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Université de Franche-Comté
/ 01-12-2006
Zhiyanski Miglena
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Le césium 137 est un des principaux éléments qui contaminent les écosystèmes forestiers. Globalement les massifs montagneux sont pollués de manière plus importante en raison de retombées radioactives globales. Les transferts de césium 137 dans le système sol plante ont été étudiés dans 5 écosystèmes forestiers sur sol brunifié dans le massif de Rila (Bulgarie). Les sols sont riches en éléments nutritifs et présentent un pH acide. La distribution verticale du césium dépend du pH et du taux de matière organique humi ée (MOH). Les systèmes racinaires sont principalement développés en surface (horizon A1). La biomasse racinaire varie en fonction de l âge des peuplements. Dans les racines fines, la teneur en éléments est fortement influencée par la teneur en MOH du sol. L âge des peuplements influence la composition élémentaire des aiguilles. Le césium est accumulé dans les horizons de surface. Les sols étudiés présentent des taux de MOH élevés et une CEC élevée Ceci laisse supposer une adsorption non spécifique du césium et sa biodisponibilité. D après les estimations du facteur de transfert sol arbre (résineux), le classement des espèces par ordre de vulnérabilité à la contamination est : Picea abies (L ) Karst > Abies alba Mill. > Pinus sylvestris L En conclusion, la composition chimique des racines fines des résineux étudiés dépend de la teneur en MOH et des concentrations des différents éléments dans le sol. Les arbres ne sont pas significativement contaminés par les métaux lourds, mais les sols peuvent subir une acidification et le risque de contamination par le Cd, le Pb et le Zn n est pas négligeable.
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Université de Franche-Comté
/ 11-05-1978
Vincent Gaelle
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À l’échelle globale, la respiration du sol est un flux d’importance majeure dans le cycle du carbone. L’objectif de ce travail était de caractériser les variations spatiales et temporelles de la respiration du sol dans des sols forestiers marqués par des engorgements temporaires. Nous avons choisi neuf stations, chacune constituée de trois placettes, présentant des durées et des profondeurs d’engorgement variables. Dans un premier temps, nous avons cherché à mettre au point le protocole de mesure de la respiration du sol et des variables associées. Nous avons effectué une intercomparaison de différentes méthodes de mesure de la respiration du sol et inter-calibré différents systèmes de mesure, afin de favoriser des comparaisons inter-sites. Dans un second temps, nous avons mesuré à plusieurs dates la respiration, la température et la teneur en eau du sol dans 27 placettes réparties dans les neuf stations. Les résultats de ce travail montrent une variabilité spatiale importante entre les placettes d’une station et entre les stations. Nous avons montré également une forte interaction entre la variabilité spatiale et temporelle de la respiration du sol. En juillet 2003, la respiration du sol est corrélée au pH du sol, à la biomasse microbienne et à la différence entre les valeurs de pH mesurées dans pH). Nous avons également suivi la respiration,l’eau et dans le KCl ( la température et la teneur en eau du sol dans neuf placettes réparties dans trois stations contrastées. Ces mesures ont permis de paramétrer un modèle empirique liant les variations temporelles de la respiration du sol à une équation exponentielle de la température et une équation log-normale de la teneur en eau. Deux paramètres ont pu être ajustés : il s’agit de la teneur en eau du sol optimale pour la respiration (WSO), et de la respiration à 10°C et à teneur en eau optimale (RS10). L’humidité optimale est corrélée à la densité apparente du sol et à la masse de litières au sol. Le paramètre RS10 est un bon estimateur de la respiration du sol annuelle. Il est corrélé à un indicateur de l’activité microbienne du sol et à la surface terrière. Cette dernière relation offre des perspectives intéressantes pour spatialiser les mesures de respiration à l’échelle d’un massif forestier. L’ensemble de ces résultats souligne les fortes interactions entre variabilité spatiale et temporelle. Néanmoins, il ressort que les variations saisonnières peuvent être expliquées par la température et la teneur en eau du sol, et que les variations spatiales peuvent être corrélées à des facteurs liés au sol et à la végétation (surface terrière, activité microbienne, densité apparente), à l’échelle de la station forestière.
