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FINE 2014 - Xèmes Conférence Internationale : La concrétisation de la recherche par un PHRIP
/ Canal-u.fr
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Titre : La concrétisation de la recherche par un PHRIPIntervenant : Martine LESNY, CHU de Nancy - FRANCEConférence enregistrée lors de la Xème Coférence Internationale du 24 au 26 septembre 2014 "La formationet l'exercice infirmier : quel avenir ?" à la Faculté de Médecine de Nancy (Université de Lorraine) - FRANCERéalisation, production : Canal U3S - CERIMES avec le partenariat de l’UNF3S. Mot(s) clés libre(s) : CEFIEC, 2014, FINE, Soins Infirmiers, ETHOS, Nancy, Enseignannts en soins infirmiers, fine-europe.eu
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SFAP 2011 Atelier A4 : Agonie et moment de la mort.
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 28-06-2011
/ Canal-U - OAI Archive
AMARA S.
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Titre : SFAP 2011 Atelier A4 : Agonie et moment de la mort.Auteur(s) : S. AMARA (Médecin- Tunisie).Résumé : Agonie et moment de la mort : Mourir à la maison ou en institution ? Table ronde. Tunisie , soins palliatifs, prise en charge à domicile.L’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée.Conférence enregistrée lors du 1er Congrès international francophone de soins palliatifs et d’accompagnement & 17ème Congrès de la Société Française d’Accompagnement et de Soins Palliatifs (SFAP). A la rencontre de nos diversitésDu 28 au 30 juin 2011 au Centre Cité de Congrès de Lyon. Atelier A4 – Agonie et moment de la mort.Organisé avec le partenariat de l’UNF3S/UMVF.Réalisation, production : Canal U/3S et CERIMES Mot(s) clés libre(s) : accompagnement, agonie institution, douleur, mourir, SFAP 2011, soins palliatifs
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CESU 2011: Compréhension des patients au sortir d'un espace d'urgence
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 30-11-2011
/ Canal-U - OAI Archive
AMMIRATI Christine
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XXIV Colloque national des CESU au palais des congrès de Strasbourg du 30 novembre au 2 décembre 2011. CESU: Centre d'Enseignement des Soins d'Urgence. Intervenant: Christine Ammirati L’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée. Organisateur: CESU 67 70 rue de l'Engelbreit 672000 STRASBOURG colloquedescesu@chru-strasbourg.fr 0369553110 Étude de la compréhension des patients au sortir d’un service d’urgence : nécessité d’un enseignement des principes de communication pour les professionnels de santé AMMIRATI C, GIGNON M, MERCIER R, DETAVE M, AMSALLEM C. CESU 80 christine.ammirati@chu-amiens.fr Que comprennent les patients sortant d’un service d’urgence concernant le diagnostic, les prescriptions et les modalités de surveillance proposées ? Les données de la littérature étrangère mettent en évidence des facteurs prédictifs de mauvaise compréhension. Qu’en est-il dans les services d’urgence français ? Quelles sont les pistes possibles d’amélioration ? Pour débuter une réflexion, une étude qualitative prospective a été menée. Méthode Des entretiens semi-dirigés ont été réalisés par un soignant n’appartenant pas au service, chez des patients majeurs, sans troubles cognitifs, sortant des urgences après consultation. Les items relevés concernaient des données générales, dont le niveau d’études, le degré de satisfaction, par rapport à la qualité ressentie des explications données et au temps qui leur a été consacré (échelle de Likert à 4 niveaux), la concordance entre ce qui était compris par le patient et ce qui était noté par le médecin (diagnostic, thérapeutique, éléments de surveillance). Résultats Trente-six patients ont été inclus (H/F : 1,25 ; âge moyen 41 ans). 97 % étaient globalement satisfaits de l’information donnée et du temps consacré. Le diagnostic était concordant pour 92 % d’entre eux. Lorsqu’une prescription était réalisée (n= 29), 42 % (n=12) n’avaient objectivement pas compris les termes de l’ordonnance. Sur les trois patients qui devaient réaliser des examens complémentaires en ambulatoire, deux n’en avaient pas compris l’objectif. Les facteurs associés à une mauvaise compréhension sont le niveau socio-économique défavorisé et la qualité de rédaction de l’ordonnance. Discussion Les résultats de ce travail qualitatif rejoignent ceux de travaux à l’étranger. Il est à noter que les patients soulignent le fait qu’ils « n’osent pas demander ». Ainsi, malgré un ressenti positif, certains éléments essentiels du dialogue ne sont pas compris. Conclusion Pour faciliter l’observance, il est indispensable d’améliorer la qualité des documents qui sont remis au patient. Un effort doit également porter sur les facteurs favorisant la communication. Un enseignement de la communication en situation d’urgence est réalisé en DCEM2 par l’équipe du CESU 80 depuis 15 ans. Les résultats de cette étude préliminaire encouragent à développer ce type de formation. Mot(s) clés libre(s) : 2011, CESU, enseignement, soins, Strasbourg, urgence
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Soins d'abcès chez l'enfant, comment les infirmieres peuvent modifier les pratiques médicales
/ 14-01-2007
/ Canal-U - OAI Archive
ANNEQUIN D.
