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Réseaux et interactions entre villes celtiques
/ Université Paris I Panthéon-Sorbonne
/ 02-12-2015
/ Canal-u.fr
FILET Clara
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Au cours des trois derniers siècles avant J.-C., l’Europe centrale et occidentale voit l’apparition de grandes agglomérations : leurs dimensions et la diversité de leurs fonctions nous incitent aujourd’hui à les considérer comme de véritables villes. Loin d’être des agglomérations isolées et autarciques, ces sites ont puisé leur richesse dans les nombreuses interactions économiques et politiques avec leurs voisins, échangeant largement des biens de consommation et des idées, les uns et les autres s’influençant réciproquement.
Le mobilier archéologique témoigne de ces circulations à longue distance de produits d’échanges lointains, par exemple l’ambre de la mer Baltique, ou le vin d’Italie. L’ampleur et l’intensité de ces échanges peuvent être analysés et testés par ordinateur. On cherche ainsi à mesurer l’impact de ces réseaux d’interactions dans le développement des premiers habitats urbains de nos régions.
Cette vidéo est issue de la web-série "Devenir Archéologue" produite par
l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne.
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019 - Villes coloniales du Maghreb, entre histoire urbaine et histoire sociale
/ ENS-LSH/SCAM
/ 20-06-2006
/ Canal-U - OAI Archive
ENS-LSH/SCAM
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par Anna Bozzo (Université de Rome)Sociétés : scènes et acteurs : session thématique (prés. Jean-Pierre Frey)Colloque pour une histoire critique et citoyenne - le cas de l'histoire franco-algérienne Constantine est une ville unique, en raison de son site, de son histoire et de la tradition millénaire de son centre historique, qui en a fait de tout temps un pôle d’attraction pour son hinterland, et une capitale régionale. De surcroît, cette ville a connu un destin à part pendant la période coloniale, en raison des circonstances de sa conquête d’abord et des stratégies de domination qu’ont exercées, de manière concurrentielle, et souvent conflictuelle, les autorités coloniales civiles et militaires. Mais c’est à travers la définition de sa spécificité que l’on parviendra à jeter des éclairages sur l’impact qu’a eu en général la colonisation sur d’autres villes d’Algérie et du Maghreb. Ce qui fera l’objet de cette communication est moins la consistance de ce patrimoine urbain, marqué profondément et de manière irréversible par l’urbanisme colonial, tel qu’on l’a hérité à l’heure actuelle, avec tous les problèmes que pose son impérative sauvegarde et réhabilitation, que l’épaisseur historique du vécu millénaire de cette ville, avec ses populations, ses notabilités traditionnelles, une histoire sociale strictement dépendante de ce cadre urbain tout à fait extraordinaire. Cette dimension sociale et humaine, comme partie constitutive et incontournable de la condition urbaine, est au cœur de notre regard sociohistorique sur Constantine comme phénomène urbain que ses derniers conquérants ont marqué et violé en profondeur, sans le détruire pour autant. Quoi qu’il en soit, le Rocher, en tant que cœur battant de la ville, n’a pas connu la décadence d’autres médinas, que le colonisateur a marginalisées, tout en les gardant sous contrôle policier, les vidant de leurs prérogatives économiques administratives et directionnelles pour transférer ces dernières dans des nouveaux quartiers modernes destinés aux Européens (les villeneuves) ; au contraire, le Rocher a gardé sa position centrale, confirmée par son développement radial ; quant à ses populations autochtones, elles ont été entraînées dans une progressive modernisation du tissu urbain. Celle-ci n’a pas été le fruit du hasard, mais l’effet de mesures adoptées par les autorités civiles, souvent contrecarrées par les militaires, pour répondre aux exigences d’installation des nouveaux occupants, qui se sont rajoutés, ce qui a favorisé l’émergence de l’individu-citoyen, et l’apprentissage d’une nouvelle sociabilité ; la société dans son ensemble a connu des transformations profondes, mais moins traumatiques qu’ailleurs, et s’est organisée par le bas, en empruntant de manière surprenante la vie associative dans le cadre de l’espace public refaçonné par le colonisateur, pour faire revivre l’ancienne tradition citadine. Et ce n’est pas un hasard si Constantine a été le centre d’un renouveau culturel et religieux qui a jeté les bases de l’élaboration d’une nouvelle identité algérienne s’inscrivant dans la modernité, mais n’ayant pas la France comme référent majeur. Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux, Julien Lopez, Son: Xavier comméat, Encodage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : colonies (administration), colonisation, constantine (algérie), histoire sociale, maghreb, politique urbaine, urbanisme, villes coloniales
