Tri :
Date
Editeur
Auteur
Titre
|
|
La fusion thermonucléaire et le projet ITER
/ Académie de Lyon - Journée "Milieux extrêmes", ENS Lyon CultureSciences-Physique, Catherine Simand
/ 05-02-2009
/ Unisciel
Monier-Garbet Pascale
Voir le résumé
Voir le résumé
Une conférence de Pascale Monier-Garbet, chercheuse à l'Institut
de recherches sur la fusion magnétique au CEA de Cadarache, présentée dans le cadre
de la journée académique enseignement-recherche sur les "Milieux extrêmes", à Lyon. La fusion nucléaire, avantages et difficultés.
Le projet ITER, dimensionnement, avancées et défis. Mot(s) clés libre(s) : fusion, fusion nucléaire, fusion thermonucléaire, iter, fusion magnétique, tokamak, tritium, deutérium, tore magnétique, tore, Cadarache
|
Accéder à la ressource
|
|
Histoire du spin des particules élémentaires
/ Physique au Printemps 2008, ENS Lyon CultureSciences-Physique, Catherine Simand
/ 02-04-2008
/ Unisciel
Martin André
Voir le résumé
Voir le résumé
Une conférence d'André Martin, du CERN (Genève), présentée dans
le cadre de « Physique au Printemps » 2008 sur le thème « La rotation, le spin », 2 avril 2008.
De la conservation du moment angulaire des lois de Kepler au spin de l'électron et au condensat de Bose,
toute l'histoire du spin des particules en physique. Mot(s) clés libre(s) : moment angulaire, spin, principe d'exclusion, Pauli, Dirac, spin de l'électron, boson, fermion, magnéton de Bohr, condensation de Bose-Einstein, lepton, quark, antiélectron, antiparticule
|
Accéder à la ressource
|
|
Un regard sur le futur
/ UTLS - la suite, Université Pierre et Marie Curie-Paris 6
/ 20-06-2004
/ Canal-U - OAI Archive
MAIANI Luciano
Voir le résumé
Voir le résumé
Un regard sur le futur : pouvons-nous comprendre l'infiniment grand à partir de l'infiniment petit ? Les dernières décennies du siècle ont été témoin de progrès extraordinaires dans notre compréhension des constituants ultimes de la matière et des forces qui agissent sur eux. Grâce à l'effort de nombreux scientifiques, nous sommes parvenus à élaborer une « théorie standard » qui décrit et explique tous les phénomènes ainsi observés au coeur du monde des particules élémentaires. Avec la théorie standard, nous pouvons retracer l'histoire de l'Univers en remontant dans le temps, jusqu'à quelques fractions de milliards de secondes après le Big Bang, à un moment où la température de l'Univers s'élevait à un million de milliards de degrés centigrade. A cette époque le plasma primordial qui constituait l'Univers était peuplé de particules que nous ne pouvons produire aujourd'hui seulement dans les accélérateurs de particules les plus puissants en Europe et aux USA. L'évolution de l'Univers a été profondément affectée par les phénomènes qui se déroulèrent alors, et même avant. Ainsi la compréhension des constituants fondamentaux et de leurs interactions est cruciale pour saisir la distribution sur une grande échelle des galaxies, la matière et l'énergie qui le composent, et sa destinée finale. Malgré les progrès, des éléments importants de la microphysique sont encore à l'Etat d'hypothèse. L'existence et les propriétés du « boson de Higgs » ou la nature de la « matière noire » qui constitue l'essentiel de la masse de l'Univers devront être éclaircis par le LHC (Large Hadron Collider), une machine révolutionnaire qui mènera l'Europe à la frontière des hautes énergies. Le LHC est actuellement en construction au CERN (conseil Européen pour la Recherche Nucléaire) à Genève, dans le cadre d'une collaboration internationale, et devrait entrer en activité en 2007. Le LHC et les machines qui succèderont éclaireront plusieurs aspects fondamentaux de notre monde, comme l'existence de dimensions additionnelles à l'espace et aux temps et permettront la synthèse de la Mécanique Quantique et de la Relativité Générale, le problème théorique le plus profond de notre époque. Mot(s) clés libre(s) : astrophysique, Big Bang, boson de Higgs, collisionneur, cosmologie, courbure spatiale, gravité quantique, infiniment petit, interaction fondamentale, matière noire, modèle standard, particule élémentaire, physique des particules, quark, structure atomique
|
Accéder à la ressource
|
|
C'est quoi la gravité ?
