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Wedding Party in Darb al-Ahmar , A popular Neighborhood — Cairo, Egypt (Vincent Battesti, March 31st, 2011)
/ Vincent Battesti
/ 31-03-2011
/ Canal-u.fr
Battesti Vincent
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Deux mois après le début de la révolution égyptienne de 2011, la vie se poursuit, les mariages reprennent au Caire. Cette vidéo a été montée dans la perspective d’un contre-don: la vidéo retournait à la famille de la mariée: son père, qui travaille dans une forge, m’avait invité au mariage.
Le mariage se passe dans une salle communale et non en plein air en privatisant une rue ou des ruelles comme cela se passe habituellement dans les quartiers populaires du Caire comme celui-ci (à Darb al-Ahmar). Il faut peut-être y voir l’influence d’une insécurité post-révolutionnaire et aussi l’évolution du mariage populaire qui imiterait les mariages bourgeois des classes supérieures.
Two months after the start of the 2011 Egyptian revolution, life goes on, weddings resume in Cairo. This video has been edited in the perspective of a back gift: the video returned to the family of the bride: her father, who works in a forge, had invited me to the wedding.
The marriage happens in a community hall and not in the open air by privatizing streets or alleys as it usually happens in the popular neighborhoods of Cairo, as here in Darb al-Ahmar. It is maybe the influence of post-revolutionary insecurity and also the evolution of the popular wedding that would mimic the bourgeois marriages of the upper classes. Mot(s) clés libre(s) : musique, Wedding, Party, Urban, Urbain, Cairo, Egypt, Le caire, music, fête, Egypte, populaire, mariage, Popular
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Ville compacte, ville diffuse - Francis Beaucire
/ UTLS - la suite
/ 06-01-2006
/ Canal-U - OAI Archive
BEAUCIRE Francis
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La forme des villes, entendue comme la forme de l'espace urbanisé et de la répartition de ses fonctions, a évolué au fil du temps en fonction des opportunités offertes par les moyens de transport mis à la disposition des citadins grâce à l'innovation technologique et l'investissement économique : la forme des villes résulte pour une bonne part d'un système d'accessibilité, qui a tendu à son étalement et à sa fragmentation géographique. Mais ce modèle dominant n'est pas le seul : dans les mêmes conditions, la ville compacte s'est parfois maintenue dans son principe, au point de représenter un contre modèle, européen lui aussi, porté aujourd'hui par le développement durable et présenté comme un objectif des politiques publiques d'aménagement urbain. Mot(s) clés libre(s) : automobiles, carburant (consommation), équipements collectifs, espace (architecture), infrastructures de transport, organisation de l'espace, réseaux urbains, urbanisme, utilisation du sol, vitesse
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Urbaniser pour dépolitiser : la rhétorique du spatialisme et du localisme
/ ENS-LSH/SCAM
/ 14-11-2001
/ Canal-U - OAI Archive
GARNIER Jean-Pierre
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Les discours du politique : Ecole thématique Violence, consensus, sécuritéJean-Pierre Garnier s'intéresse ici aux violences urbaines, s'interroge sur leur définition et sur leurs origines. Il précise ainsi qu'il s'agit des violences "qui troublent l'espace public urbain". Il montre ensuite que le fait de qualifier un problème d'urbain est une façon de neutraliser le conflit et de nier la division, en un mot de dépolitiser le problème. Il s'intéresse ensuite au traitement de ces violences par le recours à deux idéologies : l'idéologie du spatialisme et celle du localisme. Le spatialisme consiste à transfigurer les problèmes sociaux en problèmes dus à un certain type d'espace. C'est une idéologie en vertu de laquelle le cadre de vie détermine très largement le mode de vie : la configuration du bâti conditionne les comportements. Le localisme est une démarche qui consiste à formuler, étudier et traiter les problèmes là où ils se posent : au lieu de remonter aux processus globaux générateurs des violences, on se borne à traiter les conséquences locales. Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia Captation vidéo : Sebastien Boudin, Julien Lopez, Mathias Chassagneux, Son: Samuel Bazin, Montage-Encodage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : insécurité, politique urbaine, violence urbaine
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Un car rapide sénégalais au Musée de l'Homme de Paris : un chef-d'oeuvre d'art populaire, un “art parlant”
/ Canal-u.fr
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ARTISTES
El Hadj Kane & Pape Omar Pouye
ACTEURS
El Hadj Kane, Pape Omar Pouye, les peintres, Malick Seck, l'apprenti, Pape Sall (mairie SICAP Liberté 3, Dakar), Ibrahima Diop & les voisins du chantieret les sons industriels des menuisiers métalliquesAUTEURS : Alain Epelboin & Ndiabou Sega Touré
COMMENTAIRES : Ndiabou Sega Touré & Alain
Epelboin
CAMÉRA, SON, MONTAGE, RÉALISATION : Alain Epelboin
REMERCIEMENTS : El Hadj Kane, Pape Omar Pouye, Pape Sall, Ibrahima Diop et les voisins du chantier, Alioune Thiam (CETUD Sénégal), la famille du défunt El Hadj El Kaba Touré, Mireille Gruska & Annie Marx, Studio ad hoc France.