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ENS Lyon - La ville de l'après-pétrole (Cyria Emelianoff)
/ Ensmédi@ / ENS de Lyon, Grand Lyon, Conseil de Développement du Grand Lyon, ENS-LSH
/ 05-03-2009
/ Canal-U - OAI Archive
EMELIANOFF Cyria, WORMSER Gérard
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L'analyse des modes de vie est indispensable car ils sont à la source de toute évolution en matière environnementale. Les modes de vie sont un objet de préoccupations montantes du côté de la société civile comme des pouvoirs publics, par exemple dans le cadre des plans Climat, des agendas 21 locaux ou de certaines expériences d’éco-quartiers. Plusieurs pistes sont à analyser : les impacts environnementaux des territoires, liés aux modes de vie des leurs habitants d’une part, les modes de vie comme objet politique et les inégalités des répartitions des ressources et richesses d’autre part. La durabilité ne serait pas alors une affaire « d’éducation », « d’acceptabilité sociale » ou « d’accompagnement », mais plutôt un changement culturel amorcé, par lequel autonomie, sobriété et simplicité deviendraient des valeurs articulées autour de l’habiter local et de l’habiter planétaire. Mot(s) clés libre(s) : après-pétrole, durable, environnement, mode de vie, mondialisation, ressources, richessses, urbanisme, ville
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La ville de l'après-pétrole (Cyria Emelianoff)
/ Ensmédi@ / ENS de Lyon, Grand Lyon, Conseil de Développement du Grand Lyon, ENS-LSH
/ 05-03-2009
/ Canal-u.fr
EMELIANOFF Cyria, WORMSER Gérard
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L'analyse des modes de vie est indispensable car ils sont à la source de toute évolution en matière environnementale. Les modes de vie sont un objet de préoccupations montantes du côté de la société civile comme des pouvoirs publics, par exemple dans le cadre des plans Climat, des agendas 21 locaux ou de certaines expériences d’éco-quartiers. Plusieurs pistes sont à analyser : les impacts environnementaux des territoires, liés aux modes de vie des leurs habitants d’une part, les modes de vie comme objet politique et les inégalités des répartitions des ressources et richesses d’autre part. La durabilité ne serait pas alors une affaire « d’éducation », « d’acceptabilité sociale » ou « d’accompagnement », mais plutôt un changement culturel amorcé, par lequel autonomie, sobriété et simplicité deviendraient des valeurs articulées autour de l’habiter local et de l’habiter planétaire. Mot(s) clés libre(s) : environnement, ressources, urbanisme, mondialisation, ville, mode de vie, après-pétrole, durable, richessses
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ENS Lyon - Le migrant connecté (Dana Diminescu)
/ Ensmédi@ / ENS de Lyon, Grand Lyon, Conseil de Développement du Grand Lyon, ENS-LSH
/ 18-12-2008
/ Canal-U - OAI Archive
DIMINESCU Dana, WORMSER Gérard
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Partons de l'univers-maison d'une famille philippine de Paris : l'écran d'ordinateur donne accès à leur maison de Manille. D'où un paradoxe : au cœur du « déracinement », on trouve des attaches et des liens préservés. Le programme « TIC et migrations » montre que migrer n'est plus incompatible avec la conservation de liens et de contacts ! Nouvel enfermement communautaire ? Possible, mais s'accompagnant alors d'une manière nouvelle de vivre ensemble. Mot(s) clés libre(s) : migrant, migration, mondialisation, réseaux, responsabilitsés, risques, ville
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Le migrant connecté (Dana Diminescu)
/ Ensmédi@ / ENS de Lyon, Grand Lyon, Conseil de Développement du Grand Lyon, ENS-LSH
/ 18-12-2008
/ Canal-u.fr
DIMINESCU Dana, WORMSER Gérard
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Partons de l'univers-maison d'une famille philippine de Paris : l'écran d'ordinateur donne accès à leur maison de Manille. D'où un paradoxe : au cœur du « déracinement », on trouve des attaches et des liens préservés. Le programme « TIC et migrations » montre que migrer n'est plus incompatible avec la conservation de liens et de contacts ! Nouvel enfermement communautaire ? Possible, mais s'accompagnant alors d'une manière nouvelle de vivre ensemble. Mot(s) clés libre(s) : mondialisation, migration, réseaux, risques, ville, migrant, responsabilitsés