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Ce film de 12 minutes retrace comment des infirmières d'un service de chirurgie pédiatrique ont pu complètement modifier les pratiques médicales en matière de soins douloureux. Tout le personnel était anxieux de réaliser ce soin. Un questionnaire, puis un dossier ont été réalisés. Les résultats chiffrés de ces audits internes ont convaincu les chirurgiens de changer leurs pratiques aboutissant.
Origine
FILMED : 106 5402 067
Générique
Auteur : Annequin D. FILMED : 106 5402 067 Mot(s) clés libre(s) : abcès, bonne pratique, douleur, enfant, FILMED, MEOPA, soins infirmiers
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JACOTES 2011 – Fin de vie et cancer : Attitude adopter en dehors de toute action thérapeutique.
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 13-05-2011
/ Canal-U - OAI Archive
AUBRY Régis
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Titre : JACOTES 2011 – Fin de vie et cancer : Quelle attitude adopter en dehors de toute action thérapeutique ?Intervenant : Régis AUBRY (Professeur, responsable du département douleur/Soins palliatifs du CHU de Besançon. Président de l’observatoire national de la fin de vie. Coordonnateur du programme national de développement des soins palliatifs – Ministère de la Santé)Résumé : Comment prendre une décision de limitation ou d’arrêt d’un traitement spécifique.L’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée.Conférence enregistrée lors des 2ème Journées d’Actualité en Oncologie Thoracique de l’Est (JACOTES) - 13 et 14 mai Mémorial Charles de Gaulle Colombey les 2 Eglises. Présidente : Virginie WESTEEL (Professeur, CHU de Besançon). Modérateurs : Bertrand MENNECIER (CHU de Strasbourg) et Dominique SPAETH (Clinique de Gentilly, Nancy)Organisé avec le partenariat de l’UNF3S/UMVF Réalisation, production : Canal U/3S - CERIMES Mot(s) clés libre(s) : cancer, douleur, JACOTES 2011, oncologie, pneumologie, soins palliatifs
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CESU 2011: Connaissances acquises lors la formation gestes et soins d'urgence
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 30-11-2011
/ Canal-U - OAI Archive
AUDO Xavier
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CESU 2011: Evaluation à distance des connaissances acquises lors de la formation gestes et soins d'urgence initiale XXIV Colloque national des CESU au palais des congrès de Strasbourg du 30 novembre au 2 décembre 2011. CESU: Centre d'Enseignement des Soins d'Urgence. Intervenant: Xavier AUDO L’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée. Organisateur: CESU 67 70 rue de l'Engelbreit 672000 STRASBOURG colloquedescesu@chru-strasbourg.fr 0369553110 Évaluation à distance des connaissances acquises lors de la formation gestes et soins d’urgence (GSU) initiale AUDO X, LE GLOAN K, FERREIRA V, LONGO L. CESU 44 xavier.audo@chu-nantes.fr Objectif Évaluer « les connaissances acquises » à 4 ans de la formation initiale GSU de niveau 2 des techniciens préleveurs de laboratoire. Méthodologie Questionnaire individuel, anonyme, distribué en début de formation continue GSU, comportant 15 questions à choix multiples volontairement sans ambiguïtés. Les thèmes abordés sont représentatifs d’une formation complète. Temps de remplissage libre. Analyse descriptive des questionnaires. Résultats 25 novembre 2010 – 1er Juillet 2011, 62 questionnaires colligés. Le rythme recommandé des compressions thoraciques est méconnu par 80 % des apprenants ; 80 % pensent que le rythme doit être de 60/min alors que le rythme enseigné pendant leur formation était de 100/mn (ERC 2005). L’importance de la qualité du massage pose problème à 37 % des apprenants. Pour 35 %, la compression est plus importante que la décompression, 2 % pensent l’inverse. Le relais aux compressions thoraciques n’est pas maîtrisé pour 