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Université de Franche-Comté
/ 17-10-2008
Baudouin Joseph-Gabriel
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Ce travail est une méthodologie de levée d’ambiguïtés ; il comprend ainsi une typologie des ambiguïtés (de la langue arabe) et propose les bases d une théorie lexicale, qui à partir d’une syntaxe lexicale, propre à chaque lexie, crée des modèles syntaxiques, qui seront validés grammaticalement puis sémantiquement. Il aborde ainsi, les ambiguïtés, les inventorie, les analyse, les définit et propose des solutions. Nous définissons ainsi différents types d’ambiguïtés : Graphique, morphologique, segmentale, syntaxique, grammaticale et paradigmatique. La définition de telles ambiguïtés vise un objectif cher à tout arabisant, la voyellation , qui une fois attribuée aux phrases leur donne leur sens. Toutes les catégories lexicales : Nom, verbe, préposition sont analysées et pour toutes leurs affixations. Toutes les lexies et leurs affixes sont identifiés syntaxiquement et grammaticalement. Cette identification mène à la création de modèles syntaxiques et grammaticaux. La réalisation d’un dictionnaire, qui aborde les aspects syntaxiques et grammaticaux de toutes les lexies serait un pas de géant pour lever un certain nombre d’ambiguïtés
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Université de Franche-Comté
/ 20-12-2007
Maintier Serge
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Pour chaque phonème, chaque syllabe prononcée, on constate devant l'orifice buccal un jet tourbillonnaire ayant une dynamique avec des formes et une enveloppe globale bien spécifiques et reproductibles. Ces formes en mouvement ou "morphodynamiques" semblent, entre autres, marquées de l'empreinte des gestes articulatoires qui ont modelé le phonème ou la syllabe. Ces formes aériennes des sons du langage ont été mises en évidence et étudiées dès les années 1962 par la pionnière Johanna Zinke. En 1980, le biophysicien Boris Rybak les a visualisées lui aussi, en strioscopie interférentielle, et nommées "turbulences phonatoires externes". Nous avons vérifié ces visualisations en utilisant le laser et trouvé des corrélations entre la structure acoustique et la structure morphodynamique de ces turbulences phonatoires, chose qui n'avait pas encore été faite auparavant. Depuis les années 90 environ, grâce à l'apport de mécaniciens des fluides dans les modélisations de la glotte, on se rend compte que des processus aérodynamiques turbulents, chaotiques, sontgénérateurs du son, et ne sont donc pas que facteurs de bruit ou de perte d'énergie. En ce sens cette recherche sur les structures aérodynamiques des sons du langage prend toute son actualité, même si nous n'en comprenons pas encore tous les aspects aéroacoustiques. Ces formes aériennes des sons du langage sont d'après nous un pont entre le physique et le physiologique, l'acoustique et la "phonologie gestuelle". Vu la nature dynamique de ces phénomènes, nous présentons nos analyses descriptives dans un film DVD d une heure trente, partie expérimentale de notre thèse.
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Université de Franche-Comté
/ 15-12-2007
Lecolinet Thierry
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Cette thèse traite de la méthode de recherche de termes dans la langue. Comment faire pour rechercher des termes autrement que par l intermédiaire de leur graphie ?
Sur la base d un corpus de termes issus d un étymon mythologique ce travail se propose de présenter un système de recherche par critères, ainsi que la mise en lumière de ces derniers, de termes dans la langue sans passer par la connaissance de leur graphie mais de la forme (nature de ces termes, d où proviennent-ils, comment sont-ils formés) de ces derniers ainsi que de leur sens, leur domaine d usage etc. Pour illustrer ce travail un modèle de système de recherche électronique est proposé, ce logiciel fonctionne sur les bases des critères établis lors de la recherche.
