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Albert Camus : À l’endroit la littérature, la philosophie à l’envers
/ ENS/UOH
/ 12-11-2007
/ Canal-U - OAI Archive
Newmark Kevin
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La déclaration faite un jour par Camus « Je ne suis pas un philosophe » manifeste un certain agacement devant les multiples tentatives pour le situer par rapport à cette discipline. Il s’agit d’étudier les raisons de cette interrogation récurrente sur le statut de son œuvre. A partir de l’avis superficiel selon lequel Camus serait un « mauvais philosophe », il faut considérer les véritables sources d’une œuvre dans laquelle le rocher de Sisyphe, représentation de l’immense détresse de l’homme absurde, constitue l’envers d’une œuvre littéraire où la figure romanesque de l’Etranger devient une incarnation de la Différence. Mot(s) clés libre(s) : Albert Camus, L'étranger, philosophie, sources littéraires
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Institut du Thermalisme de Dax : Journées d'Automne 2009 - 2/4
/ DCAM - Département Conception et Assistance Multimédia - Université Bordeaux Segalen, Université Bordeaux Segalen - DCAM
/ 27-11-2009
/ Canal-U - OAI Archive
MOORE Nicholas, FABRY Régine, CHANTEAU Sophie, AURECHE Alain, FIORAVANTI Antonella, FORESTIER Romain
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Journées d'Automne 20092e Symposium Européen de Recherche ThermaleOrganisées dans le cadre du 2e Symposium Européen de Recherche Thermale et des 3e Rencontres Internationales de l'Institut du Thermalisme, les Journées d'Automne 2009 ont rassemblé divers spécialistes autour du thermalisme et de ses effets cliniques sur les curistes. Elles ont été l'occasion d'exposer les résultats de différentes enquêtes et études sur les bénéfices d'une cure thermale chez les patients atteints de problèmes dermatologiques, rhumatologiques, cardio-vasculaires...et de présenter outre le projet de coopération européen TERMARED, quelques travaux originaux de l'Institut du Thermalisme.Les conférences :N. Moore : Etude médico-économique ESCAPE L'objectif de cette étude est d'élaborer un modèle statistique de référence prédictif du coût moyen par patient de l’arthrose des membres inférieurs en fonction de la réalisation ou non d’une cure thermale. R. Fabry : Effets de la carbothérapie transcutanée sur la claudication intermittente Il s’agit de démontrer lors de d’un essai randomisé en double insu, les modifications cliniques et hémodynamiques apportées par l’application percutanée de CO2 naturel chez des claudicants au stade II modéré.S. Chanteau : Cures thermales en dermatologie à Uriage Le but de cette enquête, réalisée durant la saison 2008, était d’évaluer les indications des cures thermales en dermatologie à la station thermale d’Uriage-les-Bains et les bénéfices de ces cures.A. Aurèche : Efficacité de la cure à visée rhumatologique à FumadesLe but de cette étude est de démontrer l’efficacité du traitement thermal des Fumades chez des patients souffrant d’une pathologie rhumatologique aux membres inférieurs et/ou au rachis afin d’obtenir l’agrément dans l’orientation rhumatologie. A. Fioravanti : Fibromyalgie et thermalismeLes traitements thermaux peuvent représenter une aide efficace dans la gestion de la FM surtout en ce qui concerne leurs effets analgésiques et myorelaxants. Malgré de telles prémices, les essais cliniques randomisés contrôlés sur les traitements thermaux de la FM ne sont pas nombreux et sont caractérisés par une importante hétérogénéité.R. Forestier : Therm'arthrose L’objectif est de déterminer si l’association d’une cure thermale améliore les effets dus à l’exercice physique et au traitement usuel Mot(s) clés libre(s) : claudication intermittente (thérapeutique), cures thermales (aspect économique), fibromyalgie (thérapeutique), hydrothérapie, maladies de peau, rhumatisme, sources thermales, thermalisme, thermarthrose
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La question des origines dans "Don Quichotte" / Michel Moner
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 23-03-2010
/ Canal-u.fr
MONER Michel
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La question des origines dans Don Quichotte. Michel MONER. In "Dire, taire, masquer les origines dans la péninsule ibérique, du Moyen Age au Siècle d'Or", colloque international organisé par l'Équipe de recherche Littérature Espagnole Médiévale et du Siècle d'Or (LEMSO) du laboratoire France méridionale et Espagne : histoire des sociétés du moyen age à l'époque contemporaine (FRAMESPA) en collaboration avec le département d'études hispaniques et hispano-américaines. Toulouse : Université Toulouse II-Le Mirail (UTM), Médiathèque José Cabanis, 22-24 mars 2010.
