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"Le pavillon des cancéreux" d'Alexandre Soljenitsyne / Pierre C. Lile
/ Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 22-01-2011
/ Canal-U - OAI Archive
LILE Pierre C.
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"Le pavillon des cancéreux" d'Alexandre Soljenitsyne / Pierre C. Lile. Dans "Histoire du cancer (1750-1950)", colloque international organisé par le laboratoire FRAMESPA (université Toulouse II-Le Mirail), l'Institut Claudius Regaud et le Centre d'Études d'Histoire de la Médecine. Toulouse : Université Toulouse II-Le Mirail, Institut Claudius Regaud, 20-22 janvier 2011. Thématique 4 : Histoire du cancer (1750-1950) : Perceptions et représentations, 22 janvier 2011. Malgré son titre et son sujet, cet ouvrage, paru dans sa traduction française en 1968, s’inscrit bien dans l'œuvre de l’écrivain, car l’ombre géante et sinistre du goulag stalinien et de la relégation à vie plane sur tous les personnages (médecins et malades) de l’Hôpital. Roman récit très autobiographique (écrit dix ans après la propre hospitalisation de Soljenitsyne dans le même service) le livre contient, à la fois, un précieux témoignage sur le fonctionnement d’un « hôpital du Cancer » dans les années 1950 dans l’ex-empire soviétique -très proche, nous le savons, de ce qui se passait en France à la même époque- et l’immense diversité des destins humains confrontés à la maladie, à la souffrance et à la mort.Privilégiant l’aspect médical et anthropologique, cette communication étudie, dans une sorte de dialectique de la dualité, le rapport entre l’extérieur (la vie avant) et l’intérieur (le lieu clos de la salle commune) ; celui entre malades (les hommes) et médecins (les femmes) entre radiothérapeutes et chirurgiens, entre thérapeutique orthodoxe et médecine parallèle…Au centre du livre, le cancer, miroir de la destinée, est ici assimilé au « Mal » philosophique ou religieux. Mot(s) clés libre(s) : Alexandre Soljenytsine (1918-2008), cancer (dans la littérature), cancer (thérapeutique), centres de lutte contre le cancer (URSS), relations patient-médecin, URSS (20e siècle)
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Le rôle historique des institutions dans le progrès des sciences / Jacques Blamont
/ Bruno BASTARD, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 03-05-1999
/ Canal-U - OAI Archive
BLAMONT Jacques Émile
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Le rôle historique des institutions dans le progrès des sciences / Jacques Émile Blamont. Conférence donnée dans le cadre de L'Institut des Études Doctorales (IED) et présentée par Michel Eliard, directeur de l'URF de Sociologie de l'université du Mirail. Université Toulouse II-Le Mirail, 3 mai 1999. Mot(s) clés libre(s) : bibliothèque d'Alexandrie, centres publics de recherche, compétitivité (économie politique), histoire des sciences et techniques (20e siècle), politique scientifique (Etats-Unis), politique scientifique (France), politique scientifique (URSS), progrès sci
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La récidive de Lucien Bianco
/ Canal-u.fr
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L'accession de la Chine au rang de deuxième puissance économique
mondiale confère une meilleure image à sa révolution qu'à la révolution
russe. Elles ont pourtant presque tout en commun : la révolution
chinoise a été une copie conforme de l'autre, jusqu'à ce que Mao prenne
conscience moins des vices du modèle que de son inadaptation à un pays
surpeuplé du tiers-monde. Mais au lieu de corriger le modèle, Mao a
prétendu aller plus loin et plus vite dans le même sens. À la différence
de la réplique d'un séisme, d'ordinaire moins catastrophique, le Grand
Bond en avant de 1958 est une réplique aggravée du Grand Tournant
soviétique de 1929, conçu en fonction d'une fin rêvée sans tenir compte
des possibilités. C'est en tournant le dos à la révolution que la Chine
se développe à vive allure depuis et grâce à la mort de Mao. L'étude
comparative inédite de Lucien Bianco fait ressortir les similitudes :
toute-puissance de la bureaucratie, surexploitation de la paysannerie,
qui provoque les deux plus grandes famines du XXe siècle,
mise au pas des écrivains et des artistes, répression, camps. La
comparaison Staline-Mao qui couronne le tableau conduit l'auteur à
remonter jusqu'à Lénine et à faire sien le constat d'un historien
chinois : «Autant que possible, le mieux est d'éviter de recourir aux
révolutions.» Mot(s) clés libre(s) : Chine, révolution, étude comparative, Mao, URSS, Staline
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