61 % d’entre eux, 45 % estiment qu’il faut se relayer toutes les 5 minutes et 16 % jugent qu’il n’est pas nécessaire de se relayer. La durée d’évaluation initiale de la ventilation génère 48 % d’erreurs ; 35 % sont trop rapides (5 secondes) et 13 % trop lents (30sec). La question sur l’algorithme PEC de l’inconscient entraîne 61 % d’erreurs : 53 % alertent avant d’évaluer la respiration et 8 % évaluent la respiration sans libérer les VAS. Les questions sur les brûlures, l’obstruction complète des VA, les détresses respiratoires, l’accouchement inopiné induisent 30 à 40 % d’erreurs. La prise en charge de l’hémorragie, l’alerte, l’appel, le rôle du défibrillateur, la protection du soignant donnent moins de 20 % d’erreurs. Discussion Ces résultats nous ont interrogés et conduits à rechercher des éléments d’explication : · formé initialement en 2006, année de mise en place de la pédagogie de découverte dans notre CESU, le public concerné a pu pâtir d’un manque de maîtrise pédagogique des formateurs · la formation initiale reçue a-t-elle été adaptée : ne cherche-t-on pas à y faire passer trop de messages ? Ne faut-il pas en revoir les objectifs et les contenus en les adaptant mieux au public ? · la formation continue tous les 4 ans est-elle suffisante ? Conclusion Bien qu’ils nous aient déçus et qu’ils nous remettent en cause, ces résultats, s’appuyant uniquement sur des connaissances déclaratives, ne préjugent pas de la prise en charge effective en situation d’urgence. Mot(s) clés libre(s) : 2011, CESU, enseignement, soins, Strasbourg, urgence
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Mobilité et accessibilité aux soins de santé mentales des étrangers à Dakar / Oumar Barry
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 16-09-2009
/ Canal-U - OAI Archive
BARRY Oumar
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« Mobilité et accessibilité aux soins de santé mentale des étrangers à Dakar », Oumar BARRY (psychologue, enseignant-chercheur FLSH, Université Cheikh Anta DIOP, Sénégal). Colloque international "Santé et mobilités au Nord et au Sud : circulations des acteurs, évolutions des pratiques". Toulouse : Université de Toulouse II-Le Mirail, Institut d'Etudes Politiques (IEP), Association AMADES : 16-18 septembre 2009.Session A : Ajustements des systèmes, des politiques de santé et des pratiques de soins aux migrants malades et/ou vulnérables. Atelier A3 : Réaménagements des pratiques de soin et questionnements interculturels.La capitale dakaroise accueille de nouvelles catégories populations, provenant d’horizons très divers, dont un nombre de plus en plus croissant serait confronté à des problèmes de santé mentale avérés ou potentiels. Ces problèmes sont consécutifs à des vécus dramatiques (guerres, viols, catastrophes naturels, assassinats de parents, pauvreté, etc.) qui les ont conduit à migrer vers Dakar. Dans cette ville, elles doivent s’adapter à des situations difficiles de survie au quotidien dans un contexte culturel et linguistique qui leurs est complètement étranger. Elles sont aussi souvent dans une logique de recherche de soins de santé mentale, car dans ce domaine, Dakar garde encore une image valorisée en Afrique subsaharienne avec l’Ecole de Fann. Dans toutes les procédures thérapeutiques, il est reconnu que la parole joue un rôle important dans le processus, aussi bien pour le thérapeute que le patient. Elle permet à l’individu de formuler une demande d’aide en exprimant son vécu en mots, à des professionnels de la santé de poser un diagnostic, d'orienter la personne vers les services requis et de lui proposer un traitement et/ou un accompagnement approprié. Pourtant, nombre de ces étrangers demandent des services d’assistance psychologique et/ou psychiatriques, sans maîtriser les langues d’usage à Dakar, qui sont le français et le wolof. De même, les structures qui offrent ces services, déjà en nombre limité dans la capitale, font aussi face à une nouvelle catégorie de demandeurs au profil particulier qu’il faut prendre en compte. Ces différentes considérations nous amènent à nous poser les questions suivantes :- l’utilisation de langues autres que le français et le wolof par les migrants constitue-t-elle une barrière à l’accès à des services appropriés en santé mentale dans la ville de Dakar ?