Thème 3 : Les textes et les codes, partie I (23 mars 2010).
La question des origines se pose, dans Don Quichotte, depuis le prologue à la première partie, où l’on met en question la « paternité » de l’auteur, et les premiers chapitres où l’on développe un long excursus sur les « origines » du livre et l’identification de ses sources. Le propos de cette communication est d’étudier les variations du traitement de cette thématique qui affleure de manière récurrente, aussi bien dans la première, que dans la seconde partie de Don Quichotte.
La cuestión de los orígenes se plantea, en El Quijote, desde el prólogo de la Primera parte, en la que se cuestiona la misma « paternidad » del autor, y los primeros capítulos donde se desarrolla un largo excursus acerca de los « principios » del libro y de la identificación de sus fuentes. El propósito de esta comunicación consiste en estudiar las variaciones del tratamiento de este tema que aflora de manera recurrente, tanto en la Primera como en la Segunda parte del Quijote. Mot(s) clés libre(s) : littérature espagnole (17e siècle), Miguel de Cervantes Saavedra (1547-1616), littératures (sources), Miguel de Cervantes (Don Quichotte), Miguel de Cervantes (Don Quijote de la Mancha), paternité littéraire
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La question des origines dans "Don Quichotte" / Michel Moner
/ Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 23-03-2010
/ Canal-U - OAI Archive
MONER Michel
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La question des origines dans Don Quichotte. Michel MONER. In Dire, taire, masquer les origines dans la péninsule ibérique, du Moyen Age au Siècle d'Or, colloque international organisé par l'Équipe de recherche "Littérature Espagnole Médiévale et du Siècle d'Or" (LEMSO) du laboratoire France méridionale et Espagne : histoire des sociétés du moyen age à l'époque contemporaine (FRAMESPA) en collaboration avec le département d'études hispaniques et hispano-américaines. Toulouse : Université Toulouse II-Le Mirail (UTM), Médiathèque José Cabanis, 22-24 mars 2010.Thème 3 : Les textes et les codes, partie I (23 mars 2010).La question des origines se pose, dans Don Quichotte, depuis le prologue à la première partie, où l’on met en question la « paternité » de l’auteur, et les premiers chapitres où l’on développe un long excursus sur les « origines » du livre et l’identification de ses sources. Le propos de cette communication est d’étudier les variations du traitement de cette thématique qui affleure de manière récurrente, aussi bien dans la première, que dans la seconde partie de Don Quichotte.La cuestión de los orígenes se plantea, en El Quijote, desde el prólogo de la Primera parte, en la que se cuestiona la misma « paternidad » del autor, y los primeros capítulos donde se desarrolla un largo excursus acerca de los « principios » del libro y de la identificación de sus fuentes. El propósito de esta comunicación consiste en estudiar las variaciones del tratamiento de este tema que aflora de manera recurrente, tanto en la Primera como en la Segunda parte del Quijote. Mot(s) clés libre(s) : littérature espagnole (17e siècle), littératures (sources), Miguel de Cervantes (Don Quichotte), Miguel de Cervantes (Don Quijote de la Mancha), Miguel de Cervantes Saavedra (1547-1616), paternité littéraire
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Bactéries de l'extrême
/ Laurent MAGET, CNRS - Centre National de la Recherche Scientifique, IFREMER
/ 01-01-1997
/ Canal-U - OAI Archive
MAGET Laurent, PRIEUR Daniel, FOUQUET Yves
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En 1969, Thomas Brock a montré par ses travaux que des micro-organismes peuvent vivre à des températures avoisinant et même dépassant 100 C. Ces bactéries thermophiles prolifèrent au voisinage des sources chaudes terrestres et sous-marines. Yves Fouquet, géologue à l'IFREMER, décrit les phénomènes tectoniques à l'origine des sources hydrothermales. Celles-ci sont très nombreuses en Islande du fait de l'activité volcanique de l'île et le docteur Jacob Kristjansson en étudie la microfaune. Daniel Prieur, microbiologiste au CNRS à la station biologique de Roscoff (Finistère), relate la mission Microsmoke (novembre et décembre 1995) qui a pu atteindre les fosses les plus profondes de l'Océan Atlantique (Fosse aux Serpents à 3500 m au-dessous du niveau de la mer) grâce au Nautile, engin d'exploration de l'IFREMER. Les sources chaudes sous-marines forment progressivement des cheminées poreuses à l'intérieur desquelles se développent les bactéries thermophiles. Grâce aux bras télécommandés du Nautile, les scientifiques peuvent prélever des échantillons de fluide hydrothermal et des morceaux de cheminées qui