/ ENS Lyon CultureSciences-Physique, Catherine Simand
/ 24-10-2006
/ Unisciel
Magro Marc
Voir le résumé
Voir le résumé
C'est quoi la gravité ? : une conférence de Marc Magro, Maître de
Conférences à l'ENS Lyon, présentée dans le cadre des conférences de Formaterre 2006
(INRP, ENS Lyon). Mot(s) clés libre(s) : gravité, masse inertielle, masse gravitationnelle, relativité, relativité restreinte, relativité générale, espace-temps, courbure de l'espace-temps, transformations de Lorentz, transformations de Galilée, mécanique classique, ether, mécanique Newtonienne, gravité quantique, théorie des cordes, simultanéité, géométrie euclidienne
|
Accéder à la ressource
|
|
L’odyssée de la matière (par Jacques Livage)
/ Pascal CECCALDI, Lycée d’Etat Jean Zay - Internat de Paris
/ 04-03-2014
/ Canal-u.fr
LIVAGE Jacques
Voir le résumé
Voir le résumé
L’ODYSSÉE DE LA MATIÈREpar Jacques LIVAGEComment la matière divisée, puis condensée et organiséeest devenue vivante puis pensante ? L’aventure de la matière a commencé il y a près de 14 milliards d’années lorsque, quelques minutes après le big-bang, les premières particules élémentaires, les quarks, sont apparues. Au sein d’un univers en expansion, elle a conduit à la formation des atomes, des molécules, de la poussière interstellaire, puis des astres et des galaxies. Au cours de ce périple, la matière divisée des origines s’est progressivement condensée et complexifiée pour conduire à l’univers tel que nous le connaissons aujourd’hui. Certains processus ont été particulièrement rapides, les noyaux atomiques par exemple, se sont formés au cours des premières minutes, tandis que d’autres sont issus d’une longue maturation. Il a fallu attendre plus de 300.000 ans pour que se forment les premiers atomes et neuf milliards d’années pour que naisse la Terre. La longue histoire de la matière a conduit à la formation des roches minérales et des molécules organiques. Sur notre planète, elle a donné naissance à la matière vivante et même à la matière pensante. Comment la chimie, science de la matière, permet de décrire cette aventure ? C’est ce que nous allons tenter de montrer au cours de cet exposé. Pendant des siècles, on a pensé que la matière était constituée des quatre éléments d’Aristote, la terre, l’eau, l’air et le feu. Ce n’est qu’au XVIIIe siècle que l’on a montré que, comme le prédisait Démocrite, elle était formée d’atomes. Pendant plus d’un siècle, les chimistes se sont attachés à découvrir de nouveaux éléments. C’est ainsi qu’au cours de ses travaux sur la combustion, Lavoisier mit en évidence l’existence de l’oxygène mettant ainsi fin à la théorie du ‘phlogistique’ [1]. À la fin du XIXe siècle, avec l’établissement du tableau périodique des éléments, le chimiste disposait enfin des briques nécessaires pour transformer la matière. Deux éléments, le silicium et le carbone, vont nous permettre de comprendre comment s’est formée la matière. Le premier, le silicium, a conduit à la formation des roches. La silice et les silicates représentent 90% des minéraux de la croûte terrestre. Le second, le carbone a conduit aux molécules organiques qui ont donné naissance au vivant. Le secret de cette évolution réside dans l’auto-organisation. Les atomes ne sont pas indépendants les uns des autres. Ils s’attirent mutuellement via la liaison chimique et se lient dans l’espace selon des règles bien définies. Ainsi, selon Niels Bohr, les électrons gravitent autour du noyau en se répartissant sur des couches successives. Les électrons qui occupent la dernière couche, dite ‘couche de valence’, jouent un rôle privilégié car ils sont susceptibles d’interagir avec les atomes voisins pour former une liaison chimique. Le silicium, comme le carbone possèdent quatre électrons de valence ce qui les conduit à former quatre liaisons chimiques, d’où la tétravalence caractéristique de ces deux éléments. C’est ainsi que, dans les silicates, l’atome de silicium se lie à quatre atomes d’oxygène. Selon l’enchainement des tétraèdres [SiO4] on obtient des fibres