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La révolution française : la thématique de la langue politique
/ ENS-LSH/SCAM
/ 13-11-2001
/ Canal-U - OAI Archive
ENS-LSH/SCAM, GUILHAUMOU Jacques
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Les discours du politique : Ecole thématique Violence, consensus, sécuritéJacques Guilhaumou s'intéresse ici à l'invention de la langue politique. Il se propose aisni de brosser à grands traits le parcours empirique de la langue politique de 1770 à 1795. Dans cette perspective, il s'appuie sur Le Grand Cahier métaphysique de Siéyès, texte fondamental de 1773 dans lequel il résume ses positions sur la métaphysique et les théories du langage, texte qu'il rapproche des théories de Leibniz et de Condillac. La réflexion sur l'abstraction de la langue et sur la genèse sensualiste de la connaissance, la construction de la langue abstraite dans une théorie de la connaissance sont autant de thèmes abordés. Il explique notamment que la langue politique doit révoquer le verbe être pour se fonder sur le verbe d'action, pivot de la langue métaphysique puis de la langue politique. L'expérience révolutionnaire a pour vocation de faire exister cette langue politique comme langue philosophique. Les "grammairiens patriotes" tentent ainsi de penser la langue politique pour "mettre la langue à la hauteur de la constitution". Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia Captation vidéo : Sebastien Boudin, Julien LOpez, Mathias Chassagneux, Son: Samuel Bazin, Montage-Encodage-DiffusionWeb : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : langage politique, révolution française, révolutionnaires
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Matrices et étymons en arabe et en hébreu : séminaire 7
/ ENS-LSH/SCAM
/ 26-03-2002
/ Canal-U - OAI Archive
ENS-LSH/SCAM
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Etude de quelques matrices en arabe.Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation Scam/ENS-LSH, Image: Sébastien Boudin cadre: Mathias Chassagneux Son: Xavier Comméat, Montage-Encodage-Diffusion Web: Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : arabe, etymons, hébreu, matrice
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14 - Les banques et l’Algérie
/ ENS-LSH/SCAM
/ 20-06-2006
/ Canal-u.fr
ENS-LSH/SCAM
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Les banques et l’Algérie : mise en valeur impériale ou exploitation impérialiste ? par Hubert Bonin (Institut d’études politiques, Bordeaux)
Le soubassement économique : session thématique (prés. René Gallissot)
Colloque pour une histoire critique et citoyenne - le cas de l'histoire franco-algérienne
Nos études sur le déploiement de la Compagnie algérienne, du Crédit foncier d’Algérie & de Tunisie, de la Société générale, du Crédit lyonnais et du Comptoir national d’escompte de Paris en Afrique du Nord, qui ont prolongé les analyses effectuées sur diverses maisons au Maroc - Guillen - ou en Tunisie - Gharbi -, permettent désormais de mieux comprendre les stratégies, les méthodes, l’organisation, les activités de ces établissements outre-mer.
Ils ont contribué à la « modernisation » de cet outre-mer maghrébin en y diffusant des outils modernes de crédit, en élargissant sensiblement les débouchés des productions agricoles, en contribuant à l’essaimage d’un système de production semi-industriel. En revanche, leurs clientèles ont été constituées sensiblement parmi les entreprises venues d’Europe, l’appareil d’État, les populations et producteurs issus des migrations européennes ; leur engagement dans le « développement » des producteurs et des commerçants autochtones a été limité en direct - même si l’on peut prétendre que, indirectement, leur action a permis de multiplier l’emploi rural ou citadin.
C’est donc la « logique » de croissance de ces banques qu’il faut reconstituer afin de déterminer si elles contribuent à aggraver « le rapport inégal » ou si elles ont été véritablement des leviers de modernisation et de développement.
Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation: Pascal Grzywacz, Image: Sébastien Boudin, Son: Xavier comméat, Encodage-Diffusion Web: Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : conditions économiques, colonies (administration), algérie (1945-1962), banques (algérie), politique économique
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081 - Conclusion du colloque Pour une histoire critique et citoyenne
/ ENS-LSH/SCAM
/ 22-06-2006
/ Canal-U - OAI Archive
ENS-LSH/SCAM
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le cas de l'histoire franco-algériennepar Pierre Sorlin Séance de clôture à l'Institut d'Etudes Politiques de Lyon.Colloque pour une histoire critique et citoyenne - le cas de l'histoire franco-algérienne Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux, Julien Lopez, Son: Xavier comméat, Encodage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : algérie (1954-1962 - guerre d'algérie), autonomie et mouvements indépendantistes, colonies (administration), colonisation, guerre d'indépendance, histoire, politique et gouvernement (algérie), relations france-algérie
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080 - Enseigner la guerre d'Algérie à l'école : dépasser les enjeux de mémoires
/ ENS-LSH/SCAM
/ 22-06-2006
/ Canal-U - OAI Archive
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Migrations, cultures et représentations : la pérennité des liensQuels savoirs transmettre ? session thématique (prés. Benoït Falaise)par Gilles Boyer (Institut universitaire de formation des maîtres, Lyon), Véronique Stachetti (Lycée Brossolette, Villeurbanne)Colloque pour une histoire critique et citoyenne - le cas de l'histoire franco-algérienne Si l’étude de la guerre d’Algérie est présente dans les programmes d’histoire de l’enseignement secondaire depuis une vingtaine d’années, il convient dans un premier temps de présenter la place qu’elle y occupe aussi bien au collège qu’au lycée. Dans quelle partie des programmes de troisième et de terminale est-elle située et combien de temps peut lui être consacré dans une progression sur l’année scolaire. Nous évoquerons aussi son introduction à l’école primaire avec la mise en place de nouveaux programmes d’histoire en 2000.Dans un deuxième temps, nous présenterons le travail d’enquête effectué pour l’Institut national de recherche pédagogique dans l’Académie de Lyon en 2000, 2001 et 2002. Quinze enseignants de collège et de lycée situés en banlieue, en centre-ville et en milieu rural ont répondu au cours d’entretiens à un questionnaire sur leur pratique d’enseignement et les difficultés auxquelles ils pouvaient être confrontés. Nous prendrons aussi appui sur les bilans de deux stages de formation continue organisés en 2004 et 2005 sur le thème « Enseigner la guerre d’Algérie entre Histoire et mémoire ». Ils ont regroupé à chaque fois une quarantaine d’enseignants pendant quatre demi-journées dont une consacrée à un échange de pratiques. La synthèse et l’analyse des résultats d’enquêtes et des bilans de stages permettent de mettre en évidence une série de thèmes : Quels choix d’enseignement ? Problématiques envisagées, références factuelles, acteurs cités et documents utilisés.La question correspond-elle à une demande sociale spécifique que traduiraient les élèves, les parents ou les diverses associations ? Quelles limites rencontrées ? Les enjeux sémantiques (comment nommer les différentes populations de l’Algérie coloniale). Les enjeux de mémoires (des réactions parfois vives d’élèves à l’énoncé de certains mots, l’émergence parfois vive de réactions mémorielles par mimétisme familial qui peuvent rester difficiles à stabiliser pour l’enseignant selon le niveau et le lieu auxquels il enseigne). Un thème d’enseignement qui, dans la problématique plus générale de la colonisation, suscite un large intérêt aussi bien de la part des élèves que des enseignants ou comment la perception aiguë des enjeux de mémoires conduit à une demande d’Histoire.Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux, Julien Lopez, Son: Xavier comméat, Encodage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : algérie, algérie (1954-1962 - guerre d'algérie), histoire (aspect social), histoire (étude et enseignement), manuels d'enseignement
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079 - Les difficultés de la transmission scolaire
/ ENS-LSH/SCAM
/ 22-06-2006
/ Canal-U - OAI Archive
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Le lien Algérie-France dans les programmes d'histoire, les manuels et l'enseignement en France par Françoise Lantheaume (Institut national de recherche pédagogique) Migrations, cultures et représentations : la pérennité des liensQuels savoirs transmettre ? session thématique (prés. Benoït Falaise)Colloque pour une histoire critique et citoyenne - le cas de l'histoire franco-algérienne L’enseignement de l’histoire en France a eu, depuis le XIXe siècle, un but de socialisation politique des nouvelles générations, orientée par une forme politique, la République, et un espace de référence, l’État-nation, agrandi à l’échelle de l’Empire tant que celui-ci a existé. C’est une socialisation politique prenant appui sur l’inculcation d’un certain nombre de valeurs politiques liées à celles de la démocratie parlementaire. Par le récit qu’il présentait, l’enseignement de l’histoire, présent tout