- au sein des structures sollicitées (hôpitaux, services sociaux, organismes et associations d’appui aux migrants), quelle est la réponse offerte pour accompagner et répondre aux besoins de santé mentale de populations usagères de langues étrangères ?- est ce que cela induit une modification de leurs pratiques ou offres de services ?Les données ici présentées sont collectées par le biais d’une enquête qualitative menée au sein des deux principales structures institutionnelles d’offres de services en santé mentale à Dakar et des organisations d’appui et d’accompagnement des migrants et réfugiés. Nous y avons ciblé des personnels de service, des migrants effectivement utilisateurs, ainsi que des potentiels solliciteurs des services de santé mentale à Dakar.Résultats attendus : les données de cette étude doivent montrer que la méconnaissance de la langue française et celle du wolof par les migrants vivant à Dakar demeure comme une barrière fondamentale à l'obtention de services appropriés en santé mentale. Il n’existe pas encore dans les structures à Dakar de services spécifiques en santé mentale en direction des personnes étrangères utilisant d’autres médiums autres que le français et le wolof. Les limites qu’impose la méconnaissance des langues d’usage appauvrissent toute la dimension « médiatrice » de la relation thérapeute-patient. Ceci a des incidences avérées sur la perception de la qualité des soins aussi bien par les soignants que les patients, et conduit ces derniers à s’orienter vers l’offre de soins de nouveaux acteurs. Néanmoins, le phénomène des mouvements migratoires à Dakar et leurs conséquences en terme de troubles mentaux et comportementaux interpelle de plus en plus le champ sanitaire dakarois. Le besoin de mise en place d’un dispositif d’offres de services spécifiques en santé mentale diversifiant davantage les médiums de communication se fait davantage ressentir. Il est à prévoir que le champ de l’offre de soins se diversifie davantage, avec de nouveaux acteurs. Mot(s) clés libre(s) : accès aux soins, barrières linguistiques, communication interculturelle, migration intérieure, réfugiés, relations soignant-soigné, services de santé mentale (Dakar - Sénégal)
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CESU: Débat 1: Questions
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 30-11-2011
/ Canal-U - OAI Archive
BARTIER jean-claude
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XXIV Colloque national des CESU au palais des congrès de Strasbourg du 30 novembre au 2 décembre 2011. CESU: Centre d'Enseignement des Soins d'Urgence.DEBAT N°1: Le fait qu'un enseignant en soins d'urgence doive être un soignant de niveau de qualification professionnelle supérieur à celui des apprenants pose-t-il problème? Modérateur: Dr jean-Calude BartierL’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée. Organisateur: CESU 67Débat 1Le fait qu’un enseignant en soins d’urgence doive être un soignant de niveau de qualification professionnelle supérieurou égal à celui des apprenants pose-t-il problème ?Jusqu’en 2006, les dispositifs de formation à l’urgence proposésaux professionnels de santé étaient ceux du ministèrede l’Intérieur. Il s’agit en particulier de l’attestation de formation aux premiers secours (AFPS). Cette formation repose sur une approche pédagogique démonstrative. Toute personne, y compris non soignante, ayant suivi une