RÉSUMÉ :Dans son exposition permanente, dans la partie consacrée à la mondialisation, le nouveau Musée de l'Homme de Paris présente un « car rapide » sénégalais, nommé aussi « super », « ndiaga ndiaye : c’est-à-dire un objet industriel du nord, mis au rebut, réapproprié par les artisans, artistes et tradipraticiens des suds. Ce film suit la réalisation des peintures décoratives et protectrices d’un fourgon Saviem Renailt Super-Goélette SG2 datant des années 1970, par deux peintres, spécialistes de cet art populaire, El Hadj Kane et Pape Omar Pouye, à la demande de deux anthropologues Alain Epelboin (CNRS-MNHN Paris) et Ndiabou Sega Touré (UCAD Dakar) en collaboration avec Studio ad hoc, chargé de la réalisation du projet.
L’action a lieu dans un parking de la mairie de SICAP Liberté 3 de Dakar servant d’entrepôt de matériaux de construction et abritant des ateliers de menuiserie métallique à ciel ouvert, avec une ambiance sonore déchirée régulièrement par les sons des scies, meuleuses et autres appareils à souder.
Tout en travaillant, les artistes se racontent, expliquent ce qu’il font, évoquent leur apprentissage auprès de leurs maitres, leurs propres apports artistiques, « leur touche », leur goût à exercer ce métier, leur fierté d’être des artistes. Les deux peintres soulignent leur conscience de réaliser un chef d’oeuvre d’art populaire sénégalais, qui représente le Sénégal et l’Afrique aux yeux des visiteurs d’un grand musée de Paris, sis face à la Tour Eifel, à proximité de l’esplanade du Trocadéro, le Parvis des droits de l'homme où des colporteurs sénégalais « clandestins » sont pourchassés par la police française.
Un art populaire, c’est-à-dire selon eux un art qui parle à tout le monde, sans distinction de classe ou d’âge, mais aussi un témoignage de l’histoire du Sénégal et de ses relations avec la France depuis le XIX ème siècle.
Il s’agit d’un de ces fourgons Super-Goélette Renault
SG2, peints en jaune et bleu, ornés de multiples motifs, couleurs, écritures, amulettes
et objets magiques. Ils assurent quotidiennement les transport en commun dans
les grandes villes du Sénégal, en concurrence avec les bus des grandes
compagnies étatiques et les taxis collectifs privés, voire les charrettes.
Des milliers de Sénégalais les empruntent chaque jour et nombreux sont ceux qui
en gardent, enfouis dans leur mémoire, des images émouvantes, des scènes, des
sons, des odeurs, des émotions datant de
leur jeunesse.
Les fourgons Super-Goélette Renault SAVIEM SG2 produits
de 1967 à 1982, succédant aux Goélettes Renault (1947-1965), ont été très
populaires, équipant massivement les entreprises, les administrations civiles
et militaires européennes. Au fur et à mesure de leurs mises en réforme, des
lots importants ont été revendus massivement dans les colonies françaises, puis
dans les pays francophones devenus indépendants, essentiellement en tant que
véhicules de transport en commun permettant de charger officiellement 25
passagers, sans compter les personnes debout et d’éventuels occupants de la
galerie ou marche-pied..
Dans chacun de ces pays, ces objets industriels du
Nord mis au rebut, ont été réinvestis par des savoir-faire autochtones,
des techniques, de mécanique, de tôlerie, de menuiserie métallique, qui ont
permis à une flotte importante de continuer à circuler jusqu’à présent, chaque
véhicule cumulant des millions de kilomètres.
Au Sénégal, ils ont été également investis de
générations en générations par un art décoratif et protecteur original, à base
de peintures multicolores, de nombreuses formules sentencieuses, morales, protectrices,
en wolof, arabe et français, mais aussi des amulettes, objets,
écritures, portraits de marabouts, « blindant » le véhicule contre
les jaloux, les malfaisants, les génies, générateurs de malchances, de pannes
et d’accidents.
Enfin, ces cars rapides sénégalais aux peintures caractéristiques
sont aussi devenus des sources d’inspiration de dessinateurs de bandes
dessinées, d'artistes, de peintres de tableaux et de peintures sous verre, suwers vendus
aux touristes.