au long de la scolarité, a aidé les générations successives à forger un sentiment d’appartenance à une collectivité définie par sa forme politique, par son espace, par un certain nombre de valeurs, il a été constitutif de ce qu’on peut appeler l’être français. Jusqu’aux années 1950-1960, le bien commun proposé aux jeunes Français allait de soi.La décolonisation a joué un rôle essentiel dans la remise en cause du montage faisant tenir ensemble un projet politique, un état de la science historique et l’enseignement de l’histoire. En témoignent, l’évolution des programmes d’histoire et des manuels scolaires. Dans les deux cas, entre la période coloniale et la période récente, on ne parle plus de la même façon ni de la même chose.L’analyse du passage d’un discours de légitimation de la colonisation ne mettant pas en doute la vertu civilisatrice de la colonisation, à une vision plus critique et plus complexe de cette période fait l’objet de la communication. Celle-ci présentera l’évolution des programmes et des manuels scolaires en relation avec l’évolution du contexte de leur production et s’interrogera sur la réalité, les limites, les modalités, et les effets de la « bascule » d’un enseignement collant au projet colonial lié à la construction de l’identité nationale française, à un enseignement capable de distance critique. L’étude de la façon dont l’enseignement de l’histoire en France a construit le traitement d’une question controversée renseigne à la fois sur la nature du lien entre la France et l’Algérie, sur la place de l’enseignement de l’histoire en France, et sur le processus de définition d’un curriculum et des objets qui le supportent. Les pratiques enseignantes sont quant à elles prises dans des contraintes contradictoires, ce qui conduit généralement les enseignants à une attitude de prudence, voire de relativisation, dont les effets seront envisagés.Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux, Julien Lopez, Son: Xavier comméat, Encodage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : algérie (1954-1962 - guerre d'algérie), histoire (aspect social), histoire (étude et enseignement), historiographie (aspect politique), identité, manuels d'enseignement, mémoire collective
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078 - Quels savoirs transmettre ? débat et questions
/ ENS-LSH/SCAM
/ 22-06-2006
/ Canal-U - OAI Archive
ENS-LSH/SCAM
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Colloque pour une histoire critique et citoyenne - le cas de l'histoire franco-algérienne Migrations, cultures et représentations : la pérennité des liensQuels savoirs transmettre ? session thématique (prés. Benoït Falaise)Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux, Julien Lopez, Son: Xavier comméat, Encodage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : algérie (1954-1962 - guerre d'algérie), histoire (étude et enseignement), historiographie
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077 - Le passé franco-algérien dans les manuels algériens d'histoire
/ ENS-LSH/SCAM
/ 22-06-2006
/ Canal-U - OAI Archive
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Migrations, cultures et représentations : la pérennité des liensQuels savoirs transmettre ? session thématique (prés. Benoït Falaise)Colloque pour une histoire critique et citoyenne - le cas de l'histoire franco-algérienne par Lydia Aït Saadi (Institut national des langues et civilisations orientales)Quand on parle de mémoire « nationale », ce qui vient à l’esprit relève le plus souvent de la grandeur, de la beauté, de l’héroïsme, de la gloire et de l’élan de certaines aspirations ou mouvements collectifs. Cependant, c’est aussi la mémoire des crimes et des violations des Droits de l’Homme de la part de dirigeants ou de tels groupes qu’il conviendrait de ne pas camoufler par un discours béat ou enflammé. C’est pourquoi l’écriture de l’histoire d’une manière générale et sa transmission par la voie officielle que constitue l’école, avec pour principal outil le manuel scolaire d’histoire, représentent un enjeu important dans l’élaboration de la mémoire nationale ou institutionnelle. C’est ainsi que la sensibilisation des enfants aux questions de leur temps passe par l’apprentissage des bases de leur histoire nationale de manière simple, attrayante, mais rigoureuse. Car il est certain qu’un peuple à qui l’on refuse les connaissances nécessaires pour être un citoyen peut devenir un peuple esclave prêt à s’incliner devant une tyrannie. C’est un procédé bien connu que de vouloir régner sur les esprits par l’obscurantisme. L’absence de référence à un héritage patriotique mène à l’hégémonie totalitaire.En Algérie, l’étude de l’insurrection de 1954 qui constitue l’élément de référence essentiel du point de vue de l’identité nationale et qui occupe une place privilégiée dans le programme scolaire algérien, semble hésiter entre trois approches, plus ou moins menées à terme. La première présente la guerre de libération comme un fait singulier et fondateur, la deuxième préfère l’insérer aux côtés de l’étude de la période coloniale dans la longue durée - arabo-islamique notamment -, et la troisième, enfin, aborde la guerre de libération comme un fait contemporain qui porte en lui la marque globale de l’histoire du XXe siècle.Il est important de garder à l’esprit que le manuel est avant tout un instrument de