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/ Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 06-11-2008
/ Canal-U - OAI Archive
DEVABHAKTUNI Sony
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Mot(s) clés libre(s) : architecture et littérature, influence littéraire, ville (thèmes et motifs), Walter Benjamin (1892-1940), Walter Benjamin (critique et interprétation)
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ENS Lyon - Ville : un autre regard, le regard d'un autre (Marie Desplechin)
/ Ensmédi@ / ENS de Lyon, Grand Lyon, Économie et Humanisme, ENS-LSH, Conseil de Développement du Grand Lyon
/ 14-12-2006
/ Canal-U - OAI Archive
DESPLECHIN Marie, WORMSER Gérard
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Marie Desplechin s’interroge sur la place "à l’autre, dans sa ville qui n’est pas la mienne, et à l’impression d’être autre partout où je suis…".Réflexions sur l’identité dans la ville. L’identité d’un être, c’est son adresse, là où il habite. On appartient à des lieux, soit l’endroit où on est né, soit celui où on habite. On peut n’appartenir à aucun lieu, ce qui est, à mon avis, appartenir à un non-lieu : l’absence de lieu, cela vous constitue. On ne peut pas vivre sans avoir une représentation de soi, et elle est liée à la géographie. On le voit dans la littérature, quand les gens évoquent leurs souvenirs d’enfance ; ce sont des endroits, des rues… Ces espaces nous constituent.Marie Mot(s) clés libre(s) : absence de lieu, appartenir à un lieu, décembre 2006, ENS Lyon, Gérard Wormser, identité de la ville, le regard de l’autre, Les conférences du Grand Lyon 2006-2007, Marie Desplechin, non-lieu, représentation de soi, souvenirs d’enfance, un autre regard, v
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Ville : un autre regard, le regard d'un autre (Marie Desplechin)
/ Ensmédi@ / ENS de Lyon, Grand Lyon, Économie et Humanisme, ENS-LSH, Conseil de Développement du Grand Lyon
/ 14-12-2006
/ Canal-u.fr
DESPLECHIN Marie, WORMSER Gérard
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Marie Desplechin s’interroge sur la place "à l’autre, dans sa ville qui n’est pas la mienne, et à l’impression d’être autre partout où je suis…".
Réflexions sur l’identité dans la ville. L’identité d’un être, c’est son adresse, là où il habite. On appartient à des lieux, soit l’endroit où on est né, soit celui où on habite. On peut n’appartenir à aucun lieu, ce qui est, à mon avis, appartenir à un non-lieu : l’absence de lieu, cela vous constitue. On ne peut pas vivre sans avoir une représentation de soi, et elle est liée à la géographie. On le voit dans la littérature, quand les gens évoquent leurs souvenirs d’enfance ; ce sont des endroits, des rues… Ces espaces nous constituent.Marie Mot(s) clés libre(s) : représentation de soi, souvenirs d’enfance, non-lieu, Marie Desplechin, le regard de l’autre, identité de la ville, décembre 2006, appartenir à un lieu, absence de lieu, Les conférences du Grand Lyon 2006-2007, Gérard Wormser, ENS Lyon, ville, un autre regard
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ENS Lyon - Entre travail individuel et action collective. (Christophe Dejours)
/ Ensmédi@ / ENS de Lyon, Grand Lyon, ENS-LSH, Conseil de Développement du Grand Lyon
/ 10-04-2008
/ Canal-U - OAI Archive
DEJOURS Christophe, WORMSER Gérard
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Quel est le rapport entre le travail et l’action ? À quelles conditions les évolutions actuelles du monde du travail peuvent-elles être transformées ?« Individualisme et dynamiques collectives » rappelle une contradiction centrale de la théorie politique : la noblesse du politique serait du côté de l’action, alors qu’il conviendrait de se méfier de l’individu. Or, sous la loupe du travail, cette contradiction n’est pas antagonique. L’individu n’est pas un obstacle à l’action mais une exigence spécifique : penser ensemble l’action et la vie. Mieux, l’action (collective) pourrait gagner en rationalité si elle intégrait l’exigence de respecter la vie (individuelle). Réfléchir au travail, c'est rendre ce compromis possible. Mot(s) clés libre(s) : action collective, Christophe Dejours, dynamiques collectives, ENS Lyon, Gérard Wormser, Les conférences du Grand Lyon 2006-2007, psychopathologie du travail, travail individuel, vie individuelle, ville
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