institutionnelle du phénomène de la traite des êtres humains par Mathilde Darley conduit à mettre en évidence comment les institutions tentent de saisir des phénomènes par définitions transnationaux et donc transfrontières.
Animatrice : Florence RENUCCI, directrice adjointe de la Mission de recherche droit et justice
Conditions d’incertitude : le cas des étrangers en Méditerranée à l’époque moderne par Simona CERUTTI, EHESS
Frontières du droit, frontières de l’hospitalité par Serge SLAMA, université de Paris Ouest Nanterre La Défense
La traite des êtres humains saisie par les institutions par Mathilde DARLEY, CNRS, CESDIP, centre March Bloch
Discutant : Cyril LACOMBE, vice-procureur, point de contact Eurojust du groupe de travail sur la traite des migrants Mot(s) clés libre(s) : droit pénal, justice, sciences humaines et sociales, recherche
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Le droit chez Kant (par Jean-François Kervégan)
/ Pascal CECCALDI, Lycée d’Etat Jean Zay - Internat de Paris
/ 12-01-2012
/ Canal-u.fr
KERVÉGAN Jean-François
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La Révolution française, commence Jean-François Kervégan, a eu un impact considérable sur la philosophie allemande. Cette révolution s'est faite au nom de principes et au nom du droit. C'est une révolution philosophique. Les débats qui l'ont précédée sont nourris de philosophie. De l'autre côté du Rhin, une autre révolution a eu lieu, celle du kantisme. Mais c'est une révolution philosophique. Si bien que Hegel a pu dire des Allemands qu'ils avaient fait en théorie ce que les Français avaient réalisé en pratique.La philosophie juridique et politique de Kant constitue un commentaire spéculatif de la Révolution française. Celui-ci commence par une refonte de la problématique du contrat social.À la différence de ses prédécesseurs, Kant rejette l'hypothèse d'un état de nature ou d'un contrat social primitif. Ni l'un ni l'autre ne sont un objet d'expérience, ils ne peuvent donc être connus. Le contrat social doit être conçu comme la norme rationnelle de toute communauté politique effective. Il représente une idéalité, la condition normative de légitimité de l'autorité politique. Tout doit donc se passer comme si le pouvoir légitime était fondé sur un contrat originaire de chacun avec chacun. La société politique est normativement fondée sur le contrat social. Elle se distingue de toutes les formes d'associations qui ne présupposent pas l'idéalité normative du contrat social. La société politique est une construction normative. L'état de nature s'en distingue car il ne repose pas sur une norme. Cet état de nature n'est d'ailleurs pas exclusif de toute vie sociale.La constitution de la société politique repose sur des principes de droit public. Ces principes sont au nombre de trois : la liberté, l'égalité et l'indépendance. Le premier de ces trois droits et le plus important. Le principe de liberté s'applique à l'homme. C'est un droit antérieur à la société politique mais qui ne prend sens qu'à l'intérieur de celle-ci. Le principe d'égalité juridique des sujets du pouvoir signifie que ceux-ci ont un pouvoir de contrainte mutuelle. Il n'y a pas d'inégalité juridiquement valable. Les privilèges doivent être abolis. Le principe d'indépendance concerne l'indépendance économique des citoyens. Elle est, selon Kant, la condition de leur indépendance politique.Antoine de La TailleProfesseur de CPGE - Philosophie Mot(s) clés libre(s) : contrat social, Völkerbunt, droit cosmopolitique, Staatsbürger, Révolution française de 1789, Déclaration des droits de l’homme et du citoyen, état de nature, théorie du contrat, pacte social, républicanisme, Etat de droit
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Le droit chez Kant
/ Pascal CECCALDI, Lycée d’Etat - Jean Zay - Internat d'excellence
/ 12-01-2012
/ Canal-U - OAI Archive
KERVÉGAN Jean-François
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La Révolution française, commence Jean-François Kervégan, a eu un impact considérable sur la philosophie allemande. Cette révolution s'est faite au nom de principes et au nom du droit. C'est une révolution philosophique. Les débats qui l'ont précédée sont nourris de philosophie. De l'autre côté du Rhin, une autre révolution a eu lieu, celle du kantisme. Mais c'est une révolution philosophique. Si bien que Hegel a pu dire des Allemands qu'ils avaient fait en théorie ce que les Français avaient réalisé en pratique.La philosophie juridique et politique de Kant constitue un commentaire spéculatif de la Révolution française. Celui-ci commence par une refonte de la problématique du contrat social.À la différence de ses prédécesseurs, Kant rejette l'hypothèse d'un état de nature ou d'un contrat social primitif. Ni l'un ni l'autre ne sont un objet d'expérience, ils ne peuvent donc être connus. Le contrat social doit être conçu comme la norme rationnelle de toute communauté politique effective. Il représente une idéalité, la condition normative de légitimité de l'autorité politique. Tout doit donc se passer comme si le pouvoir légitime était fondé sur un contrat originaire de chacun avec chacun. La société politique est normativement fondée sur le contrat social. Elle se distingue de toutes les formes d'associations qui ne présupposent pas l'idéalité normative du contrat social. La société politique est une construction normative. L'état de nature s'en distingue car il ne repose pas sur une norme. Cet état de nature n'est d'ailleurs pas exclusif de toute vie sociale.La constitution de la société politique repose sur des principes de droit public. Ces principes sont au nombre de trois : la liberté, l'égalité et l'indépendance. Le premier de ces trois droits et le plus important. Le principe de liberté s'applique à l'homme. C'est un droit antérieur à la société politique mais qui ne prend sens qu'à l'intérieur de celle-ci. Le principe d'égalité juridique des sujets du pouvoir signifie que ceux-ci ont un pouvoir de contrainte mutuelle. Il n'y a pas d'inégalité juridiquement valable. Les privilèges doivent être abolis. Le principe d'indépendance concerne l'indépendance économique des citoyens. Elle est, selon Kant, la condition de leur indépendance politique.Antoine de La TailleProfesseur de CPGE - Philosophie - Lycée d'Etat Jean Zay Internat d'excellence Mot(s) clés libre(s) : contrat social, droit, Kant, Kervégan, philosophie, politique
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Le déchet : représentations sociales et contexte socio-normatif
/ Université Paris I Panthéon-Sorbonne, Florent ALIAS, UVED
/ 11-03-2014
/ Canal-u.fr
CAUSSE Elsa
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Elsa Causse revient sur les représentations sociales liées aux déchets ménagers, qui peuvent permettre de mieux comprendre les résistances observées lors de la mise en place de campagnes de prévention des déchets. Mot(s) clés libre(s) : représentations sociales, consommation responsable, prévention des déchets, acceptabilité
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Le contrat social
/ ENS-LSH/SCAM, ENS-LSH / UOH /CANAL PHILO / SCAM, UOH - Université Ouverte des Humanités
/ 15-10-2007
/ Canal-U - OAI Archive
MOREAU Pierre-François
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Les essentiels : La philo par les mots - Le contrat socialEquipe technique :Directeur de la production: Christophe Porlier, Réalisation: Pascal Grzywacz, Image: Sébastien Boudin, Son: Xavier comméat Mot(s) clés libre(s) : contrat social, philosophie, politique
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