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Distances et savoirs - Politiques publiques et stratégies des acteurs
/ CNED - Centre National d'Enseignement à Distance
/ 10-12-2009
/ Canal-U - OAI Archive
ORIVEL François, Loiret Pierre-Jean, Schneewele Manuel
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Distances et savoirs– Symposium international– 10-11/12/2009Les textes d’intervention ainsi qu’une abondante bibliographie sélective liée aux thèmes du symposium sont accessibles à www.cned.fr/ds/symposium.htm Le Conseil scientifique de Distances et savoirs, Martine Vidal, Monique Grandbastien et Pierre Moeglin. ____________________________________________________________ Forte de l'acquis de ses sept volumes annuels (2003-2009) Distances et Savoirs a organisé un dialogue international autour de la collaboration de D&S avec Michael G. Moore, rédacteur en chef de l’American Journal of Distance Education, père de la théorie de la « distance transactionnelle » et coordonnateur du Handbook of Distance Education les 10 et 11 décembre 2009. Ce fut l'occasion de dresser le bilan des recherches actuelles, riches et foisonnantes, et d'envisager leur avenir autour de six thèmes majeurs, exposés puis discutés par des chercheurs et des praticiens relevant de différentes disciplines concernées par l’enseignement à distance, sciences de l’éducation, de l’information et de la communication, informatique, économie, … 1 – Dispositifs techniques Stratégie des industriels, normes, discours sur et autour (structuration organisationnelle, spatiale et temporelle des environnements.) 2 – Politiques publiques et stratégies des acteurs (organismes privés / établissements publics d'enseignement, stratégies internationales, partenariats et modèles économiques.) 3 – Professionnalités (organisation et division du travail, nouvelles formes de compétences chez les enseignants, les concepteurs, les tuteurs - professionnalité enseignante et étudiante, évolutions des statuts des enseignants et divers autres formateurs ...) 4 – Usages, usagers (modèles pédagogiques, soutien scolaire, tuilage – ou heurts - entre formation palliative et formation enrichie, usages de la distance dans la formation ...) 5 – Recherche, insertion dans les pratiques (rôle de l’Etat, champs disciplinaires concernés : sciences de l’éducation, sciences de l’information et de la communication, sociologie, économie ...) 6 – « Provocateur », position de la FAD par rapport aux autres pratiques (celles en « face à face » notamment) : apports, stimulation, innovation – et/ou l’inverse. Deux tables rondes ont ponctué ces deux journées. Elles ont fait ressortir la nécessité des échanges entre communautés linguistiques différentes – notamment l’espace de la Francophonie - et ont montré le rôle que des revues scientifiques qui collaborent de façon internationale peuvent jouer pour une reconnaissance réciproque plus approfondie des travaux de recherche et des pratiques en enseignement à distance dans des environnements distincts. La seconde table ronde a été réalisée dans le cadre d’une classe virtuelle permettant ainsi de faire dialoguer Michael G. Moore (aux Etats-Unis), Paul Kawachi (en Chine) et, en France, Thomas Hülsmann, Alan Tait, Eric Bruillard, D&S et les participants au symposium. Les textes d’intervention ainsi qu’une abondante bibliographie sélective liée aux thèmes du symposium sont accessibles à www.cned.fr/ds/symposium.htm Mot(s) clés libre(s) : EAD, enseignement à distance, FAD, FOAD
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Les coûts de l'éducation, un dilemme équité/efficacité
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 30-08-2000
/ Canal-U - OAI Archive
ORIVEL François
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L'évolution mondiale des dépenses d'éducation n'a pas suivi, comme c'est souvent le cas, les projections des économistes. Après avoir connu une hausse spectaculaire entre 1950 et 1975, on assiste depuis à une relative stagnation. L'éducation n'est ni un secteur bénéficiant d'une quelconque priorité des agents économiques, qu'ils soient publics ou privés, ni un secteur défavorisé. Il évolue tout simplement comme la moyenne des emplois des ressources dans la majorité des économies nationales. Or certains économistes avaient anticipé des hausses spectaculaires, liées à la fois au fait qu'il s'agit d'un secteur à faible croissance de la productivité, et d'un service dont la demande relative ne cesserait de croître (allongement de scolarités initiales, formation tout au long de la vie, avènement d'une société postindustrielle fondée sur la connaissance). Le caractère principalement public du financement de l'éducation s'est un peu partout généralisé, à partir d'arguments divers, dont l'équité fait évidemment partie. Cependant, les premières études empiriques portant sur le phénomène de redistribution engendré par la gratuité des services éducatifs ont plutôt montré que les bénéficiaires effectifs n'étaient pas les individus des groupes sociaux modestes, mais ceux des groupes favorisés. La sélection au mérite, les avantages de fait, et les formations longues et coûteuses, mais financées par les contribuables, bénéficient d'abord aux individus socialement aisés. Toutefois l'allongement récent des scolarités pour tous, l'idée qu'une discrimination positive (donner plus aux individus de milieux exclus) n'est pas incompatible avec l'égalitarisme républicain et a sensiblement réduit l'impact régressif du financement public de l'éducation dans les sociétés les plus développées. Mais si le problème de l'équité (ou des écarts d'accès entre groupes sociaux) s'atténue au sein des sociétés riches, on ne peut que s'inquiéter devant l'accroissement continu des inégalités en matière d'éducation entre le groupe des pays les plus avancés et celui des pays les plus pauvres. Mot(s) clés libre(s) : coût, éducation, équité, financement, politique éducative
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L'accès à l'éducation : une approche internationale
/ 23-05-2002
/ Canal-U - OAI Archive
ORIVEL François
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