formation d’une cinquantaine d’heures est susceptible d’enseigner l’AFPS.L’AFGSU a été créée en 2006, afin de répondre aux spécificitésde la formation des soignants dans le domaine de l’urgence : pratique professionnelle en milieu de soins auprès de patients, connaissances antérieures et, souvent,expérience en matière d’urgence, etc. L’approche pédagogique repose sur la méthode de la découverte.Ces choix pédagogiques ont conduit les experts à recommanderque les formateurs AFGSU aient un niveau de qualificationsupérieur ou égal à celui des apprenants (par exemple, un infirmier peut enseigner à des infirmiers et des aides-soignants, mais pas à des médecins), pour être en mesure d’explorer et de prendre en compte adéquatementles connaissances antérieures de ces derniers dans la démarche d’apprentissageDe nombreux formateurs de CESU se sont alors retrouvés exclus de formations auxquelles ils participaient antérieurement.Certains contestent la situation actuelle.Dr Jean-Claude BARTIERMédecin anesthésiste au SAMU 67ModérateurDéfenseurs du OUIDr Ismaël HSSAINMédecin urgentiste au SAMU - CESU 68Dr Hubert TONNELIERMédecin anesthésiste au SAMU 88Défenseurs du NONDr Carole AMSALLEMMédecin urgentiste au SAMU - CESU 80Ysabelle THOMASCadre de santé au CESU 38 70 rue de l'Engelbreit 672000 STRASBOURG colloquedescesu@chru-strasbourg.fr 0369553110 Mot(s) clés libre(s) : 2011, CESU, enseignement, soins, Strasbourg, urgence
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CESU: Débat n°3 Enseigner aux professionnels des gestes ne relevant pas de leurs compétences
/ CERIMES, Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport
/ 01-12-2011
/ Canal-U - OAI Archive
BARTIER jean-claude, FACON Laurent
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XXIV Colloque national des CESU au palais des congrès de Strasbourg du 30 novembre au 2 décembre 2011. CESU: Centre d'Enseignement des Soins d'Urgence. L’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée. Organisateur: CESU 67 70 rue de l'Engelbreit 672000 STRASBOURG colloquedescesu@chru-strasbourg.fr 0369553110Débat 3Doit-on enseigner aux professionnels de santé des gestes ne relevant pas de leur compétence, mais qu’ils sont amenés à réaliser sur le terrain ?La pratique de certains professionnels de santé n’est pas encadrée par un décret d’actes. D’autres soignants, comme les infirmiers, bénéficient d’un dispositif réglementaireprécis quant aux actes relevant ou non de leur compétence. Il précise si ces actions peuvent être réaliséesdans le cadre du rôle propre, du rôle sur prescription, ou du rôle en présence d’un médecin.Les professionnels de santé, notamment les médecins, méconnaissent souvent ces décrets d’actes, et, plus globalement,les actions qui relèvent – ou non – de la compétenced’une catégorie donnée de soignants. Par ailleurs, les représentations selon lesquelles les situations d’urgenceautorisent à outrepasser les compétences légales du quotidien sont très ancrées dans l’esprit des professionnelsde santé. Enfin, en ce qui concerne plus particulièrementles infirmiers, le décret d’actes peut donner lieu à des interprétations variables, dans la mesure où il précise « qu’en cas d’urgence (...), l’infirmier ou l’infirmièredécide des gestes à pratiquer en attendant que puisse intervenir un médecin ».Ces éléments conduisent les professionnels de santé à réaliser en situation d’urgence des actes dont le caractèrelégal est contestable. Il s’agit, par exemple, de la mesure de la glycémie capillaire, de la préparation de médicaments injectables, ou encore, de l’aspiration dans une canule de trachéotomie par l’ambulancier ou l’aide-soignant, du contrôle des voies aériennes supérieures par l’infirmier, etc.Dès lors, est-il légitime de considérer qu’étant donné que certains professionnels de santé sont amenés à réaliser « illégalement » des gestes dans