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Université de Franche-Comté
/ 28-06-2007
Viellet Amandine
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Les villages littoraux de Chalain et de Clairvaux représentent une chronologie de près d un millénaire et demi, depuis le néolithique Moyen Bourguignon (vers 4000 av. J.-C) jusqu au néolithique final (vers 2600 av. J.-C.). L excellente conservation des bois, en milieu humide et anaérobie, a permis la datation dendrochronologique directe de plus de 1 100 pièces d architecture de chêne ou de frêne. L objectif principal de ce travail est de présenter les limites et les potentialités de la méthode dendrochronologique pour montrer la vitesse évolutive des outillages, des techniques et des successions culturelles, parfois dans des laps de temps inférieurs à une génération. Afin d évaluer au mieux les limites de la méthode nous avons, dans un premier temps, réalisé un test sur un lot restreint de chênes et de frênes du village néolithique de Chalain 19, avant d étudier tous les bois de cet habitat. Les résultats obtenus ont ensuite été intégrés à une nouvelle synthèse dendrochronologique prenant en compte la totalité des bois datés sur l ensemble des villages des deux bassins lacustres de Chalain et de Clairvaux. Les courbes de croissance utilisées pour la synchronisation et la datation, offre aussi des informations écologiques essentielles que nous avons tenté d exploiter. Utilisée conjointement à l archéologie, la dendrochronologie reste un outil privilégié pour appréhender l écoulement du temps et l impact de l homme sur l’environnement.
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Université de Franche-Comté
/ 30-11-2009
Vaniscotte Amélie
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Cette thèse porte sur l'écologie de la transmission d'Echinococcus multilocularis, un parasite (cestode) dont le stade larvaire, transmis des faeces de canidés (hôte définitif) aux micro-mammifères (hôtes intermédiaires), peut engendrer accidentellement une zoonose mortelle chez l'homme: l'échinococcose alvéolaire. En Chine, où sont observées les plus fortes prévalences humaines au monde, des recherches multidisciplinaires ont mises en évidence des perturbations anthropiques des écosystèmes génératrices de risque de transmission du parasite. Nous nous sommes intéressé à quantifier, spatialiser voire prédire certains des facteurs écologiques qui influencent la transmission du parasite dans différents sites endémiques de la province du Sichuan (Chine), à savoir: i) les distributions spatiales des assemblages de micro-mammifères et ii) les comportements des chiens domestiques intervenant dans la transmission. Suite à une définition quantitative et objective des assemblages de micro-mammifères à partir de données de piégeages collectées dans 2 sites d'études, nous avons modélisé les distributions spatiales de leurs habitats en fonction de facteurs environnementaux issus de données satellitales et en utilisant différentes techniques de modélisation. Les régressions non linéaires multiples (MARS) discriminaient le plus précisément les assemblages le long des gradients d'altitude, de pente, de la bande ETM 7 et d'indices de végétation (NDVI et EVI). Cependant, les modèles développés localement n'étaient pas transférables sur un jeu de données distant d'une centaine de km. Un modèle de classification entraîné sur les données des deux sites d'étude apparaît être une méthode plus appropriée pour prédire les distributions régionales des assemblages. Les comportements de défécation et l'utilisation de l'espace des chiens domestiques ont été étudiés dans 4 villages du plateau tibétain. L'estimation des prévalences fécales par PCR montre le rôle prédominant du chien sur le renard dans la contamination de l'environnement des hommes. Les faeces et la contamination étaient agrégées autour des habitations humaines (entre 0 à 200 m) où le risque de transmission serait levé. L'analyse des trajectoires nocturnes montre que les chiens passent la majorité de leur temps autour des habitations et peuvent réaliser des excursions à l'extérieur des aires d'activité des populations de chiens des villages, correspondant aux habitats où les indices de présence de micro-mammifères sont les plus fréquents. . Notre analyse par des outils statistiques et d'écologie spatiale a permis l'estimation et la modélisation de paramètres écologiques utiles pour comprendre et prévenir le risque de transmission et incorporables dans des modèles épidémiologiques. Les erreurs de prédictions ainsi que les limites de nos conclusions encouragent la recherche d'une meilleure adéquation entre la collecte de données co-épidémiologique et la diversité des outils d'analyse disponibles.
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Université de Franche-Comté
/ 28-11-2008
Thivet Matthieu
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L’agglomération de Mandeure-Mathay (Epomanduodurum) constitue la seconde ville de Séquanie, derrière la capitale de cité Besançon-Vesontio, par sa taille, son équipement urbain, sa panoplie monumentale et ses fonctions. Elle st implémentée dans la vallée du Doubs, au débouché de la plaine d’Alsace (« Porte de Bourgogne », dans une zone de passage entre les Vosges et le Jura permettant notamment la communication entre le sillon rhodanien et la plaine du Rhin. Les premières recherches « organisées » sur le site remontent à la fin du XVIIIe siècle, mais c’est au début du XIXe siècle que les édifices majeurs tels que le théâtre (1820) et le sanctuaire (1880) de l’agglomération antique furent découverts. La démarche prospective, initiée à partir de 2003 par ce travail de doctorat, visait à rassembler dans le SIG ArcGIS d’ESRIc, l’ensemble des informations spatialisées fournies par les sources documentaires.
