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Doit-on et peut-on reformuler les valeurs universelles ?
/ THEO CHARAMOND, Elisabeth de PABLO, Archives Audiovisuelles de la Recherche
/ 11-12-2013
/ Canal-u.fr
WIEVIORKA Michel
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La conférence " Doit-on et peut-on reformuler les valeurs universelles ? " a été donnée, le 11 décembre 2013, à la Fondation Calouste Gulbenkian en partenariat avec le Collège d'études mondiales - Fondation Maison des sciences de l'homme.
Michel WIEVIORKA est sociologue, docteur d'Etat ès Lettres et Sciences Humaines, directeur d'études à l'École des Hautes Études en Sciences Sociales et, depuis 2009, Administrateur de la Fondation Maison des sciences de l'homme.
Ses recherches ont porté ou portent sur la notion de conflit, le terrorisme et la violence, sur le racisme, l'antisémitisme, sur les mouvements sociaux, la démocratie ainsi que sur les phénomènes de différence culturelle.
>> En savoir plus : http://www.fmsh.fr/fr/c/4124
>> Ecoutez la version sonore en .mp3 sur SoundCloud, cliquez ici
>> Vidéo extraite de la collection "Séminaires" des Archives Audiovisuelles de la Recherche, lien direct sur AAR. Mot(s) clés libre(s) : sociologie, recherches en sociologie
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Résilience des clusters industriels et réseaux / Jérôme Vicente
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 07-04-2014
/ Canal-u.fr
VICENTE Jérôme
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Résilience des clusters industriels et réseaux / Jérôme Vicente, in colloque "Comprendre les mondes sociaux 2014", organisé par Le Labex Structuration des Mondes Sociaux (SMS) de l'Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail. Toulouse, Centre de congrès Dominique Baudis, 7-9 avril 2014. Mot(s) clés libre(s) : sociologie (recherche)
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Les mondialisations discrètes / Olivier Pliez
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 07-04-2014
/ Canal-u.fr
PLIEZ Olivier
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Les mondialisations discrètes / Olivier Pliez, in colloque "Comprendre les mondes sociaux 2014", organisé par Le Labex Structuration des Mondes Sociaux (SMS) de l'Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail. Toulouse, Centre de congrès Dominique Baudis, 7-9 avril 2014. Mot(s) clés libre(s) : mondialisation, sociologie (recherche)
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La fabrique des lieux de prostitution / Sibylla Mayer
/ Franck DELPECH, SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 19-11-2014
/ Canal-u.fr
MAYER Sibylla
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La fabrique des lieux de prostitution / Sibylla Mayer. In "La prostitution urbaine en Europe du Moyen Age à nos jours", journée d'étude organisée par le laboratoire France Méridionale et Espagne (FRAMESPA) à l'Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, 19 novembre 2014. Comment
la sociologie française a-t-elle abordé le lien entre la prostitution
et ville et qu'est-ce que cela nous apprend ou ne nous apprend pas sur
la fabrique des lieux de prostitution, sur ce qui fait ou défait les
lieux de prostitution dans la ville ? Pour répondre à ces questions,
Sibylla Mayer s'est penchée sur la littérature sociologique des années
1990 à 2008, produite par des chercheurs travaillant en France et
étudiant la prostitution dans les villes métropolitaines. Cette
production scientifique, féconde, tournée vers la prostitution de rues,
apparaît directement liée à une série de changements de la réalité
phénoménologique de la prostitution, rendus d'autant plus visibles pour
les chercheurs que pour les habitants des quartiers et les élus locaux
qu'ils se déroulent dans l'espace public et qu'ils ont conduit les
pouvoirs publics à décider de nouvelles réglementations pour encadrer la
prostitution. Cartographier les lieux, les types de prostitution et
leur clientèle est une étape préliminaire dans l'étude de la
prostitution (Welzer-Lang et al., 1994), qui servira à contextualiser
des analyses développées ultérieurement comme celle de Stéphanie Pryen
en 1999 sur la prostitution lilloise ou l'enquête de Handman et
Mossuz-Lavau sur la prostitution à Paris (2005). A la fin des années 90,
dans un contexte de politisation de la prostitution, la recherche
scientifique va approfondir sa dimension urbaine selon trois échelles : la première se concentre sur les trottoirs territoires appropriés par les activités prostitutionnelles, la deuxième à l'échelle du quartier avec ses enjeux de cohabitation et l'émergence de mobilisations riveraines, la troisième à l'échelle de la ville comme entité politique. Mot(s) clés libre(s) : France (20e siècle), sociologie (recherche), prostitution urbaine
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Comprendre les mondes sociaux : introduction / Michel Grossetti
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 07-04-2014
/ Canal-u.fr
GROSSETTI Michel