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Université de Franche-Comté
/ 12-01-2007
Khruathong Sombat
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La thèse intitulée vers une analyse micro-systémique en vue d une traduction automatique thaï-français : application aux verbes sériels , s articule en 6 chapitres : Le premier présente les approches linguistiques et informatiques utilisées dansle domaine du traitement automatique du langage. Le deuxième aborde les caractéristiques de la langue thaïe par rapport au français, les problèmes généraux de traduction thaï-français, ainsi que les modèles d analyse du syntagme nominal du thaï. Le troisième concerne un essai d analyse des syntagmes adjectivaux et adverbiaux du thaï. Le quatrième est consacré à notre analyse en vue d élaborer notre modèle pour le traitement automatique des verbes sériels. L hypothèse est née de nos réflexions successives sur les problèmes généraux de notre langue maternelle, le thaï, notamment en ce qui concerne le traitement automatique des langues. Nous avons constaté que les verbes sériels jouent un rôle particulier non seulement dans la formation lexicale, mais aussi dans l ordre syntaxique de la phrase. Nul n est besoin de dire combien ils pourraient faire obstacle à l interprétation du sens, s ils étaient mal analysés. Sur le plan quantitatif, les verbes sériels en thaï ne sont pas nombreux. Pourtant, en emploi pré ou post verbal et nominal, voire au niveau de la phrase, nous trouvons qu ils occupent une place particulière qui mérite d être étudiée. Le cinquième chapitre applique les résultats des chapitres 3 et 4 pour la réalisation d un système de traduction thaï-français en mode interactif : nous démontrons que de telles analyses pour une traduction automatique peuvent être mieux développées en mode interactif car ainsi sont mis en évidence les problèmes qui relèvent de la différence de deux langues éloignées tant dans la formation lexicale que syntaxique. Dans notre conclusion, nous soulignons qu un système de traduction automatique thaï-français pourrait avoir de nombreuses applications notamment dans le cadre de l enseignement du français pour le public thaï ou l enseignement du thaï pour le public francophone.
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Université de Franche-Comté
/ 11-01-2007
Sekunda Gabriel
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L' infinitif forme dans la langue française des structures dotées d une diversité formelle assez importante (phrase indépendante, proposition subordonnée circonstancielle, relative, interrogative ou infinitive, groupe verbal, adjectival, nominal qualifié ou non). Ce mode évoque une simple idée du procès, qui pourtant s enrichit, selon le contexte, de diverses caractéristiques modales, temporelles et autres, portant sur la manière dont ce procès se déroule ou s inscrit dans la réalité. Du point de vue comparatif avec le polonais, les structures en question ont les correspondants qui peuvent : 1. soit garder la forme infinitive; 2. soit exiger à la place de l infinitif une ou plusieurs parmi les formes suivantes : forme finie, nom déverbal (ou, parfois, gérondif), 3. soit permettre le choix entre l infinitif et une autre forme. Afin de faciliter le choix de telle ou telle construction (surtout divergente), nous avons conçu une classification des structures analysées, fondée essentiellement sur des critères sémantiques. Ainsi avons-nous pris en considération, entre autres, la position de l infinitif dans la structure argumentale du verbe recteur et le sens de ce verbe (le concept de la manière, par exemple, exprimé par un verbe comme s empresser, a de fortes chances de se transformer en une construction adverbiale, tandis que le concept de la causalité propre à des constructions analytiques avec le verbe faire tend à se réaliser de façon synthétique par un verbe unique). Sans fournir toutes les possibilités de traduction, notre modèle essaie de respecter la variété et les propriétés des productions langagières réelles.
