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Tri :   Date Editeur Auteur Titre

Sacrifice d’un cheval pour la célébration de la fin du deuil

/ 14-09-2003 / Canal-u.fr
LESCUREUX Nicolas
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Kirghizistan, village d'Atsha-Kaïyndy 2003 40 jours après l’enterrement d’un homme, une cérémonie est organisée. Elle marque la fin du deuil de la veuve. Afin de célébrer cet évènement, les gens du village sont invités et un cheval est abattu. Ce film montre la prière précédant le sacrifice, la mise à mort, le découpage et une partie de la préparation du cheval.
Mot(s) clés libre(s) : Asie, kirghizistan, Atch-Kayïndé, découpage, cérrémonie, mususlman, viande, mise à mort, prière, mort animal, sacrifice, cheval, film ethnographique, rituel, sang, tradition, deuil, vidéo, boyaux
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Schnaps theater

/ Luc MEICHLER, Gisèle MEICHLER, Les Films de l'Observatoire, Université Paul Verlaine - Metz (UPV-M), LGM, Images Plus / 31-10-1997 / Canal-U - OAI Archive
MEICHLER Luc, MEICHLER Gisèle
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En compagnie de Jean-Michel Clavey, acteur et metteur en scène du Théâtre Alsacien de Guebwiller, travailleur frontalier à Bâle, nous traversons les coulisses d’une certaine qualité de vie dans le Haut-Rhin.Les bouilleurs de cru constituent une espèce en voie de disparition. Le théâtre alsacien subit le recul du dialecte. Mais leurs pratiques font encore bel et bien partie de la réalité villageoise de l’Alsace d’aujourd’hui.De distillation en répétition théâtrale, nous approchons ses paradoxes, son histoire, sa culture populaire, son petit théâtre quotidien…
Mot(s) clés libre(s) : Alsace, amateur, art, bouilleur de cru, changements culturels, culture, dialecte, distillation, eau de vie, héritage culturel, identité, populaire, savoir-faire, schnaps, spectacle, théâtre, tradition, travail
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Science de la neige, Nautijaur, Laponie suédoise, 12 novembre 2010

/ 12-11-2010 / Canal-u.fr
ROTURIER Samuel
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Version suèdoise, sous-titrée en français : Dans le Sápmi, vaste région du nord de l’Europe encore appelée Laponie, les Samis éleveurs de rennes sont des experts de la neige. Pour atteindre le lichen dont ils se nourrissent, les rennes doivent creuser le manteau neigeux, dont les propriétés n’ont cesse de se transformer tout au long de l’hiver. La science de la neige samie ne se limite pas à l’immense diversité des mots qu’ils utilisent pour nommer et classifier la neige qui a été soulignée maintes fois par les linguistes, elle montre également une compréhension intime des processus physico-chimiques qui sont à l’œuvre. Dans ce film un éleveur décrit les échanges thermiques dans le manteau neigeux depuis le début de la saison. En creusant un trou, il explique pourquoi la couche de glace formée sur le sol à la suite d’un redoux a disparu, rendant à nouveau le lichen accessible pour les rennes. Version suédoise, sous titrée en anglais : Science de la neige, Nautijaur, Laponie suédoise, 12 novembre 2010 http://www.canal-u.tv/video/smm/the_science_of_snow_nautijaur_lapland_12_november_2010.21384 Version suédoise : Snöns vetenskap, (version suédoise de "Science de la neige, Nautijaur, Laponie suédoise, 12 novembre 2010") http://www.canal-u.tv/video/smm/snons_vetenskap_version_suedoise_de_science_de_la_neige_nautijaur_laponie_suedoise_12_novembre_2010.21543
Mot(s) clés libre(s) : glace, savoirs traditionnels écologiques, renne, lichen, processus physico-chimiques, échanges thermiques, Sami, Laponie, Suède, pâturage, film ethnographique, tradition, plante, neige, écologie, changement climatique, alimentation, animal, élevage, vidéo, Europe
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SFAP 2011 – Traditions et rites funéraires pour accompagner un patient d’origine africaine.