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Comprendre les mondes sociaux : introduction / Michel Grossetti. In "Comprendre les mondes sociaux 2014", colloque organisé par Le Labex Structuration des Mondes Sociaux (SMS) de l'Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail. Toulouse, Centre de congrès Dominique Baudis, 7-9 avril 2014.Dans un monde devenu opaque et incertain, un moment historique de crise et de doute, les sciences sociales sont plus que jamais indispensables, non pour proposer des solutions toutes faites, ou une « grande théorie » qui offrirait une grille de lecture universelle, mais plus modestement pour partager leurs résultats, leurs démarches, leurs questionnements. Il y quelques décennies, on s’en remettait à des sciences sociales encore en construction pour décrypter le monde et ses évolutions. On parlait à l’époque de « société », de « système » ou de « structure ». Enthousiasmés par leurs théories encore neuves, les chercheurs n’hésitaient pas à se lancer dans des interprétations globales, des « grands récits », parfois contradictoires et insuffisamment fondés empiriquement, mais qui séduisaient de nombreux lecteurs, parfois guidaient des mouvements sociaux ou des choix politiques. Certaines de ces œuvres sont à présent des références incontournables, d’autres sont tombées dans l’oubli. Et puis, les temps ont changé, certaines utopies transformatrices ont perdu de leur séduction. D’un questionnement du social, les préoccupations se sont déplacées vers l’individu, sa réussite personnelle, son entourage proche. Les gouvernements se sont de plus en plus appuyés sur des formes mathématisées d’analyse économique en phase avec des postulats individualistes et les logiques supposées des marchés.Mais, dans le même temps, les sciences sociales ont poursuivi leur progression. Leurs méthodes se sont raffinées, les études se sont accumulées, les chercheurs ont mieux pris la mesure de la complexité de ce qu’ils ont appris à nommer plus prudemment qu’auparavant le «monde social » ou, encore plus prudemment, des « mondes sociaux », sans préjuger de l’organisation et de la cohérence de ce qu’ils observaient. Ils ont pu vérifier toutefois la justesse des intuitions qui sont à l’origine de leurs sciences : la vie sociale est plus qu’une somme d’activités individuelles, elle n’est pas réductible à un vaste marché, elle est faite de multiples liens, de solidarités, de normes, de formes sociales complexes dotées d’une certaine inertie. Elle est inscrite dans des processus historiques multiples et ancrée dans des lieux hétérogènes, irréductibles à un espace indifférencié et parfaitement fluide. Elle n’obéit pas à des lois similaires à celles de la physique : on ne peut ni la mettre en équation, ni produire sur elle des prévisions certaines. Mais elle n’est cependant pas dénuée de régularités d’ordres, de logiques, que l’on peut décrire, comprendre et analyser. On peut réfuter certaines interprétations ou certaines analyses et en défendre d’autres, sur la base de données empiriques et d’arguments logiques. Il faut pour cela un travail patient de collecte d’informations, de confrontation des analyses. C’est ce travail qui est effectué dans les laboratoires, partout dans le monde.A Toulouse, la recherche en sciences sociales est effectuée dans des unités de recherches qui comprennent plusieurs centaines de chercheurs en sociologie, anthropologie, géographie, histoire, économie, science politique, science de la communication. Ces chercheurs se sont dotés d’un outil commun, le « Laboratoire d’excellence » Structurations des mondes sociaux. Mot(s) clés libre(s) : sociologie (recherche)
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La dispersion au travail / Caroline Datchary
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 07-04-2014
/ Canal-u.fr
DATCHARY Caroline
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La dispersion au travail / Caroline Datchary, in colloque "Comprendre les mondes sociaux 2014", organisé par Le Labex Structuration des Mondes Sociaux (SMS) de l'Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail. Toulouse, Centre de congrès Dominique Baudis, 7-9 avril 2014. Mot(s) clés libre(s) : organisation du travail, sociologie (recherche), temps de travail
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Éthnographie quantitative de la logistique piétonne et cycliste des consommateurs : Toulouse, XXe-XXIe siècles / Franck Cochoy
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 09-04-2014
/ Canal-u.fr
COCHOY Franck
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Éthnographie quantitative de la logistique piétonne et cycliste des consommateurs : Toulouse, XXe-XXIe siècles / Franck Cochoy , in colloque "Comprendre les mondes sociaux 2014", organisé par Le Labex Structuration des Mondes Sociaux (SMS) de l'Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, Toulouse, Centre de congrès Pierre Baudis, 7-9 avril 2014. Mot(s) clés libre(s) : circulation urbaine, sociologie (recherche), piétons, Toulouse (20e-21e siècles)
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Portrait de recherche 1 - Anne Gotman
/ Canal-u.fr
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Les PORTRAITS DE RECHERCHE du CERLIS (Sorbonne
Paris Cité, Université Paris Descartes, CNRS UMR 8070) sont des vidéos
qui présentent des
recherches menées par les membres du laboratoire. En décembre 2015, a
été mis en ligne sur le nouveau site du laboratoire (www.cerlis.eu), le
Portrait consacré à Anne Gotman (DR CNRS). Il a été réalisé par Valérie
Borst, d’après une idée originale de Olivier Martin (Directeur du
CERLIS) et Séverine Dessajan.