d’amiante, des feuillets d’argile ou des cristaux de quartz. Dans tous les cas, l’enchainement peut se poursuivre à l’infini donnant des solides qui constituent l’essentiel des matériaux que nous utilisons pour élaborer des verres ou des céramiques. Le carbone a un comportement légèrement différent. Il est capable de former des doubles liaisons carbone-carbone. Cela limite le nombre de voisins auxquels il se lie. On passe ainsi du cristal de diamant dans lequel chaque atome de carbone est lié à quatre voisins aux feuillets de graphite dans lesquels il n’en a plus que trois. De nouvelles formes du carbone ont été mises en évidence au cours des dernières décennies ; graphène, nanotubes, fullerène... Toute la richesse de la chimie organique est liée à l’aptitude du carbone à former des doubles ou triples liaisons conduisant ainsi à la formation de molécules plutôt que de solides. C’est toute la richesse de la synthèse organique initiée par Marcelin Berthelot dans son ouvrage La chimie organique fondée sur la synthèse paru en 1860. L’homme enfin avait vaincu la ‘force vitale’ et devenait capable de transformer la matière et même d’en créer de nouvelles formes. Sera-t-il capable de recréer la vie ? C’est là le pari de la ‘biologie de synthèse’ qui a pour objet de synthétiser les molécules du vivant et de les associer pour former une protocellule, première forme de vie sur terre ![1] Terme savant forgé sur le grec phlogiston « inflammable » et phlox « flamme », pour désigner une hypothétique substance fluide qu’on croyait être constitutive de la chaleur et qui aurait expliqué le phénomène de la combustion. Terme savant forgé sur le grec phlogiston « inflammable » et phlox « flamme », pour désigner une hypothétique substance fluide qu’on croyait être constitutive de la chaleur et qui aurait expliqué le phénomène de la combustion. Mot(s) clés libre(s) : fullerène, tableau périodique des éléments, Mendeleïev, Marcelin Berthelot, carbone, oxygène, hydrogène, chimie douce, silicium, histoire de la matière
|
Accéder à la ressource
|
|
Le GPS
/ Charles-Henri Eyraud, ENS Lyon CultureSciences-Physique, Gabrielle Bonnet
/ 15-03-2006
/ Unisciel
Lièvre Jean-Pierre
Voir le résumé
Voir le résumé
Le GPS, une conférence de Jean-Pierre Lièvre. Principe de
fonctionnement du Global Positioning System (GPS) et difficultés de mise en oeuvre. Mot(s) clés libre(s) : GPS, localisation, satellite, satellites, lois de Képler, doppler fizeau, Galiléo, relativité restreinte, synchronisation, horloges atomiques, horloge atomique
|
Accéder à la ressource
|
|
Les limites de la connaissance physique
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 26-07-2000
/ Canal-U - OAI Archive
LEVY-LEBLOND Jean-Marc
Voir le résumé
Voir le résumé
Il n'est pas indifférent que dans ce cycle de conférences sur "tous les savoirs", la question des limites de la connaissance n'ait été posée qu'à la physique. C'est sans doute son statut implicite de science modèle qui lui vaut cet honneur. C'est aussi que, depuis le début du vingtième siècle, la physique s'est à elle-même posé la question. " L'homme devrait garder son humilité devant la nature puisque la précision avec laquelle il peut l'observer rencontre des limitations intrinsèques. " Ainsi l'Encyclopædia Britannica conclut-elle son article sur le "principe d'incertitude" de Heisenberg. De fait, la révolution quantique a donné lieu à d'abondantes exégèses sur ce thème : l'impossibilité de mesurer à la fois la position et la vitesse des corpuscules signalerait une limite absolue de nos connaissances. La Nature elle-même refuserait de se laisser dévoiler, et notre science la plus avancée buterait ainsi sur des frontières infranchissables. L'impossibilité de dépasser la vitesse de la lumière, mise en évidence par Einstein, a été interprétée dans la même veine : nous ne pouvons savoir ce qui s'est passé sur le Soleil durant les huit dernières minutes, faute qu'aucun signal ne puisse nous en prévenir. Mais avec un recul de quelques décennies, cette conception