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Université de Franche-Comté
/ 15-12-2009
Sudre Bertrand
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L'augmentation de la fréquence des pathologies allergiques est un problème de santé publique. Les études portant sur les enfants étant issus de l'environnement fermier ont démontré des prévalences faibles de maladies allergiques, cependant les facteurs protecteurs environnementaux n'ont pas tous été identifiés. Nous présentons les résultats microbiologiques et palynologiques du bioaérosol en milieu agricole (composition et variation), et principalement ceux de l'étude PASTUREmicrobio rassemblant des fermes et des logements (fermiers et ruraux) de la cohorte de naissance européenne PASTURE. La contamination en hiver des étables est de l'ordre de 10 exposant 4 UFC/m3 pour les bactéries cultivables, de [10 exposant 4 - 10 exposant 5] grains/m3 de pollens de graminées, de [10 exposant 4 - 10 exposant 5] UFC/m3 pour les actinomycètes et de [10 exposant 5 - 10 exposant 6] spores-UFC/m3 pour les spores et les micro-organismes fongiques. Les facteurs significativement associés à cette contamination sont la saison et la distribution d'alimentation au bétail. La fréquentation de l'étable expose à de fortes concentrations polliniques après distribution de foins, dépassant les valeurs mesurées à l'extérieur en saison estivale. La contamination des chambres d'enfants fermiers est influencée par celle de l'étable, plus diversifiée et significativement plus élevée en hiver par rapport aux chambres d'enfants ruraux. Il existe une exposition différentielle entre enfants ruraux et fermiers au bioaérosol à l'étable et au domicile : exposition répétée et perannuelle aux pollens de graminées à l'étable accompagnée d'une importante co-exposition microbienne bactérienne et fongique. Ces caractéristiques sont des facteurs potentiels pour expliquer la protection du milieu fermier vis à vis des maladies allergiques.
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Université de Franche-Comté
/ 17-09-2010
Souquiere François
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La méchanique des séismes dans la croûte continentale : apports de l’analyse structurale des pseudotachylytes et des cataclasites
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Université de Franche-Comté
/ 05-11-2007
Sauty Christophe
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L objectif de la thèse est de percevoir l état du peuplement, dans son contexte spatial, aux différentes époques préhistoriques et historiques (de la Préhistoire ancienne à l époque moderne et contemporaine) et de mesurer son évolution dans le milieu particulier de la basse vallée du Doubs, sur un transect qui va de Petit-Noir / Neublans, à la limite du Jura, à la confluence Saône / Doubs en Saône-et-Loire. Une vingtaine de communes sont ici concernées. Ce secteur est celui d une zone humide, profondément marquée par la rivière du Doubs ; un aspect essentiel de la problématique est alors de mieux comprendre la relation que l homme a pu entretenir avec un environnement à la fois difficile (inondation, évolution incessante du cours de la rivière ) et attractif (fertilité des sols, rôle de la vallée comme axe de communication ). Sur ce point, nous nous sommes globalement attachés à définir le cadre dans lequel l homme a pu vivre à différents moments (en recourant à la géologie, la climatologie, pédologie, la palynologie, la microtoponymie, etc.), et, plus particulièrement, à étudier les variations du lit mineur du Doubs au cours des cinq derniers siècles grâce aux cartes anciennes et aux missions aériennes de l IGN. A cet égard, on peut diviser notre secteur en deux parties, l une allant de Petit-Noir à Mont-les-Seurre, à l est, où la rivière a connu une dynamique alluviale intense (méandres, anabranches, tresses et anastomoses) et l autre, entre Mont-les-Seurre et Verdun-sur-le-Doubs, à l ouest, dans laquelle le Doubs semble n avoir que peu évolué, depuis au moins la Protohistoire, comme l indique la reconnaissance de gués assez stables. Placée entre la plaine doloise (le Finage) au nord, la Bresse jurassienne et bourguignonne à l ouest et au sud et les marges bourguignonnes à l ouest, la basse vallée du Doubs est une zone charnière. De même qu elle constitue depuis l époque moderne une zone de contact entre la Bourgogne et la Franche-Comté, elle impliquait déjà dans l Antiquité (âge du Fer et époque romaine), les peuples éduen et séquane dont la limite est à chercher dans notre zone d étude. Située sur l axe fondamental Rhône Saône Doubs Rhin, cette zone fut sans doute parcourue dès le Paléolithique et fut bien occupée, à partir du Néolithique, par des populations agricoles. Pour la Protohistoire et l époque romaine (plus de 600 impacts archéologiques recensés pour cette seule dernière période), notre documentation atteste de la densification du tissu rural, de la montée en puissance du système viaire, du dynamisme des échanges, alors qu au Moyen Age se dessine un nouveau modèle d organisation territoriale et d aménagement de l espace qui anticipe sur les changements à venir. Au total, alors que jusqu en 1950 le nombre de sites connus restait infime dans la basse vallée du Doubs, au point d entretenir là la vision d une zone à priori désolée, pour des raisons d ordre naturel, les prospections conduites depuis les années 1980 permettent de recenser plus de 1000 impacts archéologiques, démontrant aujourd hui que cette zone ne fut en aucun cas un no man s land mais au contraire un lieu extrêmement vivant dès la Préhistoire. Sur toutes ces questions (volume 1), nous avons donc tenté de mobiliser l ensemble des données historiques et archéologiques et ceci explique la place importante des données d inventaire dans la thèse (volumes 2, 3, 4). Au plan méthodologique, la difficulté principale fut, pour nous, moins de trouver, en différents lieux, les séries documentaires nécessaires à la construction du sujet, que d articuler ces différentes séries entre elles ; séries à la fois parallèles et discontinues, fluctuantes dans le temps et l espace, orientant souvent le discours archéologique entre Mémoire et Histoire.