Mot(s) clés libre(s) : croyances, sociologie (recherche), Parcours de chercheur
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Forum Nîmois - Charles GIDE - MAFFESOLI--STROHL
/ Canal-u.fr
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L’activité de notre association Charles Gide reprend, pour son cycle de conférences "le forum Nîmois Charle GIDE" Jean MATOUK président de l'assosiation et professeur des universités recoit, le 11 avril 2013, à la maison du protestantisme à Nîmes Hélène Strohl et Michel MaffesoliC’est la
troisième fois que le Forum nîmois Charles Gide t’accueille , Michel , et la
deuxième fois avec ton épouse. C’est dire si nous apprécions vos prestations,
même si tout le monde ici n’est pas toujours d’accord avec vos assertions
Vous avez
d’autant plus de de mérite de venir ce soir, qu’en fait ce que vous allez nous
exposer est inclus dans le livre que vous co-signez et qui ne paraîtra que
début novembre, sous le titre : « Communautarismes ?». Je
prends donc, au nom du Forum, l’engagement que nous serons nombreux à
acheter ce livre dès qu’il paraîtra et les livres que sont proposés ici ce
soir, sont d’ailleurs une excellente introduction à ce nouvel ouvrage.
En fait
d’ailleurs toute ton œuvre, Michel, en
est un introduction.
Je rappelle
que tu es né en 1944 à Graissessac dans l’Hérault. Tu es donc des nôtres. Après
une longue carrière que j’ai déjà décrite et que nos membres peuvent consulter
dans mes introduction « lisibles « sur Canal U, tu as été plus de
trente ans durant, professeur à Paris
Descartes Sorbonne. Tu es membres de
l’Institut de France.
Tu avais
fondé avec le grand anthropologue Georges Balandier , le Centre d’étude sur
l’actuel et le quotidien.
Tu as reçu en
1982 le grand prix des sciences humaines de l’Académie française . En 2011 tu as
été reçu Docteur honoris Causa à l’Universidade do Minho à Braga au Portugal et
a prononcé de nombreux cours et conférences au Brésil.
Tu es un auteur plus que fécond, outre de nombreuses
préfaces et articles tu as écrit , si j’ai bien compté, 31 livres. Je cite les deux derniers « Imaginaire et Postmodernité, chez Manucius en 2014
et « L’ordre des choses :
Penser la postmodernité », CNRS Éditions, 2014, qui est en vente
ici ce soir.
Ton épouse ,Hélène
Strohl, , historienne, étudiante en
théologie, avant d’entrer à l’ENA, a eu
une carrière très brillante de haut fonctionnaire . Elle l’a terminée comme
Inspectrice générale des affaires sociales, ce qui lui a permis d’étudier, de
visiter oserais-je dire, le social en détail, et de rédiger le dernier livre
pour lequel nous l’avions invitée : « l’Etat social ne fonctionne plus .
Elle a, en
outre, écrit de nombreux articles dans
diverses revues . J’en cite quelques-uns, pour montrer la variété de ses
compétences : « Le soin contraint ne peut remplacer l’offre adaptée
de soins », « Reconnaitre les solidarités de proximité, « Trois questions relatives à
l’intervention sociale communautaire », « Action sociale et santé mentale.
Mariage d’amour ou mariage arrangé ».
Vous
avec aussi publié, tous deux, un
certain nombre d’articles , par exemple : « La fausse conscience
contemporaine » dans la revue
Société en 2014 et, bien sur, « Les nouveaux bien pensants » aux Editions du Moment en 2014, également en vente ce soir.
Vous publierez donc, en novembre, , un livre intitulé, je crois « Communautarismes ? » avec
un point d’interrogation.