leur pratique quotidienne ou exceptionnelle de l’urgence, il est souhaitable de leur enseigner afin qu’ils puissent les maitriser ? Par ailleurs, comment ces pratiques « illégales » doivent-elles être encadrées (mise en place de procédures, présence médicale,etc.) ?ModérateurPr Bernard NEMITZProfesseur à la faculté de médecine d’AmiensDéfenseurs du OUIDr Jean-Claude BARTIERMédecin anesthésiste au SAMU 67Laurent FACONAmbulancier à l’IFA Croix-Rouge Ile-de-FranceDéfenseurs du NONDidier CHARLESJuriste du Sou MédicalJane-Laure DANANDirectrice d’école paramédicale (IFSI de Laxou) Mot(s) clés libre(s) : 2011, CESU, enseignement, soins, Strasbourg, urgence
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CESU: Débat n°3 Enseigner aux professionnels des gestes ne relevant pas de leurs compétences
/ CERIMES, Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport
/ 01-12-2011
/ Canal-U - OAI Archive
BARTIER jean-claude, FACON Laurent, DANAN Jane-Laure, CHARLES Didier, NEMITZ Bernard
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XXIV Colloque national des CESU au palais des congrès de Strasbourg du 30 novembre au 2 décembre 2011. CESU: Centre d'Enseignement des Soins d'Urgence. L’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée. Organisateur: CESU 67 70 rue de l'Engelbreit 672000 STRASBOURG colloquedescesu@chru-strasbourg.fr 0369553110Débat 3: QuestionsDoit-on enseigner aux professionnels de santé des gestes ne relevant pas de leur compétence, mais qu’ils sont amenés à réaliser sur le terrain ?La pratique de certains professionnels de santé n’est pas encadrée par un décret d’actes. D’autres soignants, comme les infirmiers, bénéficient d’un dispositif réglementaireprécis quant aux actes relevant ou non de leur compétence. Il précise si ces actions peuvent être réaliséesdans le cadre du rôle propre, du rôle sur prescription, ou du rôle en présence d’un médecin.Les professionnels de santé, notamment les médecins, méconnaissent souvent ces décrets d’actes, et, plus globalement,les actions qui relèvent – ou non – de la compétenced’une catégorie donnée de soignants. Par ailleurs, les représentations selon lesquelles les situations d’urgenceautorisent à outrepasser les compétences légales du quotidien sont très ancrées dans l’esprit des professionnelsde santé. Enfin, en ce qui concerne plus particulièrementles infirmiers, le décret d’actes peut donner lieu à des interprétations variables, dans la mesure où il précise « qu’en cas d’urgence (...), l’infirmier ou l’infirmièredécide des gestes à pratiquer en attendant que puisse intervenir un médecin ».Ces éléments conduisent les professionnels de santé à réaliser en situation d’urgence des actes dont le caractèrelégal est contestable. Il s’agit, par exemple, de la mesure de la glycémie capillaire, de la préparation de médicaments injectables, ou encore, de l’aspiration dans une canule de trachéotomie par l’ambulancier ou l’aide-soignant, du contrôle des voies aériennes supérieures par l’infirmier, etc.Dès lors, est-il légitime de considérer qu’étant donné que certains professionnels de santé sont amenés à réaliser « illégalement » des gestes dans leur pratique quotidienne ou exceptionnelle de l’urgence, il est souhaitable de leur enseigner afin qu’ils puissent les maitriser ? Par ailleurs, comment ces pratiques « illégales » doivent-elles être encadrées (mise en place de procédures, présence médicale,etc.) ?ModérateurPr Bernard NEMITZProfesseur à la faculté de médecine d’AmiensDéfenseurs du OUIDr Jean-Claude BARTIERMédecin anesthésiste au SAMU 67Laurent FACONAmbulancier à l’IFA Croix-Rouge Ile-de-FranceDéfenseurs du NONDidier CHARLESJuriste du Sou MédicalJane-Laure DANANDirectrice d’école paramédicale (IFSI de Laxou) Mot(s) clés libre(s) : 2011, CESU, enseignement, soins, Strasbourg, urgence
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