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Université de Franche-Comté
/ 26-11-2006
Patoz Evelyne
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A partir de l’étude du raisonnement et des compétences visuo-perceptives qu’emploie un être humain pour se situer dans l’espace, nous élaborons un modèle théorique permettant à un système informatique de situer un objet dans l’espace au moyen d’indices linguistiques. A cet effet, l’impact de l’activité langagière est étudié dans son rôle de constructeur de la représentation spatiale, mais aussi d’une autre activité cognitive, relevée comme essentielle : la perception visuelle. La perception visuelle reposant en grande partie sur des informations produites en fonction de l’univers des connaissances de l’observateur, l’interprétation qui en est faite conduit à une représentation mentale. La notion de représentation est alors liée à la réalité d’objets dont l’existence est elle-même dépendante des aptitudes perceptives d’un individu donné. La représentation n’est plus alors examinée comme préalable à la construction d’une configuration donnée, mais relative à la perception environnementale. Nous montrons que la génération dynamique d’une représentation spatiale ne dépend en fait que de quelques paramètres, dont le facteur le plus important est l’identification du point de référence. Nous développons une application logicielle, intégrant un module de dialogue, qui permet à un utilisateur de diriger un robot sur une surface, et à celui-ci de rendre compte de l’état du monde dans lequel il évolue.
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Université de Franche-Comté
/ 14-02-2006
Kuroda Kyoko
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Des phrases obtenues à l’issue de traduction montrent des divergences variées et importantes surtout quand il s’agit de langues éloignées comme le japonais et le français. Le but du présent travail est de mettre en évidence la divergence de traduction de ces langues et d’appliquer ce qui en sera dégagé à un système de transfert. Pour ce faire nous nous intéressons particulièrement à leur disparité qui s’observe au niveau de la structure prédicat-arguments. Nous y avons entre autres recensé des changements de catégorie prédicative, changement de voix, une diversification de la distribution actancielle et différentes formes du prédicat actualisé. Ces disparités sont souvent, d’après nous, corrélées et ont des souches communes. Elles peuvent s’expliquer par ce que Pottier appelle statuts événementiels du prédicat, c’est-à-dire que selon que le procès à exprimer est au statif ou à l’évolutif, la façon de le représenter devient différente. Cette différenciation dépend largement du lexique dont chaque langue dispose et des contraintes syntactico-sémantiques que chaque langue impose à son lexique. Nous avons ainsi essayé de dégager des facteurs qui sont à la fois corrélés entre les faits divergents et communs à nos deux langues. Nous les avons par la suite inscrits dans la description de chaque item lexical, en considérant qu’ils permettent au système de transfert de déclencher des opérations qui neutralisent la disparité. Après avoir présenté la formalisation de ces descriptions lexicales qui sont basées sur la grammaire de l’unification, nous montrons le processus de transfert que le système mène à l’aide des indications des facteurs communs.
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Université de Franche-Comté
/ 14-02-2006
Kuroda Kyoko
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Des phrases obtenues à l’issue de traduction montrent des divergences variées et importantes surtout quand il s’agit de langues éloignées comme le japonais et le français. Le but du présent travail est de mettre en évidence la divergence de traduction de ces langues et d’appliquer ce qui en sera dégagé à un système de transfert. Pour ce faire nous nous intéressons particulièrement à leur disparité qui s’observe au niveau de la structure prédicat-arguments. Nous y avons entre autres recensé des changements de catégorie prédicative, changement de voix, une diversification de la distribution actancielle et différentes formes du prédicat actualisé. Ces disparités sont souvent, d’après nous, corrélées et ont des souches communes. Elles peuvent s’expliquer par ce que Pottier appelle statuts événementiels du prédicat, c’est-à-dire que selon que le procès à exprimer est au statif ou à l’évolutif, la façon de le représenter devient différente. Cette différenciation dépend largement du lexique dont chaque langue dispose et des contraintes syntactico-sémantiques que chaque langue impose à son lexique. Nous avons ainsi essayé de dégager des facteurs qui sont à la fois corrélés entre les faits divergents et communs à nos deux langues. Nous les avons par la suite inscrits dans la description de chaque item lexical, en considérant qu’ils permettent au système de transfert de déclencher des opérations qui neutralisent la disparité. Après avoir présenté la formalisation de ces descriptions lexicales qui sont basées sur la grammaire de l’unification, nous montrons le processus de transfert que le système mène à l’aide des indications des facteurs communs
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