Depuis 2005, le gouvernement sénégalais a confié au du
Conseil exécutif des transports urbains de Dakar (CETUD) un programme de
renouvellement du parc de transports en commun. Les propriétaires des cars
rapides sont incités à les remplacer par des bus de marques indiennes et
asiatiques. Et c’est dans ce cadre que le CETUD a offert un de ces véhicules au
Musée de l’homme, lors d’une campagne de récupération à Saint Louis. Mot(s) clés libre(s) : pollution, deuxième vie des objets, savoirs populaires, tôlerie, menuiserie métallique, peintures décoratives, peintres, art, urbain, Saviem Super-Goélette SG2, Saint Louis, transport en commun, Sénégal, histoire, vidéo, récupération, Dakar, mécanique, arts et traditions populaires, art populaire, Musée de l'Homme de Paris
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/ Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 07-07-2011
/ Canal-U - OAI Archive
LEES Loretta
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Mot(s) clés libre(s) : cohésion sociale, gentrification (Londres), Londres (quartier de Southwark), marché immobilier, politique du logement (Royaume-Uni), rénovation urbaine, rénovation urbaine (participation des citoyens), urbanisme (aspect social)
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The grammar of "mixed communities": urban injustice and the Aylesbury Estate [VF] / Loretta Lees
/ Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 07-07-2011
/ Canal-U - OAI Archive
LEES Loretta
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The grammar of "mixed communities": urban injustice and the Aylesbury Estate [version française] / Loretta Lees. In "Mixité : an urban and housing issue? Mixing people, housing and activities as urban challenge of the future", 23ème colloque international de l'European Network for Housing Research (ENHR), organisé par le Laboratoire Interdisciplinaire Solidarités, Sociétés, Territoires (LISST) à l'Université Toulouse II-Le Mirail, 5-8 juillet 2011. Plénière 4 : Approaches, pratices and challenges of mixité in different urban contexts, 7 juillet 2011.Now that New Labour’s era of urban renaissance in the UK has hit the buffers of both an economic downturn and a change of government it is time to reflect on the urban injustices it has left in its wake. In this paper I focus on the urban injustices that have been practiced on the Aylesbury Estate in London. I look at how the sociomateriality of the Aylesbury was discursively constructed by those with power in order to further their goals of regeneration, that is state-led gentrification, into a new ‘mixed income’, new-build community. I question the truth claims that have been made about the Aylesbury as a ‘sink estate’ and argue that they served dominant interests. I look at how choices have been closed down for the estate’s residents and how their support for the regeneration programme has been misrepresented.In so doing I expose a variety of unjust practices that have been, and are being, enacted on the Aylesbury Estate. But importantly I look at what the residents think about the whole process (seeking alternative knowledges, imaginaries, logics) and how they are resisting dominant interests and practices. In so doing I question not just the policy of mixed communities (the new urban renewal) but also the way that it has been forced upon low income communities.> La communication est traduite en français en simultané par un interprète de l'Association Internationale des Interprètes de Conférence-AIIC). Mot(s) clés libre(s) : cohésion sociale, gentrification (Londres), Londres (quartier de Southwark), marché immobilier, politique du logement (Royaume-Uni), rénovation urbaine, rénovation urbaine (participation des citoyens), urbanisme (aspect social)
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Suburbex. L'exploration suburbaine : errance et anonymat / Bruce Bégout
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 08-02-2016
/ Canal-u.fr
BÉGOUT Bruce
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Suburbex. L'exploration suburbaine : errance et anonymat / Bruce Bégout, in séminaire "Poéthiques":
"Lieux communs", organisé par Nathalie Cochoy et Jean-Yves Laurichesse
(CAS / PLH-ELH), Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, 8 mars 2016.
Illustration : "Utah", photographie d'Olivier Gaudin (2009).