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Université de Franche-Comté
/ 09-11-2007
Robardet Emmanuelle
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L’Echinococcose Alvéolaire est une zoonose mortelle transmise à l’Homme par l’ingestion des œufs du tænia Echinococcus multilocularis. Le cycle du parasite fait intervenir un carnivore comme hôte définitif (principalement le renard roux) et des campagnols prairiaux (Microtus arvalis et Arvicola terrestris) comme hôtes intermédiaires. Depuis une vingtaine d’années, les observations de plus en plus fréquentes de renards urbains ont suscité de nombreuses questions sur l’augmentation du risque de contamination multilocularis chez le renard urbain avec des prévalences très variables. Cependant, les conditions du développement de ce parasite dans les milieux urbanisés sont peu documentées. Les travaux présentés proposent d’améliorer la compréhension du cycle d’E. multilocularis dans de tels milieux. Un suivi de l’infection vulpine par collecte de cadavres a mis en évidence un gradient d’infection décroissant du milieu rural au milieu urbain. Le long de ce gradient, différents milieux ont été régulièrement échantillonnés et ont montré l’importance pour le renard roux de la disponibilité en Microtus sp. dans les milieux friches. L’étude de la réponse alimentaire du renard roux aux variations de densités de rongeurs a montré que Microtus sp. était fortement consommé même lorsqu’ilétait faiblement présent sur le terrain alors que A. terrestris, en milieu périurbain, est consommé selon sa disponibilité. L'étude de la disponibilité en rongeurs à l’échelle de la ville montre que la consommation en hôtes intermédiaires est plus importante en milieu rural qu'en milieu urbain et que le régime alimentaire rural se caractérise par une prédominance de Microtus sp. par rapport à A. terrestris alors que ces différences sont pas présentes en milieu urbain. La répartition des fèces de renard roux est corrélée aux densités de Microtus sp et d'A. terrestris, soulignant les possibilités d’existence du cycle parasitaire quel que soit le niveau d’urbanisation. Enfin, l’étude de trajectoires de renards par utilisation de colliers GPS a permis d’observer différents types de comportements individuels qui pourraient entraîner une modulation de la dynamique spatiale de la transmission urbaine du parasite basée sur la stabilité des populations vulpines.
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Université de Franche-Comté
/ 17-12-2010
Renault François
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Pour diminuer le risque de pollution du milieu aquatique, les systèmes de traitement doivent extraire ou immobiliser tes contaminants. L'industrie papetière, l'une des plus consommatrices d'eau avec l agroalimentaire, utilise souvent un lagunage aéré assiste par des sels métalliques pour traiter ses eaux. Ces traitements sont efficaces mais température dépendants. Parmi les nombreux procédés de substitution proposés, l un d'eux est prometteur: la biofloculation par le chitosane. L'objectif principal de ce travail a été de développer et d'étudier le comportement du chitosane dans la décontamination des eaux de la filière papetière et de caractériser l impact environnemental du procédé. Les essais de biofloculation en laboratoire ont montré que le chitosane est efficace avec respectivement 45 à 80% et 71 à 94% d'abattement de DCO et de turbidité alors que le traitement conventionnel n'abat que 25 a 68% et 45 à 80% respectivement. Des essais semi-industriels ont pu être menés in situ. L'étude de l impact environnemental du procédé a été menée en utilisant Gammarus pulex (Crustacea, Amphipoda). Les études écotoxicologiques en conditions semi-contrôlées ont montré que les eaux traitées par le chitosane étaient moins toxique que cette traitées par le procédé conventionnel. L inhibition du taux de locomotion est moins élevée et de plus faible accumulation d'aluminium sont observées. Il est possible de conclure que la bio oculation par du chitosane est un procédé chimiquement efficace et environnementalement intéressant. Sa viabilité économique doit être approfondie pour intégrer les gains qu'engendreront la structuration de la filière productrice et les économies d'échelles.
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