/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES / 30-06-2011 / Canal-U - OAI Archive
FAYEMI P.
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Titre : SFAP 2011 – Traditions et rites funéraires pour accompagner un patient d’origine africaine.Auteur(s) : P. FAYEMI. (Médecin – Dourdan – France).Etablissement : Centre Hospitalier de Dourdan, FranceRésumé : Personne n’échappe à sa culture. Lors de la prise en charge et l’accompagnement de nos patients d’origine africaine, comment nous adapter à leur culture ? Personne n’échappe à sa culture. Lors de la prise en charge et l’accompagnement de nos patients d’origine africaine, comment nous adapter à leur culture ?Nous proposons d’introduire notre propos par un film de trois minutes illustrant certains rites funéraires en France et en Afrique. Ensuite, nous appuyant sur des situations cliniques, nous évoquerons deux aspects essentiels pour accompagner ces patients africains : d’une part le culte de la mort, d’autre part les multiples rites et traditions funéraires. Une seule Afrique pour son culte de la mortLes africains sont très attachés à la vénération de leurs défunts mais ne parle jamais de la mort même lorsque son ombre portée s’approche.Auprès d’un patient gravement atteint, mourant, chacun parle de la maladie mais jamais de ses conséquences létales éventuelles même si celles-ci sont évidentes. C’est une interdiction commune à tous les africains : certains mots sont imprononçables.A contrario, au décès du patient, chacun est très affecté et parle du mort. Sa prise en charge est communautaire et tout le monde en parle.En Afrique, la maladie et la mort ne sont pas naturelles : elles sont la conséquence d’un péché, d’un mauvais sort, d’un mauvais œil…Une Afrique plurielle pour ses traditions et rites funérairesMélangées à l’animisme, la plupart des religions ont pris corps en Afrique et se mélangent entre elles ; associées de surcroît aux traditions communautaires, claniques et ethniques. Comment s’y retrouver dans une telle diversité ? Comment ne pas commettre des maladresses lors d’accompagnements ? Comment faire pour identifier le référent qui nous permettra de trouver la juste mesure ?L’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée.Conférence enregistrée lors du 1er Congrès international francophone de soins palliatifs et d’accompagnement & 17ème Congrès de la Société Française d’Accompagnement et de Soins Palliatifs (SFAP). A la rencontre de nos diversitésDu 28 au 30 juin 2011 au Centre Cité de Congrès de Lyon. Atelier F6– Deuil et rites funéraires.Organisé avec le partenariat de l’UNF3S/UMVF.Réalisation, production : Canal U/3S et CERIMES
Mot(s) clés libre(s) : accompagnement, origine africaine, rites funéraires, SFAP 2011, soins palliatifs, tradition
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SFAP 2011 – Traditions et rites funéraires pour un patient d’origine africaine. QUESTIONS.