sont ensuite analysés en laboratoire. Les chercheurs ont ainsi constaté que ces micro-organismes ont développé des structures moléculaires très particulières pour leurs protéines et leurs acides nucléiques afin de résister aux pressions et températures élevées de leur environnement, ainsi que l'explique Patrick Forterre, microbiologiste à l'Université d'Orsay. Les bactéries thermophiles sont peut-être une des premières formes de vie apparues sur terre et leur résistance exceptionnelle permet aux chercheurs d'explorer les conditions extrêmes pour lesquelles la vie est encore possible.GénériqueAuteur - Réalisateur : MAGET Laurent Conseillers scientifiques : PRIEUR Daniel (Centre d'Etudes d'océanographie et de biologie marine, UPR CNRS, Roscoff et Univ. de Bretagne Occidentale), FORTERRE Patrick (Univ. Paris XI, Orsay) et FOUQUET Yves (IFREMER, Brest) Production : CNRS AV, IFREMER Mot(s) clés libre(s) : bactérie thermophile, biologie marine, geyser, haute température, micro-faune, micro-organisme, microbiologie, océanographie, soufrière, source chaude, structure moléculaire, Thomas Brock
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Cfacile : Introduction au langage C
/ Université de Technologie de Compiègne, UNIT
/ 11-01-2010
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Boufflet Jean-Paul, Trigano Philippe, Benmimoun Amir
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Cfacile est un support interactif de cours pour l'apprentissage des concepts de base de l’algorithmique et de la programmation en C, à destination des débutants. Il comporte quatre parties : une base théorique structurée sous la forme de 9 chapitres de cours, un ensemble d'exercices interactifs, deux jeux éducatifs interactifs et des simulations pédagogiques.
Les chapitres abordent les bases de la programmation en C : introduction au langage C, algorithmes et langages, structure d'un programme, premiers pas en C, les boucles, les tableaux ainsi que les chaînes de caractères et les pointeurs, les fonctions, les structures et les bases de l'allocation dynamique.
Les exercices interactifs et simulations sont intégrés au cours concerné tout en étant accessibles indépendamment. L'étudiant a la possibilité de revenir sur les points de son parcours à l'issue des tests de connaissances.
Les simulations pédagogiques assurent une compréhension à base d?exemples sur les tests (if, switch), les conversions explicite et implicite, les structures itératives (for, do, while), les fonctions, les tableaux (à une et deux dimensions), les chaînes de caractère et les structures. Elles assurent une meilleure compréhension de nouvelles notions ou concepts.
Les jeux permettent de tester de façon ludique les connaissances acquises.
Nous mettons à la disposition de l'apprenant un ensemble de liens utiles vers d'autres ressources afin de lui permettre d'approfondir ses connaissances. Mot(s) clés libre(s) : langage C, algorithmique, programmation, norme ANSI, code source, compilation, identificateur, instruction, type de donnée, constante, variable, structure, déclaration, fonction, fonction sizeof, opérateur, instruction break, conversion, instruction switch, boucle, chaine de caractère, tableau, allocation dynamique, fonction malloc, fonction free, itération
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La coutume : formes, représentation et enjeux. Présentation du colloque / Olivier Guerrier
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 26-11-2008
/ Canal-U - OAI Archive
GUERRIER Olivier
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Présentation par Olivier Guerrier du colloque "La coutume : formes, représentations et enjeux " organisé dans le cadre des 4e Rencontres internationales La Boétie de Sarlat par la Société des amis de La Boétie au Centre culturel de Sarlat, du 26 au 28 novembre 2008.Il s’agira de considérer le "Discours de la servitude volontaire" (et, s’il se peut, les autres œuvres de La Boétie, ou que l’on a coutume d’attribuer à La Boétie) comme mettant en cause des notions centrales dans la culture de la Renaissance, de les re-situer dans les périodes antérieures au XVIe siècle, mais également d’en voir les prolongements jusqu’au XVIIIe siècle.Dans un passage marqué par l’influence d’Hérodote et son regard sur les civilisations orientales, le début du Discours fait de la coutume le premier principe explicatif de la « volonté de servir ». On pourra d’abord étudier la présence du thème, de l’historien grec à Montesquieu et au-delà, en précisant ses enjeux philosophiques (son inscription dans l’opposition entre nature et convention notamment), en mettant l’accent sur la manière dont il est exposé, tout autant que sur le travail de réflexion qu’il suscite - prise de