résignée, traduite par des vocables qui paraissent aujourd'hui pour le moins inadaptés (relativité, incertitudes), a perdu sa pertinence. Loin d'imposer des bornes à notre savoir, ces découvertes ont au contraire permis à notre compréhension de considérables progrès, en réorientant nos conceptualisations et nos interrogations. Elles ont montré l'inadéquation au réel de nos formulations antérieures. Si certaines questions (" Que se passait-il sur le Soleil il y a deux minutes ? ", " Où est l'électron et à quelle vitesse va-t-il ? ") n'admettent pas de réponses, c'est qu'elles sont dépourvues de pertinence. De même, la question " Qu'y a-t-il sur la Terre à 30.000 kilomètres au Sud de Paris ? " est-elle rendue caduque par la rotondité de la Terre et la connaissance de sa circonférence (40.000 kilomètres) ; dira-t-on pour autant que cette découverte impose une limitation à la géographie ?Les mutations théoriques de la physique du vingtième siècle n'ont nullement découvert des limites intrinsèques à notre connaissance scientifique, mais, bien au contraire, lui ont ouvert de nouveaux espaces. En témoigne l'approfondissement considérable de notre maîtrise, intellectuelle mais aussi matérielle, du monde quantique. Mot(s) clés libre(s) : connaissance scientifique, épistémologie, philosophie des sciences, physique, théorie quantique
|
Accéder à la ressource
|
|
Le relief de l'invisible: les céramiques
/ Science en Cours, Cité des Sciences et de l'Industrie, ALTO MEDIA, Aune Production, Ex-Nihilo
/ 01-01-1997
/ Canal-U - OAI Archive
LEVY Pierre-Oscar
Voir le résumé
Voir le résumé
GénériqueProduction : CO Prod CSI /Alto-média / ex-nihilo / Aune production DPA / Livrozet Maud Mot(s) clés libre(s) : alumine, céramique, microscope électronique, oxyde d'aluminium, science des matériaux, structure moléculaire
|
Accéder à la ressource
|
|
Le chaos : du problème des trois corps au cancer
/ 05-02-2015
/ Canal-u.fr
LETELLIER Christophe
Voir le résumé
Voir le résumé
La théorie du chaos est issue des travaux d’Henri Poincaré (1899) sur le problème des trois corps (interactions entre un soleil, une terre et une lune). Elle commença à expliquer la nature lorsqu’Edward Lorenz, météorologiste, montra en 1963 à partir d’un modèle simple que l’évolution de l’atmosphère était imprédictible à long terme en raison de sa grande sensibilité aux conditions initiales (effet papillon). Dans les années 1970, la théorie du chaos émergea : tout ce qui était apparemment imprédictible devenait chaos ! Depuis, le vivant semble s’accorder remarquablement avec les comportements chaotiques : évolution de populations en interaction, activité cardiaque, dynamique cérébrale, etc. Après une introduction historique de cette théorie, il sera montré comment l’évolution des cancers peut relever des comportements chaotiques et comment cette théorie ouvre de nouvelles voies non seulement sur la compréhension des croissances tumorales mais encore sur de nouveaux suivis cliniques. Mot(s) clés libre(s) : évolution, théorie du chaos, cancer, tumeur, comportement, effet papillon, météo
|
Accéder à la ressource
|
|
"C" à Paris, vitesse de la lumière: histoires et expériences
/ Université Paris-VI Université Pierre et Marie Curie UPMC, Observatoire de Paris
/ 2005
/ Unisciel
Lequeux James, Bobin Jean-Louis, Bobis Laurence
Voir le résumé
Voir le résumé
A l'occasion de l'Année Mondiale de la Physique, l'Observatoire de Paris et l'Université Paris VI - Pierre et Marie Curie se sont associés pour présenter "C" à Paris, vitesse de la lumière: histoires et expériences. Cette manifestation comportait deux volets: une expérience de mesure de la vitesse de la lumière et une exposition scientifique montrant le rôle de l'observatoire de Paris et de ses atsronomes dans l'histoire de la physique notamment en ce qui concerne la vitesse de la lumière et la métrologie. Mot(s) clés libre(s) : vitesse de la lumière, métrologie, expérience de fizeau, expérience de Foucault, expérience de Cornu, expérience de tir laser
|
Accéder à la ressource
|
|