/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES / 30-06-2011 / Canal-U - OAI Archive
FAYEMI P.
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Titre : SFAP 2011 – Traditions et rites funéraires pour accompagner un patient d’origine africaine. QUESTIONS.Auteur(s) : P. FAYEMI. (Médecin – Dourdan – France).Etablissement : Centre Hospitalier de Dourdan, FranceRésumé : Personne n’échappe à sa culture. Lors de la prise en charge et l’accompagnement de nos patients d’origine africaine, comment nous adapter à leur culture ? Personne n’échappe à sa culture. Lors de la prise en charge et l’accompagnement de nos patients d’origine africaine, comment nous adapter à leur culture ?Nous proposons d’introduire notre propos par un film de trois minutes illustrant certains rites funéraires en France et en Afrique. Ensuite, nous appuyant sur des situations cliniques, nous évoquerons deux aspects essentiels pour accompagner ces patients africains : d’une part le culte de la mort, d’autre part les multiples rites et traditions funéraires. Une seule Afrique pour son culte de la mortLes africains sont très attachés à la vénération de leurs défunts mais ne parle jamais de la mort même lorsque son ombre portée s’approche.Auprès d’un patient gravement atteint, mourant, chacun parle de la maladie mais jamais de ses conséquences létales éventuelles même si celles-ci sont évidentes. C’est une interdiction commune à tous les africains : certains mots sont imprononçables.A contrario, au décès du patient, chacun est très affecté et parle du mort. Sa prise en charge est communautaire et tout le monde en parle.En Afrique, la maladie et la mort ne sont pas naturelles : elles sont la conséquence d’un péché, d’un mauvais sort, d’un mauvais œil…Une Afrique plurielle pour ses traditions et rites funérairesMélangées à l’animisme, la plupart des religions ont pris corps en Afrique et se mélangent entre elles ; associées de surcroît aux traditions communautaires, claniques et ethniques. Comment s’y retrouver dans une telle diversité ? Comment ne pas commettre des maladresses lors d’accompagnements ? Comment faire pour identifier le référent qui nous permettra de trouver la juste mesure ?L’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée.Conférence enregistrée lors du 1er Congrès international francophone de soins palliatifs et d’accompagnement & 17ème Congrès de la Société Française d’Accompagnement et de Soins Palliatifs (SFAP). A la rencontre de nos diversitésDu 28 au 30 juin 2011 au Centre Cité de Congrès de Lyon. Atelier F6– Deuil et rites funéraires.Organisé avec le partenariat de l’UNF3S/UMVF.Réalisation, production : Canal U/3S et CERIMES
Mot(s) clés libre(s) : accompagnement, origine africaine, rites funéraires, SFAP 2011, soins palliatifs, tradition
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Un car rapide sénégalais au Musée de l'Homme de Paris : un chef-d'oeuvre d'art populaire, un “art parlant”