socialisation ; il sert à faire accepter l’ordre en place, à le légitimer à l’occasion, à reproduire la société. Il prépare des citoyens conformes, alignés et intègres. Il développe le respect des institutions, le sentiment d’appartenance ; il moule les consciences et détermine les comportements sociaux, et cela par le biais du récit « vrai » des faits « vrais » qu’il faut savoir et que véhicule le manuel à l’école... Et tout cela au profit de l’idéologie dominante et du pouvoir dominant - au profit de « l’équipe gagnante » du moment. Le manuel d’histoire défend ainsi les intérêts du pouvoir, des gestionnaires du système et la pensée dominante.Aussi il apparaît qu’en Algérie comme ailleurs les différents régimes qui se sont succédé au pouvoir depuis l’indépendance n’ont eu de cesse de puiser une légitimité dans la guerre de libération nationale en tant que fait fondateur de la nation algérienne moderne. S’il paraît évident que l’État algérien puise dans l’histoire nationale afin de se légitimer, la société algérienne en crise a elle aussi besoin de cette histoire car elle est en quête de normes et de modèles d’identification et cherche à puiser dans son passé sa propre identité. En effet, ce n’est qu’après 132 ans de colonisation et sept ans de guerre d’indépendance que naîtra l’Algérie actuelle. Mais qu’est ce que l’Algérie et d’où vient-elle ? Quels en sont les fondements historiques ? Comment se situe-t-elle dans l’ensemble international ? Et qu’en est-il de la conscience identitaire et du rapport à l’universel ?C’est à l’histoire comme discipline sociale qu’il appartient d’essayer de répondre à ces questions ; et c’est à l’école de prendre le relais en transmettant ces connaissances historiques qui constituent la mémoire « institutionnelle ». Or, que dit l’école à propos de l’Algérie et de ses rapports avec le monde ? Comment procède-t-elle à cette transmission de mémoire ? Arrive-t-elle à élucider le passé algérien ou alors ne fait-elle qu’imposer un semblant de savoir ou de fausses connaissances ? Finalement quelle histoire est réellement enseignée dans les écoles algériennes ?Ce travail a pour objet de tenter de répondre à ce type d’interrogations, et cela sur la base de l’outil de transmission de mémoire par excellence, à savoir le manuel scolaire d’histoire. C’est lui qui dispense « le savoir » officiel auquel se réfèrent élèves et enseignants. Les manuels d’histoire, comme en fait ceux de géographie, de littérature, voire ceux de philosophie, d’instruction civique et religieuse, pèsent lourdement - en droit tout au moins - sur la conscience des générations qui passent par le système scolaire.Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux, Julien Lopez, Son: Xavier comméat, Encodage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : algérie, histoire, histoire (aspect social), histoire (étude et enseignement), historiographie, identité nationale, manuels d'enseignement, mémoire collective
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076-L'Algérie en France : histoire, mémoire et transmission
/ ENS-LSH/SCAM
/ 22-06-2006
/ Canal-U - OAI Archive
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par Seloua Luste Boulbina (Collège international de philosophie)Migrations, cultures et représentations : la pérennité des liensQuels savoirs transmettre ? session thématique (prés. Benoït Falaise)Colloque pour une histoire critique et citoyenne - le cas de l'histoire franco-algérienne Les débats, polémiques et autres discussions actuelles montrent moins l’importance des mémoires - et de ce que l’on nomme « groupes de mémoire » sur le modèle des « groupes de parole » - que la force de la transmission. Celle-ci repose largement sur un impensé commun, notamment politique quand celle-là se fonde sur l’illusion du souvenir : l’illusion que, du passé, on se souvient. Autrement dit, la mémoire serait davantage affaire de discours - en parler ou pas ? - que de langage - comment en parler ? Les représentations, qu’elles soient visuelles, qu’elles soient langagières, qu’elles soient savantes, se transmettent à l’insu de ceux qui les transmettent. Il suffit, pour cela, de « répéter ». C’est l’impensé des représentations qui accueille les « mémoires ». On l’oublie trop souvent. Le républicanisme a sa part de naïveté, c’est-à-dire d’ignorance, y compris quand il se place du côté du colonisé ou, plus généralement, de ce que l’école indienne appelle depuis vingt ans le subalterne. Il a sa part de responsabilité quand, du subalterne, il ne veut, c’est-à-dire il ne peut, rien entendre.Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux, Julien Lopez, Son: Xavier comméat, Encodage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : Colloque pour une histoire critique et citoyenne, L'Algérie en France, le cas de l'histoire franco-algérienne
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075 - Une histoire idéologique ? débat et questions
/ ENS-LSH/SCAM
/ 22-06-2006
/ Canal-U - OAI Archive
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Colloque pour une histoire critique et citoyenne - le cas de l'histoire franco-algérienne Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux, Julien Lopez, Son: Xavier comméat, Encodage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : algérie (1954-1962- guerre d'Algérie), historiographie
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