Si vous êtes époux dans la vie, vous avez aussi une manière commune». de « voir »
la société, pour le moins originale, qui
t’a valu, Michel, des controverses au cours de ta carrière, par rapport
auxquelles m’est toujours venu à l’esprit, sans pour autant me croire devenu
magistrat des pensés, le célèbre adage
juridique latin qui s’imposait aux magistrat : de minimis non curant pretor »
Hélène,
tu as ainsi bousculé pas mal d’idées reçues dans le domaine de l’action sociale
et sanitaire de l’Etat. Quand à toi évidemment , Michel, c’est ta vision
post-moderne de la société que l’on peut
faire débuter, sauf erreur que tu corrigeras, au « Temps des tribus »
de 1988, approfondie et « appliquée » dans un trop grand nombre de
livres pour que je les cite- je cite quand même Homo eroticus » que tu
étais venu commenter devant nous- que tu vois notre société, si elle existe
encore à tes yeux. Contrairement à la pensée mystique pré-moderne, qu’on trouve
quand même présente chez certains contemporains, sur des thèmes comme le mariage, ou la
procréation , mais contrairement aussi à la raison moderne, qui veut voir la
société comme le produit d’une construction raisonnable, depuis Rousseau, tu la
vois, toi avec les autres post-modernes, comme un assemblage , une mosaïque de
groupes, de tribus, unis au quotidien,
sans vision d’avenir autre que leur groupe, par l’émotion, l’instant, les racines (mot je te dis tout de suite que je ne l’aime
pas) .
Depuis
que je te connais, que je te lis, que je
vous lis, j’ai toujours été partagé. Ce que tu décris, je le vois bien, en
France comme ailleurs. Je ne sais pas si tu te souviens, mais lors de ta
deuxième intervention, un africain du Sénégal, qui faisait d’ailleurs fonction
de cameraman, à la fin s’est levé et a dit : « mais, la post-modernité, c’est nous, c’est notre société »,
évoquant évidemment le comportement très émotionnel, peu rationnel à nos yeux
de nombre d’africains. Je vois nos jeunes, cette fameuse génération Y, avoir
des comportements anti-partis politiques, anti-politique tout court, se réunir
dans des mouvements soudains mais temporaires comme « Occupy Wall street » ou
le mouvement de la « Plazza major » en Espagne. Nicolas Sarkozy avait
d’ailleurs bien saisi cette situation et organisé sa campagne victorieuse de 2007
autour de ce constat, et , pour une part, poursuivi dans sa politique même, ce
qui avait conduit Marcel Gauchet, que nous avons reçu cet hiver, a dire qu’il
avait été un président post-moderne.
Mais
si je vois tout cela, je doute sur deux points. D’abord sur le plan politique
même. Je vois la montée de mouvements comme Podemos en Espagne, comme Syriza en
Grèce ( tu remarqueras que je n’y met pas le sursaut travailliste de gauche
anglais qui, lui, est très traditionnellement moderne dans sa vieillesse
idéologique) . Certes, ils sont peut-être issus des sursauts collectifs que je
viens de citer, mais ils se sont saisi des mairies en Espagne, et se posent des
questions de gestion qui, quand même ont ; pour soubassement, le bon vieux
contrat social.
Je
doute aussi parce que je ne vois toujours pas comment conduire une nation, un
peuple, s’il n’est qu’une mosaïque, aux parcelles cohabitantes , mais non
coordonnées. Quelle conduite politique
adopter ?
Et
puis je m’interroge évidement sur les évènements actuels, et je me doute
que c’est ce dont vous traitez aussi
dans votre livre. Comment
considérez-vous des sursauts comme le salafisme, fondement du djihadisme. Tout
cela nous ramène, pour le salafisme à la contre-réforme, l’inquisition même, complètement pré-modernes. Mais aussi aux
grandes compagnies médiévales pour le djihadisme qui n’est qu’un mélange
d’anciens trafiquants de drogue et soldats irakiens perdus, liés par l’intérêt,
mais utilisant l’émotion, et donc la personnalité post-moderne de jeunes musulmans d’origine ou convertis,
pour les embrigader.
Comment les « post-modernes
expliquent-ils que cette sauvagerie elle-même, qui , mise en ligne, entraine
l’adhésion irrationnelle de tant d’apprentis égorgeurs. C’est je pense ce dont
vous allez traiter maintenant. Nous vous
écoutons avec beaucoup d’intérêt. Mot(s) clés libre(s) : sociologie, recherches en sociologie
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