/ Canal-u.fr
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ARTISTES El Hadj Kane & Pape Omar Pouye ACTEURS El Hadj Kane, Pape Omar Pouye, les peintres, Malick Seck, l'apprenti, Pape Sall (mairie SICAP Liberté 3, Dakar), Ibrahima Diop & les voisins du chantieret les sons industriels des menuisiers métalliquesAUTEURS : Alain Epelboin & Ndiabou Sega Touré COMMENTAIRES : Ndiabou Sega Touré & Alain Epelboin CAMÉRA, SON, MONTAGE, RÉALISATION : Alain Epelboin REMERCIEMENTS : El Hadj Kane, Pape Omar Pouye, Pape Sall, Ibrahima Diop et les voisins du chantier, Alioune Thiam (CETUD Sénégal), la famille du défunt El Hadj El Kaba Touré, Mireille Gruska & Annie Marx, Studio ad hoc France. RÉSUMÉ :Dans son exposition permanente, dans la partie consacrée à la mondialisation, le nouveau Musée de l'Homme de Paris présente un « car rapide » sénégalais, nommé aussi « super », « ndiaga ndiaye : c’est-à-dire un objet industriel du nord, mis au rebut, réapproprié par les artisans, artistes et tradipraticiens des suds. Ce film suit la réalisation des peintures décoratives et protectrices d’un fourgon Saviem Renailt Super-Goélette SG2 datant des années 1970, par deux peintres, spécialistes de cet art populaire, El Hadj Kane et Pape Omar Pouye, à la demande de deux anthropologues Alain Epelboin (CNRS-MNHN Paris) et Ndiabou Sega Touré (UCAD Dakar) en collaboration avec Studio ad hoc, chargé de la réalisation du projet. L’action a lieu dans un parking de la mairie de SICAP Liberté 3 de Dakar servant d’entrepôt de matériaux de construction et abritant des ateliers de menuiserie métallique à ciel ouvert, avec une ambiance sonore déchirée régulièrement par les sons des scies, meuleuses et autres appareils à souder. Tout en travaillant, les artistes se racontent, expliquent ce qu’il font, évoquent leur apprentissage auprès de leurs maitres, leurs propres apports artistiques, « leur touche », leur goût à exercer ce métier, leur fierté d’être des artistes. Les deux peintres soulignent leur conscience de réaliser un chef d’oeuvre d’art populaire sénégalais, qui représente le Sénégal et l’Afrique aux yeux des visiteurs d’un grand musée de Paris, sis face à la Tour Eifel, à proximité de l’esplanade du Trocadéro, le Parvis des droits de l'homme où des colporteurs sénégalais « clandestins » sont pourchassés par la police française. Un art populaire, c’est-à-dire selon eux un art qui parle à tout le monde, sans distinction de classe ou d’âge, mais aussi un témoignage de l’histoire du Sénégal et de ses relations avec la France depuis le XIX ème siècle. Il s’agit d’un de ces fourgons Super-Goélette Renault SG2, peints en jaune et bleu, ornés de multiples motifs, couleurs, écritures, amulettes et objets magiques. Ils assurent quotidiennement les transport en commun dans les grandes villes du Sénégal, en concurrence avec les bus des grandes compagnies étatiques et les taxis collectifs privés, voire les charrettes. Des milliers de Sénégalais les empruntent chaque jour et nombreux sont ceux qui en gardent, enfouis dans leur mémoire, des images émouvantes, des scènes, des sons, des odeurs, des émotions datant de leur jeunesse. Les fourgons Super-Goélette Renault SAVIEM SG2 produits de 1967 à 1982, succédant aux Goélettes Renault (1947-1965), ont été très populaires, équipant massivement les entreprises, les administrations civiles et militaires européennes. Au fur et à mesure de leurs mises en réforme, des lots importants ont été revendus massivement dans les colonies françaises, puis dans les pays francophones devenus indépendants, essentiellement en tant que véhicules de transport en commun permettant de charger officiellement 25 passagers, sans compter les personnes debout et d’éventuels occupants de la galerie ou marche-pied.. Dans chacun de ces pays, ces objets industriels du Nord mis au rebut, ont été réinvestis par des savoir-faire autochtones, des techniques, de mécanique, de tôlerie, de menuiserie métallique, qui ont permis à une flotte importante de continuer à circuler jusqu’à présent, chaque véhicule cumulant des millions de kilomètres. Au Sénégal, ils ont été également investis de générations en générations par un art décoratif et protecteur original, à base de peintures multicolores, de nombreuses formules sentencieuses, morales, protectrices, en wolof, arabe et français, mais aussi des amulettes, objets, écritures, portraits de marabouts, « blindant » le véhicule contre les jaloux, les malfaisants, les génies, générateurs de malchances, de pannes et d’accidents. Enfin, ces cars rapides sénégalais aux peintures caractéristiques sont aussi devenus des sources d’inspiration de dessinateurs de bandes dessinées, d'artistes, de peintres de tableaux et de peintures sous verre, suwers vendus aux touristes. Depuis 2005, le gouvernement sénégalais a confié au du Conseil exécutif des transports urbains de Dakar (CETUD) un programme de renouvellement du parc de transports en commun. Les propriétaires des cars rapides sont incités à les remplacer par des bus de marques indiennes et asiatiques. Et c’est dans ce cadre que le CETUD a offert un de ces véhicules au Musée de l’homme, lors d’une campagne de récupération à Saint Louis.
Mot(s) clés libre(s) : pollution, deuxième vie des objets, savoirs populaires, tôlerie, menuiserie métallique, peintures décoratives, peintres, art, urbain, Saviem Super-Goélette SG2, Saint Louis, transport en commun, Sénégal, histoire, vidéo, récupération, Dakar, mécanique, arts et traditions populaires, art populaire, Musée de l'Homme de Paris
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Yvonne Treis : Au bord du silence Chants traditionnels du pays baskeet

/ MARYLINE LEDUCQ / Canal-u.fr
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« C’est par hasard que j’ai rencontré Kammtso Kammo. Et j’ai connu son histoire plus tard. A l’époque, je ne savais pas. » La rencontre avec ce chef de clan, l’un des derniers gardiens des chants et des contes de sa communauté, est décisive pour Yvonne Treis. Linguiste et intéressée par le Baskeet, une langue omotique parlée en Ethiopie, la chercheuse comprend la richesse et la fragilité extrême de cette culture qu’elle vient à peine de découvrir. Parcourant la campagne, elle se consacre alors à recueillir des traditions langagières et musicales aujourd’hui au bord de disparaître.Avec Yvonne Treis, linguiste au LLACAN (Langage, langues et cultures d'Afrique noire) CNRS / INALCO
Mot(s) clés libre(s) : musique, linguistique, tradition
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