conscience relativiste, analyse des processus d’accoutumance et de désaccoutumance…Sous une perspective moins critique mais pas nécessairement coupée de la précédente, il y aura également lieu de considérer la coutume comme fondement social et notion juridique, en reliant en particulier le Discours aux mutations que connaît le droit à partir du XVe siècle. « Coutumiers », recueils de coutume ou commentaires pourront ainsi être les supports d’analyses sur le statut des coutumes, sur leurs rapports avec le droit romain, sur le mouvement de « rédaction » et de « réforme » dont elles sont l’objet, et plus largement sur les rapports problématiques qu’elles entretiennent avec la Loi tout au long de l’Ancien Régime.Il sera loisible enfin, et dans la continuité, de traquer la coutume, ses formules et ses modalités dans des cadres autres que ceux du droit. Par exemple, sa présence dans la langue, dans les proverbes ou autres tours idiomatiques, pourra donner lieu à des considérations sur les « parlers », leur rôle et leur sort dans les œuvres et les pratiques savantes.Au croisement de la philosophie, de la littérature, du droit et de l’histoire, ces journées se veulent un espace d’échanges entre les disciplines et leurs usages, comme de confrontation entre les différents textes qui traitent de la « coutume ». Mot(s) clés libre(s) : codification du droit, droit (sources), droit coutumier, droit et littérature, droit romain, Étienne de la Boétie (1530-1563), humanisme de la Renaissance, linguistique, littérature française, Michel de Montaigne (1533-1592), usages et coutumes (droit)
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La coutume : formes, représentation et enjeux. Présentation du colloque / Olivier Guerrier
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 26-11-2008
/ Canal-u.fr
GUERRIER Olivier
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La coutume : formes, représentations et enjeux. Présentation / Olivier Guerrier. Colloque organisé dans le cadre des 4e Rencontres internationales La Boétie de Sarlat par la Société des amis de La Boétie, Centre culturel de Sarlat, 26-28 novembre 2008.Il s’agira de considérer le "Discours de la servitude volontaire" (et, s’il se peut, les autres œuvres de La Boétie, ou que l’on a coutume d’attribuer à La Boétie) comme mettant en cause des notions centrales dans la culture de la Renaissance, de les re-situer dans les périodes antérieures au XVIe siècle, mais également d’en voir les prolongements jusqu’au XVIIIe siècle.Dans un passage marqué par l’influence d’Hérodote et son regard sur les civilisations orientales, le début du Discours fait de la coutume le premier principe explicatif de la « volonté de servir ». On pourra d’abord étudier la présence du thème, de l’historien grec à Montesquieu et au-delà, en précisant ses enjeux philosophiques (son inscription dans l’opposition entre nature et convention notamment), en mettant l’accent sur la manière dont il est exposé, tout autant que sur le travail de réflexion qu’il suscite - prise de conscience relativiste, analyse des processus d’accoutumance et de désaccoutumance…Sous une perspective moins critique mais pas nécessairement coupée de la précédente, il y aura également lieu de considérer la coutume comme fondement social et notion juridique, en reliant en particulier le Discours aux mutations que connaît le droit à partir du XVe siècle. « Coutumiers », recueils de coutume ou commentaires pourront ainsi être les supports d’analyses sur le statut des coutumes, sur leurs rapports avec le droit romain, sur le mouvement de « rédaction » et de « réforme » dont elles sont l’objet, et plus largement sur les rapports problématiques qu’elles entretiennent avec la Loi tout au long de l’Ancien Régime.Il sera loisible enfin, et dans la continuité, de traquer la coutume, ses formules et ses modalités dans des cadres autres que ceux du droit. Par exemple, sa présence dans la langue, dans les proverbes ou autres tours idiomatiques, pourra donner lieu à des considérations sur les « parlers », leur rôle et leur sort dans les œuvres et les pratiques savantes.Au croisement de la philosophie, de la littérature, du droit et de l’histoire, ces journées se veulent un espace d’échanges entre les disciplines et leurs usages, comme de confrontation entre les différents textes qui traitent de la « coutume ». Mot(s) clés libre(s) : Droit et littérature, littérature française (16e siècle), Pierre Charron (1541-1603), usages et coutumes (droit), Michel de Montaigne (1533-1592), littérature française, humanisme de la Renaissance, droit romain, droit coutumier, droit (sources), codification du droit, Étienne de la Boétie (1530-1563), linguistique, René Descartes (1596-1650)