Le philosophe Bruce Bégout a « longtemps arpenté les villes, à la fois physiquement et intellectuellement. [Il] essaie de créer une sorte de parcours à la fois philosophique mais aussi transdisciplinaire, utilisant toutes les ressources possibles, de la littérature, de la photographie, des sciences humaines et de l'histoire et pratiquant trois genres d'écritures pour explorer les nouveaux territoires, que ce soit le genre de l'analyse théorique pure, le genre de l'essai ou le genre de la fiction. »
Dans cette communication, Bruce Bégout s'intéresse aux friches, plus particulièrement à ce qu'il appelle le « le troisième âge de la friche qui est un élément central de la "suburbia" (...). Une suburbia marquée « par un effort de rationalisation en zones commerciales, zones de travail et zones d'habitations pavillonnaires et de cités, de l'homogénéisation des fonctions mais dont on s'aperçoit qu'il est un espace extrêmement chaotique (...) puisque sont rassemblés là des gens, des pratiques, des univers assez différents qui coexistent et montrent une hétérogénéité plus grande de modes de vie que la relative homogénéité culturelle et existentielle des centres-villes. » Pour Bruce Bégout, « la première caractéristique de la "suburbia" est qu'elle est souvent disqualifiée, qualifiée négativement : manque de de mixité, de proximité, d'équipements -notamment culturels, manque d'échanges et de sociabilité, manque de beauté. (...) Mais elle n'est pas simplement un espace du manque ; cette négativité est la positivité même de cet espace. (...) Pour les philosophes, les écrivains, les chercheurs, c'est un espace où il se passe quelque chose. Dans les marges de la ville disqualifiée, il y a la possibilité de l'émergence du sens, d'un sens qui aurait fait l'épreuve de la négativité et, au prix d'une éventuelle destruction, de la création. L'expérience de la négativité est présente dans l'expérience de ces ruines contemporaines que sont les friches qui comprennent les usines désaffectées, les cars abandonnés, les lieux oubliés de la modernité, jamais totalement vides ». Mot(s) clés libre(s) : friches urbaines, espace urbain, anthropologie urbaine, ville (philosophie), sociologie de la ville
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/ Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 07-07-2011
/ Canal-U - OAI Archive
LELÉVRIER Christine
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Mot(s) clés libre(s) : cohésion sociale, logement social (France), mixité sociale, pauvres (logement), politique du logement (France), ségrégation urbaine, urbanisme (aspect social)
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Social mix strategies in urban renewal: paradoxical effects ? [VF] / Christine Lelévrier
/ Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 07-07-2011
/ Canal-U - OAI Archive
LELÉVRIER Christine
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Social mix strategies in urban renewal: paradoxical effects ? / Christine Lelévrier [version avec traduction simultanée en français]. In "Mixité : an urban and housing issue? Mixing people, housing and activities as urban challenge of the future", 23ème colloque international de l'European Network for Housing Research (ENHR), organisé par le Laboratoire Interdisciplinaire Solidarités, Sociétés, Territoires (LISST) à l'Université Toulouse II-Le Mirail, 5-8 juillet 2011. Plénière 4 : Approaches, pratices and challenges of mixité in different urban contexts, 7 juillet 2011.Social mix is a powerful category of housing and urban policies in France. The idea that urban and social diversity is a condition for a “balanced” and “peaceful” city life is not new and almost as old as urban planning and social housing. But, the strength of this notion has increased since the middle of the 1990’s. As in other countries, (the French) national government and local authorities consider social mix as a condition for community cohesion and social inclusion, a sort of public answer to poverty and ethnic concentration in cities and more recently, as a principle for sustainable development and territorial equality (Fenton, Turnstall, 2006). As in other countries as well, housing and especially social housing on one hand, area-based policies on the other hand, are the main public tools for implementing social mix strategies. In 2003, an ambitious urban renewal programme, focused on deprived neighbourhoods and based on housing diversification, followed up the debate about perverse effects of social mix strategies applied to poor areas. - Are urban renewal strategies successfull at diversifying housing and population in the neighbourhoods ?- Does social diversification mean more social capital and social interactions in the neighbourhoods ?- What are the benefits from urban renewal for the inhabitants, the “outsiders” and the “managers” of those neighbourhoods ?The findings from research conducted since 2004 highlight two mains processes of change: re-clustering and fragmentation (Lelévrier, 2010). Those urban and social effects could be seen as paradoxical ones, in reference to social mix public attempts, proceeding from a holistic and dualistic spatial representation of the city and the neighbourhood: instead of mixing, urban renewal just displaces poverty and instead of reenforcing cohesion, it enhances boundaries and distance between social groups. But the assessment could be different if the new private small residences are the opportunity for the “neighbourhoods children”, part of them coming from the immigrant families, to upgrade their residential careers and stay in the familiar neighbourhood while being able to keep social distance… Those changes encountered not national but local social housing managers -a way to stabilize “good tenants”, as well as private one- a way to endow their investments.> La communication est traduite en français par Mme Solange Hibbs (directrice du Département Centre de Traduction, d'Interprétation et de Médiation linguistique (CETIM) de l'université Toulouse II-Le Mirail). Mot(s) clés libre(s) : cohésion sociale, logement social, mixité sociale, politique du logement, ségrégation urbaine, sociologie de l'habitat, urbanisme (aspect social)
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/ Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 06-07-2011
/ Canal-U - OAI Archive
MUSTERD Sako
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Mot(s) clés libre(s) : discrimination dans le logement, exclusion sociale, logement social, mixité sociale, politique du logement, quartiers pauvres, ségrégation urbaine
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