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Je compare la loy au Roy, & la coustume au tyran... / Stephan Geonget
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 27-11-2008
/ Canal-U - OAI Archive
GEONGET Stéphan
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Stephan Geonget examine la question de la coutume en la resituant au cœur des débats entre juristes qui avaient lieu alors. De fait, la question du statut juridique de la coutume est d’une actualité brûlante à la fin de la Renaissance et les opinions divergent à son propos. Forme abâtardie du droit pour les uns ou au contraire vrai fondement d’un droit civil français (encore à venir) pour les autres, la coutume suscite un débat virulent. Des juristes aussi éminents que Guy Coquille, Jean Papon, Étienne Pasquier ou Louis le Caron ne disent pas du tout d’elle la même chose. Cette mise en contexte devrait nous permettre d’examiner sur nouveaux frais la singularité de la position de Montaigne. Ses célèbres textes ne se comprennent, ne nous semble-t-il, qu’à partir de cet éclairage et répondent, d’une manière bien particulière, aux questions qui se posaient alors.Communication donnée dans le cadre des 4e Rencontres internationales La Boétie de Sarlat organisées par la Société des amis de La Boétie au Centre culturel de Sarlat, du 26 au 28 novembre 2008, colloque "La coutume : formes, représentations et enjeux ".Voir les autres vidéos du colloque Mot(s) clés libre(s) : codification du droit, coutume (droit), droit (sources), droit civil, droit coutumier (Renaissance), droit et littérature, Michel de Montaigne (1533-1592)
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071 - L'historien et l'histoire officielle algérienne
/ ENS-LSH/SCAM
/ 22-06-2006
/ Canal-U - OAI Archive
ENS-LSH/SCAM
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Migrations, cultures et représentations : la pérennité des liensHistoire officielle : session thématique (prés. Mohammed Harbi)par Fouad Soufi (Centre de recherche en anthropologie sociale et culturelle)Colloque pour une histoire critique et citoyenne - le cas de l'histoire franco-algérienne L’objet de cette communication est d’essayer de comprendre la pratique historiographique en Algérie. Comment l’histoire du pays est-elle prise en charge à la fois par les institutions de l’État et par les groupes politiques et sociaux porteurs de mémoire ? N’y aurait-il pas comme une sorte de répartition des tâches ? Mais face à une histoire nationale, encore à définir et à faire, que peut bien signifier histoire officielle dans notre pays ? Comment s’exprime-t-elle ? Par quels canaux, en dehors de l’école, arrive-t-elle au public le plus large ? Quels en sont les acteurs et les thèmes de prédilection ? Quelle part les historiens universitaires ont-ils dans la construction d’une histoire officielle ? Les universitaires sont-ils les seuls intervenants ?L’examen critique de l’opération historique permet de mettre en évidence quatre phénomènes : 1) La période 1954-1962 fait écran. D’une part elle plonge les autres périodes de l’histoire de l’Algérie au moins dans une semi-obscurité et d’autre part, elle bloque l’horizon historien. L’histoire prend fin en 1962. 2) Le recours aux sources en général et aux archives n’est pas réglé. Tout se passe comme s’il y avait par rapport à l’archive, un double problème : un problème de définition et un problème de croyance quasi religieuse par rapport à tout document écrit, archive de première main ou compilation. La conséquence immédiate est de considérer que tout a été dit, ne reste à proposer qu’une nouvelle interprétation. Il reste à réécrire l’histoire. Faute de renouveler les questionnements, faute de nouvelles perspectives, l’archive perd son statut. 3) La mémoire de l’acteur et/ou du groupe, qui revendique le statut de dépositaire de la mémoire nationale, essaie d’imposer sa loi à l’historien. 4) Peut-on affirmer que la rupture avec l’historiographie coloniale a été consommée ?Enfin et en filigrane, la question peut être posée de savoir si nos historiens se sentent concernés par l’internationalisation de la recherche historique et/ou s’ils ont développé - comment, par qui, à partir de quels outils conceptuels ? - un style national qui prendrait appui sur leur culture - qu’il faudrait tout de même définir -, sur leurs conditions de travail - accès aux archives et publications - et de vie. Les outils de l’historien sont-ils universels ?Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux, Julien Lopez, Son: Xavier comméat, Encodage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : algérie, histoire, histoire (méthodologie), histoire (recherche), histoire (sources), historiens, historiographie
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